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			Dans les hôtels, les clients jouent volontiers les kleptomanes
		
		
				
				
		
			
				
					Pas besoin d'avoir vécu la guerre et la famine pour  avoir ce geste quasi-inévitable au moment de rendre une chambre d'hôtel :  on se dit que cette petite savonnette ira parfaitement sur le rebord du  lavabo familial et que la mini bouteille de shampoing, qui ne servira  certainement jamais, est si mignonne qu'on ne résiste pas à l'embarquer  discrètement dans sa trousse de toilettes. Peut-être le goût si rare  aujourd'hui du «gratuit» ou le sentiment irrépressible de ne pas vouloir  gâcher. Selon une enquête du voyagiste en ligne lastminute.com publiée  jeudi, 95% des 500 hôtels sondés dans le monde déclarent avoir déjà vu  leurs chambres délestées de quelques objets. Et pas seulement de ceux de  moindre valeur.
  16% des vols sont des téléviseurs
  Si 60% des bibelots chipés sont effectivement des produits de  toilettes et ne constituent pas réellement un vol, certains clients s'en  donnent à cœur joie et profitent de leur séjour pour équiper leur  propre domicile. 16% des objets volés sont par exemple des téléviseurs,  10% des sèches-cheveux, 6% des objets d'art ou des lampes. Pis, 5% sont  des ordinateurs ou autres équipements high-tech. 
  Ce qui représente un manque à gagner de 5 500 euros par an pour les  hôtels qui doivent remplacer ces objets volés. Dans les établissements  cinq étoiles, c'est même 20 000 euros de pertes par an. Pas seulement  parce qu'ils sont équipés de manière plus luxueuse, donc plus onéreuse,  mais surtout parce que les clients de grands hôtels ont plus tendance à  «se servir» que les clients d'établissements moins étoilés...
  De «l'artisan-bricoleur» à «l'artiste», en passant par «le costaud»
  Le leader du voyage en ligne a même classé ces clients kleptomanes :  outre les amateurs qui n'ont pu se résoudre à laisser derrière eux  l'indétrônable serviette (87% des vols), les chaussons (39%) ou le  traditionnel peignoir (34%), les hôtels doivent faire face à de  véritables «artisans-bricoleurs», équipés et (...) Lire la suite sur LeParisien.fr
				
			 
			
		 
			
				
			
			
			
		 
	 
	
	
 
		
		
		
		
	
 
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
	
		
		
			
				
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