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    Post Un comité intergouvernemental dès 2016

    A LA UNE/Actualité_Relations algéro-françaises dans l’éducation
    26 Octobre 2015

    Un comité intergouvernemental dès 2016

    La ministre rappelle que le lancement du réseau France Alumni,
    dédié aux anciens étudiants algériens qui ont suivi des études en France,
    a constitué un des moments forts de sa visite.

    Najat Vallaud-Belkacem, ministre française de l’Education nationale de l’Enseignement supérieur .jpg

    Un comité inter-gouvernemental algéro-français se réunira à Alger au début de l’année 2016, a annoncé, hier, Najat Vallaud-Belkacem, ministre française de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, lors d’un point de presse tenu à l’Institut français d’Alger. Cette conférence de presse était la clôture de la visite de deux jours, «riche en moments forts». La ministre rappelle que le lancement du réseau France Alumni, dédié aux anciens étudiants algériens qui ont suivi des études en France, a constitué un des moments forts de sa visite.
    Les entretiens avec les ministres de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ont été axés sur le «recadrage» de l’accord bilatéral de 2013
    «avec les trois leviers de la consolidation de la réforme de l’école
    la refonte pédagogique, la formation des enseignants et les méthodes les plus adaptées pour l’apprentissage du français», a déclaré la ministre.

    Elle a expliqué également que cette démarche est issue d’une évaluation du taux d’application de ce partenariat, notamment en ce qui concerne l’enseignement de la langue française en tant que langue étrangère vivante. «Nous avons décidé de coopérer sur la formation du corps des inspecteurs, de l’enseignement du français en tant que langue étrangère,
    avec du matériel adapté et le jumelage des écoles dès cette année.

    Nous allons faire en sorte que nos deux pays s’enrichissent mutuellement des réformes engagées des deux côtés». Mme Vallaud-Belkacem révèle par la même occasion que les discussions ont porté aussi sur les modalités d’appui des programmes de développement de la mobilité des étudiants algériens en France. Dans ce contexte, la ministre française rappelle que la France est le premier pays d’accueil des étudiants algériens (12% de la population étudiante), présents massivement dans les universités, alors que les grandes écoles pourraient constituer une diversification des options offertes à ces étudiants. Plusieurs sujets liés à la coopération dans ce domaine ont été évoqués lors de la rencontre de la conférencière avec son homologue M. Hadjar, notamment en ce qui concerne les accords signés entre les universités des deux pays et dont le nombre est de plus de 800.
    Fatima Arab
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    ZsFa

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    Post Neuf accords signés et dix en attente

    A la une Actualité_Comité mixte économique Franco-Algérien
    27 Octobre 2015

    Neuf accords signés et dix en attente

    Un accord sur la mobilité des jeunes actifs, une convention de coopération pour la protection de la propriété industrielle, sept protocoles d’accord signés dans différents secteurs économiques et une dizaine de nouveaux projets en attente de signature. C’est le bilan de la 3e session du Comité mixte économique franco-algérien (Comefa), tenue hier au Quai d’Orsay, à Paris.

    Franco-Algérien (Comefa).jpg

    Rien ne semble donc perturber la lune de miel économique et politique entre Alger et Paris. «Les relations générales entre la France et l’Algérie sont excellentes. Elles n’ont jamais été meilleures», selon le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius. «Nous voulons une relation absolument sans nuage et nous y travaillons», rétorque Ramtane Lamamra, chef de la diplomatie algérienne, lors de la conférence de presse clôturant le Comefa.
    A deux questions d’El Watan sur l’affaire Hamid Grine et le cafouillage de début octobre autour d’une supposée présence de soldats français sur le sol algérien dans le cadre de l’opération Barkhane, M. Fabius a indiqué qu’«il s’agit d’une erreur immédiatement rectifiée pour le deuxième cas, et pour le premier cas, il s’agit d’un incident regrettable pour lequel la France a présenté ses excuses». Et M. Lamamra de préciser sur ce sujet que «l’incident à l’aéroport d’Orly pouvait arriver aussi à des personnes qui ne sont pas internationalement protégées». Et d’ajouter
    «Dans ce sens, il était important pour nous que nous en saisissions.

    Laurent Fabius vient de réitérer les excuses du gouvernement français. Mais au-delà, nous devons faire en sorte que ce genre d’incidents ne se reproduise plus, que cela concerne les ministres, les diplomates ou les simples citoyens.» Sur le plan économique, notre ministre des Affaires étrangères s’est dit «satisfait» du bilan de la 3e session du Comefa. «La moisson d’accords atteste
    que le potentiel de notre partenariat d’exception est considérable.

    Nous allons systématiquement de l’avant pour le doter de moyens lui permettant de se réaliser. La satisfaction vient également du fait que nous parlons plutôt de projets concrets que de difficultés ou de contentieux», s’est-il réjoui. Son département a d’ailleurs signé avec le MAE français un accord de «mobilité des jeunes actifs» entre les deux pays. Désormais, des facilitations administratives permettront à des jeunes diplômés algériens de postuler pour des postes d’emploi et des stages dans des entreprises françaises ou algériennes installées en France. Les jeunes diplômés français
    bénéficieront à leur tour de la réciprocité de cet accord.

    Présents au point de presse, Abdessalem Bouchouareb et Emmanuel Macron, premiers responsables du secteur économique en Algérie et en France, ont insisté sur le caractère «concret du partenariat d’exception». Le ministre français de l’Economie a indiqué que les responsables des deux pays, concernés par les différents projets de partenariat en cours, règlent plus facilement «les questions pratico-pratiques et concrètes», comme le problème du foncier par exemple. «D’ici le mois de février 2016, nous finaliserons une dizaine d’accords complémentaires», a-t-il précisé. Le ministre le plus libéral du gouvernement socialiste français salue «le remarquable travail de modernisation et d’ouverture de l’économie entrepris par le gouvernement algérien».
    De son côté, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, a évoqué une transformation stratégique dans le partenariat algéro-français : «Nous avons fait un saut qualitatif dans nos relations économiques. Nous sortons d’une relation commerciale et nous rentrons dans une relation de coopération industrielle.» Voulant argumenter son propos, il explique que «tous les accords signés concernent des projets structurants et concrets…
    nous sommes bien dans l’économie réelle et de coproduction».

    M. Bouchouareb a annoncé, par ailleurs, qu’un partenariat avec Sanofi permettra bientôt à l’Algérie de produire localement 80% des médicaments consommés par sa population. Dans le secteur automobile, il confirme l’avancement d’un projet important de Peugeot pour produire trois véhicules, dont un modèle Citroën, dans notre pays. A en croire le ministre, les accords d’hier vont renforcer notre sidérurgie et booster considérablement les productions de phosphate et de ciment.
    Ghezlaoui Samir
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