Page 7 sur 12 PremièrePremière ... 56789 ... DernièreDernière
Affichage des résultats 61 à 70 sur 117

Discussion: Le Saviez-vous?

  1. #61
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Une voix de Noir de Joe Cooker ?

    Chronique du jour: DIGOUTAGE
    25/12/2014

    Une voix de Noir


    Par Arris Touffan

    Aveu troublant d’une amie qui écoute Joe Cooker depuis Woodstock sans l’avoir jamais vu : «Jusqu’à sa mort, je te jure que je le croyais noir». Je tombais des nues ! Comment peut-on l’avoir écouté depuis quasiment qu’il a commencé à chanter sans être jamais tombé sur sa photo et constaté que c’est un Blanc avec une voix de Noir ? Eh bien, ça s’est trouvé comme ça ! «Je l’écoutais à la radio, à la maison ou dans la voiture et je n’ai jamais eu l’occasion de voir sa tronche. Son nom – Cooker –, je ne sais pas s’il existe des noms de Noir mais moi je l’y ai assimilé. Quant à sa voix et plus généralement sa musique, elle était comme ces plaintes ou ces colères de Noir. C’est le meilleur des hommages post-mortem pour Joe…
    A. T.
    [email protected]

    Nombre de lectures : 1153

    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. # ADS
    Le Saviez-vous?
    Ich'har Circuit publicitaire
    Date d'inscription
    Toujours
    Messages
    Plusieurs
     
  3. #62
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post La double valeur du dinar stimule la fraude

    Economie:Contrôle sur le commerce extérieur
    11 Janvier 2015
    La double valeur du dinar stimule la fraude


    le 11.01.15 | 10h00




    Par souci de préserver la stabilité financière de l’Algérie, le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci, a appelé, jeudi dernier, les banques à respecter strictement leurs obligations pour les opérations de commerce extérieur et de change.


    Selon Abderrahmane Benkhalfa, expert financier et ancien délégué général de l’ABEF, cet appel peut être perçu comme étant un «rappel à l’ordre», en ce sens que les banques «se doivent de veiller, par respect à certaines règles prudentielles, à ce que les opérations de commerce extérieur soient conformes à la réglementation, reflétant effectivement des mouvements réels». Pour lui, ce rôle «est joué par les banques depuis longtemps», bien que d’autres observateurs de la place financière pensent que les banques ne font pas assez dans la lutte contre la fraude et le transfert illégal de devises.
    Ce constat, de l’avis de M. Benkhalfa, est quelque peu exagéré du fait que les banques sont responsables uniquement de l’aspect financier et ne sont pas seules à intervenir sur la scène, puisque «les flux financiers des opérations vers l’étranger sont gérés par les banques sur la base de documents délivrés par les Douanes et un échange dématérialisé des documents se fait entre les deux parties».

    Ainsi, les banques peuvent à tout moment «vérifier que l’opération qui a fait l’objet d’un transfert de devise corresponde effectivement à une entrée de marchandises à travers un document appelé D10». Notre interlocuteur dit pouvoir témoigner que «les banques jouent le rôle de premier contrôle des flux sortants et des transferts vers l’étranger et des services entiers de contrôle ont été créés pour le besoin». Il n’en demeure pas moins, précise-t-il, que «les importations peuvent donner lieu à des pratiques de surfacturation, à des opérations fictives ou encore à des flux physiques ne correspondant pas aux montants transférés».
    Selon l’expert, ces opérations ne sont pas près de disparaître, pour la simple raison que «nous avons des flux d’importation importants et notre dinar a deux valeurs : une officielle et une autre sur le marché parallèle qui est de 45 à 50% supplémentaire». C’est la raison pour laquelle, au-delà du contrôle, le phénomène des fuites de capitaux et de tricherie sur les opérations d’importation doit être traité «pas seulement au niveau des banques» mais aussi «à travers le traitement du problème de la double valeur du dinar».
    Selon lui, il faut «traiter cette problématique de façon structurelle et frontale, avec les moyens économiques et juridiques appropriés, en mettant en place un dispositif dont l’objectif principal est d’unifier la valeur externe du dinar». Et de conclure : «Tant que le marché parallèle reste dans l’étendue qu’il a acquise il sera toujours un stimulant aux fuites de capitaux et aux transferts illicites de devises.»

    Dernière modification par zadhand ; 11/01/2015 à 12h25. Motif: La double valeur du dinar stimule la fraude
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  4. #63
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Une journée particulière

