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Re : Ailleurs .........En Afrique
Mort du footballeur Ebossé: un "crime" qui couvre de "honte" les Algériens
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De nombreux Algériens exprimaient dimanche un sentiment de"honte" après la mort de l'attaquant camerounais Albert Ebossé, tuépar un projectile lancé des tribunes après la défaite de son équipe à domicileen Championnat samedi soir.
Re : Ailleurs .........En Afrique
Boko Haram attaque le Cameroun
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Cameroun – La ville d’Ashigashiya, à cheval entre le Cameroun et le Nigeria près de Maroua, a partiellement été occupée mardi par les djihadistes de Boko Haram. La secte islamiste a mené toute au long de la journée une offensive continue sur des positions de l’armée camerounaise, tout autour de la ville de Kolofata, contraignant les forces camerounaises à se replier durant plusieurs heures.
Le colonel Didier Badjeck a affirmé avoir réussi sa contre-offensive et repoussé les islamistes de Boko Haram. L’officier dément les informations alarmantes qui circulent sur la débâcle de l’armée camerounaise : « Nous avons écouté avec beaucoup d’étonnement que certains médias ont rapporté que deux villages camerounais sont actuellement occupés par les combattants de la secte de Boko Haram, que Kolofata serait à feu et à sang. Nous infirmons et nous démentons avec la plus grande énergie. Les forces de défense camerounaise viennent d’être réorganisées par un acte du chef de l’Etat, et tout au contraire elles viennent d’infliger de lourdes pertes aux intégristes qui ont tenté d’effectuer des incursions à hauteur de Fotokol ».
Il est par contre confirmé que l’armée nigériane est en pleine déroute. Près d’un millier de soldats nigérians ont déjà tenté de fuir au Cameroun. Mais le Cameroun entend bien les renvoyer au Nigeria.
Re : Ailleurs .........En Afrique
En exil, le premier ministre du Lesotho se dit victime d'un coup d'Etat
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Le premier ministre du Lesotho, Thomas Thabane, a déclaré samedi 30 août à la BBC qu'il avait été écarté du pouvoir par un coup d'Etat et qu'il avait fui en Afrique du Sud. « J'ai été évincé non par le peuple mais par les forces armées et c'est illégal », a-t-il expliqué à la radio britannique.
Plus tôt dans la journée, des militaires ont pris le contrôle du quartier général de la police et brouillé les transmissions radio et téléphoniques du Lesotho. Le ministre des sports de ce petit royaume enclavé dans l'Afrique du Sud, Thesele Maseribane, a évoqué une possible tentative de coup d'Etat et raconté les événements de la nuit :
A 4 heures ce matin, ils [les militaires] ont circulé autour de la résidence du premier ministre et de la mienne. Il y a eu des coups de feu entre 4 heures et 7 heures. Ils brouillent les téléphones, ils brouillent tout. Le chef a dit qu'il me cherchait, qu'il cherchait le premier ministre et le vice-premier ministre pour nous conduire chez le roi. Dans notre pays, cela signifie un coup d'Etat. »
DÉMENTI DE L'ARMÉE
De son côté, l'armée du Lesotho a formellement démenti avoir perpétré un coup d'Etat samedi, assurant que son opération dans la capitale ne visait qu'à désarmerla police, accusée de vouloirlivrer des armes à des partis politiques.
« Il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais un coup d'Etat au Lesotho perpétré par l'armée », a déclaré le major Ntele Ntoi sur la chaîne de télévision sud-africaine ANN7. « L'armée s'est lancée dans une opération pour désarmer la police qui, selon des renseignements collectés par l'armée, s'apprêtait à armer certains partis politiques au Lesotho », a-t-il ajouté.
Mais pour l'Afrique du Sud, qui a acceuilli le premier ministre du Lesotho, cette opération militaire est bien un coup d'Etat :
« Bien que personne n'ait affirmé avoir pris le pouvoir par la force, selon toute évidence [l'opération] des forces armées du Lesotho porte la marque d'un coup d'Etat. (...) Un tel changement inconstitutionnel du gouvernement ne saurait être toléré ».
GOUVERNÉ PAR UNE FRAGILE COALITION
M. Maseribane, qui est aussi le chef du Basotho National Party, un des partis de la fragile coalition au pouvoir à Maseru, a assuré que le gouvernement est tout de même toujours au pouvoir. « Le premier ministre et moi-même [nous sommes] toujours le gouvernement de coalition. Le premier ministre est toujours au pouvoir », a-t-il assuré, sans préciser où se trouvait le chef du gouvernement, Thomas Thabane.
Il a cependant reconnu que la situation restait dangereuse avec « des gens armés courant dans Maseru ». Le royaume formé en grande partie de hauts plateaux pauvres est gouverné par une fragile coalition depuis les dernières élections qui ont eu lieu il y a deux ans.
