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Discussion: Crise Syrienne

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  1. #1
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    Crise Syrienne

    une photo qui resume la souffrance et douleur du peuple syrien…..

    Qu'Allah leur accorde patience et force pour supporter toute cette souffrance…..inchaallah.

    1888692_715365765170325_1473446366_n.jpg
    Dernière modification par zadhand ; 14/03/2016 à 10h51.

  2. #2
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    Re : crise syrienne

    Peut on mettre fin a cela? qui doit le faire e comment?
    L'ONU completement inutile, les USA surement pas, la ligue arabe, apparament elles n'existe que sur les papiers, alors qui?

    Si Dieu existe, j'espère qu'il a une bonne excuse

    Woody Allen

    Non rispondo a cose che gia hanno la loro risposta nelle FAQ
    LE FAQ LEGGETELE


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  3. #3
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    Re : crise syrienne

    Personne, vaut mieux mourir SEUL que sous les regards
    Forever HD 7420, Géant 2500 HD

    "Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console"

    "Qui que tu sois, viens, viens. Même si tu es un athée, c'est ici la demeure de l'espoir"

  4. #4
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    Post Relance des pourparlers de Genève

    A la une/International_Crise Syrienne
    publié le 13.03.16 | 10h00

    Relance des pourparlers de Genève

    Rendus possibles par la trêve initiée par Washington et Moscou,
    les pourparlers entre le régime de Damas et l’opposition seront relancés
    demain à Genève, a rapporté hier l’AFP.

    Jan Egeland, conseiller spécial (à gauche), et Staffan de Mistura, envoyé spécial de l’ONU, lors.jpg




    Mais les visions des parties concernées quant à l’issue de
    la crise restent jusque-là irréconciliables. Une crise qui
    bouclera mardi sa cinquième année après avoir pris
    une dimension régionale puis internationale.

    En effet, le ministre syrien des Affaires étrangères,
    Walid Mouallem, a déclaré hier à Damas que le sort
    du président Bachar Al Assad constitue une «ligne rouge»
    et qu’il est hors de question d’en discuter aux pourparlers
    de paix de Genève. Il a aussi prévenu que la délégation
    gouvernementale se rendra à Genève pour participer
    aux négociations — qui doivent se tenir sous l’égide de
    l’ONU — n’attendra pas plus de 24 heures l’arrivée de
    la délégation de l’opposition. «Nous ne négocierons
    avec personne qui veuille discuter de la Présidence.
    Bachar Al Assad est une ligne rouge. S’ils (l’opposition)
    veulent continuer avec cette approche, il est préférable
    qu’ils ne viennent pas», a-t-il dit. «Notre délégation
    partira» pour Genève et attendra là-bas «24 heures
    et si personne n’est là, elle repartira», a-t-il indiqué.

    Au cours des derniers pourparlers de Genève, en février,
    le Haut-Comité des négociations (HCN), rassemblant des groupes
    de l’opposition syrienne, est arrivé en Suisse près de 36 heures
    après les représentants du régime et a attendu deux jours
    de plus pour se rendre au siège de l’ONU.
    Le chef de la diplomatie syrienne a aussi réagi aux déclarations
    de l’émissaire spécial de l’ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura.
    Selon ce dernier, les élections législatives et présidentielle
    en Syrie seront à l’ordre du jour aux pourparlers et doivent
    être organisées dans les 18 mois sous l’égide des Nations unies.
    «Ni lui (de Mistura) ni personne d’autre, quel qu’il soit,
    n’a le droit de discuter de l’élection présidentielle.
    C’est du seul ressort du peuple syrien», a indiqué le chef de
    la diplomatie syrienne.
    Le prochain scrutin présidentiel est prévu
    en 2021. Walid Mouallem a insisté sur le fait que les négociations
    devaient porter sur la constitution d’un «gouvernement d’unité avec
    des personnes de l’autre bord» qui désigneront ensemble un comité
    pour «rédiger une nouvelle Constitution ou amender l’actuelle».
    «Puis il y aura une référendum afin que le peuple syrien se prononce.
    Rien, dans les documents des Nations unies, n’évoque de phase
    transitoire à propos de la Présidence. Pour cela, il faut un accord
    sur la définition de la phase transitoire», a-t-il observé. Il a rejeté,
    tout comme l’opposition, la création d’un Etat fédéral.
    «La division fédérale comme en Suisse n’est pas une option.»
    Le ministre a affirmé que le gouvernement est engagé par la cessation
    des hostilités — initiée par les Etats-Unis et la Russie —qui
    est globalement respectée depuis son entrée en vigueur, le 27 février.

    «Nous sommes toujours» engagés à respecter ce cessez-le-feu, «mais il
    est de notre droit de riposter aux tirs» et cela ne peut être considéré
    comme une violation, a-t-il souligné.

    L’envoyé spécial de l’ONU, Staffan de Mistura, a déclaré vendredi que
    des élections présidentielle et législatives doivent être organisées
    en Syrie sous l’égide de l’ONU dans les 18 mois à compter du début
    des négociations. A Genève, du 14 au 24 mars, «il y aura trois questions
    un nouveau gouvernement inclusif, une nouvelle Constitution et
    de nouvelles élections», a indiqué, à l’agence russe Ria Novosti,
    de Mistura.Le HCN insiste de son côté sur la «constitution d’un corps
    exécutif transitoire doté de tous les pouvoirs exécutifs» dans lequel
    le président Bachar Al Assad «n’a pas sa place».
    Une revendication soutenue par des pays de la région,
    comme la Turquie et l’Arabie Saoudite,et rejetée par l’Iran.

    Le cas des Kurdes
    Par ailleurs, l’envoyé spécial de l’ONU pour la Syrie a observé que
    les Kurdes syriens devront pouvoir donner leur opinion sur la future
    gouvernance et la Constitution du pays, bien qu’ils ne soient pas invités
    aux pourparlers de paix de Genève. Dans une interview publiée hier par
    le journal suisse Le Temps, Staffan de Mistura reconnaît que
    «les Kurdes syriens sont une composante importante du pays,
    donc il faudra trouver une formule dans laquelle ils puissent avoir
    l’occasion d’exprimer une opinion sur la Constitution et
    la gouvernance du pays».L’envoyé spécial de l’ONU pour la Syrie
    a réaffirmé que pour le round de demain, il a envoyé des invitations
    aux mêmes participants. Mais,a-t-il ajouté, «j’ai mandat de trouver
    des formules, même à géométrie variable», pour être
    «aussi inclusif que possible».Le chef de la diplomatie russe,
    Sergueï Lavrov, a appelé vendredi de Mistura à inclure les Kurdes
    dans les négociations de paix surla Syrie.
    «Le lancement de pourparlers
    sans la participation de ce groupe (...) serait un signe
    de faiblesse de la part de la communauté internationale», a relevé
    Lavrov, qui a critiqué l’opposition de la Turquie à la participation
    des Kurdes aux pourparlers de paix.Réprimés pendant des décennies,
    les Kurdes de Syrie ont profité du retrait
    de l’armée de leur région pour y établir une administration locale
    s’étendant du nord-ouest au nord-est du pays.
    Les Unités de protection du peuple (YPG) sont leur principale milice
    armée. Elles sont aidées parla coalition internationale dans
    leur lutte contre les groupes del’Etat islamique (l’EI)
    et ont profité de la déroute des rebelles face au régime pour
    s’emparer de localités dans Alep, près de la frontière
    turque. Ce qui irrite Ankara.
    Longtemps accusée de complaisance
    pour
    les groupes rebelles syriens les plus radicaux, la Turquie
    a rejointl’été dernier la coalition internationale antidjihadistes
    dirigée par Washington, mais critique le soutien des Etats-Unis
    aux Kurdes syriens.En février, son artillerie a bombardé des positions
    des YPG, mouvement qu’elle considère comme «terroriste».
    Depuis septembre 2015,les pro-régime ont repris du terrain grâce à
    l’appui des frappes russes.Alliés de Moscou et de Washington,
    les Kurdes syriens contrôlent aujourd’hui plus de 10% du territoire
    et les trois quarts de la frontière syro-turque. Ils sont néanmoins
    exclus des premières négociations de paix tentées, début février,
    à Genève. A propos des négociations de demain,l’émissaire de l’ONU
    a indiqué qu’il a lui-même décidé de faire démarrer
    demain le compte à rebours des 18 mois nécessaires pour organiser
    des élections législatives et présidentielle. «Sinon,
    le danger est qu’on repousse sans cesse cette échéance»,
    a-t-il dit.
    Et de poursuivre : «D’ici 6 mois, il faudra avoir
    une nouvelle gouvernance et une nouvelle Constitution (…).
    On peut rédiger une Constitution en 48 heures. Il n’est pas
    impossible de mettre en place rapidement un gouvernement
    de transition.»A propos des législatives convoquées par
    le président Al Assad pour le 13 avril, M. de Mistura considère
    qu’elles n’auront aucune valeur : «Pour moi, les seules élections
    qui comptent sont celles décidées par le Conseil de sécurité.
    Même s’il y a des élections demain ou après-demain,
    il y en aura de nouvelles,cette fois-ci supervisées par l’ONU.»