    14 Janvier 2015
    Une journée particulière

    Naoufel Brahimi El Mili
    Paris capitale du monde. Le ton est donné ce dimanche 11 janvier. Alors qu’avec mon tropisme algérien je croyais que Paris était le centre de soins privilégiés de certains Algériens et non des moindres. Ai-je oublié de mentionner Grenoble ? Peu importe.
    Journée historique, inouïe, magnifique, la course aux superlatifs est lancée quoique justifiée. 2015 peut enfin commencer alors que l’année écoulée s’est terminée autour du débat sur le suicide français. La preuve du contraire est donnée, j’ai envie de dire, aux quatre millions de Français qui ont manifesté dimanche : «Merci pour ce moment.» En effet, jusqu’à dimanche midi, j’étais très pessimiste pour moult raisons. Antisémitisme et islamophobie s’installaient dans un dangereux face-à-face. Il est à préciser que l’antisémitisme est parfois, voire trop souvent, meurtrier. L’islamophobie commençait à s’exprimer virilement à travers une vingtaine d’attaques contre les mosquées. Le couple islamophobie-terrorisme s’inter-fécondait et ce n’est sans doute pas fini. Aussi étais-je inquiet par le niveau dérisoire des débats et polémiques anté-manifestation (le Front national boycotté et qui a fini par s’auto-isoler, des articles sur une relation entre une ancienne secrétaire d’Etat et le directeur de Charlie Hebdo) publiés ici et là.
    Cependant, en me dirigeant vers la place de la République, j’étais plus frappé par un marchand de merguez qui s’appelait Charlie que par l’immense foule. Oui, j’étais obligé de revoir à la baisse mon pessimisme. Sans pour autant verser dans la béatitude car une fois que nous aurions quitté la planète «Charlie» et serions redescendus sur la planète «Terre», où nous avons un peu plus nos habitudes, qu’allons-nous faire ? Changer notre prénom d’état civil ? C’est compliqué. Postuler pour devenir policier ? Ce n’est pas simple. Se convertir au judaïsme ? C’est très complexe.
    Mais retenons le slogan : «la France debout.» Cette même France qui a réussi la prouesse d’organiser un G50 en 48 heures. Bravo. Scène internationale exceptionnelle où le Président algérien ne pouvait se rendre pour des raisons de santé que les Français connaissent très bien. Abdelaziz Bouteflika se fait représenter par son ministre des Affaires étrangères. Très bonne décision. Pour une fois qu’il applique le slogan de son feu patron, Houari Boumediène : «L’homme qu’il faut à la place qu’il faut.» Tollé dans une partie de l’Algérie car une délégation du pays du million et demi de martyrs sera aux côtés du Premier ministre israélien. C’est un détail de l’Histoire, avais-je envie de rétorquer. Avez-vous oublié que, fraîchement élu pour la première fois, Bouteflika était desservi par un excellent agenda funéraire qui lui a permis de réapparaître sur la scène internationale. Mort de Hassan II : notre président a échangé des mots avec Ehud Barak, alors Premier ministre d’Israël. Mort du roi de Jordanie : que du beau monde. Mort de Hafez Al-Assad : il y était. Alors au nom de quoi l’Algérie se devait-elle d’être absente ce dimanche 11 janvier ? La seule question qui se pose éventuellement est l’absence du Premier ministre Sellal qui avait représenté l’Algérie à Washington lors du sommet Etats-Unis- Afrique et qui était venu à Paris avec 15 ministres dégainant leurs stylos pour signer tous les accords possibles et imaginables par les Français. Aussi, Sellal arborant : «je suis Charlie» aurait été harmonieux tant que ce prénom renvoie au surnom d’un célèbre comique muet. Quoique Sellal parle. Hélas ? Lamamra était présent sans être visible. Belle performance. Il est un acteur incontournable de la diplomatie régionale, c’est indéniable, quitte à être Charlie à Paris, le temps d’un dimanche, le premier dimanche des soldes. Tout n’est donc pas perdu.
    Mais hormis les deux ou trois chefs d’Etat qui ont été plus convoqués qu’invités, certains n’avaient pas leur place dans cette manifestation. A commencer par le Qatar, pays d’où a été lancée, dès juin 2011, une fetwa pour le djihad en Syrie. Ce même pays a inventé le concept de djihadiste-défenseur des libertés. Il s’agit en fait d’un recyclage conceptuel des djihadistes qui combattaient le soldat soviétique en Afghanistan. C’était une autre époque avec guerre froide et sans internet. Des représentants libyens y étaient aussi, mais cette fois-ci sur la place de la République, loin de l’hôtel Raphaël où BHL les conviait. Le Premier ministre turc y était aussi. Son prédécesseur Erdogan a dénoncé violemment le Danemark, pays qui a publié pour la première fois les caricatures de Mahomet. Au point où Erdogan s’était farouchement opposé à la nomination de Anders Fogh Rasmussen, comme secrétaire général de l’Otan, car il était danois donc forcément complice des caricaturistes. Le président américain, Obama, était obligé de se déplacer à Ankara pour qu’Erdogan fléchisse. Et dimanche le Premier ministre turc se proclamait Charlie.
    Quittons la planète Charlie. Les quatre millions de manifestants n’étaient pas dans une logique «Love and Peace» mais ils exprimaient aussi une demande de sécurité. Comment y répondre ? Par un «Patriot Act» à la française ? Ou encore comme l’avait déclaré, sur un ton bushien, François Fillon : «faire la guerre au terrorisme» ? Non, le terrorisme est une affaire de renseignement et de police et non l’occasion d’augmenter le nombre d’heures de vol des Rafales. La mission est très difficile d’autant plus que les cibles sont trop nombreuses et ne peuvent être indéfiniment protégées. En 2015, on découvre que les prisons françaises sont des universités d’été permanentes pour des djihadistes en herbe. Alors que 20 ans auparavant avec l’affaire Khaled Kelkal, impliqué dans les attentats de 1995, la prison française était déjà pointée du doigt. L’école est défaillante car des enfants n’ont pas respecté une minute de silence. Non, ce n’est pas «un chahut de gamins» (pour reprendre une expression d’un responsable algérien qualifiant les émeutes d’Octobre 1988), le mal est plus profond.
    Oui, l’Algérie était présente à ce G50 quasi-improvisé. D’autant plus que les médias n’ont pas hésité à rappeler les origines algériennes des frères Kouachi, auteurs de ces innommables actes. Du coup, les musulmans d’origine algérienne sont doublement suspects, et de par leur confession et de par leur attachement affectif territorial. C’est la double peine. Lamamra avait le bon profil pour remplir cette mission : efficace et discret. Tant pis si son Premier ministre voit en lui un successeur, certes mais de qui ?
    Oui, dimanche était une journée particulière. Un peu comme le film d’Ettore Scola qui se termine par l’arrestation de Gabriele (Marcello Mastroianni), homosexuel intellectuel et par le retour d’Antonietta (Sophia Loren) à ses servitudes conjugales.
    N. B. E. M.


    Nombre de lectures : 1434
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  5. #64
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Gaz de schiste ou pas ?

    Contribution
    28 Janvier 2015

    J'ai l'est déplacé ici
    "Aâm aâm celui qui nous avait taxé de ghachis..." vue ce sujet n'est pas traité sur l'Islam.

    Contribution : Gaz de schiste ou pas ?

