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    Post Zaïre

    le 7 septembre 1997, Mobutu s’éteint loin du Zaïre
    Ce jour-là
    07 septembre 2016 à 07h49

    Le maréchal Mobutu n'aura pas survécu à la perte de son pays en mai 1997. Il s'éteint en exil au Maroc
    à la suite d'un cancer. Sa mort et son enterrement se font dans une discrétion qui contraste fort
    avec l'exercice du pouvoir qui le caractérisait.
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    "Mbata ya bakolo" au Congo, la vie sans les "Zaïrois" de RDC
    RDC la nostalgie Mobutu
    Loin, très loin des bords du fleuve Congo et de sa ville natale de Lisala,
    le maréchal-fondateur zaïrois, désormais en exil, rend son dernier souffle
    le 7 septembre 1997 sur les côtes marocaines à Rabat. Mobutu n’aura pas
    fait long feu après la perte de « son pays ».
    Cela faisait des années que
    Mobutu était gravement malade, atteint d’un cancer de la prostate. Le Zaïre
    des dernières années de son règne est à l’image de sa santé. Le pays est
    enlisé dans un processus de démocratisation depuis 7 ans et en proie à une
    foudroyante rébellion, l’Alliance des forces démocratiques pour la libération
    du Congo (AFDL) de Laurent-Désiré Kabila, qui a causé sa chute.

    Le gargantua de la gloire, le monarque qui usait parfois de la troisième
    personne pour parler de lui-même, l’Ubu roi du Zaïre est enterré lors d’une
    cérémonie qui paraît bien étonnante comparée à ses trente années de règne.
    Une semaine après son décès, le 13 septembre, dans la plus simple discrétion
    Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu wa Zabanga (en français le guerrier
    tout-puissant qui grâce à son endurance et son inflexible volonté vole de victoire
    en victoire et sème la désolation sur son passage), est inhumé dans le carré
    européen du cimetière de Rabat en présence de sa famille et de ses plus
    proches qui l’ont suivi dans son exil.

    Chassé-croisé zaïrois
    Sa fuite du Zaïre fut rocambolesque. Pressé par les troupes du Mzee,
    Laurent-Désiré Kabila, le léopard quitte Kinshasa le 16 mai en toute hâte pour
    son fief Gbadolite. Le 17 mai, le Zaïre vit un chassé-croisé historique. Les
    troupes de l’AFDL entrent dans Kinshasa, alors plongé dans un calme sidérant.
    La veille, dans les profondeurs de la forêt équatoriale, à Gbadolite, l’avion de
    Mobutu décolle tout en essuyant des rafales tirées par des soldats de la rébellion.

    Quelques heures plus tard, l’ex-homme fort zaïrois atterrit à Lomé, accueilli par
    un de égaux sur le plan de la longévité au pouvoir : Gnassingbé Eyadéma.
    L’escale à Lomé n’est pas trop longue. Le 23 mai, un autre exil l’attend.

    Le maréchal-fondateur devenu paria
    L’ancien relais et homme de confiance des Occidentaux en Afrique, pendant
    la Guerre froide, est désormais perçu comme un paria.
    L’accès à sa demeure
    de villégiature, à Roquebrune-Cap-Martin, sur la french riviera lui est refusé par
    les autorités françaises. Mobutu n’ira donc pas se soigner et couler de vieux jours
    sous le soleil de Provence.
    Son salut vient du souverain chérifien, Hassan II, qui
    l’invite à Rabat. Mobutu Sese Seko est très affaibli par la maladie, un cancer de
    la prostate diagnostiqué en 1989, mais non-soigné. Ce n’est qu’en 1996 que
    Mobutu a entamé un traitement, le conduisant à quitter son Zaïre natal à plusieurs
    reprises pour les cliniques suisses et françaises. Le crépuscule de l’autocrate se
    fait en quelque sorte au ban des « grands hommes », sa mort ne suscite que peu
    de réactions dans les chancelleries, notamment occidentales.
    Aujourd’hui, la tombe
    de l’ancien homme fort du Zaïre jouxte les sépultures anonymes de compatriotes
    migrants, morts noyés dans la méditerranée. Et bien que la question du rapatriement
    en terre congolaise de la dépouille du chantre de la zaïrianisation soit régulièrement abordée, pour l’heure aucune disposition concrète ne laisse entrevoir une inhumation
    de Mobutu dans son pays natal.
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    Post Violent séisme à El-Asnam

