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    Post Mali-enlèvement d'une humanitaire Française à Gao

    Mali enlèvement d'une humanitaire Française à Gao

    Mis à jour le 25/12/2016|15:18
    Le parquet de Paris a ouvert une enquête, dimanche, après
    l'enlèvement d'une humanitaire française, à Gao, au Mali. Elle
    dirige une ONG qui s'occupe des enfants souffrant de
    malnutrition. Le Quai d'Orsay est en lien avec sa famille.
    Une humanitaire française a été enlevée à Gao, au Mali.Ce que
    confirme le ministère des Affaires étrangères.
    "Sophie Pétronin, ressortissante française, originaire de
    l'Ardèche, qui possède aussi la nationalité suisse, a été
    enlevée vers 17 heures hier soir,avec des hommes armés à
    Gao, dans le nord du Mali. La région est très instable. Son
    contrôle échappe toujours aux forces de sécurité maliennes.
    Elles sont assistées sur place par des militaires,principalement
    français", explique Astrid Mezmorian.
    Les autorités françaises mobilisées
    L'objectif des militaires français est de chasser les jihadistes
    présents sur place, principalement affiliés à Al-Qaïda. "Pour
    l'heure, l'enlèvement n'a pas été revendiqué. Sophie Pétronin
    a 66 ans, elle est médecin, elle dirige une ONG qui vient en
    aide aux orphelins et aux enfants malnutris. Elle connaît très
    bien le Mali, elle parle la langue locale, elle est connue de tous
    sur place",précise la journaliste. Les autorités françaises ont
    déployé tous les moyens disponibles pour tenter de la retrouver.
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    Post Noël sanglant au Congo-Kinshasa-au moins 22 civils tués au Nord-Kivu

    Noël sanglant au Congo-Kinshasa
    au moins 22 civils tués au Nord-Kivu

    Cette région, située dans le nord-est du pays, est ensanglantée
    depuis plus de deux ans par des massacres.

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    Le Monde.fr avec AFP Le 25.12.2016 à 21h12
    Mis à jour le 25.12.2016 à 21h49

    Vingt-deux civils ont été tués à l’arme blanche, samedi 24 et
    dimanche 25 décembre, dans l’est de la République
    démocratique du Congo (RDC), ont indiqué dimanche des
    sources concordantes.
    Le drame s’est produit à Eringeti et
    dans ses environs, dans le territoire de Beni, dans le Nord-
    Kivu. Cette région, située dans le nord-est de la RDC, est
    ensanglantée depuis plus de deux ans par une vague de
    massacres ayant fait plus de 700 morts, selon Amisi
    Kalonda, porte-parole militaire et militant associatif. M.
    Kalonda a imputé l’attaque aux Forces démocratiques
    alliées (ADF), rébellion ougandaise musulmane installée
    dans la région depuis plus de vingt ans et accusée par
    les autorités congolaises d’être responsables des tueries
    en série dans la région. Un porte-parole des Forces
    armées de la RDC a confirmé l’attaque et déclaré que
    l’armée avait « tué quatre rebelles ADF ».« Le bilan est
    très lourd pour les civils », a ajouté l’officier sans préciser
    le nombre de victimes.« Le mode opératoire » toujours
    identique
    « Hier [samedi], ils ont tué dix civils »
    à Eringeti, a déclaré M. Kalonda. « Douze autres corps
    ont été retrouvés [dimanche] dans des villages
    environnants » par l’armée qui poursuivait les assaillants,
    a-t-il ajouté.Teddy Kataliki, président de la Société civile
    du territoire de Beni, une coalition d’associations locales,
    confirme que « dix corps ont été retrouvés » samedi et
    « douze autres corps de civils » dimanche,estimant pour
    sa part qu’il s’agissait d’un bilan encore provisoire.Selon
    un prêtre du diocèse catholique de Beni-Butembo,
    l’attaque a fait « 27 morts » parmi la population, et a
    créé la panique, poussant des habitants à fuir.
    « Le bilan macabre est en train d’évoluer [...] au fur et à
    mesure qu’on découvre des corps dans la forêt » aux
    abords de la ville, a-il-dit. Selon M. Kalonda, l’attaque a
    commencé en début d’après-midi samedi contre la ville
    d’Eringeti, déjà frappée par plusieurs massacres similaires.
    « Le mode opératoire est toujours le même », a-t-il dit les
    victimes ont été tuées « à l’arme blanche et à la machette ».
    Une violence aux rouages complexes
    .Plus de deux ans
    après les premiers massacres, le gouvernement congolais
    et les Casques bleus de la Mission de l’ONU au Congo
    (Monusco), présents en nombre dans la région, s’avèrent
    toujours incapables de protéger la population locale et
    d’identifier les auteurs de ces crimes, régulièrement
    présentés comme de « présumés ADF ».L’Est de la RDC,
    et tout particulièrement le Nord-Kivu, est déchiré depuis
    plus de vingt ans par des conflits armés. Plusieurs
    chercheurs et militants associatifs locaux dépeignent, eux,
    une violence aux rouages complexes dont seraient
    responsables, outre des rebelles ADF, des soldats de
    l’armée régulière et des combattants d’autres milices
    locales, sur fond de trafics mafieux, de différends
    ethniques et de conflits fonciers.
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