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Vue hybride

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    Post Pétrole-Chute de 22% des investissements pétroliers en 2016

    Pétrole
    Chute de 22% des investissements pétroliers en 2016


    le 21.09.16 | 10h00

    Les investissements dans le secteur pétrolier s'effondrent en raison de la baisse des prix du brut, ce qui
    représente une menace pour l'avenir, a averti hier, à Rome, le secrétaire général de l'OPEP, Mohammed Barkindo
    .


    Les investissements dans l'exploration pétrolière ont diminué de 26% en 2015
    et une «baisse supplémentaire de 22% est attendue cette année», a-t-il déclaré
    lors d'une conférence organisée par ENI, le groupe énergétique italien.
    Pour renverser cette tendance, «le processus de rééquilibrage du marché doit
    être accéléré», a-t-il souligné, ajoutant que la prochaine réunion informelle
    de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, prévue le 27 septembre
    à Alger, en serait l'occasion.
    Producteurs et consommateurs de pétrole
    «doivent se retrouver tous ensemble pour répondre à ces défis majeurs qui
    représentent une menace pour l'avenir», a-t-il déclaré. Car pour répondre
    à une demande de quelque 94 millions de barils consommés chaque jour dans
    le monde, il faudra des investissements massifs de l'ordre de quelque
    10 000 milliards de dollars d'ici 2040, a affirmé M. Barkindo.


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    Post Les cours se stabilisent autour des 50 dollars

    Les cours se stabilisent autour des 50 dollars
    Pétrole /Marchés pétroliers
    le 01.10.16 | 10h00

    Les cours du pétrole rebondissaient légèrement hier en fin d’échanges européens, flirtant avec le seuil symbolique des 50 dollars le baril après l’accord de
    l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) sur un gel de la production.


    Vers 17h30, heure algérienne, le baril de brent de la mer du Nord pour
    livraison en novembre, dont c’est le dernier jour de cotation, valait 50
    dollars sur l’InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de
    19 cents par rapport à la clôture de jeudi. Sur le New York Mercantile
    Exchange (Nymex), le baril de light sweet crude (WTI) pour la même
    échéance gagnait 25 cents à 48,08 dollars.
    Les cours de l’or noir se sont
    envolés cette semaine, après avoir clôturé vendredi dernier à 45,89 dollars
    pour le brent et 44,48 dollars pour le WTI, à la faveur du rendez-vous
    d’Alger. Les pays de l’OPEP se sont accordés, mercredi soir, pour limiter
    leur production entre 32,5 et 33 millions de barils par jour, ce qui a déclenché
    le rebond des cours. «Le scepticisme sur la faisabilité de cet accord explique
    pourquoi le baril de brent n’arrive pas à franchir le seuil des 50 dollars»,
    expliquait Jasper Lawler, de CMC Markets. «Nous avons le sentiment que
    tant que les détails n’ont pas été réglés, la hausse restera modérée», estimait-il.

    Parmi ces «détails», la position de la Russie, l’un des plus gros producteurs
    mondiaux mais pas un membre de l’OPEP, reste à définir. Alors que le pays a
    atteint un niveau de production record en septembre, 11 millions de barils par
    jour, le ministre russe de l’Energie, Alexandre Novak, n’a pas clairement affiché,
    hier, une volonté de se limiter : «Nous parlons de maintenir les niveaux qui ont
    été atteints. Mais savoir à quel niveau, c’est encore en discussion.»
    L’OPEP devrait
    donner plus d’informations sur cet accord lors de sa prochaine réunion, fin
    novembre à Vienne. Il faut dire que la conjoncture a été également peu favorable
    à une montée en puissance des cours, même après la décision de l’Opep de réduire
    sa production.Le marché était dominé par les inquiétudes sur la Deutsche Bank.
    «Des indicateurs économiques médiocres en Asie et surtout les inquiétudes qui s’accentuent sur la situation de Deutsche Bank ont fait monter le dollar, ce qui a
    pesé sur le pétrole», a expliqué John Kilduff de Again Capital. Le pétrole, libellé en
    dollar, souffre généralement d’une hausse du cours du billet vert qui le rend plus
    onéreux pour les acheteurs utilisant d’autres monnaies.
    Des fonds d’investissements
    ont réduit leur exposition à Deutsche Bank, ont confié à l’AFP deux sources anonymes proches du dossier, ce qui a ravivé les inquiétudes sur la santé financière de la banque allemande. «Cela rappelle également de mauvais souvenirs, quand en 2008 la chute
    de Lehman Brothers avait été le début de la crise financière et du krach de tout,
    y compris le pétrole», a indiqué John Kilduff.