    Par Nour-Eddine Boukrouh
    [email protected]
    «L’ignorant se fait plus de mal que ne lui en ferait son pire ennemi»
    (Proverbe arabe)
    Cette contribution est née au moment où prenait fin une émission consacrée au gaz de schiste que je suivais sur une chaîne de télévision algérienne privée. En guise de conclusion, les intervenants devaient dire à tour de rôle leur mot de la fin. Quand arriva celui de la seule dame invitée au débat, sa voix se brisa et les larmes noyèrent ses yeux au moment où elle rendait hommage à nos frères et sœurs du Sud pour leur attitude face à cette question qui va torturer une grande partie de la société algérienne dans les prochains mois, l’écartelant entre son intérêt et sa conscience. La dame entraîna dans son sillage l’animateur qui eut toutes les peines à conclure l’émission car étouffé par un brusque accès de larmes. Il retrouva difficilement sa maîtrise et conclût l’émission en fixant la caméra pour s’adresser au Président, l’adjurant d’être de la pâte de Larbi Ben Mhidi et de Slimane Amirat ; de choisir, entre l’Algérie et le gaz de schiste, l’Algérie du million et demi de martyrs. Avant d’entrer dans le sujet, que l’on m’autorise cette parenthèse pour faire justice d’une confusion : l’émotion, comme on vient de le voir, peut aveugler les yeux et casser les voix. Elle peut aussi fausser le raisonnement. Feu Slimane Amirat, que j’ai eu l’honneur de connaître, portait en lui toute la candeur du peuple algérien et je me souviens de l’émission télévisée où il a prononcé ces paroles («Entre l’Algérie et la démocratie, je choisis l’Algérie») pour exprimer son rejet de l’islamisme radical qui était aux portes du pouvoir. Elles lui survivront jusqu’au jour où l’Algérie fusionnera avec la démocratie.
    La formule qu’il a laissée et dont certains se prévalent pieusement pour trouver des excuses au despotisme est chargée d’émotion autant que l’atome primitif dont est issu le Big Bang était chargé d’énergie, mais, concrètement, rationnellement, il n’est pas possible de choisir entre une réalité physique, l’Algérie, territoire et peuple, et la démocratie, idée, idéal, mode de gestion susceptible d’assurer le bien-être des hommes et leur cohabitation pacifique. La démocratie, c’est le «pouvoir du peuple» sur sa terre, ses biens et les personnes qui le forment. La démocratie ignore l’existence de l’Algérie, elle prospérait partout où elle a été choisie comme mode de gouvernance, mais l’Algérie ne prospérera pas sans la démocratie et ne durera pas longtemps sans elle dans l’Histoire.
    Aussi ne peut-on pas choisir entre l’Algérie et la démocratie car cela reviendrait à choisir entre un pays et son peuple, entre un peuple et la meilleure façon dont il peut être géré, entre une terre et ses habitants, entre une terre sans habitants et des habitants sans terre, entre une vie de douar et une vie moderne. L’une ne saurait aller sans l’autre sauf à accepter d’être dirigé par le despotisme et le mythe de l’homme providentiel qui détruiront, de toute façon, tôt ou tard, le pays. On peut seulement réussir ou échouer à rendre son pays et ses institutions démocratiques. Au temps de Da Slimane, l’Algérie avait échoué à devenir une démocratie et elle est encore sur cet échec.
    Il y aura bientôt quatre ans, je publiai dans ces mêmes colonnes une contribution intitulée «La conscience des peuples» (LSA du 5 mai 2011) dans laquelle je posais le problème de l’exploitation du gaz de schiste.
    A l’époque, le problème ne se posait pas chez nous mais en France où, après la découverte de premières réserves, deux volontés s’étaient retrouvées face à face, prêtes à en découdre : celle de l’Etat, vivement intéressé par l’exploitation de cette manne qui tombait à pic, et celle d’une infime partie des citoyens opposés à l’idée pour des raisons écologiques. Elu président de la République une année plus tard, François Hollande se résigna à en interdire l’exploitation. Les tourments de la conscience française cessèrent et le sujet fut vite oublié. J’écrivais alors ceci :
    Début de citation : «L’Etat qui se faisait du souci pour son endettement public, son déficit budgétaire et ses exportations en recul voyait d’un très bon œil cette manne mais son enthousiasme a été refroidi par la réaction de la conscience française… Les citoyens français auraient pourtant individuellement gagné à la mise en exploitation des gisements découverts car c’est une énergie qui devient de plus en plus chère chez eux… Ils n’ignorent pas les avantages que les Américains ont tirés de ce nouveau type de gaz… Ils ont pensé aux équilibres naturels de leur pays, à leurs ressources hydriques, à l’avenir de la planète plus qu’au profit qu’ils auraient personnellement tiré de cette aubaine. C’est ainsi qu’ont réagi aussi les Canadiens alors qu’ils ont de l’eau à n’en savoir que faire.
    Les deux peuples ont vu loin, ils ont pensé à plus tard, à dans un siècle ; ils ont refusé la rente et la vie facile qu’ils auraient pu regretter par la suite… Ils n’ont pas raisonné comme nous qui, dans le même cas de figure, aurions répondu à nos autorités : ‘’Nourris-moi aujourd’hui et tue-moi demain !’’ D’ailleurs, elles viennent de signer avec ENI un contrat pour la mise en valeur de notre potentiel de ce gaz sans demander l’avis de quiconque…
    Nous, nous faisons le contraire, nous fonctionnons à l’inverse des autres, nous sommes des cigales : ce que nous faisons en été (compter sur le pétrole et le gaz, subventionner les prix, soutenir à bout de bras une économie éclopée) nous ne sommes pas sûrs de pouvoir le refaire en hiver. Nous comptons sur une sentence aux allures d’oracle : ‘’Dieu y pourvoira !’’ C’est cette inconscience historique, cette attitude à l’envers, cette disposition à ne penser qu’à l’immédiat qui conduit à la colonisation, à l’indépendance qui coûte un million de morts et accessoirement à la destruction de l’environnement... Si ça va pour l’instant, c’est parce que nous avons plus d’argent que nous n’en avons besoin. Et le jour où il y en aura moins ? ‘’Dieu y pourvoira !’’ laisse tomber dévotement le pouvoir. ‘’Nourris-moi aujourd’hui…’’ menace la conscience populaire»… (fin de citation). Nous y voilà, quatre ans après ! L’argent commence effectivement à manquer et la peur à se répandre dans les rangs de la nation : «Le mensonge peut courir une année, la vérité le rattrape en un jour», dit le proverbe. Si Dieu semble, dans ses voies impénétrables, avoir exaucé les prières de l’Etat algérien en le pourvoyant des deuxième ou troisième réserves mondiales en la matière, il y a comme un problème dans l’air car au lieu du «nourris-moi aujourd’hui et tue-moi demain !» auquel on s’attendait tout naturellement, c’est quelque chose d’absolument nouveau qui a été donné à entendre depuis In Salah à un peuple algérien décontenancé. Quelque chose d’inconnu s’est alors réveillé en nous, touchés par la réaction de nos compatriotes du Sud et peut-être plus encore par la méthode inédite qu’ils ont employée pour se faire entendre : le style mystique au lieu du style revendicatif, mode auquel sont très sensibles les Algériens comme on l’a vu en d’autres occasions.
    En effet, nos concitoyens du Sud, en particulier les braves habitants d’In Salah, ont imploré pendant des semaines le même Dieu qui a donné le gaz de schiste à l’Algérie, mais eux c’était pour qu’Il la prémunisse de son exploitation : «Ya latif, ya latif, ançar abdiqa-d-da’îf !» n’ont-ils cessé de psalmodier des jours durant à la manière de «tolbas» éplorés, les mains levés au ciel et les yeux embués de larmes (traduction au pied de la lettre : «Ô Dieu Clément, secoure tes faibles créatures !»). Où a-t-on jamais vu des masses humaines adresser des doléances privatives au Créateur (les délivrer d’une richesse naturelle) ? On adresse depuis des siècles en Algérie des doléances à Allah mais dans les mosquées et en termes acquisitifs, comme on fait avec les prières collectives de «l’istisqâa» en période de sècheresse.
    Superstition ? Naïveté ? Non, sens naturel de l’intelligence politique et tactique des gens du Sud, êtres frugaux et âmes droites. Car que pourraient les brigades de répression des mouvements de foule dépêchées en renfort devant pareille posture qui a ému la nation, devant ces suppliques adressées en fait plus au président de la République qu’à Dieu, devant ce style de protestation inédit ? Nos frères et sœurs du Sud n’ont pas recouru à la «capacité de nuisance» dont nous sommes familiers au Nord (slogans anti-pouvoir, prise en otage de franges de la population, émeutes, menaces de sécession...), ils lui ont substitué la capacité à convaincre au moyen du sacré ; ils lui ont préféré l’argument de la crainte du Seigneur pour faire plier l’Etat. Il faudrait labelliser cette innovation et réfléchir à comment l’exporter dans les pays islamiques.
    Ce n’était pas seulement intelligent, c’était aussi efficace puisqu’ils ont obtenu un premier résultat : embarrasser le gouvernement, l’obliger à modifier son timing, le contraindre au dialogue et à la communication, susciter autour d’eux une sympathie nationale… Mais est-ce assez pour faire reculer le pouvoir, un pouvoir qui, comme le rappelait récemment le Premier ministre, regarde toujours l’Algérie comme étant hiérarchisée entre un «hakem» et des «mahkûmin», ignorant qu’il y a belle lurette que les Algériens ont cessé de se sentir «mahkûmin» par qui que ce soit ?