    Un fort séisme secoue la région d’El Asnam

    Cela s’est passé un 9 septembre 1954
    Violent séisme à El-Asnam
    jeudi 8 septembre 2016 à 15:38


    Le 9 septembre 1954 à 1h07 du matin, un tremblement de terre de magnitude
    de 7 sur l’échelle ouverte de Richter, secoue la ville de Chlef, Orléans ville à
    l’époque. Réveillés dans leur sommeil, les habitants de la région se rendent
    compte qu’il s’agit d’une véritable catastrophe. La terre tremblera sans arrêt
    jusqu’au matin. Les répliques dureront des semaines. Le 16 septembre suivant,
    une autre forte réplique est enregistrée. La situation devient dramatique pour
    les habitants de la ville. On dénombre 1500 morts, 5000 blessés (d’autres
    parlent de 14 000) et des milliers de bâtisses effondrées. La ville est détruite
    à 90%.
    En plus des secousses, des pluies diluviennes viennent s’ajouter à cette catastrophe. Le nombre des sinistrés s’élève à 300 000. Une grande solidarité
    est affichée par les algériens des quatre coins de l’Algérie pour venir en aide aux
    victimes. Des volontaires se sont déplacés pour aider à retrouver les nombreux
    disparus sous les décombres. Des tentes de toiles sont installées pour abriter
    les sinistrés sans toits, de même que des couvertures et des aliments sont
    acheminés pour les habitants de la région.
    En 1958 la ville sera entièrement
    reconstruite. Et en 1964, elle sera rebaptisée El Asnam. Cette région connait
    une sismicité particulière étant située sur une faille, comme c’est le cas de toute
    la zone côtière du nord de l’Algérie, causé par le chevauchement des plaques
    tectoniques eurasienne et africaine qui bougent vers le nord-ouest à raison de
    6 millimètres par an.
    Cette région avait déjà connu deux séismes important
    auparavant, en 1922 et en 1934. Le 10 octobre 1980, la ville connaitra un second tremblement de terre dit majeur, d’une magnitude de 7,5 sur l’échelle de Richter,
    qui détruira El Asnam à 80%. Peu de temps après cette dernière catastrophe,
    la ville est rebaptisée Chlef, du nom du fleuve qui la traverse, pour conjurer le
    mauvais sort d’une appellation jugée païenne.




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    Post M. Dag Hammarskjöld est décédé dans un accident d'avion le 18 septembre 1961

    M. Dag Hammarskjöld est décédé dans un accident d'avion
    le 18 septembre 1961

    DAG HAMMARSKJOLD Secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU)
    DAG HAMMARSKJOLD (Suède)
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    1953 - 1961 (Deuxième Secrétaire général)
    Portrait officiel de M. Dag HammarskjldDag Hammarskjöld est né
    le 29 juillet 1905 à Jonkoping en Suède.
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    Docteur en droit et économie politique de l'Université d'Upsala il a été
    en 1933 professeur-adjoint d'Economie Politique à l'Université de Stockholm.

    De 1936 à 1945 il a occupé les fonctions de Secrétaire général du Ministère
    des Finances et il a présidé le Conseil d'Administration de la Banque nationale
    de Suède de 1941 à 1948.
    En 1946 M. Hammarskjöld a été nommé conseiller
    financier du Ministère des Affaires Etrangères avec rang de Ministre
    plénipotentiaire puis en 1950 il a été nommé Ministre d'État.Le Vice-Ministre
    des Affaires Etrangères de Suède a pris, dès l'origine, une part active aux
    travaux de l'O.E.C.E. (dont il a été l'un des vice-présidents) et du Conseil
    de l'Europe.
    M. Hammarskjöld a participé, en qualité de vice-président de la
    délégation suédoise, à la sixième session de l'Assemblée g énérale des
    Nations Unies et en qualité de président de la délégation de son pays à
    la septième session de l'Assemblée Générale.Sur la recommandation du
    Conseil de Sécurité, l'Assemblée générale a, le 7 avril 1953, nommé
    M. Dag Hammarskjöld Secrétaire g énéral de l'Organisation des Nations Unies.
    Il a été réélu à l'unanimité pour un nouveau mandat de cinq ans le 26 septembre 1957.

    M. Dag Hammarskjöld est décédé dans un accident d'avion le 18 septembre 1961.

    Dag Hammarskjöld, Secrétaire général de l’ONU, était décédé en 1961
    dans un accident,
    lors d’une mission au Congo !

