Histoires Paranormales (Terrifiantes,Légendes Urbaines,Mythes Ancestrales,Contemporai

[zadhand]

La main d’un fantôme photographiée il y a 116 ans

Qu’en pensez-vous ?
Publié le 02 juillet 2016

Une photo, réalisée par des travailleurs dans une usine un siècle
auparavant, semble contenir une terrifiante main de fantôme…

Main-fantome-belfast-apparaît sur une photo vieille de 116 ans.jpg

Cette étrange photo, mise en ligne dans le cadre d’une galerie historique
sur un site web en direct de Belfast, a été repérée par une internaute, qui
très vite, a repéré quelques chose d’étrange.Amusée en premier lieu d’avoir
repéré sa grand-mère sur le cliché, l’internaute s’est par la suite étonnée et
a déclaré «Je suis heureuse de voir une vieille photo de ma grand-mère,
dans cette galerie, lorsqu’elle travaillait à l’usine. Ma grand-mère s’appelait
Ellen Donnelly, c’est la quatrième femme sur la droite dans la deuxième
rangée vers le bas. Mon père possède cette photo à la maison, mais je crois
qu’elle abrite un étranger. Je ne crois pas aux fantômes, mais je dois avouer
que quelque chose d’étrange se trouve sur celle-ci. Avez-vous vu cette
terrifiante main fantomatique sur l’épaule de la jeune fille ?».
Fantôme ou montage photo ?
Pour les plus attentifs, il est effectivement possible d’observer une mystérieuse
main posée sur l’épaule de la deuxième fille à droite du cliché, en partant du bas,
malgré le fait que les femmes de derrières ont toutes les bras croisés.
Depuis, les amateurs du genre se posent une question; un fantôme a-t-il était
photographié dans l’usine ? Malheureusement, et contenu des maigres informations
que nous avons à disposition, il est impossible de confirmer l’authenticité de cette
photo, ce qui ne lui enlève nullement son aspect terrifiant.

[zadhand]

Découverte d’Ötzi l’homme des glaces
( 19 septembre 1991)

publié le 09 septembre 2016

Humain momifié naturellement
Dans les Alpes de l’Ötztal, à 3 200 mètres d’altitude,

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un couple de randonneurs découvre un être humain momifié
naturellement.Il était enseveli sous un glacier et a été repéré
grace la fonte importante cet été-là. Ötzi (cf Alpes de l’Ötztal)
était un homme d’environ 45 ans, mesurant 1,59 mètre pour 40 kilos.
On estime son âge à 4 546 ans (± 15 ans)Jusqu’en 1995, Ötzi était
la plus ancienne momie naturelle connue. Ötzi (prononcé en
allemand [ˈœtsi] Prononciation du titre dans sa version originale
Écouter) est le nom donné à un être humain momifié naturellement
(congelé et déshydraté) découvert fortuitement le 19 septembre 1991
à 3 210 mètres d'altitude, dans le val de Senales en Italie, à 92 mètres
de la frontière avec l'Autriche. La momie se trouvait dans le glacier
du Hauslabjoch (il est aussi appelé homme de Hauslabjoch), près de
la chaîne de Similaun (il est appelé également Homme de Similaun)
dans les Alpes de l'Ötztal (d'où le surnom d'Ötzi), non loin des Dolomites italiennes. Il était enseveli sous une couche de glace et son existence a
été révélée par la fonte importante du glacier cet été-là. Il date du Chalcolithique (4 546 ± 15 ans BP, avant calibration). Dans les médias
français, il a parfois été appelé Hibernatus, par référence au film du
même nom. Ötzi, homme des glaces vieux de 5 300 ans, était infecté
par une bactérie « asiatique » Ötzi aurait-il fini par succomber à un
cancer de l’estomac s’il n’avait pas été tué par une flèche ? Une étude
publiée dans la revue Science, vendredi 8 janvier, montre en tout cas
que le célèbre « Homme des glaces », retrouvé momifié à la frontière
italo-autrichienne en 1991, était porteur d’une bactérie, Helicobacter
pylori, responsable de 80 % des ulcères gastroduodénaux et dont le
génome a pu être séquencé. Il y a 5 300 ans l’âge donné à Ötzi par la
datation au carbone 14 –, on peut supposer que la quasi-totalité de la population de l’âge du cuivre était infectée par cette bactérie.
« C’était encore le cas en Europe au XIXe siècle, avant que les conditions d’hygiène s’améliorent, et que l’usage des antibiotiques réduise de
moitié la prévalence de l’infection », rappelle Francis Mégraud, directeur
du Centre national de référence des campylobacters et hélicobacters, à Bordeaux, qui fait partie des signataires de l’article de Science. « Ce qui
est plus remarquable, souligne-t-il, c’est que les outils d’analyse génétique aient permis d’en retrouver la trace sur une momie aussi ancienne,
au point même de déterminer la souche à laquelle elle appartenait. »
A la surprise des chercheurs, elle présente un profil « asiatique », alors
que la souche aujourd’hui présente en Europe est un hybride entre des
lignées africaine et asiatique.