    On peut penser qu’ayant peu gagné d’un demi-siècle d’exploitation du pétrole et du gaz conventionnels, nos frères et sœurs du Sud ne voient pas ce qu’ils gagneraient du gaz de schiste, d’où leur opposition. Ce serait leur faire injure car ils demandent l’interdiction de l’exploration et de l’exploitation du gaz de schiste sur tout le territoire national. Ce n’est pas leur faire injure, c’est les atteindre dans leur dignité, leur intelligence et leur patriotisme que de faire passer leur mouvement protestataire pour le fruit de manipulations étrangères ou locales ; c’est prendre leur angélisme pour un machiavélisme qui n’est pas dans leur nature. S’ils avaient accepté l’offre de de Gaulle, ils seraient aujourd’hui les maîtres du Sahara et de ses richesses et nous leurs voisins déguenillés.
    Néanmoins, il ne faut pas se bercer d’illusions. Leur bon aloi et leur foi de charbonnier n’opéreront pas sur les tenants du pouvoir et ne les attendriront nullement. Cette «fitra» qui a pu jadis envoûter Isabelle Eberhardt, Ernest Psichari et Etienne Dinet les laissera froids et ils n’hésiteront pas, si nécessaire, à les enfouir sous le sable comme des déchets radioactifs s’ils venaient à se mettre en travers de leur chemin, le chemin de «l’intérêt national» et de «l’avenir de nos enfants». Il serait illusoire de croire que le gouvernement va reculer sur la question, qu’il renoncera à ce pactole mirobolant.
    Il faut être conscient de cette donnée essentielle qu’il est infiniment plus facile de gagner 60 milliards de dollars par an en trustant «softement» Sonatrach et quelques entreprises étrangères dans le désert que de mettre «hardement» en branle dans des villes surpeuplées quarante millions d’individus revêches et indisciplinés avec l’espoir d’en faire une société d’abeilles, une fourmilière besogneuse, une force de travail capable de produire, de couvrir ses besoins intérieurs et d’exporter le surplus pour générer des rentrées en devises de ce niveau. Se représente-t-on l’Algérie actuelle exportant hors-hydrocarbures 60 milliards de dollars par an pour couvrir les importations indispensables à sa vie quotidienne ? Cela supposerait une métamorphose immédiate de l’ensemble de nos données physiques, psychiques, mentales, morales et économiques et l’apparition fulgurante d’une conscience citoyenne chez l’écrasante majorité de la population ; cela requerrait une subite transformation de notre organisation sociale et politique actuelle en cadre institutionnel démocratique, en pouvoir légitime, en système d’enseignement performant et étroitement lié au monde économique, en une élite politique porteuse d’idées au lieu des niaiseries qui lui font attendre dans un hôtel qu’on veuille bien lui remettre le pouvoir au motif qu’elle en a envie… N’ayant pas fait le centième de tout cela en trois mille ans d’histoire (d’histoires devrais-je écrire plus justement), comment pourrait-on le faire en quelques années avec les contraintes sociales qui pèsent sur nous et les périls qui nous entourent ? Autant dire que nous sommes faits comme peuvent l’être des «mahkûmin», comme des morts entre les mains de ceux qui les lavent sur une planche mortuaire, comme du gaz de schiste pris dans de la roche. C’est trop tard, ya nas !
    Et de mon point de vue, pourrait-on me demander, faut-il ou non exploiter le gaz de schiste ? Ma réponse sera claire, nette et franche car chacun doit prendre position dans le débat ouvert par les gens du Sud. Elle commencera par trois questions : A-t-on réellement le choix? Y a-t-il une alternative à la rente, nous qui ne savons gérer nos affaires avec la médiocrité, la corruption et le gaspillage qui vont nécessairement avec et nous caractérisent que grâce à une rente ne nécessitant pas plus de bras et de cerveaux que ceux des effectifs de Sonatrach ? Le patriotisme est-il aujourd’hui dans l’exploitation du gaz de schiste ou dans son interdiction ?
    Bien sûr qu’il eut fallu construire une économie rationnelle, autocentrée, intégrée, diversifiée, exportatrice, reposant sur le travail, la productivité et la qualité dès le départ, mais il n’en a pas été ainsi. Il eut fallu commencer à édifier notre société dès le XIXe siècle en prenant part à la révolution industrielle. Nous ne l’avons pas fait car nous étions colonisés par la France. En trois semaines la soldatesque française a pris Alger. Et avant la France, nous étions colonisés par les Turcs dont la seule différence avec les Français était d’être, comme nous, des musulmans. Quant aux Romains qui sont restés chez nous quatre fois plus longtemps que les Français, on les a totalement oubliés ; ça remonte à si loin… Et pourquoi avons-nous été occupés par les Turcs ? Parce que menacés par les Espagnols et ne pouvant nous défendre par nous-mêmes nous avons fait appel à leurs vaillants corsaires et janissaires. Et pourquoi ne pouvions-nous pas nous défendre ? Parce que nous n’avions pas d’armée nationale ; parce que nous étions morcelés en tribus et ârouch ; parce que nous étions dispersés en une quantité d’individus atomisés, non reliés les uns aux autres par des affinités, des relations de travail, une conception philosophique ou un «sens commun» ; parce que nous n’étions pas réunis par un contrat social, une idée de l’Etat national, des habitudes de vivre et de travailler ensemble. Même aujourd’hui on cherche à se défaire du peu de choses qui nous unissent. Les uns ont kidnappé les valeurs de Novembre, d’autres l’islam et quelques-uns l’amazighité. 132 ans plus tard, enfourchant un mouvement de l’Histoire qui passait par là pour aller dans le sens de la décolonisation et moyennant paiement du plus lourd tribut en vies humaines après les Vietnamiens, nous nous sommes libérés pour nous retrouver aussitôt sous le joug d’une ignorance khéchinienne, de l’esprit du douar et de la mentalité de la «chèvre qui vole», tous issus de notre génie national. A sa mort en décembre 1978, Boumediene nous a laissé en héritage une dette extérieure de 14 milliards de dollars alors que le nombre des Algériens était à peu près de quatorze millions. Au départ de Chadli en janvier 1992, la dette extérieure s’élevait à 26 milliards de dollars pour une population de 26 millions d’habitants environ. Elle n’a été effacée que grâce à la montée constante des prix du baril dans les années 2000. Entre-temps des pays du sud de l’Europe, du Sud-Est asiatique, d’Amérique latine et même du Maghreb qui étaient au même point que nous ou même moins, qui disposaient de moins de richesses naturelles que nous, sont devenus des pays émergents pour les uns et des puissances économiques et commerciales mondiales pour d’autres. Comme si l’échec économique ne suffisait pas, il fallait encore que nous donnions à demeure le spectacle des pires exactions terroristes qu’ait connues l’humanité depuis Gengis Khan, se soldant par un bilan de plus de 200 000 morts. A peine remis de la faillite économique et du terrorisme des années 1990, nous nous sommes empressés, inconsciemment ou par satanisme, je ne sais, à reproduire les causes qui les ont générées. De quelles marges disposons-nous aujourd’hui pour construire une économie rationnelle, diversifiée, intégrée et exportatrice ? Une fois épuisées les réserves de change (en un maximum de trois ans), nous nous mettrons à nous endetter de nouveau car nous aurons besoin de 60 à 80 milliards de dollars chaque année (il ne faut pas oublier les dépenses militaires) pour maintenir notre pouvoir d’achat, notre chômage et notre taux d’inflation à leur niveau actuel. Il ne faudra même pas rêver de les élever, sans dire que ces niveaux sont déjà, pour bon nombre de nos compatriotes, ceux du seuil de pauvreté. En quelques années cette dette, à supposer que nous trouvions des créanciers assez fous pour nous suivre dans notre fuite en avant, se chiffrerait en centaines de milliards de dollars. Pour la rembourser, il faudrait vendre le pays, son sol, son sous-sol et ses meubles. Pour ces raisons non exhaustives, chers frères et sœurs, et la mort dans l’âme, je me prononce pour l’exploitation le plus vite possible du gaz de schiste car nous n’avons que faire de l’écologie ; nous ne savons pas ce que c’est, ayant vécu pendant des millénaires sans nous en soucier. Alors de grâce, ne faites pas semblant ! Ayant détruit l’homme, qu’aurions-nous à faire de son milieu naturel ou de la couche d’ozone ? Ce pays que nous n’avons pas su construire, qui est resté en jachère sauf dans les périodes où des occupants étrangers l’ont mis en valeur, est trop grand pour notre khéchinisme et notre asocialité, pour nos açabiyates haineuses et meurtrières, pour les petits dirigeants qu’il a mis à sa tête depuis la naissance du mouvement national en 1926, pour notre nocivité individuelle…Si un référendum devait être organisé autour de la question de l’exploitation du gaz de schiste, il n’y a aucun doute que le «oui» triompherait. Sans fraude. Les rentiers, resquilleurs, assistés, paresseux, voleurs, fatalistes, charlatans et démagogues de toutes les couches sociales, de toutes les régions, de tous les courants politiques et idéologiques se retrouveraient dans le plus vaste consensus connu par le pays depuis l’apparition de l’homme protohistorique de Mechta Larbi. Le pouvoir n’a pas à s’en faire, il a de la marge.
    Si nous renoncions à exploiter le gaz de schiste et même peut-être un jour le cyanure ou la nitroglycérine s’ils devenaient des matières premières, nous nous condamnerions à court terme à la faillite, à la misère générale, à la guerre civile, au morcellement de notre pays et à l’inévitable intervention de l’étranger… L’Etat islamique version talibans, Daesch ou Boko Haram, le choix est large, nous appelle ; il nous attend ; il est au bout du chemin que nous avons emprunté ; il est notre fatalité, notre destin, notre terminus. Ses cadres, ses califes, ses faqihs et ses commandos sont prêts à assumer leur mission historique sacrée ; ils sont parmi nous, ils sortent de chez vous, ils opèrent en pleine lumière, ils dictent sa conduite à la société, ils vous marient et interprètent vos rêves à la télévision, que voulez-vous de plus ? Qu’ils vous disent si le gaz de schiste est halal ou haram ?
    N. B.