Les partenaires avaient frôlé un éclatement de leur alliance en juin mais étaient parvenus à un accord qui éloignait au moins temporairement une crise majeure ou le risque d'un coup d'Etat militaire qui avait inquiété l'Afrique du Sud. Mais des médiateurs avaient exprimé des doutes sur la solidité de la coalition, estimant qu'elle ne durerait pas jusqu'aux prochaines élections prévues pour 2017.
Re : Ailleurs .........En Afrique
Partage de la Palestine : des associations juives obligent des manuels d’histoire à modifier l’histoire
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Selon le site lepoint.fr, des associations juives ont manifesté leur mécontentement au regard de certains passages des nouveaux manuels de première générale.
Ces derniers vont donc être modifiés avant l’impression finale des livres destinés aux lycéens.
C’est l’éditeur Hachette Éducation qui a affirmé la semaine dernière que ces passages concernaient directement le partage de la Palestine.
C’est après relecture que les contestations sont apparues et que plusieurs textes vont subir une modification importante avant d’être distribués aux classes de première L, S et ES. L’Education nationale n’a pas réagi à cette annonce.
Le président du CRIF déclare que c’est une « présentation du conflit israélo-palestinien tout à fait scandaleuse » en dénonçant des erreurs factuelles sans préciser pour autant sa pensée.
Enfin pour couronner le tout, le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) reproche à l’éditeur d’"interpréter les faits historiques", de "tronquer la vérité", de "prendre parti".
Re : Ailleurs .........En Afrique
D'ici que Hachette soit accusé d'antisémitisme , il n' y a qu'un petit pas que Manuel Valls va avancer:slow:
Quand on vous dit que les forces des lobbys ne sont que l'émanation de votre imaginaire vous ne voulez pas l'admettre:dahka:
Re : Ailleurs .........En Afrique
En même temps, il y a tellement d'absurdités dans les manuels d'histoires. Déjà que l'histoire de la Palestine à été amputée. ils veulent retirer le mot Naqbat (catastrophe), et d'autres phrases de la souffrance du peuple Palestiniens
Re : Ailleurs .........En Afrique
Voici le nouveau siège du parlement Libyen !
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Le parlement libyen a fui la violence de la guerre civile de la capitale Tripoli et il s’est réfugié dans un ferry amarré au port de Tobrouk, une ville située à l’Est du pays.
L’ancien ferry grec Elyros, qui assurait des liaisons entre l’Italie et la Grèce, a été affrété avec son équipage entier, et il héberge désormais non seulement le parlement libyen, mais aussi les familles des parlementaires, rapporte The Guardian.
La ville de Tobrouk, la dernière avant la frontière égyptienne, et qui avait aussi été la ville dans laquelle les Alliés avaient organisé un siège et subi de multiples attaques de l’Africa Corps de Rommel, recèle désormais l’essentiel des institutions gouvernementales de la Libye. Outre le ferry, la salle de conférence d’un hôtel de la ville, gardée par des troupes dans des véhicules blindés, a été reconvertie en chambre parlementaire du pays. L’Elyros lui-même est défendu par une flotte de navires de patrouille militaires.
Dans le ferry, l’ascenseur n’est plus utilisé que pour faire monter les dignitaires dans les salons des ponts supérieurs quasi déserts. Les enfants des députés jouent dans les coursives, tandis que leurs épouses se font servir des boissons par des stewards dans des uniformes blancs immaculés, raconte le journal. « C’est inhabituel, oui », dit l’un d’eux. « Les Libyens sont très polis. Nous sommes ici pour une semaine, peut-être des mois, nous ne savons pas ».
Tripoli et Benghazi, les deux plus grandes villes de la Libye, sont tombées toutes deux entre les mains des forces islamistes et de leurs alliés. La ville de Derna, la suivante sur la côte, a été déclarée califat islamique et la ligne de front débute à l’aéroport de Tobrouk.
Après des semaines de combat, le gouvernement a perdu le contrôle sur les plus grandes villes, mais il a conservé celui des grandes réserves de devises libyennes à l’étranger et des champs de pétrole du pays.
Un porte-parole du gouvernement affirme que celui-ci souhaite reconstruire l’armée et réorganiser la politique nationale. Il faut tenir, pour se donner le temps de le faire, pendant que les islamistes faiblissent.
Mais le temps est compté, affirme The Guardian. Le conflit est en train de devenir une véritable guerre régionale. Les grandes puissances du Golfe y sont déjà impliquées : le Qatar soutient les islamistes, tandis que les Emirats arabes unis ont choisi le camp des nationalistes. Selon des sources au Pentagone, l’Egypte et les Emirats Arabes Unis ont lancé des frappes aériennes contre les insurgés, tandis que le Soudan a fourni des armes aux islamistes. Ces interventions compliquent la tâche du Parlement pour décider d’une direction politique.
Re : Ailleurs .........En Afrique
Si ce n'était un pays frère avec un peuple en souffrance, je n'aurai aucun scrupule à qualifier cette situation de tragico-comique et en lui rappelant ses vives applaudissements au duo illusionnistes Sarkozy-Bernard Henri Levy venus les "libérer". Je leur indiquerai comment un autre peuple frère et voisin a renversé et fait fuir son salopard de dirigeant et que malgré tous les aléas il reste uni. C'est vrai que je reproche au peuple libyen d'avoir accepté l'inacceptable de l'intervention étrangère et de surcroit d'un ex-colonisateur d'un autre pays frère.
