Affichage des résultats 1 à 9 sur 9

Vue hybride

Message précédent Message précédent   Message suivant Message suivant
  1. #1
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    169

    Post Entreprise Publique Cleanski

    Entreprise publique Cleanski de Skikda
    Neuf tonnes de plastique recyclées

    L’entreprise publique de wilaya de gestion des déchets et des centres
    techniques d’enfouissement de Skikda (Cleanski) vient d’entamer
    un grand programme de recyclage des déchets, consacré dans un
    premier temps au plastique.

    En effet, il y a quelques jours seulement, l’entreprise a réussi à collecter,
    trier et compacter 09 tonnes de matières plastiques. «Il nous a fallu deux semi-remorques pour charger ces matières compactées destinées à un sous
    -traitant privé avec lequel notre entreprise avait signé une convention
    auparavant.
    C’est une opération menée de bout en bout par les agents de
    notre entreprise et elle ne fera que nous encourager à persévérer dans cette
    vision du recyclage qui constitue l’un des fondements de Cleanski»,
    expliquera Mme Tamouza, directrice de cette entreprise publique. En marge
    de cette opération, l’entreprise, qui reste très présente en matière de gestion
    des déchets ménagers d’une partie de la ville de Skikda, a réussi, ces dernières années à étendre son champ d’action à d’autres volets proches de ses missions. L’exemple le plus important reste la grande opération d’éradication des
    décharges sauvages qui existent au niveau du territoire de la wilaya.
    En étroite collaboration avec la direction de l’environnement, Cleanski a énormément contribué à mettre fin aux nuisances de la décharge sauvage de Dem-El-Bagrat,
    non loin de Ben-Azzouz. «C’était l’une des plus grandes décharges sauvages
    au niveau de la wilaya de Skikda. Elle a de tout temps constitué un point noir,
    où plusieurs communes et mêmes des particuliers venaient déposer leurs déchets hétéroclites. On a mis tout un mois pour venir à bout de cette décharge. Il nous
    a fallu creuser une grande fosse, non loin des lieux qu’on a d’abord rendus
    étanches avant d’y déposer les déchets qui jonchaient une grande parcelle du
    terrain. Une fois couvert de terre, cet espace retrouvera ses verdures d’antan», précise la directrice de Cleanski.


    Khider Ouahab





    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. #2
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Localisation
    alger algerie
    Messages
    17 595
    Thanks
    80
    Total, Thanks 51 876 fois
    Pouvoir de réputation
    10

    Re : Entreprise Publique Cleanski

    Dr Mohamed Tahar Aïssani . Spécialiste en anatomopathologie et médecine de l’environnement

    «Il y a un manque de rigueur dans l’application des textes règlementaires»

    Les rejets industriels, l’amiante, les huiles Askarel ou PCB, les produits phytosanitaires, les insecticides font des ravages, et ce, dans l’indifférence la plus totale. Des données précises à même d’illustrer la gravité de la situation en Algérie ?
    Le manque de chiffres fiables en termes de tableau de bord et de registre du cancer rend difficile la réplique, mais c’est une question qui nous autorise à dire que les dérivés du pétrole, les huiles de vidange, les piles, les condensateurs, les huiles Askarel, les émanations du parc auto et des unités de production et de raffinage en font partie.
    D’autre part, l’amiante est classé par le Centre international de recherche (CIRC) dans la catégorie des substances cancérigènes dont l’inhalation des fibres libérées par ce matériau provoque des pathologies irréversibles, invalidantes et même mortelles au même titre que les effets des rayons électromagnétiques. Tous ces produits et agents sont responsables de divers types de cancers, de leucémies, de malformations, d’avortements, d’infertilité, d’irritabilité, d’insomnies, de migraines, etc. Les chiffres comptent peu devant l’ampleur de la pollution, car en réalité la maladie environnementale est une pathologie transgénérationnelle, où les chiffres sont biaisés.