    Nombre de lectures : 2045

    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  6. #65
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post «Basta !» Haddad répond à Hanoune sans la nommer

    02 Février 2015
    Actualités
    Haddad répond à Hanoune sans la nommer
    «Basta !»

    A la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, qui exprime son hostilité à l’ouverture du ciel au privé, le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a répondu hier assez fermement. Ali Haddad, que le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, venait de recevoir, dira «basta» à Louisa Hanoune, sans toutefois la nommer.
    «Basta à ces gens qui passent leur temps à râler, à critiquer et qui bénéficient de privilèges» notamment lors de l’embarquement tandis que les citoyens lambda «attendent quatre à cinq heures», assènera le président du FCE, dans une allusion à la secrétaire générale du PT.
    Ainsi, l’ouverture du ciel au privé, que la dirigeante du PT considère comme «une bombe», est plutôt dans «l’intérêt national», considérera Ali Haddad, affirmant de surcroît qu’«hormis la Défense nationale, aucun secteur ne doit être fermé, tous les secteurs doivent être ouverts» à la participation privée.
    Une question abordée «sans tabou», assure Ali Haddad lors de la rencontre tenue avec Abdesselam Bouchouareb, un ministre «actif» dont il relèvera l’«écoute», «la franchise, l’engagement et la détermination à repositionner l’entreprise». Assez explicite, le président du FCE indique que la rencontre a porté sur de nombreuses problématiques liées à l’entrepreneuriat.
    Il s’agit notablement de la dépénalisation, du foncier et de l’adhésion à l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Mais aussi de la règle 51/49 dont Ali Haddad se présentera «un fervent défenseur» et que le ministre de l’Industrie assurera «définitivement irréversible», de l’assainissement fiscal, du label produit national, de la croissance économique escomptée «à 8%, voire 10%», des emplois durables, de la réindustrialisation et du consommer-national.
    Comme les deux parties ont convenu de la mise en place d’une commission mixte, à l’instar de ce qui a été décidé lors des rencontres que le FCE a eues avec d’autres membres de l’exécutif.
    Cela même si Abdesselam Bouchouareb n’a pas manqué de préciser que le FCE fait déjà partie de deux groupes de travail, présidés par le ministère de l’Industrie et portant, l’un sur la mise en œuvre du Pacte économique et social de croissance et le second sur le rapport Doing Business.
    Convergence de vues entre le FCE et l’industrie
    Ce faisant, la rencontre que le ministre de l’Industrie a qualifiée d’«importante, riche» et qui a permis d’«informer» le FCE, «une organisation patronale en plein essor», a été marquée par une certaine convergence quant à la nécessité de booster l’entreprise algérienne.
    Mais aussi de régler les problèmes que cette entreprise subit, et d’autant que «la contrainte de la conjoncture (l’) impose», considérait auparavant Abdesselam Bouchouareb concernant la mobilisation de «trouver» d’autres ressources.
    Persuadé de la vocation du ministère de l’Industrie et des Mines en tant que «maison de l’entreprise algérienne», le ministre de tutelle prônera en ce sens l’opportunité de «lancer effectivement le partenariat public-privé».
    De même que le ministre de l’Industrie observe que certaines mesures sont «déjà prises en charge» et que son département œuvre à en finaliser d’autres. Evoquant la promotion de la production nationale, Abdesselam Bouchouareb indique qu’un arrêté ministériel est en voie d’élaboration pour obliger les ordonnateurs et maîtres d’œuvres et autres organismes notamment publics à acheter et consommer la production nationale, sur la base d’une «veille permanente» quant à cette production.
    À des nuances…
    Toutefois, quelques divergences, essentiellement de forme, des nuances sont à relever. A Ali Haddad qui évoque «la possibilité» de céder quatre zones industrielles (l’une au nord, la seconde au sud et les deux autres à l’est et à l’ouest du pays) au FCE afin qu’il les aménage et les distribue aux investisseurs, Abdesselam Bouchouareb exprimera certes l’ «accord» de son département, l’élaboration de textes relatifs étant en cours à ce sujet.
    Toutefois, le ministre de l’Industrie estime qu’il reviendra plutôt aux Chambres de commerce et d’industrie (CCI) d’assurer la gestion de ces zones identifiées.
    A charge cependant pour les entreprises du FCE de contracter des accords de partenariat avec les CCI dont elles sont membres, suggérera Abdesselam Bouchouareb.
    D’autre part, le ministre de l’Industrie spécifiera que certaines dispositions fiscales contenues dans la loi de finances 2015, dont l’unification du taux de l’Impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS) pour les importateurs et producteurs (à 23%), pourraient être revues dans le cadre d’une éventuelle loi de finances complémentaire.
    En ce sens, il assurera de la disponibilité de son département à se «battre» pour régler la question de l’IBS, dans le cas échéant d’une LFC, et dans la mesure où «l’effet rétractif» de cette disposition fiscale pose problème, argue Bouchouareb.
    Ce dernier indiquera, ce faisant, que les groupes industriels, prévus par le projet de réorganisation et reconfiguration du secteur public marchand, seront mis en place dans «une dizaine de jours».
    C. B.
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  7. #66
    Date d'inscription
    septembre 2013
    Messages
    58
    Thanks
    0
    1 Post
    Pouvoir de réputation
    145