    Rédaction Économie
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    Post Marché pétrolier-Le brent au plus haut depuis 18 mois

    Marché pétrolier
    Le brent au plus haut depuis 18 mois

    le 04.01.17|10h00

    Trois jours après l’entrée en vigueur de l’accord de l’OPEP sur la limitation de la production,
    les cours pétroliers mondiaux embrassent des niveaux jamais vus depuis un an et demi,
    entamant ainsi l’année sous de meilleurs auspices.


    Dans la matinée d’hier, rapporte l’AFP, le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en mars franchissait légèrement la barre des 58 dollars sur l’InterContinental Exchange (ICE) de Londres, marquant ainsi une hausse plus qu’appréciable de 1,27 dollar par rapport à la clôture de vendredi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le light sweet crude (WTI) pour le contrat de février gagnait, lui aussi, 1,25 dollar pour s’établir à près de 55 dollars le baril.Au plus haut depuis juillet 2015, les prix du brut entament ainsi l’année à des niveaux quelque peu inattendus, les marchés affichant une confiance quasi-totale à l’égard des engagements de réduction de l’offre pris par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et d’autres pays producteurs, en novembre dernier. «La foi des marchés dans l’accord de réduction de la production, qui devrait être appliqué par les producteurs de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et d’autres pays non membres, suffit à déplacer des montagnes», ont commenté en
    ce sens les analystes de Commerzbank, cités hier par l’AFP. Tempérant quelque
    peu ce nouvel élan d’enthousiasme, Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB, note pour

    sa part que «l’année 2017 démarre sur les chapeaux de roue, mais devrait finir bien plus modestement, car la production de pétrole de schiste américain devrait augmenter». Plus onéreux à produire que le pétrole conventionnel, le schiste américain a connu un net ralentissement du fait de la chute des prix du pétrole le rendant peu rentable, mais pourrait retrouver plus d’attrait si les engagements de réduction de l’offre sont respectés par les membres et non-membres de l’OPEP.A cet écueil d’une reprise de la production américaine, qui pourrait venir refroidir la
    confiance actuelle des marchés, s’ajoutent d’autres sources de réticence, à savoir notamment le niveau record de la production de la Russie en 2016, ainsi qu’une hausse de la production en Libye, qui n’est pas concernée par les limitations de l’offre convenues au sein de l’OPEP. Au demeurant, nombre d’analystes soutiennent que même si la nouvelle stratégie de l’OPEP visant une maîtrise de l’offre est
    actuellement efficace, son effet sur les prix ne devrait néanmoins être durable que si la demande mondiale de brut s’améliore et que l’Organisation accepte de prolonger ses engagements de réduction au-delà de juin 2017. En décembre dernier, convient-il de rappeler, les membres de l’OPEP ainsi que onze autres producteurs de pétrole,
    dont notamment la Russie, se sont officiellement mis d’accord pour réduire leur production de près de 1,8 million de barils par jour au total, et ce, pour une période de six mois à compter du 1er janvier 2017. Cet accord historique aura ainsi permis d’enrayer la chute des cours pétroliers, le baril se rapprochant désormais d’un niveau de 60 dollars, après avoir chuté à moins de 30 dollars il y a à peine une année.

    Akli Rezouali




    Dernière modification par zadhand ; 04/01/2017 à 11h12.
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