    Vers la fin octobre 2012, l’Anpep avait dressé un bilan des plus inquiétants. Nous sommes fin 2016, autrement dit quatre années ont passé depuis. Est-ce que ces chiffres sont toujours d’actualité ? Qu’a-t-on fait depuis ?
    Oui, pire encore, on assiste à une progression du phénomène de la pollution en raison du manque de rigueur dans l’application des textes règlementaires… L’Etat algérien a pris conscience de la problématique de l’environnement sur tous les plans, notamment le cadre institutionnel où il reste, tout de même, des imperfections telles que l’implication directe du citoyen algérien, des institutions (école-université-santé-mosquée), la coordination entre les différents acteurs, plus particulièrement au niveau de la base, également l’intégration des BHC (Bureaux d’hygiène communaux) en tant que structures pilotes dans la préservation de l’environnement et en tant qu’acteurs dynamiques dans le projet ville-santé.

    L’Algérie se prépare à adhérer à l’OMC, ce qui suppose, entre autres, l’alignement ou la conformité aux tatillonnes règles et normes environnementales et sécurité alimentaire comme celles définies par le Codex Alimentarius. D’après vous, notre pays qui est visiblement l’un des pays les plus défaillants dans tout ce qui se rapporte à la question environnementale, ne risque-t-il pas de se retrouver empêtré dans d’insurmontables différends commerciaux avec les lourdes retombées financières que cela suppose ?
    Je dois d’abord préciser que notre pays n’est pas le plus défaillant dans ce volet environnemental. L’Algérie vient juste de ratifier l’accord historique pour la lutte contre le réchauffement climatique signé et adopté à Paris par 175 pays (nous nous en réjouissons). Son entrée en vigueur est d’ailleurs prévue d’ici la fin de l’année 2016, après la rencontre d’évaluation, la Cop22, qui s’est déroulée au mois de novembre à Marrakech. Je vous rappelle que l’Algérie à travers sa contribution à la Cop21 a officialisé son engagement à réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES) de 7% à l’horizon 2030, en utilisant des moyens nationaux.
    Toutefois, cette réduction des GES pourrait atteindre 22%, pour peu que l’Algérie reçoive le soutien international nécessaire. La réalisation de cet objectif reste donc subordonnée à l’appui en matière de financements extérieurs, de transfert technologique et de renforcement des capacités. La contribution de l’Algérie couvre les trois gaz les plus importants en termes d’émission : le gaz carbonique (CO2), le méthane (CH4) et l’oxyde nitreux (N20). Pour atteindre les objectifs d’atténuation, l’Algérie mise sur une stratégie cohérente qui s’étale du 2020 à 2030, ciblant particulièrement les secteurs de l’énergie, des forêts, de l’habitat, des transports, de l’industrie et des déchets.

    Pour renflouer les caisses des collectivités locales après la chute des cours pétroliers, les pouvoirs publics ont, entre autres, opté pour la fiscalité écologique, autrement dit l’application du principe pollueur-payeur, y compris à l’encontre du simple citoyen. Pensez-vous que cela peut servir à quelque chose, car comme vous le savez ce principe n’a jamais été réellement appliqué ?
    Vous faites allusion à la loi n°03-10 du 19 juillet 2003 relative à la protection de l’environnement dans le cadre du développement durable est claire, notamment pour le principe de précaution : le principe du pollueur-payeur stipule suivant l’article 100 : «Le fait de jeter, déverser ou laisser couler dans les eaux superficielles ou souterraines ou les eaux de la mer dans la limite des eaux sous juridiction algérienne, directement ou indirectement, une ou des substances quelconques dont l’action ou les réactions entraînent, même provisoirement, des effets nuisibles sur la santé de l’homme ou des dommages à la flore ou à la faune «…» est puni de deux (02) ans d’emprisonnement et de cinq cent mille dinars (500 000) d’amende. «…».
    Le tribunal peut également imposer au condamné de procéder à la restauration du milieu aquatique. «…». Art 102 : «Le fait d’exploiter une installation sans l’autorisation requise à l’article 19 (qui peut présenter des dangers pour la santé, l’hygiène, la sécurité, l’agriculture, les écosystèmes, les ressources naturelles, etc), est puni d’un (01) an d’emprisonnement et de cinq cent mille dinars (500 000) d’amende. «…». Le tribunal peut exiger la remise en état des lieux dans un délai qu’il détermine. C’est une loi qui est impeccable, promulguée il y a plus de 13 ans.
    Elle a été appliquée d’une manière incomplète. Elle doit être appliquée dans toute sa rigueur (comme toutes les autres lois de la République d’ailleurs), elle a pris le temps qu’il faut pour des raisons purement économiques. Et, sans verser dans la polémique, nous souhaitons la voir appliquée sur l’ensemble du territoire national et à tous les contrevenants. Entre nous, et pour revenir à votre question, je ne pense pas que cette taxe va régler notre problème économique. Le fondamental, c’est d’aller travailler et d’opter pour une économie verte réelle et durable.