    Publié 8 Septembre 2016

    Au moment où la situation politique en RDC est en train de s’embourber
    suite aux manœuvres dilatoires et éhontées organisées par le pouvoir en
    place en vue de pérenniser le mandat de Joseph Kabila, nous voudrions
    rappeler à toute l’opinion, surtout à ceux qui sont aveuglés par les immenses
    richesses de ce pays que le CONGO a toujours été un « bourbier ».
    De Léopold II à nos jours, plusieurs personnalités nationales et étrangères
    s’y sont enfoncées.
    A titre de rappel, nous informons les mbokatiers que Dag Hammarskjöld, le second Secrétaire Général de l’ONU, avait péri le 18 septembre
    1961 vers Ndola en Zambie, dans un accident d’avion, durant une de ses missions
    de paix au Congo. C’était d’ailleurs son 4ème voyage au Congo dans le but de
    superviser les opérations de la Force des Nations Unies (ONUC), créées en juillet
    1960, à la demande expresse du Gouvernement congolais à l’époque, d’une
    assistance militaire de l’ONU. Dans cet accident dont les auteurs seraient les
    éléments de la sécession katangaise dirigée à l'époque par Moïse Tshombe,
    16 personnes dont la liste ci-dessous perdirent la vie.

    L'enterrement en Suède le 29 septembre 1961
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    LES VICTIMES.

    -Dag Hammarskjöld (Suède) : Secrétaire Général de l’ONU.

    -Heinrich A. Wieschhof (USA) : Directeur et adjoint au Sous-Secrétaire
    aux affaires politiques et aux affaires du Conseil de sécurité.

    -Vladmir Fabry (Tchécoslovaquie) : Conseiller spécial auprès du fonctionnaire
    chargé de l’opération des Nations Unies au Congo (ONUC)

    -William Ranaldo (USA) : Attaché particulier du Secrétaire général.

    -Alice Lalande (Canada) : Secrétaire du fonctionnaire de l’opération des
    Nations Unies au Congo (ONUC).

    -Harold M. Julien (USA) : Chef par intérim du service de sécurité (ONUC).
    -Serge L. Barrau (France) : Agent du service de sécurité (ONUC).
    -Francis Eivers (Irlande) : Enquêteur (ONUC)
    Équipage de vol.
    -Per Hallonquist : Capitaine.
    -Nils-Eric Aahréus : Capitaine.
    -Lars Litton : Copilote
    -Nils Goran Wilhelmasson : Mécanicien navigant.
    -Harald Noork : Commissaire de bord.
    -Karl Erik Rosén : Opérateur radio.
    Militaires suédois du 11ème Bataillon d’infanterie stationné à Léopoldville(Kinshasa).
    -S.O. Hjelte : Sous-officier.
    -P.E. Persson : Soldat.






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    Post Ce jour là-John F. Kennedy reçoit une délégation algérienne

    John F. Kennedy reçoit une délégation algérienne conduite par Krim Belkacem
    Ce jour là ; 2 octobre 1960

    02 Octobre 960

    Une délégation algérienne conduite par le vice-président du GPRA, Krim Belkacem, assiste à
    l’Assemblée générale des Nations Unies à New York et rencontre le sénateur, John F. Kennedy.
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    Depuis sa création le 19 septembre 1958, le GPRA accorde une importance
    capitale au volet diplomatique. Et pour cause, il est primordial d’expliquer
    au monde entier ce qui se passe en Algérie sous occupation française et de
    briser la conjuration du silence qui couvre la Révolution algérienne, comme
    le répète souvent Rédha Malek, ancien membre de la délégation algérienne
    aux négociations d’Evian.
    Ainsi la mission diplomatique et d’information du
    GPRA n’est pas de faire de la propagande, mais de « casser ce complot
    (français) contre l’indépendance de l’Algérie» et donc faire du bruit partout
    où cela est possible. D’une part à travers la participation de ses membres à
    des conférences internationales et des visites à des pays sympathisants de la
    cause algérienne ; et d’autre part en étant le plus présent lors des assemblées
    de l’ONU.
    C’est ainsi qu’une délégation, menée par Krim Belkacem, alors
    vice-président du GPRA, assiste à l’Assemblée générale des Nations Unies
    à New York, le 2 octobre 1960.
    Au cours des débats de politique générale
    aux Nations unies, beaucoup d’orateurs condamnent la guerre coloniale
    menée par la France en Algérie et affirment ouvertement leur sympathie pour
    la lutte du peuple algérien.
    Cette même journée, la délégation algérienne est
    reçu par John F. Kennedy, alors sénateur. Ce dernier ne cache pas sa position.
    Déjà en juillet 1957, il prononce un discours devant le Sénat américain et
    dépose une résolution pour appeler les Etats-Unis, l’ONU et l’OTAN à œuvrer
    pour l’autodétermination et la reconnaissance de « la personnalité algérienne ».
    « La plus puissante et unique force dans le monde aujourd’hui n’est ni le
    communisme ni le capitalisme. Ce n’est pas la bombe-H ni les missiles guidés
    c’est le désir éternel de l’homme à être libre et indépendant. Le grand ennemi
    de cette énorme force de liberté est l’impérialisme », précise-t-il. Son discours
    est considéré comme étant l’un des plus importants de sa jeune carrière et il
    n’hésite pas à évoquer la question algérienne, par la suite, dans ses discours et
    lors de ses apparitions publiques et télévisées. Et même si les relations entre les
    USA et le FLN perdent un peu d’altitude et se rompent même quelques temps,
    en 1959, l’option de renouer les liens est remise sur le tapis. A cette période,
    les membres du GPRA sont reçus par les Afro-asiatiques, l’URSS et même par
    quelque pays de l’OTAN.
    Et bien que les français soient mécontents de la
    position plus en plus claire des américains, Kennedy n’hésite pas à recevoir la
    délégation algérienne qui se trouve à New York en ce 2 septembre 1960 et à
    passer de longues heures en discussion avec Krim Belkacem.
    Kennedy
    prononcera un discours officiel radiotélévisé pour féliciter l’Algérie de son
    indépendance en 1962. Il était alors, président des Etats Unis d’Amérique.
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    Post Ce jour là-7 octobre 2001 Ce qu'il faut retenir pour le 15e anniversaire

    Ce jour là ; 7 octobre 2001
    Ce qu'il faut retenir pour le 15e anniversaire de l’invasion de l’Afghanistan
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    Une guerre sans fin
    17:20 07.10.2016
    (mis à jour 17:30 07.10.2016)

    Il y a 15 ans, le 7 octobre 2001, les États-Unis lançaient une intervention militaire
    en Afghanistan et une opération contre les talibans. Wahid Muzhdah, un ancien taliban,
    estime que ce jour-là les Américains ont déclenché une guerre mondiale qui a commencé
    en Afghanistan et se poursuit, aujourd'hui, dans différentes régions. Sputnik reproduit
    ci-dessous son interview exclusive.Ce jour, il y a 15 ans, l'Amérique envahissait
    l'Afghanistan, en représailles aux attaques d'Al-Qaïda contre les tours jumelles de
    New York. Les détails de l'invasion demeurent obscurs. Le thème a fait couler bien de
    l'encre, mais les réponses à la plupart des questions n'ont pas encore été trouvées.Une
    chose est claire l'Afghanistan a été soupçonné et est devenu la cible de l'attaque américaine.
    Il y a 15 ans, l'Amérique a plongé le monde dans une période de guerres ininterrompues.
    Des guerres qui ont commencé par l'intervention américaine en Afghanistan et qui se poursuivent en Irak, Syrie et Libye. Les peuples de ces pays ont subi de lourdes pertes,
    la guerre y a fait d'innombrables morts, blessés et délogés.Quels étaient les objectifs
    des États-Unis en Afghanistan ? Zalmay Khalilzad (diplomate américain,
    ambassadeur en Afghanistan, ndlr) m'a raconté que les Américains auraient trouvé
    un prétexte pour envahir l'Afghanistan, même s'il n'y avait pas eu d'attentats
    du 11 septembre. Le président Clinton ne l'envisageait pas, mais dès son entrée
    en fonction, George Bush a dit qu'il était grand temps de prendre une décision
    à ce sujet.D'abord, les Américains ont lancé la chasse à Oussama Ben Laden
    pour le trouver, l'éliminer et, ce faisant, « affranchir l'Afghanistan des terroristes ».
    Un autre objectif consistait à créer en Afghanistan un gouvernement à même
    de servir d'exemple pour d'autres pays islamiques.



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    Post Ce jour là le 8 octobre 1962-L’Algérie devient le 109e membre de l’ONU

    Ce jour là le 8 octobre 1962
    L’Algérie devient le 109e membre de l’ONU


    Oct 08, 2016

    Après le sacrifice de tout un peuple, le 8 octobre 1962,
    l’Algérie accède à L’ONU avec son nouveau président,
    Ahmed Ben Bella
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    En devenant membre de l’Organisation des Nations
    Unies, le 8 octobre 1962, l’Algérie indépendante depuis peu, émerge sur la scène internationale.Dans le cadre
    des festivités marquant le cinquantenaire de l’Indépendance, et le cinquantième anniversaire de l’adhésion de l’Algérie à l’ONU, le 8 octobre 1962, le Forum de la mémoire, initié par l’association Machaâl Echahid, en coordination avec le quotidien El Moudjahid,
    a organisé, le Mercredi 08 Octobre 2014, une conférence intitulée «L’adhésion et 50 ans de participation de
    l’Algérie au sein de l’ONU», une conférence animée
    par l’ancien chef du gouvernement Redha Malek.
    Ce dernier a souligné que le 8 octobre 1962 marque l’admission officielle de l’Algérie au sein de
    l’Organisation des Nations unies, et «par ce fait qui aujourd’hui nous semble naturel et anodin en apparence, l’Algérie indépendante émerge sur la scène internationale et devient le 109e membre de l’Organisation mondiale». Cette accession a été, en effet, non seulement l’aboutissement d’une guerre subie et assumée par le peuple algérien pendant des années, mais elle a été aussi
    le résultat de 132 ans de résistance populaire armée et de lutte sur le terrain politique, juridique et diplomatique pour le recouvrement de sa souveraineté. Selon le conférencier, l’adhésion de l’Algérie à l’ONU n’a pas été facile, vu les mauvaises conditions que vivait l’Algérie en cette période, «l’Algérie a été sous surveillance».
    La diplomatie algérienne, contrainte de ne compter avant tout que sur elle-même, a préservé son indépendance,
    elle s’efforça de réduire l’hostilité de certains et les hésitations des autres, en jouant sur la rivalité entre les pays pour parvenir peu à peu à faire connaître le
    problème algérien et gagner la sympathie de l’opinion publique algérienne. Le conférencier a souligné de même que la stratégie adoptée par le FLN en internationalisant
    le conflit a été déterminante. La diplomatie a été l’instrument qui a permis à l’Algérie de se manifester sur
    le plan international alors qu’elle n’était pas encore reconnue en tant qu’État. Elle a joué un rôle considérable
    à l’issue du combat libérateur. La philosophie de la diplomatie algérienne durant la lutte de libération nationale reposait sur le principe qu’il ne fallait compter que sur ses propres ressources humaines et matérielles
    tout en appelant à un élargissement de la solidarité internationale en faveur du peuple algérien.La révolution algérienne a veillé à sa liberté d’action et à l’indépendance de sa décision pour tirer profit des rivalités est-ouest.

    Le discours du premier président algérien à l’ONU
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    Post Création de la "walt disney company

    CRÉATION DE LA "WALT DISNEY COMPANY "

    ÇA S'EST PASSÉ UN 16 OCTOBRE
    Lundi 17.10.2016

    Walt Disney Compagny
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    Le 16 octobre 1923, Walt Disney crée son entreprise d'abord baptisée
    "Disney brother studios" en 1929. Elle s'appellera ensuite la
    "Walt Disney Company" en 1986. Spécialisée dans les longs et
    courts-métrages d'animation, elle s'oriente également vers l'industrie
    du tourisme avec des parcs d'attraction et de nombreux produits dérivés
    de ses productions. Qui ne connaît pas Mickey Mouse? Le célèbre
    personnage a été créé par le studio d'animation fondé par Walt et son
    frère Roy Oliver Disney. En 1923, les frères créent la Walt Disney Company. L'entreprise américaine a produit de nombreux courts et long-métrages.
    Elle laisse des souvenirs d'enfance impérissables : Dumbo, Cendrillon,
    Le Roi Lion, et bien d'autres
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    Post Cela s’est passé un 11 décembre 1960

    Cela s’est passé un 11 décembre 1960
    manifestations des Algériens dans tout le pays

    PUBLIE LE 11-12-2016


    Cette date, très peu commémorée en Algérie, est pourtant décisive
    dans la Révolution. Elle a permis de faire connaitre au monde entier
    et à quelques jours du réexamen du dossier algériens par l’ONU, prévu
    le 19 décembre- que le peuple veut sa liberté, son indépendance
    .