    Amnay idir

    Dernière modification par zadhand ; 14/03/2016 à 11h13.
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    Post Les rebelles refusent de quitter Alep

    Alors que le régime syrien a repris 60% des quartiers de la ville
    Les rebelles refusent de quitter Alep

    A la une / International
    le 05.12.16|10h00

    En réponse à l’offre russe de reddition qui leur permettrait de
    quitter Alep, les rebelles syriens se sont adressés aux Etats-Unis,
    pour signifier leur décision de poursuivre la résistance.C’est ce
    qui a affirmé hier à l’agence Reuters Arabic, Zakaria Melahfji,un
    des hauts responsables de l’opposition syriens.Ce dernier a indiqué
    que les groupes rebelles ont informé les Américains de leur volonté
    de continuer à résister et qu’ils ne quitteraient pas Alep.“Nous
    avons dit aux Américains que nous ne pouvons laisser notre ville et
    nos maisons à des milices de mercenaires créées par le pouvoir à
    Alep”, a déclaré Zakaria Melahfji, avant d’ajouter qu’en réponse à
    la question des États-Unis “Voulez-vous partir ou résister ?” nous
    avons opté pour la seconde solution. La même source a lancé un appel
    en direction de la rébellion pour continuer à la soutenir tant
    qu’elle continuera son combat, tout en insistant sur les aides
    médicales et humanitaires pour les blessés. Pendant ce temps de
    violents combats faisaient rage hier dans la ville d’Alep où les
    forces du régime syrien et de ses alliés ont repris plus de 60% des quartiers tenus par les rebelles. Au 20e jour de l’offensive de
    grande ampleur qu’il a lancée, le régime de Bachar al-Assad est sur
    le point de reconquérir la totalité de la deuxième ville du pays,
    divisée depuis le début de la rébellion en 2012. Le régime contrôle désormais 60% de la zone rebelle, a indiqué hier l’Observatoire syrien
    des droits de l'Homme (OSDH), une organisation qui dispose d’un vaste réseau de sources dans ce pays en guerre. Les forces du régime tentent désormais de prendre le contrôle du quartier de Chaar afin d’acculer
    les rebelles dans des zones du sud-est, a précisé la même source. Selon cette dernière au moins 311 civils, dont 42 enfants, ont été tués dans
    les quartiers rebelles d'Alep depuis le lancement de l’offensive et
    environ 50 000 de leurs 250 000 habitants ont fui leurs foyers. Par ailleurs, près de 70 personnes ont par ailleurs été tuées dans les quartiers gouvernementaux par des tirs rebelles.

    Merzak Tigrine



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    Post Le régime syrien accusé de « crimes contre l’humanité » par Washington

    Le régime syrien accusé de
    « crimes contre l’humanité » par Washington


    Alep/ La Syrie dévastée par la guerre
    Le Monde|10.12.2016 à 15h10

    Les ministres des affaires étrangères d’une dizaine
    de pays se sont réunis samedi à Paris pour évoquer l’urgence humanitaire en Syrie.

    **Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **
    Les forces armées syriennes qui bombardent la ville d’Alep sont responsables de « crimes contre l’humanité » et de « crimes de
    guerre ». C’est ce qu’a déclaré samedi 10 décembre le secrétaire
    d’Etat américain, John Kerry, à l’occasion d’une conférence
    internationale sur la Syrie à Paris. Celui-ci a dénoncé un
    « bombardement aveugle par le régime, qui viole le droit
    international ». Cela « doit cesser ».Samedi, les ministres des affaires étrangères d’une dizaine de pays, opposés au pouvoir syrien se sont
    réunis pour évoquer la situation en Syrie. Ils ont exhorté la Russie et
    son allié syrien à laisser les civils et les combattants rebelles quitter
    Alep.Une réunion « technique » américano-russe est également prévue
    à Genève samedi pour parler d’« un cessez-le-feu, d’une aide
    humanitaire et d’un départ de l’opposition (armée) et des civils d’Alep », selon le département d’Etat.
    Les appels internationaux ignorés
    Le même jour à Alep, principal front du conflit, les troupes
    gouvernementales ont continué de pilonner par les airs et à l’artillerie
    lourde les derniers quartiers rebelles, selon l’Observatoire syrien des
    droits de l’homme (OSDH). Le régime contrôle désormais 85 % des quartiers que les insurgés tenaient avant le lancement de l’offensive,
    le 15 novembre. Acculés dans leur dernier carré, les rebelles ont tiré
    des roquettes sur les quartiers pro-régime, tuant neuf civils, selon
    l’OSDH. Au moins 129 civils y ont péri depuis le début de l’opération.
    Fort de ces succès, le régime de Bachar Al-Assad a ignoré les appels internationaux à la trêve et son allié russe a affirmé que l’offensive
    d’Alep ne cesserait qu’après le départ de tous les « bandits », en allusion aux rebelles.Vendredi, l’Assemblée générale des Nations unies avait
    adopté une résolution non contraignante réclamant une trêve immédiate
    en Syrie, un accès à l’aide humanitaire et la fin de tous les sièges.






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    Post Alep en train de tomber, l'ONU s'alarme de possibles «atrocités»

    Syrie
    Alep en train de tomber, l'ONU s'alarme de possibles «atrocités»


    Publié le 13.12.2016 à 00:16
    Mis à jour le 13.12.2016 à 00:16

    PROCHE-ORIENT L'armée de Bachar al-Assad est en passe de reprendre
    le contrôle de la ville longtemps tenue par les rebelles...


    « J’attends la mort. » Alors que la ville d’Alep est sur le point de tomber, les témoignages déchirants des derniers civils sur place envahissent Twitter et Facebook. Et lundi soir, Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon s’est alarmé lundi d’informations faisant état d’atrocités « contre un grand nombre » de personnes, dont des femmes et des enfants, ces dernières heures. L’ONU a toutefois souligné ne pas être en mesure de vérifier de manière indépendante ces informations. De leur ancien bastion d’Alep-Est qu’ils contrôlaient depuis 2012, il ne reste plus aux insurgés que deux principaux quartiers, Soukkari et Al-Machad, en plus d’une poignée de petits secteurs, d’après l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
    « La bataille d’Alep touche à sa fin »
    « Il y a un effondrement total des rebelles. La bataille d’Alep touche à sa fin », a affirmé à l’AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH, en parlant du principal front du conflit qui a fait plus de 300.000 morts et déplacé au moins la moitié de la population. Selon un responsable militaire à Alep, l’offensive aérienne et terrestre lancée le 15 novembre par les forces loyales au régime de Bachar al-Assad « entre dans sa phase finale. Nous vivons les derniers moments avant la victoire ».En soirée, du côté ouest d’Alep aux mains du régime, d’intenses tirs de célébration ont été entendus par des journalistes de l’AFP. La télévision d’Etat a montré, elle, des scènes de liesse dans le même secteur en déroulant comme bandeau « les habitants d’Alep expriment leur joie avec la victoire contre les terroristes ». Sur les images on voit des gens crier « Allah, Syrie et Bachar » et brandir des portraits de M. Assad et des drapeaux syriens.Dans le sud de la métropole ravagée, les frappes aériennes et les tirs d’artillerie se poursuivaient sur le dernier réduit rebelle, alors que les civils continuaient de fuir aggravant une situation humanitaire déjà catastrophique. Dans le quartier d’Al-Machad, toujours sous contrôle rebelle, des témoins ont affirmé à l’AFP que de nombreux civils s’entassaient dans un même secteur faute d’abris.

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