    ~ Vous ne devriez pas vous brosser les dents après chaque repas! ~

    ~ Vous ne devriez pas vous brosser les dents après chaque repas! ~



    Beaucoup d’entre vous ont l’habitude de se brosser les dents après avoir mangé pour nettoyer les particules de nourriture qui s’accumulent entre les dents et pour éliminer le mauvais goût de labouche. Toutefois, selon "Colgate" nos dents sont plus fragiles après avoir mangé.
    Les aliments et les boissons acides que nous consommons ramollissent
    l’émail de nos dents et les brosser dans les 60 minutes après avoir mangé peut endommager cet émail.
    Bien que le brossage après chaque repas n’est pas une bonne idée, vous devriez vous brossez les dents chaque jour mais pas plus que 3 fois pour éviter le risque des lésions aux
    gencives. Se brosser les dents la nuit est le plus important, en effet, lorsque votre bouche devient sèche pendant le sommeil les bactéries
    peuvent plus facilement endommager vos dents.








    § Cordialement § Ar3s
    « La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre

    SamSat HD90 Titan

  8. #67
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post L'opposant russe Boris Nemtsov tué par balle au pied du Kremlin

    28 Février 2015 28
    Actualités/RUSSIE

    L'opposant russe Boris Nemtsov tué par balle au pied du Kremlin

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters
    28.02.2015 à 22:09
    Mis à jour le
    28.02.2015 à 22:09
    4584991_3_090b_boris-nemtsov-a-moscou-le-5-decembre-2012_c1e372a7507a3e0ca591189d67675461.jpg


    L'opposant russe Boris Nemtsov a été abattu dans la nuit du vendredi 27 au samedi 28 février dans le centre de Moscou, à quelques pas du Kremlin, a rapporté la police de la capitale. Il se promenait avec une jeune femme venant d'Ukraine sur le Grand Pont de pierre enjambant la Moskova, lorsqu'il a été pris pour cible par un tireur circulant dans une voiture.
    Selon les forces de l'ordre, citées par l'agence de presse RIA Novosti, plusieurs personnes ont été témoins de cet assassinat, qualifié samedi matin de « minutieusement planifié » par les enquêteurs russes : « Boris Nemtsov se rendait avec sa compagne à son appartement, qui est situé non loin du lieu des faits. Il est évident que les organisateurs et les auteurs de ce crime étaient informés de son trajet. »

    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=jqFdS332BQg#t=0

    Une caméra de surveillance aurait filmé une partie de l'assassinat de l'opposant politique russe...

    nutilisables ou presque? La télévision russe a diffusé les images prises par une vidéo de caméra surveillance semblant montrer l'assassinat de Boris Nemtsov. Problème, la prise de vue est très lointaine et le film de piètre qualité
    Le meurtrier filmé?

    «Vers 23h15, une voiture s'est approchée d'eux, quelqu'un a tiré des coups de feu, dont quatre l'ont touché dans le dos, causant sa mort», a déclaré la porte-parole du ministère de l'Intérieur, Elena Alexeeva, à la chaîne de télévision Rossiya 24. Une déclaration qui semble confirmée par le film diffusé par la chaine TVC.
    Cette télévision russe a mis la main sur ce qui paraît être des images du meurtre de l'opposant russe. Une caméra de vidéosurveillance située à une grande distance du pont en hauteur, a capturé ce qui est présenté comme le déroulement de l'assassinat.
    Au moment du meurtre, M. Nemtsov et sa compagne se trouvent toutefois cachés par un engin de déneigement, dans l'angle de la caméra. On peut ensuite apercevoir un individu, présenté comme étant l'assassin, courir vers la chaussée avant de monter dans une voiture de couleur claire qui l'attendait et de quitter les lieux.


    Biographie de Boris NEMTSOV (1959 - 2015 )


    Homme d'état, Homme politique, Ministre, Victime, Victime d'agression et Victime de meurtre (Russe)
    Né le 09 octobre 1959
    Décédé le 27 février 2015 (à l'âge de 55 ans)

    Boris Efimovitch Nemtsov, né le 9 octobre 1959 à Sotchi et mort assassiné le 27 février 2015 (à 55 ans) à Moscou, est un homme politique russe libéral.
    Ministre de l'Énergie sous Boris Eltsine, vice-premier ministre chargé de l'économie dans les cabinets de Viktor Tchernomyrdine, il est l'un des fondateurs de l'Union des forces de droite (SPS), un parti d'opposition au Kremlin qui n'existe plus depuis fin 2008. Il a été gouverneur de la région de Saratov. Il est l'un des leaders, avec Gary Kasparov, du mouvement Solidarnost.

