Bonjour
J’espère que ça va servir a quel que chose car les mentalité sont difficile a changé
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J’espère que ça va servir a quel que chose car les mentalité sont difficile a changé
A la une/Actualité_Violences faites aux femmes
le 01.02.16 | 10h00
La loi enfin publiée
Le texte, qui a été entériné par l’Assemblée populaire nationale (APN)
en mars dernier, avait été bloqué durant de longs mois au niveau du Conseil de la nation
à cause, notamment, des pressions exercées par des courants islamo-conservateurs.
Après des mois d’attente et de polémiques, l’amendement apporté au code pénal, portant essentiellement
sur la protection des femmes contre toutes les formes de violence, a été publié au Journal officiel daté
du 30 décembre dernier. Il entre donc en application à partir de cette date.
La loi, qui avait été entérinée par l’Assemblée populaire nationale (APN) en mars dernier, avait été bloquée
durant de longs mois au niveau du Conseil de la nation à cause, notamment, des pressions exercées par
les courants islamo-conservateurs qui ont crié au scandale, reprochant aux autorités d’avoir «importé»
une loi qui «risque de disloquer» la famille algérienne.
Le ministre de la Justice, Tayeb Louh, a défendu bec et ongles une loi qui, dit-il, vise surtout à protéger
la femme qui subit des violences en tous genres. Mieux, dans la loi, il n’y a pas que la femme qui est protégée
elle porte également sur la protection de la famille, puisqu’elle évoque la «violence sur conjoint», ce qui peut
s’appliquer aux deux conjoints. «Est puni d’un emprisonnement d’une année à trois ans quiconque commet
contre son conjoint toute forme de voies de fait, ou de violence verbale ou psychologique répétée, mettant
la victime dans une situation qui porte atteinte à sa dignité ou à son intégrité physique ou psychique»,
stipule la loi dans son article 266 bis. «L’état de violence conjugale peut être prouvé par tous
les moyens», ajoute le texte.Mieux, l’amendement apporté au code pénal introduit une révolution dans
l’arsenal juridique national. Il protège également les femmes agressées sur la voie publique.
«Est puni d’un emprisonnement de 2 à 6 mois et d’une amende de 20 000 à 100 000 DA, ou d’une de
ces deux peines, quiconque importune une femme dans un lieu public, par tout acte, geste ou parole portant atteinte
à sa pudeur», précise, dans ce sens l’article 233.
Dans ce cas et outre les amendes qui peuvent aller jusqu’à 300 000 DA,
les personnes ayant commis de telles infractions risquent un emprisonnement qui peut aller jusqu’à 3 années.
Dans l’article 341, la loi réprime également le harcèlement sexuel, dont l’infraction est définie pour la première fois.
«Est réputée avoir commis l’infraction de harcèlement sexuel et sera punie d’un emprisonnement d’un à trois ans
et d’une amende de 100 000 à 300 000 DA toute personne qui abuse de l’autorité que lui confère
sa fonction ou sa profession en donnant à autrui des ordres,en proférant des menaces, en imposant des contraintes
ou en exerçant des pressions dans le but d’obtenir des faveurs de nature sexuelle».
Il reste maintenant à savoir comment les tribunaux vont appliquer la loi.
Ali Boukhlef
A la une Actualité_Un cadre d’Anesrif devant la justice dimanche prochain
01 Février 2016
Le combat d’une victime de harcèlement sexuel
Le tribunal de Rouiba a reporté le procès du directeur des ressources humaines
de l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif)
poursuivi pour harcèlement sexuel à l’encontre de D. R., chargée du secrétariat de l’entreprise.
L’affaire est reportée au 7 février, apprend-on auprès de l’avocat de la victime,
rencontré hier au tribunal de Rouiba.