    Naima Benouaret

    Atlas HD100 et 200 V B118/134 F400/F401./GN2000HD PLUS v1.88
    TV Android Iris55'/.TV Condor 32"/ TV samsung 40' serie6/pc amd./ pc LG/tablette samsung GT./Condor obsolète
    Appli iptv :Pzefect player et Iptv extreme serveur magsat
    Abonnez vous à nos pages facebook et twitter



  3. #3
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Localisation
    alger algerie
    Messages
    17 595
    Thanks
    80
    Total, Thanks 51 876 fois
    Pouvoir de réputation
    10

    Re : Entreprise Publique Cleanski

    D’énormes quantités de Cyanure, Amiante, Métaux Lourds… dans la nature

    Les effets sournois des polluants industriels

    Encore plus que par le passé, la problématique et les enjeux de la lutte et la prévention de la pollution industrielle, sous toutes ses formes, manifestes ou perverses, est sérieuse, revêtant un caractère à la fois sociétal, économique et politique.
    La situation est des plus inquiétantes, et c’est le cas de le dire si l’on se fie au sinistre état des lieux récemment dévoilé, lors d’une conférence de presse, par des chercheurs de l’Association nationale pour la protection de l’environnement et la lutte contre la pollution (ANPEP).


    Les récurrents scandales des polluants industriels solides et liquides, tous connus pour causer de graves dommages à l’homme, à l’animal et aux végétaux, largués en toute impunité, à même des oueds de l’Est du pays ; Oueds Seybouse (Annaba), El Kebir (Skikda), Mencha et Djen Djen (Jijel) d’où s’alimentent des humains, s’abreuvent des bovins et ovins et sont irriguées des milliers d’hectares de terres agricoles, ont, une fois encore, poussé les écologistes de l’Anpep à tirer la sonnette d’alarme. Car, à les en croire, la menace sur la santé publique est bien réelle et il serait déraisonnable voire périlleux de la sous-estimer.
    En témoignent les nouveaux chiffres dévoilés, lors de la conférence, qui en disent long sur ce que font subir nombre de nos industriels à l’environnement et les risques auxquels ils exposent leurs concitoyens. En effet, pas moins de 1 700 300 tonnes de déchets solides, 167 millions m3 d’huiles usagées dont 7 millions d’askarel, 800 millions m3 d’eaux usées - seulement 60% traités, auxquels s’ajoutent environ 280 millions m3 d’eaux chargées de métaux lourds sont annuellement déversées dans les oueds, cours et plans d’eau à l’échelle nationale.
    Et pourtant, les effets des polluants industriels sur l’homme, plus d’une expertise scientifique les ont établis.
    Celle que les conférenciers ont tenu à rappeler est l’œuvre de l’ONG Blacksmith Institute en partenariat avec la Croix verte internationale et elle est édifiante. Se basant sur l’un des indicateurs les plus répandus à l’OMS, à savoir (DALY) - Disability - adjusted life years -, Années de vie corrigées de l’incapacité (AVCI), qui consiste «à mesurer les années de vie en parfaite santé perdues du fait de l’exposition aux polluants industriels», les auteurs de l’étude sur les pires problèmes induits par la pollution dans le monde ont fait ressortir que 17 millions d’AVCI sont attribuées aux polluants industriels.