    Le lundi 23 mars 2009, Boris Nemtsov, candidat à la mairie de Sotchi, a été aspergé au visage avec de l'ammoniac, par des inconnus. Dans une lettre ouverte publiée dans Novaïa Gazeta, Boris Nemtsov a estimé que la ville n'était « pas prête à supporter l'immense charge — en termes de construction, d'écologie, de transport et de migration — que constitue l'aménagement des infrastructures olympiques ».

    Il est assassiné dans la nuit du 27 au 28 février 2015 en plein centre de Moscou, à quelques pas du Kremlin.



    Dernière modification par zadhand ; 28/02/2015 à 22h05. Motif: L'opposant russe Boris Nemtsov tué par balle au pied du Kremlin
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  9. #68
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Bill Gates toujours numéro 1

    04 Mars 2015


    De plus en plus de milliardaires dans le monde
    Bill Gates toujours numéro 1

    1190681881_de_plus_en_plus_de_milliardaires_dans_le_monde.jpg

    Le monde compte un nombre record de milliardaires, de plus en plus riches, le plus fortuné de tous étant l'Américain Bill Gates, selon le classement annuel du magazine Forbes publié lundi.

    En un an, la fortune du co-fondateur de Microsoft a augmenté de 3,2 milliards pour s'établir à 79,2 milliards de dollars. Le Mexicain Carlos Slim, magnat des télécommunications, numéro 2 du classement, a vu sa fortune passer de 72 à 77,1 milliards de dollars, et celle de l'homme d'affaires américain Warren Buffett a bondi de 14,5 milliards de dollars en un an, pour atteindre 72,7 milliards, ce qui lui vaut la troisième place. Il relègue à la quatrième l'Espagnol Amacio Ortega, fondateur de la marque de vêtements Zara (64,5 milliards, +0,5 milliard de plus qu'en 2014).
    C'est le seul bouleversement par rapport à l'an dernier, pour les cinq hommes les plus riches au monde : le 5e reste Larry Ellison, le fondateur d'Oracle, avec 54,3 milliards de dollars.
    Au total, la liste de Forbes compte cette année un nombre record de 1.826 milliardaires, contre 1.645 l'an dernier, dont 46 ont moins de 40 ans, un autre record. Les 17 premiers ont tous vu leur fortune augmenter depuis l'an dernier.
    Et la richesse cumulée de ces ultra-riches atteint désormais 7.050 milliards de dollars, contre 6.400 en 2014.
    Chez les Français, Liliane Bettencourt, 92 ans, l'héritière de l'Oréal, arrive 10e avec 40,1 milliards de dollars (+5,6 milliards par rapport à 2014). Bernard Arnault, propriétaire du groupe de luxe LVMH, est 13e, avec 37,2 milliards de dollars (33,5 en 2014), suivi de Patrick Drahi, président de la multinationale des télécommunications Altice (57e, 16 milliards), de Serge Dassault (62e, 15,3 milliards) et François Pinault (65e, 14,9 milliards).
    -Le plus jeune a 24 ans -
    A 30 ans, le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, entre dans le top 20, désormais 16e avec 33,4 milliards de dollars (contre 28,5 l'an dernier).
    Le plus jeune de la liste est le Californien Evan Spiegel, 24 ans, PDG de Snapchat, l'application de messagerie éphémère qu'il a créée en 2011 avec Bobby Murphy, 25 ans. Tous les deux occupent la 1.250e place du classement, avec une fortune équivalente d'1,5 milliard de dollars.
    Parmi les moins de 40 ans, figurent aussi les deux fondateurs d'Uber, l'application lancée en 2009 qui permet d'appeler une voiture avec chauffeur : Travis Kalanick, 38 ans, et Garrett Camp, 36 ans, sont ex-aequo à la 283e place (5,3 milliards). Le PDG d'Uber Ryan Graves, 31 ans, est 1.324e (1,4 milliard).
    Sont aussi milliardaires les trois co-fondateurs du site de location Airbnb, Nathan Blecharczyk, 31 ans, Brian Chesky, 33 ans, et Joe Gebbia, 33 ans, tous à la 1006e place (1.9 milliard).

    -Femmes plus nombreuses -
    Le nombre des femmes, toujours limité, est cependant en progrès : 197 contre 172 en 2014.
    La plus riche est l'héritière des supermarchés Wal-Mart Christy Walton, en 8e position (41,7 milliards) suivie à la 10e place par Mme Bettencourt. Parmi les Françaises, figurent aussi notamment Elisabeth Badinter (1.173e, 1,7 milliard) et Marie Besnier Beauvalot, héritère du groupe Lactalis (737e, 2,5 milliards). Les Etats-Unis comptent 67 femmes milliardaires, suivis par l'Allemagne (19) et le Brésil (13).
    La bonne tenue du secteur de la technologie et l'augmentation du dollar par rapport à l'euro ont renforcé la position des Américains dans le classement 2015: ils sont 536 à y figurer, suivis de la Chine (213), de l'Allemagne (103), de l'Inde (90) et de la Russie (88).
    l'Europe compte 482 milliardaires.
    La plupart de ces milliardaires (1.191) précise Forbes, ont construit leur fortune. Seulement 230 en ont hérité, et si 405 en ont au moins partiellement hérité, ils travaillent à la faire fructifier.


    Les 20 milliardaires les plus riches de la planète

    Le magazine Forbes a publié son classement annuel des milliardaires les plus riches de la planète, lundi. Le cofondateur de Microsoft Bill Gates reste l'homme le plus riche du monde.

    Le grand classement Forbes des personnes les plus riches du monde, publié lundi, accueille 290 nouveaux milliardaires. C’est un record. Parmi les nouvelles têtes, on note notamment celle de Michael Jordan et de plusieurs stars de la Silicon Valley.

    Voici les vingt hommes et femmes les plus riches de la planète, avec l'estimation de leur fortune, leur pays et leur secteur d'activité. Tous ont vu leur fortune augmenter depuis l'an dernier. Le record en la matière est le bond enregistré par Warren Buffet, avec + 14,5 milliards de dollars en un an.