    **Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **

    Alors que le FLN est affaiblit militairement et que les maquis
    sont décimés par les opérations militaires menées par le
    général Maurice Challe, les Algériens sortent dans la rue à
    Alger d’abord, puis un peu partout dans le reste du pays pour
    crier « Algérie algérienne »,«tayha djazaïr»,«Algérie indépendante»
    ou encore «Ferhat Abbas président», arborant le drapeau vert,
    blanc et rouge. Le message est on ne peu plus clair pour les pros
    Algérie française et pour De Gaulle qui venait d’entamer un voyage
    officiel de 6 jours en Algérie (depuis le 9 décembre) le peuple devient
    acteur de son propre destin, il en est conscient. Son indépendance
    est inéluctable.
    Mais cette manifestation sera, une fois de plus,
    réprimée dans le sang par la police française. On parle d’une centaine
    de morts et de 400 blessés. Parmi eux, des enfants et des adolescents.
    Manifestations du 11 Décembre 1960
    toute la détermination d’un peuple

    Avant le 11 et le 10, il y a eu le 9 décembre 1960. Dans la mémoire collective des Algériens, cette date marque la flammèche de la colère
    de la rue algérienne sous l’occupation française, qui a porté la Révolution d’une réalité à une autre. Entre autres, celle de la campagne et du
    maquis à la ville, et du moudjahid au fidaï.
    Pour de nombreux historiens,
    il ne s’agissait pas de manifestations, mais d’une véritable «intifada».
    Parmi eux, Amer Rekhila qui estime que «ce qui s’est passé en décembre 1960 marque un vrai tournant dans le processus de la guerre de Libération, car il a confirmé le caractère populaire de la Révolution et la détermination du peuple algérien à recouvrer son indépendance nationale. À vrai dire,
    il ne s’agissait pas de manifestations, mais d’une intifada qui a porté la Révolution d’une réalité à une autre, celle de l’embargo et l’encerclement des moudjahidine dans les maquis à l’action militaire et les opérations de fidaïne de la ville. Elle a aussi permis la reprise de l’action militaire sur le terrain et, au plan politique, les retombées étaient importantes, palpables
    et très positives, notamment que cette intifada a coïncidé avec la tenue
    de la session ordinaire de l’assemblée générale de l’ONU», dit-il. Ainsi,
    notre interlocuteur résume ces retombées à trois niveaux. Le premier au plan interne : «L’obstacle psychologique vis-à-vis de l’armée coloniale est tombé. L’Algérien s’est libéré et a décidé de prendre son destin en mains.
    outre, il y a eu la reprise des opérations de fidaïne dans de nombreuses villes, ce qui a permis au gouvernement provisoire de bien utiliser cette
    carte dans son combat politique et les négociations pour l’indépendance
    de l’Algérie. Cette intifada a scellé définitivement la fin de l’Algérie française». Au plan interne français, les répercussions étaient aussi multiples, souligne M. Amer Rekhila. «Le conflit s’est intensifié entre les partisans de la solution politique. C'est-à-dire s’asseoir à la table des négociations avec les Algériens et les extrémistes partisans de l’Algérie française jusqu’au bout. Et ce n’est certainement pas un hasard si au début de l’année1960 il y a eu l’apparition de l’OAS à Oran et Alger, comme conséquence directe de l’intifada algérienne. Ces extrémistes ont déclaré,
    à la fois, la guerre aux Algériens et aux Français. Les conséquences sur le plan économique n’étaient pas des moindres, étant donné que l’augmentation continue des dépenses militaires de l’armée coloniale ont alimenté l’opinion publique, opposée à la guerre, et soumis la France coloniale à des pressions internationales et régionales», a-t-il dit. «Au plan international, la guerre d’Algérie a pris d’autres dimensions et devenue la cause commune des 4 continents et la principale cause de la chute de l’empire français.C’est d’ailleurs pour cette raison que plusieurs pays ont obtenu leur indépendance juste après ces évènements», a-t-i ajouté.
    De son côté, le président de l’association «9 Décembre 1960», Benabdeslam Mohamed, estime que la première étincelle de la colère populaire survenue à Aïn Témouchent le 9 décembre a provoqué une
    sorte d’effet «boule de neige» en gagnant plusieurs autres wilayas et s’est étendue jusqu’au 17 décembre 1960. Pour ce qui est de la 1re manifestation, survenue le 9 décembre à Aïn Témouchent, «elle a mis en échec les visées de De Gaule qui comptait sur l’appui de nombreux colons d’une zone économiquement importante pour sa nouvelle politique intégrationniste. Mais le plus important, elle a appuyé la revendication du peuple algérien pour l’exercice de son droit à l’autodétermination et le rejet du système colonial», a-t-il dit. Pour Abdelkader Soumeur, SG de l’ONM d’Oran, «les manifestations de décembre 1960 ont détruit tous les rêves du colonisateur». Quant à M. Mustapha Bitam, le DG du Musée du moudjahid, «les manifestations des 9, 10 et 11 décembre 1960 ont un seul point commun. Elles ont montré que les Algériens, dans les quatre coins du pays, étaient unis autour de la revendication de l’indépendance». La Révolution algérienne n’est le monopole ni d’une région ni d’un douar ni d’une personne. Elle a été faite par tout le peuple algérien et partout dans le pays. Plus que nationale, elle avait une dimension nationale maghrébine, africaine, arabe et même humaine», dira M.Bitam. Ayant débuté un 9 décembre à la place centrale d’Aïn Témouchent où le président français, le général De Gaulle, devait prononcer son discours sur l’Algérie française, les manifestations de décembre 1960 ont exprimé de façon tranchée le rejet
    des propositions de la France au sujet de l’avenir de l’Algérie et conforté l’adhésion totale du peuple algérien à sa révolution armée. Pour les moudjahidine et les témoins de l’histoire de la révolution algérienne, les manifestations du 9 décembre «ont été mûrement préparées par les responsables du FLN pour contrecarrer les visées de De Gaule, depuis l’aéroport de Tlemcen jusqu’à son arrivée à Aïn Témouchent, où il n’a pas pu prononcer son discours sur le perron du siège de la commune».