    Un impact comparable avec celui des maladies les plus dangereuses au monde, en l’occurrence le paludisme (14 millions d’AVCI), la tuberculose (25 millions) et le sida (29 millions). Pis, à leurs yeux, ces chiffres sont loin de refléter la réalité «dans la mesure où la plupart des effets sur la santé connus ou présumés sont impossibles à quantifier faute de données démographiques et de capacités d’échantillonnage suffisantes dans de nombreux pays ou encore d’accès aux sites pollués», soulignent les mêmes experts.
    Pollution à grande échelle
    Autant dire qu’en l’absence de bilans exhaustifs et d’AVCI qui nous sont propres, l’Algérien ignore toujours les méfaits de la pollution industrielle sur sa santé, à l’exception des déchets gazeux toxiques émis par les usines de produits chimiques, comme les fertilisants et les cimenteries, auxquels est imputable la progression, à hauteur de 18,4%, du taux des maladies respiratoires chroniques dont et surtout l’asthme, a prévenu Ali Halimi, le président de l’Anpep. Autres polluants, autres risques : pas moins de 2 380 472 tonnes de pesticides périmés sont disséminés à travers 500 lieux dans 44 wilayas ; 40% des entrepôts se trouvent à l’ouest et au sud-ouest du pays et 38,2% sont dans un très mauvais état de stockage, a-t-on prévenu. Plus grave encore : devenus encombrants, plus de 850 tonnes de déchets toxiques, essentiellement composés de cyanure, issus d’une usine de montage de tracteurs, basée à Constantine, reposent, en toute quiétude, depuis près d’un lustre, dans le Centre d’enfouissement technique (CET) de Souk Ahras (El watan jeudi 20 octobre).
    Et pas que : les déchets hospitaliers, cet épineux dossier que l’on persiste à gérer avec une légèreté déconcertante. L’Anpep parle d’un volume annuel estimé à 124 611 t dont 66 503 t de déchets ordinaires, 21 900 t de déchets contagieux, 29 200 t de déchets toxiques et 7008 t de déchets spéciaux qui finissent, en grande partie, dans les décharges publiques, contrôlées ou sauvages, que fréquentent des milliers d’animaux, les vaches en particulier. Et c’est là où sont également évacuées entre 20 000 à 30 000 t/an de produits alimentaires périmés. Récupérés, ils sont remis à la consommation par les milliers de personnes qui vivent de ces décharges, notamment les conserves de tomate, de confiture, de sardines, chocolat, fromage, etc., déplorent les scientifiques de l’Anpep. Selon les données de l’OMS, «les pollutions environnementales contribuent à hauteur de 19% de l’incidence du cancer dans le monde et sont responsables de 1,3 million de décès chaque année».

    Naima Benouaret

    Atlas HD100 et 200 V B118/134 F400/F401./GN2000HD PLUS v1.88
    TV Android Iris55'/.TV Condor 32"/ TV samsung 40' serie6/pc amd./ pc LG/tablette samsung GT./Condor obsolète
    Appli iptv :Pzefect player et Iptv extreme serveur magsat
    Abonnez vous à nos pages facebook et twitter



  4. #4
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Localisation
    alger algerie
    Messages
    17 595
    Thanks
    80
    Total, Thanks 51 876 fois
    Pouvoir de réputation
    10

    Re : Entreprise Publique Cleanski

    Karim Ouamane . Directeur de l’Agence Nationale des Déchets

    «Tous les déchets sont potentiellement valorisables»