La victime effondrée, une veuve de 51 ans, mère de deux enfants, place tous ses espoirs
dans le système judiciaire pour lui rendre sa dignité. Elle confie que sa vie professionnelle
a basculé le jour où elle a décidé de refuser de se soumettre à la loi du silence et de recourir
à la justice pour la délivrer de son calvaire en dénonçant les avances malsaines
d’un responsable de l’agence qui l’emploie depuis plus de 5 ans.
Après le non-aboutissement de sa requête au niveau interne (elle l’avait déposée auprès de
la direction générale), la victime a décidé de porter plainte pour dénoncer son harceleur.
Les premières convocations devant la justice de toutes les parties concernées ont accentué
la souffrance de cette employée qui, après le harcèlement sexuel auquel elle fait face,
a dû s’armer de patience et de courage pour affronter le harcèlement moral qu’elle subit.
«Aujourd’hui je suis hypertendue, je souffre de plusieurs maux dus au stress incessant
et au mal-être que je vis», raconte-t-elle.Le refus de la victime de se plier à la loi du silence
en subissant les avances malsaines de ce responsable est ainsi cher payé ; elle a été écartée
de son groupe de travail sans aucune tâche professionnelle précise. «On a déplacé mon bureau,
on ne me donne aucun travail et personne ne m’adresse plus la parole»,
explique notre interlocutrice en étouffant un sanglot qui trahit le désespoir dans lequel elle se
trouve depuis presque une année. «Je résiste depuis des mois. Je suis blessée dans ma dignité
et dans mon amour-propre. Je ne demande qu’à être réhabilitée dans ce droit au respect
et à la dignité», dit-elle.Le réseau Wassila Avife, qui est une coalition de plusieurs associations
accompagnant les femmes en détresse et les victimes de harcèlement sexuel et autres formes
de violence, se mobilise autour de cette affaire. Le harcèlement sexuel qui touche de plus en
plus de femmes actives reste encore tabou dans notre pays. Très peu de victimes osent porter
une plainte vu les difficultés qui se dressent devant elles pour que justice leur soit rendue.
Malgré les amendements apportés au code pénal et le durcissement des dispositions pour lutter
contre les différentes formes de violence faites aux femmes, les victimes ont toujours du mal
à déposer plainte. «Les travailleuses ont besoin de la protection de la loi, mais les victimes doivent
être soutenues pour que les harceleurs soient dénoncés et condamnés. Le processus nécessite
une mobilisation de toute la société civile, qui doit agir pour que la victime, déjà vulnérable,
ne reste pas livrée à elle-même», lance Soumia Salhi, militante féministe et syndicaliste venue
exprimer son soutien à la victime.
Fatima Arab
Scandale dans un lycée à Skikda
Deux enseignantes agressées sexuellement par un inspecteur
Publication 09/02/2016 13h41 CET
Mis à jour 09/02/2016 16h15 CET
Un inspecteur d'éducation est accusé d'avoir agressé sexuellement deux enseignantes à Skikda,
poussant la direction de l'Education à envoyer une commission d'enquête à l'établissement,
a rapporté mardi 9 février le journal El Khabar.
Pièce jointe 21533
Les faits de ce scandale remontent à lundi dernier quand l'inspecteur de la matière histoire-géographie
s'est rendu au lycée Zighoud Youcef à El Harrouch (Skikda) pour une visite d'évaluation
et d'orientation des deux enseignantes. En tête à tête avec chacune d'elles dans le bureau
du censeur de l'établissement, explique le quotidien, il a tenté de les agresser sexuellement
avant qu'elles ne fuient le bureau en criant.
Le directeur du lycée a par la suite envoyé un rapport détaillé sur l'incident au directeur
de l'Education de la wilaya. Ce dernier s'est empressé d'envoyer une commission d'enquête sur les lieux.
L'inspecteur a nié les faits qui lui sont reprochés selon El Khabar, qui cite le rapport de la commission
rendu lundi 8 février au directeur de l'Education. Les deux enseignantes, selon la même source,
ont pour leur part réaffirmé avoir été victimes d'agression sexuelle. La direction de l'Education
n'a pas encore rendu son verdict sur cette affaire.
Selon une enquête du CLA (Conseil des Lycées d'Algérie) publiée en octobre 2014,
30% des enseignantes sont victimes de harcèlement sexuel de la part de leurs directeurs ou
des inspecteurs des matières qu'elles enseignent.
Les chiffres sur le harcèlement sexuel au travail en général sont encore plus effrayants
66% des employées du secteur public en sont victimes, selon une enquête réalisée en juin 2014
par la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH)
Des chiffres effrayants, j'espere que c'est exagerè
Hi l'Italo-amigo et les amis,
De toute façon la femme a toujours été la victime de l'homme, l'homme pas l'espèce mais le sexe masculin, comme quoi, depuis la nuit des temps, elle sert qu'à un seul objectif:.....................
Quelle agreable surprise doc :)
Oui dans la soit dite societè occidentale elle n'est pas a l'abrit non plus loin de la, mais 66% c'est degueulasse, sa me rends mal a l'aise
Bonsoir ; concernant "exagéré" je suis totalement d'accord eu la même impression
vue elles étaient deux ? Et je tiens à vous informez je suis natif de cette ville ,
une véritable mafia ,machination..et de tous ce que vous voulez règnent ici.
Le web il faut quand fassent attention de tous ce qu'ils disent
Quand à vous Harroudiroi "la femme a toujours été la victime de l'homme..." j'approuve.
Bon fin de soirée.
A la une/Actualité_ Affaire de harcèlement sexuel à l’Anesrif
le 15.02.16 | 10h00
Le DRH relaxé
Le directeur des ressources humaines de l’Agence nationale d’études
et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (Anesrif),
poursuivi pour harcèlement sexuel par une employée, a été relaxé hier
La plaignante, une secrétaire de l’Agence, a décidé de faire appel.
Le verdict rendu, hier, par le tribunal de Rouiba a suscité
l’incompréhension des militantes du réseau Wassila qui ont accompagné
la plaignante. «C’est un coup de massue», estime Mme Djerbal,
du réseau Wassila, en se référant au réquisitoire du procureur
qui «était plus juste envers la victime».
Le procureur avait, rappelle-t-on, requis 6 mois de prison contre
l’accusé. «Le réseau Wassila a décidé de poursuivre son action
de mobilisation et de soutien à l’égard de l’employée d’Anesrif
ainsi que de toutes les victimes de harcèlement sexuel»,
ajoute Mme Djerbal, qui rappelle que le chemin «est encore long»
devant les victimes de harcèlement sexuel, malgré les amendements
introduits dans le code pénal.
F.A.
Une jeune fille libérée moins d’une heure après son enlèvementle 24.02.16 | 10h00
Une jeune fille a été libérée des mains de ses ravisseurs par
des éléments de la sûreté urbaine de la Chiffa (Blida), qui sont
parvenus à arrêter les mis en cause moins d’une heure seulement
après leur forfait, selon les services de la sûreté de wilaya.
C’est suite au passage d’un véhicule touristique à un barrage
sécuritaire de la ville de Chiffa, avec à son bord deux jeunes
gens de 27 et 35 ans et d’une jeune fille de 21 ans qui appelait
au secours que des policiers en faction ont tenté d’arrêter
le véhicule, dont le conducteur a pris la fuite en direction de
la ville de Mouzaïa, a-t-on expliqué de même source. Les ravisseurs
ont été ensuite obligés d’abandonner leur véhicule avec la fille
à son bord, prenant la fuite à la vue du déploiement des agents
de la police à l’entrée de la ville. Suite à quoi, il a été procédé
à l’arrestation du premier suspect dans cette affaire par les éléments
de la sûreté urbaine de Chiffa qui ont libéré la jeune fille et
récupéré l’arme blanche utilisée pour la menacer.
Son complice a été arrêté plus tard par des éléments de la sûreté
de Koléa, a indiqué la même source.