    1) Bill Gates, 79,2 milliards de dollars, USA, Microsoft
    2) Carlos Slim, 77,1 milliards, Mexique, télécoms
    3) Warren Buffett, 72,7 milliards, USA, Berkshire Hathaway Inc.
    4) Amancio Ortega, 64,5 milliards, Espagne, Zara
    5) Larry Ellison, 54,3 milliards, USA, Oracle
    6) Charles Koch, 42,9 milliards, USA, Koch Industries
    6 bis) David Koch, 42,9 milliards, USA, Koch Industries
    8) Christy Walton, 41,7 milliards, USA, Wal-Mart
    9) Jim Walton, 40,6 milliards, USA, Wal-Mart
    10) Liliane Bettencourt, 40,1 milliards, France, L'Oréal
    11) Alice Walton, 39,4 milliards, USA, Wal-Mart Stores
    12) S. Robson Walton, 39,1 milliards, USA, Wal-Mart Stores
    13) Bernard Arnault, 37,2 milliards, France, LVMH
    14) Michael Bloomberg, 35,5 milliards, USA, Bloomberg
    15) Jeff Bezos, 34,8 milliards, USA, Amazon.com
    16) Mark Zuckerberg, 33,4 milliards, USA, Facebook
    17) Li Ka-shing, 33,3 milliards, Hong Kong, divers
    18) Sheldon Adelson, 31,4 milliards, USA, casinos
    19) Larry Page, 29,7 milliards, USA, Google
    20) Sergey Brin, 29,2 milliards, USA, Google


    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  10. #69
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Révision de la constitution

    05 Mars 2015

    RÉVISION DE LA CONSTITUTION
    Ce sera fin avril

    Abdelaziz Bouteflika procéderait à la révision de la Constitution fin avril prochain , nous confie-t-on de source très bien informée. Elle interviendrait après le lancement officiel de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe» prévue le 16 avril. Bouteflika, ajoute notre source, aurait définitivement tranché sur la voie qu’emprunterait cette révision : à travers le Parlement qui serait convoqué à se réunir au Palais des Nations à Club-des-Pins.

    Kamel Amarni

    Le texte, qui sera auparavant approuvé par le Conseil des ministres, sera soumis au vote des parlementaires, en entier, sans débat , comme en novembre 2008. Il n'y aura pas, non plus, un autre round de consultations sur ce même sujet avec la classe politique. «Les consultations menées par Abdelkader Bensalah en 2011, puis Abdelmalek Sellal en 2013 et enfin Ahmed Ouyahia en 2014 suffisent largement. En tout cas, les uns et les autres se sont exprimés sur la question et il ne servira dès lors à rien de lancer d'autres consultations», nous explique notre source. Bouteflika aurait également définitivement écarté l'option d'une révision via un référendum.
    Ce projet de révision, dont les grandes lignes sont connues depuis, notamment, mai 2014 lorsque Ahmed Ouyahia adressait un texte contenant des «propositions d'amendements», domine , de par son poids mais aussi les multiples reports dont il fait l'objet depuis 2008, toute l'actualité politique nationale. Davantage encore, depuis une année.
    Au sortir d'une élection présidentielle atypique à tous points de vue, Bouteflika annoncera en effet, encore une fois, une révision en profondeur et imminente de la Constitution. Avec la désignation du directeur de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, pour mener des consultations sur ce projet avec la classe politique, il était question de procéder à cette révision en automne 2014. Mais les semaines passaient et rien ne pointait à l'horizon. Même parmi le personnel politique du pouvoir, tant au niveau du gouvernement ou des partis FLN, RND, MPA et TAJ, l'on ne parlait plus de cette révision rendue d'autant plus aléatoire et incertaine avec la grave crise des prix du pétrole qui renversera les priorités. Ce ne sera que le 30 décembre que Bouteflika reviendra à la charge, à l'occasion de la réunion du Conseil des ministres , lorsqu'il relancera le débat sur la révision de la Constitution. Un événement dont dépend d'ailleurs tout le reste, à commencer par le remaniement du gouvernement.
    A. K.

    Nombre de lectures : 4078



    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  11. #70
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    167

    Post Louisa Hanoune interpelle Saïd Bouteflika

    12 Mars 2015
    Après s’être attaquée au président du FCE
    Louisa Hanoune interpelle Saïd Bouteflika



    le 12.03.15 | 10h00
    hanoun_2601845_465x348.jpg


    Pour Louisa Hanoune, Saïd Bouteflika «est responsable moralement et politiquement de ce qui se passe actuellement».

    Louisa Hanoune remonte au front. Après avoir critiqué le président du Forum des chefs d’entreprises, à qui elle reproche de se «comporter comme un premier ministre», la secrétaire générale du Parti des travailleurs interpelle publiquement Saïd Bouteflika, le frère du chef de l’Etat. Invitée mardi soir de la chaîne de télévision El Bilad TV, Louisa Hanoune revient à la charge et estime que Saïd Bouteflika qui, «de par sa proximité avec le chef de l’Etat, est responsable moralement et politiquement de ce qui se passe actuellement».
    Et de poursuivre que le frère et conseiller de Abdelaziz Bouteflila doit «réagir», car, a-t-elle ajouté, «il a une énorme responsabilité et il sait au nom de qui ces gens (des hommes d’affaires, ndlr) parlent». En évoquant des «hommes d’affaires», Louisa Hanoune fait allusion à Ali Haddad, président du FCE. «Je n’ai rien contre les entrepreneurs privés créateurs de richesses. Mais je parle ici des entrepreneurs parasites qui se nourrissent de contrats de gré à gré», a-t-elle lancé.
    Pis, la secrétaire générale du PT, qui dit disposer de «documents» prouvant ses propos, accuse des «ministres» du gouvernement Sellal de «donner des contrats de gré à gré» à des entrepreneurs. «Tout le monde sait que des ministres octroient des marchés de gré à gré. Jusque-là, nous n’avons rien dit. Mais lorsque ce monsieur (Ali Haddad) a commencé à rencontrer des ministres et à leur donner des instructions, nous avons dit basta !», a-t-elle ajouté.
    Une nouvelle fois, la secrétaire générale du PT explique que ce qui se passe «est dangereux». «C’est une oligarchie à la russe et à l’ukrainienne», dit-elle.Lors d’une récente interview accordée à El Watan, Louisa Hanoune avait affirmé : «Nous sommes dans une situation à l’ukrainienne, à la russe, c’est-à-dire qu’une oligarchie émerge, composée de personnes qui accaparent des pans entiers de l’économie nationale avec l’ambition de faire main basse sur toute l’économie et qui cherchent à s’approprier les centres de décision politique à tous les niveaux.»
    Poussant son raisonnement plus loin, elle a indiqué qu’«il y a des individus qui considèrent que pour avoir donné quelques sous dans une campagne électorale, ils ont obtenu le droit de disposer de la nation et du peuple algériens. Et moi je dis, à ce propos, bas les pattes ! Il faudrait qu’ils tuent tous les Algériens pour obtenir cela».
    Ces déclarations ont valu à Louisa Hanoune de vives critiques de Amar Saadani, secrétaire général du FLN, il a attaqué la responsable du PT et qualifié le parti de «petit» et d’«anticonstitutionnel». Du côté du gouvernement, il n’y a pour le moment aucune réaction.
    Le président du FCE n’a pas non plus réagi publiquement.



    Ali Boukhlef



    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

Page 7 sur 12 PremièrePremière ... 56789 ... DernièreDernière

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •