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Re : Taxe sur l’oxygène ! Ouyahia déclare :
RELANCE ÉCONOMIQUE: ALI HADDAD LANCE SON COMMERCE

Austérité, coupes, compressions, takachouf … depuis la chute du prix de pétrole, le gouvernement algérien peine à redresser sa situation économique calamiteuse.
La situation aurait été encore plus catastrophique pour notre pays, sans l’intervention du richissime et « powerful man » algérien, Ali Haddad. On se souvient tous de sa phrase devant les hommes d’affaires chinois « «Venez en Algérie, il y a beaucoup de femmes ! », Ali Haddad vient enfin de lancer son gigantesque commerce d’exportation de « femmes » en Chine.
The powerful man, promet que ce projet, qui coutera pratiquement rien, va redresser et développer l’économie nationale et pallier le déficit budgétaire causé par la chute spectaculaire du prix de pétrole, car les femmes seront mises sur le marché au même prix que celui du baril de pétrole avant sa dégringolade, soit de 100$ chacune, «l’idi m’est venue en constatant le souccès des échantillous de femmes livrés aux chnaouas, qui m’ont tous dit après qu’ils voulaient divroci avec leurs femmes pour épouzi des angeriennes » lance, tout sourire, Ali Haddad.
Rappelons que la Chine qui compte plus d’un milliard d’habitants, souffre d’un déséquilibre démographique homme-femme qui s’accentue d’année en année, avec un ratio de 117 naissances de garçons pour 100 filles, ce projet est donc «gagnant-gagnant» pour les 2 pays.
Haddad n’exclut pas aussi l’idée de commencer un autre projet d’exportation de chats, rats et chiens pour la survie de la gastronomie chinoise.
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Re : Taxe sur l’oxygène ! Ouyahia déclare :
Urgent : l’Etat algérien abandonne le dinar et met en place un système de troc

Nous apprenons avec stupeur que le gouvernment compte décréter, dans les prochaines heures, l’abandon du dinar et son remplacement par le troc.
Lors de la présentation de la note de conjoncture économique, M. Laksaci, gouverneur de la banque d’Algérie, avait tenu des propos des plus alarmants et alarmistes. La crise économique, la dévaluation du dinar, l’inflation, l’évasion fiscale et le commerce informel sont autant de facteurs que le gouvernement peine à contrôler, réguler ou à endiguer. C’est pour toutes ces raisons, et sur l’impulsion du premier sinistre, M. Abdelmalek Sellal, il a été décidé la suppression pure et simple de la monnaie nationale. Le ministre des finances, M. Benkhalfa, aurait déclaré en privé qu’avec une telle décision, au-delà du fait que les problèmes liés au dinar (dévaluation, fluctuation des cours de change, inflation…etc.) soient réglés, le génie est dans la suppression du problème lui-même. Le ministre s’attend, en toute logique, à ce que le gouvernement algérien obtienne le prix Nobel d’économie, ce qui lui permettra de faire un pied de nez à la Tunisie et sa révolution des jasmins qui a obtenu celui de la paix, l’année passée.
Par ailleurs, la nouvelle de l’abandon du dinar s’est répandue comme une trainée de poudre, notamment sur les réseaux sociaux. Les cours du change parallèle ont flambé. On apprend ainsi qu’un euro est échangé à plus de 280 DA et un dollar à 250 DA, en raison de la forte demande de ces dernières heures, induite principalement par les liquidités surabondante du commerce informel.
On apprend, selon certaines indiscrétions, que l’Etat algérien va établir des barèmes pour certains produits de première nécessité. Ainsi, un litre d’essence sans plomb sera échangé contre un kilo de semoule. Un litre de super contre une matlou3a. Rien n’a encore filtré pour le gasoil. Aussi, la population sera invitée, dans les prochains jours, à se rendre dans les banques afin d’échanger les dinars en divers objets, conformément au barème fixé et suivant une liste d’objets qui sera établie par le ministère de l’industrie et des mines.
Nous apprenons, d’autre part, que des informaticiens algériens comptent lancer Bitcoin Algérie, une monnaie numérique, plus stable et plus sûre que le dinar. Un partenariat avec le site algérien d’annonces ouedkniss, est actuellement en préparation, bien que d’après les créateurs de ouedkniss, les activités du site ne seront pas affectées par la suppression du dinar, étant donné que l’échange était déjà proposé aux utilisateurs.
Les pouvoirs publics espèrent que l’entrée du Bitcoin en Algérie permettra de développer le paiement en ligne qu’ils n’ont pas pu mettre en place et que la population et les acteurs économiques pourront enfin faire confiance à leur monnaie, aussi virtuelle soit-elle.
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Re : Taxe sur l’oxygène ! Ouyahia déclare :
Sellal en visite en Allemagne : « Je suis venu vous rappeler qui était le plus fort au mondial 82

Le premier-ministre algérien, Abdelmalek Sellal se trouve actuellement en visite officiellement en Allemagne, sur invitation de la chancelière Angela Merkel.
Officiellement, cette visite s’inscrit dans le cadre de ce qu’on appelle dans le jargon diplomatique, « des relations politiques et partenariales entre les deux pays », ce qui signifie que le premier-ministre effectue le voyage en compagnie d’une importante délégations de ministres et d’hommes d’affaires qui auront à cœur de développer des affaires avec leurs homologues allemands.
Ceci dit, une source anonyme émanant de la délégation algérienne nous a confié que le premier-ministre, furieux des rumeurs selon lesquelles, des algériens seraient impliqués dans les incidents de viols collectifs survenus à Cologne dans la nuit du 31 décembre dernier, s’est déplacé personnellement sous couvert d’une visite de travail pour aller s’enquérir de la véracité de telles rumeurs.
Selon notre source, Sellal est intimement convaincu que les algériens n’ont rien à voir avec cette affaire et qu’il n’accepte pas que l’Allemagne salisse l’image des jeunes et du peuple algérien d’une manière générale.
A ce titre, poursuit notre source, et lors de l’entrevue qui a eu lieu entre les deux chefs de gouvernement, Abdelmalek Sellal n’a pas hésité une seconde à commencer l’entretien en disant : « madame la Chancelière, je suis venu aujourd’hui pour vous rappeler qui était le plus fort au mondial de 82 ». L’interprète de la délégation algérienne aurait eu une hésitation pour traduire cette phrase avant que Sellal ne le fusille du regard en disant « goulhalha ou ma t’khafche, yak r’bahnahoum fe 82 » (dis le lui et n’aie pas peur, nous l’avons battus en 82).
Depuis, il semblerait que Merkel a atténué un peu ses propos et a affirmé à Sellal que l’enquête n’a rien révélé à ce stade.
Vraiment, merci à l’équipe nationale de 1982, elle nous sauvera toujours face aux allemands.
canular
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