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Re : Ailleurs .........En Afrique
Nigeria : un avion de l’armée porté disparu depuis 48 heures
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Frayeur dans les rangs de l’armée nigériane. Un avion, un Alpha Jet, est porté disparu depuis vendredi, avec deux pilotes à bord.
Qu’est-il arrivé à l’avion de l’armée nigériane et à ses deux pilotes ? Mystère ! Cet appareil des forces armées nigérianes, qui a décollé depuis vendredi matin pour aller survoler les zones occupées par les islamistes shebab, n’est toujours pas de retour.
48 heures après avoir pris son envol, l’avion de la Nigerian Air Force, parti survoler l’extrême nord-est du pays, zone d’affrontements avec les shebab, n’est toujours pas revenu à sa base de Yola, dans l’Etat d’Adamawa. L’appareil avait décollé vendredi, vers 09H45, et devait regagner sa base environ deux heures plus tard. Jusqu’à ce dimanche matin, aucune nouvelle.
Dans un communiqué, le porte-parole de l’armée nigériane, Chris Olukolade, a indiqué que « depuis, tous les efforts pour établir un contact avec l’avion n’ont abouti à aucun résultat positif », précisant que des équipes de spécialistes et des secours tentent de localiser l’avion et d’entrer en contact avec l’équipage.
Re : Ailleurs .........En Afrique
Algérie: Le groupe islamiste de Daesh revendique l'enlèvement d'un français
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Alors que le Quai d'Orsay a confirmé l'enlèvement d'un Français en Algérie, un groupe lié à l'organisation de l'Etat islamique revendique le rapt...
Un groupe lié aux jihadistes de l'Etat islamique (EI) a revendiqué lundi dans une vidéo le rapt d'un Français en Algérie et menacé de l'exécuter dans les 24 heures si la France n'arrêtait pas ses frappes contre l'EI en Irak.
Dans cette vidéo, le groupe jihadiste algérien « Jund al-Khilafa » (les soldats du Califat), qui a fait allégeance à l'EI, montre l'otage, Hervé Pierre Gourdel, demandant au président français de le sortir de cette situation. Il est assis par terre entouré de deux hommes masqués et armés de kalachnikovs.
L'otage dit qu'il est originaire de Nice et qu'il est guide de haute montagne. Il précise être arrivé samedi en Algérie et avoir kidnappé été dimanche soir.
«Je laisse à Hollande, le président de l'Etat français criminel, le soin d'arrêter les attaques contre l'Etat islamique dans les 24 heures qui suivent la publication de ce communiqué ou son ressortissant Hervé Gourdel sera égorgé», déclare un des deux hommes armés dans cette vidéo.
La revendication de cet enlèvement a eu lieu quelques heures après un appel de l'EI à tuer des citoyens -notamment Américains et Français- des pays appartenant à la coalition internationale mise en place pour combattre ce groupe jihadiste en Irak et en Syrie.
Selon les autorités françaises et algériennes, le rapt a eu lieu dans la région de Tizi Ouzou, à une centaine de kilomètres à l'est d'Alger.
Des recherches toujours en cours
Dans un communiqué publié ce lundi soir par l'agence APS, le ministère algérien de l'Intérieur a expliqué que «des individus ont intercepté (dimanche) à 21h (20h GMT) à hauteur du village d'Aït Ouabane (...) un véhicule ayant à son bord un groupe d'Algériens accompagnés du ressortissant français Gourdel Hervé Pierre», âgé de 55 ans.
«Les assaillants, après avoir libéré ses compagnons algériens et abandonné le véhicule sur les lieux, ont gardé le ressortissant français et pris la fuite vers une direction inconnue», a ajouté le ministère, en soulignant que les recherches, aussitôt engagées par les services de sécurité, étaient «toujours en cours».
A la suite de l'enlèvement, le président français François Hollande s'est entretenu avec le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a indiqué la présidence française dans un communiqué.
«La coopération est totale»
«La coopération est totale entre la France et l'Algérie à tous les niveaux pour tenter de retrouver et de faire libérer notre compatriote. Nos services sont en contact permanent et les autorités algériennes agissent avec notre plein soutien», a-t-elle ajouté.
Le maire de Nice d'où est originaire l'otage, Christian Estrosi, a de son coté condamné «fermement cet acte inqualifiable qui consiste à prendre pour cible d'une guerre des victimes innocentes d'une manière intolérable».
La Kabylie, où le Français a été enlevé, est une région montagneuse et boisée à une centaine de km à l'est d'Alger. Elle reste un théâtre d'opérations de groupes armés islamistes, de nombreuses années après la fin de la guerre civile qui avait opposé dans les années 1990 l'armée à des groupes islamistes extrémistes.
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