    Amel Saher



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    Post Cela s’est passé le 27 décembre 1978


    Cela s’est passé le 27 décembre 1978
    le destin de l´Algérie bascule, une fois de plus. Le président Boumediène
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    décède. Ce fut véritablement un choc bien que l´opinion fut préparée
    à cette douloureuse issue.
    Qui était Houari Boumediène qui fascine tant les jeunes et moins jeunes? Certains retiennent le fameux « Kararna ta´emime el mahroukate »: « Nous avons décidé la nationalisation des hydrocarbures ». Par cette phrase, Boumediène annonçait à la face du monde que l´Algérie tenait en main son destin énergétique. Est-ce ce leader qui, pour la première fois, à la tribune des Nations unies, militait pour un Nouvel ordre économique international plus juste, où les matières premières seraient payées à un prix juste? Mohammed Boukharouba, qui prendra le nom de Houari Boumediène, a vu le jour à Aïn Hasseïnia, près de Guelma le 23 août 1932. Né dans une famille de paysans pauvres, il symbolise par sa naissance la pluralité de l´Algérie dans sa double composante identitaire: son père était arabophone et sa mère berbérophone. Il incarnait ainsi, vraiment, l´Algérie dans sa diversité. Il a passé son enfance, en effet, parmi les fellahs dont il a conservé la rusticité.

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    Post Décès de Abdelhafid Boussouf le jour du 31 décembre 1980

