oui il faut avoir connu la detresse de la rue pour y compatir
combien sommes nous indifférents au malheur d'autrui?
oui il faut avoir connu la detresse de la rue pour y compatir
combien sommes nous indifférents au malheur d'autrui?
et tout ces jours qui passent plantent en mon coeur affligé chaqu'un une lance de regrets et d'angoisse