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    Le fils de José Anigo abattu à Marseille

    Marseille : l'homme tué par balles est le fils de José Anigo




    C'est le fils d'une figure de la cité phocéenne qui a été abattu cet après-midi à Marseille. Adrien Anigo, le fils du directeur sportif de l'Olympique de Marseille, a été abattu alors qu'il était au volant d'une Twingo noire de location, dans le XIIIe arrondissement. Ce crime porte à quinze le nombre de morts dans des règlements de comptes dans la région depuis le début de l'année.

    Les faits sont survenus aux alentours de 15h45, avenue Jean-Paul Sartre, près de la station de métro Frais Vallon. Selon les premiers éléments de l'enquête, deux pistolets automatiques de calibre 9 mm ont été utilisés. La victime se trouvait à bord d'une Twingo quand elle a été prise pour cible par deux individus circulant sur une moto ou un scooter de grosse cylindrée. Ils lui ont tiré dessus à bout portant, à travers la vitre du véhicule. Le fils de José Anigo a été touché à la tête et à la carotide.

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    Re : Le fils de José Anigo Mort suspecte à Marseille

    • Salut cher Soltan009 ;je m’excuse vue que c'est très important


      Le fils du directeur sportif de l'OM abattu à Marseille

    Reuters – il y a 50 minutes







    • Reuters/Reuters - Un homme a été tué jeudi par balles dans le XIIIe arrondissement de Marseille, portant à 15 le nombre de personnes abattues dans des règlements de comptes depuis le début de l'année en région …plus




    • Premiere.fr - il y a 30 minutes



    MARSEILLE (Reuters) - Adrien Anigo, le fils du directeur sportif du club de football de l'Olympique de Marseille José Anigo, a été tué jeudi par balles dans le XIIIe arrondissement de Marseille par des motards qui ont pris la fuite, a-t-on appris de sources policières.
    Il s'agit du deuxième règlement de compte mortel dans la même journée enregistré dans les Bouches-du-Rhône après le meurtre d'un homme de 24 ans à La Ciotat, portant à 15 le nombre de personnes tuées de cette façon depuis le début de l'année en région marseillaise.
    Adrien Anigo, dernière victime en date, a été exécuté peu avant 16H00 dans le quartier de Frais Vallon, dans le nord de Marseille, au moment où il descendait de son véhicule.
    Il a été tué de plusieurs balles de gros calibre, dont une dans la tête, par deux motards qui ont pris la fuite, a-t-on précisé de source policière.
    "C'est bien le fils de José Anigo", a dit cette source.
    José Anigo, ancien joueur et entraîneur de l'OM, est une figure du club, dont il est le directeur sportif.
    Son fils avait été arrêté et soupçonné de faire partie du gang des bijoutiers responsable de 13 attaques de bijouteries en 2006-2007 pour un butin estimé à plus de 1,5 millions d'euros.
    Les braqueurs présumés avaient été confondus par la plaque d'immatriculation d'un véhicule utilisé lors de l'attaque d'un bureau de poste, qui s'est révélé être une voiture louée par Adrien Anigo pour le compte de l'OM.
    La cour de cassation a toutefois ordonné la remise en liberté d'Adrien Anigo en février 2010 en raison d'un vice de procédure soulevé par leur avocat.
    Un membre du gang des bijoutiers a été abattu par la police espagnole en 2011 lors d'une attaque à main armée à Alicante.
    OPÉRATION DE POLICE
    Plus tôt dans la matinée, c'est un homme de 24 ans qui a été abattu à la Ciotat, à une trentaine de kilomètres de Marseille.
    Il a été atteint par une dizaine de balles devant l'entrée de la société Urbaser Environnement au moment où il allait prendre son service.
    Connu des services de police pour des "faits mineurs", il était décrit comme un "salarié sans histoire" de cette société spécialisée dans la gestion des déchets, qui s'occupe notamment du nettoyage des chaussées et des trottoirs de plusieurs arrondissements de Paris dans le cadre d'un contrat estimé à plus de 36 millions d'euros.
    Au total, 15 personnes ont été tuées dans les Bouches-du-Rhône depuis le début de l'année, dont 11 à Marseille.
    En 2012, 24 règlements de comptes mortels ont eu lieu dans le département, dont 18 à Marseille, la plupart sur fond de rivalités autour du trafic de stupéfiants.
    Marseille compte une quarantaine de cités sensibles qui généreraient chacune des bénéfices de l'ordre de 40.000 euros par jour, essentiellement à travers le trafic de drogue.
    Au moment où les armes ont une nouvelle fois retenti dans les quartiers nord de Marseille, la police a mené une opération de grande envergure dans une cité sensible du sud de la ville.
    Près de 200 hommes ont investi la cité de la Cayolle, dans le IXe arrondissement de Marseille. Cette opération s'inscrit dans le cadre de celles déjà été menées dans une vingtaine de cités du périmètre des deux zones de sécurité prioritaire (ZSP) qui ont été mises en place au nord et au sud de la ville.
    Le 17 juin à la Castellane, dans le nord de Marseille, les policiers ont ainsi saisi plus de 1,3 million d'euros en liquide, fruit direct du trafic de drogue et d'armes.
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    Dernière modification par zadhand ; 05/09/2013 à 17h52.
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    Re : Le fils de José Anigo abattu à Marseille

    Anigo : "Quand j'ai entendu parler du règlement de comptes, j'ai eu peur..."

    José Anigo a confié ses premiers mots de père endeuillé à lexpress.fr. Le directeur sportif de l'OM savait que Marseille "mangeait ses enfants."

    "On m'a pris mon fils...", a témoigné vendredi le directeur sportif de l'OM José Anigo, au lendemain de l'assassinat de son fils Adrien à Marseille, dans une déclaration au site internet de L'Express. "Quand je disais que cette ville mange ses enfants, j'avais raison. Et ça s'est passé...", a-t-il ajouté, joint par téléphone.

    C'est son ex-femme, la mère d'Adrien, qui l'a appelé jeudi après-midi, s'inquiétant d'apprendre que son fils n'était pas allé chercher ses enfants à l'école. "Ça ne lui ressemblait pas, au même moment, quand j'ai entendu le règlement de comptes à la radio, j'ai eu peur...", explique-t-il.

    "On peut dire ce qu'on veut de mon fils mais c'était mon fils et je l'aimais, souffle José Anigo. Tout le reste n'a pas d'importance." Père de six enfants issus d'unions différentes, José Anigo avait tenté de sortir de son fils de fréquentations sulfureuses, l'ayant conduit sur la voie du banditisme. Adrien Anigo s'était notamment lancé dans la gestion d'un magasin de sports puis d'un bar, poussé par son père.

    Adrien Anigo, tué par balles dans les quartiers Nord à l'âge de 30 ans, avait fait de la prison pour sa participation présumée à plusieurs vols à main armée de bijouteries. Remis en liberté début 2010, il devait comparaître prochainement aux assises.

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