    Cela s’est passé un 31 décembre 1980 …
    Décès de Abdelhafid Boussouf

    Déc 31, 2016


    Il y a 36 ans, décédait Abdelhafid Boussouf, Si Mabrouk de son
    nom de guerre. Fin stratège, il avait monté un service de
    renseignement et de contre-espionnage très efficace pour contrecarrer
    les « mauvais coups » des services secrets français.
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    Né en 1926 à Mila, dans le Nord-Constantinois, Abdelhafid Boussouf appartient à la branche appauvrie par la colonisation d’une famille de « grande tente ».Confronté à la dure réalité de la vie, il arrête ses études primaires pour travailler comme livreur chez « Médecin du vêtement » à Constantine en 1945. Dès l’âge de 16 ans, il rejoint le PPA et devient cadre de l’OS, en 1947 toujours dans le Constantinois. Responsable de la daïra à Philippeville (Skikda), il est recherché par la police française en 1950. Il retourne à Mila pour un moment avant que le MTLD ne le désigne, en 1951, à sa tête à Oran pour un an.Il contribue à la création du CRUA et préside, en été 1954, la première réunion préliminaire secrète dans le domicile de Liès Derriche à El Mouradia.Cette réunion est suivie d’une deuxième, celle qui a regroupée le groupe historique des 22 dont il fait partie. Il rejoint la Zone 5 à l’Ouest algérien.Le 5 novembre 1954, Boussouf succède à Ramdane Benabdelmalek comme adjoint de Ben M’Hidi, puis devient colonel de la wilaya V au lendemain du congrès de la Soummam.Homme de carrure puissante, au visage arrondi, des cheveux noirs coupés très court et des yeux masqués par des lunettes teintées, Boussouf, qui avait suivi par correspondance un cours de psychologie avant 1954, donne l’impression d’un personnage modeste. Il n’en inspire pas moins à ses subordonnées un profond sentiment de respect et de crainte ; il marque de sa forte personnalité la wilaya V et doit désormais jouer un rôle clé dans la direction du FLN.Lorsqu’il prend en main la wilaya V, celle-ci est dans un grave état de désorganisation. Graduellement, il y établit une infrastructure scrupuleusement coordonnée et un système de signaux et de renseignements qui ressemblent plus à celui de l’armée française qu’à celui des autres wilayas.Ses opérations, bien qu’assez peu nombreuses pour donner l’impression que la wilaya est peu active, sont minutieusement préparées et dépourvues de ce côté hasardeux qui a eu ailleurs des conséquences désastreuses. Au contraire, Boussouf concentre ses efforts sur la construction d’une impressionnante machine de guerre. Un autre jeune homme, aussi réticent, efficace et ambitieux que lui, et qu’il a pris comme son adjoint, ne le quitte guère Houari Boumediene.Membre du CNRA, en 1956, il est, en 1957, au sein du CCE, responsable des problèmes de liaison et de communication, poste qui lui est confirmé en 1958, à l’occasion de la formation du GPRA où il devient ministre de l’Armement et des Liaison générales 5MALG). Ses fonctions lui confèrent en définitive la responsabilité de tout le système de renseignement et de contre-espionnage dont il est, du reste, le maître artisan.Après la mort de Ben M’Hidi d’abord, puis celle d’Abane, le vrai pouvoir au sein du FLN est exercé pour un temps par Boussouf, Ben Tobal, son ami intime et fidèle, et Krim Belkacem au sein de la commission ministérielle de la guerre au GPRA.Il fait preuve, sur tous les fronts, d’une vigilance à toute épreuve pour déjouer les plans des services français.Fin 1958 et début 1959, l’acquisition des armes devient de plus en plus difficile, voire impossible par endroits, d’autant que les forces d’occupation renforcent leur présence dans les régions frontalières par des lignes électrifiées et des champs de mines, et s’apprêtent à déclencher les opérations de grandes envergure entrant dans le cadre du « Plan Challe ».Devant cette situation extrêmement délicate aux perspectives sombres pour le devenir de la Révolution algérienne, certains de ses dirigeants, à l’intérieur, pensent à se rencontrer pour examiner la situation avant qu’il ne soit trop tard, et des dispositions sont prises pour éviter le pire. Si Mabrouk, quant à lui, procède à l’installation d’un petit atelier de fabrication d’armes dans une ferme sur la frontière marocaine, où grâce à une intelligence et à un esprit d’initiative hors du commun, il s’attelle à la tâche à l’insu des autorités marocaines.L’aspect extérieur de la ferme ne trahit aucun signe suspect. Un souterrain est creusé à l’intérieur du bâtiment pour des besoins de fonderie. Boussouf s’appuie sur des ingénieurs et des spécialistes russes, tchèques et des sympathisants avec la Révolution algérienne. L’opération réussit et des milliers de fusils et de mitraillettes sont fabriquées et distribués dans la région alors qu’une partie est vendue à certains pays et les fonds des transactions vont dans les comptes du FLN.Grâce à son dévouement, sa discrétion et son amour pour la patrie, Boussouf réussit son opération. Toutes ces qualités font de lui un homme politique et un militaire à forte personnalité et d’une grande modestie. Considéré comme l’un des meilleurs dirigeants de l’Armée de libération, il réussit à renforcer la garde sur tout le territoire algérien et au sein des instances de la Révolution. Aussi, il organise et développe des relais dans tout le pays et dans les grandes villes étrangères en moins d’une année.Le colonel Boussouf se retire de la scène politique pendant la crise du FLN de l’été 1962, pour se consacrer à la gestion de ses affaires personnelles, notamment la vente de bateaux dans les pays arabes. Il disait être toujours disponible pour servir la patrie.Abdelhafid Boussouf décédera subitement d’une crise cardiaque le 30 décembre 1980 à Paris, à l’âge de 54 ans. Son corps repose depuis au carré des martyres du cimetière d’El Alia à Alger.
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