09 Novembre 2016
Tous unis face aux bombardements aviaires !
Par Hakim Laâlam
**Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **
Crimes coloniaux ! L’Algérie veut des excuses de la
France. Alger exige même que ces excuses soient
exprimées par Paris, mais à partir de…… Grenoble !La main de l’étranger a encore frappé à Ghardaïa. Maintenant, plus de doute ! La paluche du «Berrani» agit maléfiquement dans notre belle, généreuse et si ancestralement paisible vallée du M’zab. Sinon, comment expliquer que des milliers d’oiseaux meurent subitement-tout-à-coup ces derniers jours dans cette région ? Sinon, comment expliquer que les autorités face à cette lâche attaque soient contraintes de lancer une alerte à la grippe aviaire ? Pourtant, et tous les scientifiques vous le diront, notre pays est naturellement épargné par ces épidémies. Nos frontières sont réputées infranchissables par tous les volatiles malades. Oui, c’est un fait ! Et ce n’est pas parce que nos dirigeants éclairés l’ont dit que ce serait moins vrai. Les oiseaux «aviairisés» ne peuvent passer les mailles tenaces et solides du rideau de fer qui protège notre espace aérien. Les «zoizeaux» peuvent s’en approcher. Ils peuvent l’effleurer, même, cette frontière. Mais jamais la franchir. Et donc, s’ils ont réussi à le faire malgré cet axiome vérifié et consacré par les scientifiques du monde entier, c’est que l’Algérie est, une nouvelle fois, ciblée par des puissances malfaisantes. Des forces qui n’ont pas accepté que notre Nation valeureuse se soit montrée aussi imperméable aux différentes saisons de la révolte arabe, printemps, hiver, automne et été all-inclusive ! Alors, qui ? Qui fait joujou avec les volatiles en nous les envoyant dans les pattes comme ça, de manière éhontée et surtout inhumaine ? Qui veut abattre la stabilité légendaire de l’Algérie en recourant à cette arme de destruction plumitive qu’est la grippe aviaire ? Qui finance les oiseaux malades qui s’abattent sur le M’zab ? Autant de questions qui trouveront vite leur réponse et les réactions énergiques. Et par «énergique» j’entends réponse terrible. Nous les débusquerons. Jusqu’au dernier canard. Jusqu’à l’ultime perdrix. Dussions-nous pour ça fumer du thé et rester éveillés à ce cauchemar qui continue.
H. L.