    Peut-on avoir une idée sur le potentiel en matière de valorisation des déchets dont nous disposons sachant qu’actuellement seulement 10% des déchets sont recyclés ? Selon des chiffres officiels, seulement 10% de nos déchets sont recyclés. Dans quels segments des déchets solides a-t-on le plus de potentiel valorisable et recyclable ?
    Les déchets, qu’ils soient issus des ménages ou du secteur des activités constituent un mélange de matières premières à séparer après usage. Si on parle de déchets ménagers, il faut savoir que l’Algérien génère pas moins de 300 kg par an de résidus dont 30,63%, soit 95 kg par an, sous forme d’emballages tous matériaux confondus et un peu plus de 54% de matière putrescible, soit 169 kg par an, potentiellement valorisables sous forme d’amendement pour les terres agricoles.
    Ces ratios rapportés au nombre d’habitants à l’échelle nationale constituent une valeur marchande de 38 milliards de dinars par an. Si on considère les 300 00 tonnes de déchets spéciaux générés chaque année en Algérie, leur valorisation constitue une valeur marchande de plus de 3 milliards de dinars. Ceci nous amène à dire que tous les déchets sont potentiellement valorisables quelles que soient leur origine et leur nature.

    Les centres d’enfouissement technique ont remplacé les décharges, mais des décharges sauvages pullulent ici et là. Comment concrétiser une bonne politique de valorisation dans ces conditions ?
    Les Centres d’enfouissement technique ou CET ne constituent qu’un maillon de toute la chaîne de gestion des déchets ; d’ailleurs, c’est l’infrastructure qui se trouve en bout de chaîne. Le CET n’est le réceptacle que des déchets dont le recyclage n’est pas viable techniquement et économiquement et qu’on appelle communément déchets ultimes. Initialement, les CET ont été réalisés pour éradiquer la pratique de mise en décharge sauvage. Malgré la persistance d’un certain nombre de points noirs, cette pratique est largement jugulée.
    Ceci dit, M. le ministre des Ressources en eau et de l’Environnement s’attelle, dans le cadre d’une nouvelle dynamique, à faire des CET des centres de ressources à la place de lieux d’enfouissement tout court. Cette dynamique s’appuie également sur l’aspect économique du déchet qui était considéré uniquement sur son aspect environnemental vu le contexte qui prévalait. Le processus est mis en branle et les principaux leitmotivs sont le tri, la planification de la collecte, la valorisation, le partenariat…
    Les entreprises de recyclage se plaignent souvent d’obstacles en matière de collecte des déchets (ceux des entreprises publiques soumis aux enchères, ceux des privés durement négociés, une grande partie circule dans l’informel). Qu’est-ce qui est entrepris pour résoudre cette situation ?
    Les matières première issues des déchets, ou matières premières secondaires, constituent un intrant de substitution à la matière première vierge pour les process de transformation et ou de fabrication. Au même titre que les matières premières vierges, l’approvisionnement en matières premières secondaires obéit aux règles du marché.
    Donc, les investisseurs, dans leur étude de marché, doivent considérer cet aspect. Néanmoins, et dans le cadre de la prise en charge du déchet dans sa globalité, un certain nombre de mécanismes de facilitation sont à considérer afin de motiver l’investissement en la matière.
    La prise en charge doit se faire par filière, car les différents générateurs doivent déclarer régulièrement leurs flux de déchets et participer à la gestion de ces derniers.
    Quant au secteur informel, il constitue un acteur comme d’autres. Il suffit juste d’imaginer les mécanismes adéquats pour les motiver à s’inscrire dans le cadre des filières formelles.

    Safia Berkouk

    Atlas HD100 et 200 V B118/134 F400/F401./GN2000HD PLUS v1.88
    TV Android Iris55'/.TV Condor 32"/ TV samsung 40' serie6/pc amd./ pc LG/tablette samsung GT./Condor obsolète
    Appli iptv :Pzefect player et Iptv extreme serveur magsat
    Abonnez vous à nos pages facebook et twitter



Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •