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  1. #11
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    Re : Pendant 3 ans, il porte son camarade handicapé jusqu'à l'école

    salam

    J imagine que cela n a pas du être facile ni pour l un ni pr l autre,physiquement pour l un et reconnaitre son handicap pr l autre .
    "je ne suis rien sans toi" lui a certainement t il dit !
    sa bonté le rapproche de dieu .il n est pas nécessaire de porter un vêtement ni de réciter des phrases,ni d être entre quatre murs !été
    j ai entendu une dame agée dire qu elle avait été au moins 4 fois en pèlerinage a la Mecque et j avoue que je n ai pas compris .
    Dernière modification par jim63 ; 01/05/2015 à 15h53.
    Zgemma S2 openATV 6.0 hybrid c est l avenir.

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    Post Le président de l’association des handicapés Espoir de Mekla sous mandat de dépôt


    handicap-logo30.pngZ2.jpgimages.jpg
    Poursuivi dans une affaire de gestion de matériel paramédical pour handicapés
    Le président de l’association des handicapés Espoir de Mekla sous mandat de dépôt

    Poursuivi pour des faits liés à la gestion de plusieurs lots de matériel paramédical d’une valeur estimée à près de 100 000 euros, convoyé de France par l’ONG française, l’Elan du cœur, au profit des handicapés de Mekla, près de 20 km à l'est de Tizi-Ouzou, H. G., président de l’association des handicapés Espoir de Mekla a été mis sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près le tribunal d’Azazga qui a ordonné sa mise sous écrou à la maison d’arrêt de la même ville. Une décision prise à l’issue de l’audition, dans la journée de mardi dernier, du mis en cause. Le même magistrat a auditionné trois autres personnes citées comme témoins dans cette affaire, mettant aux prises le président de l’association Espoir et la présidente de l’ONG française l’Elan du cœur, qui a déposé une plainte suite à des soupçons de malversations sur ces accessoires pour personnes à mobilité réduite dont, notamment des fauteuils roulants électriques, des lits orthopédiques, des lits à escarre, des poussettes pour bébés nés avec des infirmités motrices.
    Rappelons que l’affaire a été mise au jour par une enquête publiée par Le Soir d’Algérie, au cours du mois de janvier de l’année en cours.
    S. A. M.
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  4. #13
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    Re : La triste condition des handicapés en Algérie-Qui sommes nous ?

    Derobè des handicapès, un acte abjecte

    Si Dieu existe, j'espère qu'il a une bonne excuse

    Woody Allen

    Non rispondo a cose che gia hanno la loro risposta nelle FAQ
    LE FAQ LEGGETELE


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  5. #14
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    Re : La triste condition des handicapés en Algérie-Qui sommes nous ?

    Que cela n'empêche pas les dons.
    Chez nous en france il y a des personnes qui regardent plus loin que le bout de leur nez.
    Espérons que cette affaire sera vite réglée et n'empêchera pas la solidarité entre nos peuples.

  6. #15
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    Post La Journée Internationale des Personnes Handicapées



    02 Decembre 2014

    La Journée Internationale des Personnes Handicapées
    03 décembre 2015

    images_2.jpg
    Journée internationale des handicapés_festivités culturelles
    MER, 03/12/2014 - 15:44

    Par Chahrazad Ait Mouhoub

    Plusieurs activités culturelles ont été programmées dans différentes wilayas à l’occasion de la journée internationale des handicapés. Un riche programme a été organisé par l’union nationale des handicapés au TNA .Ceci démontre les capacités de cette frange de la société
    dans les différents domaines culturels.

    U n autre écho de cette célébration nous vient de Tizi Ouzou où l’association des handicapés de cette région trace aujourd’hui un programme animé par plusieurs chanteurs tel que Kheloui Lounes ,Sihem Stiti etc au niveau de l’hôpital universitaire Cherif Nadir.
    Sonore de Berkat roza membre de l’union nationale des handicapés
    au micro du reporter de Hamdi Madani.

    Sonore de Kheloui Houcine président de l’association des handicapés à la wilaya de Tizi Ouzou .
    Mr. Kheloui Houcine, président de l’association des handicapés à la wilaya de Tizi Ouzou .

    Jeudi, 03 Décembre 2015 17:26

    Plus de 29.000 handicapés bénéficient des programmes de
    la formation et de l'enseignement professionnels

    Plus de 29.000 handicapés bénéficient des programmes de la formation
    et de l'enseignement professionnels

    ALGER- Plus de 29.000 handicapés ont bénéficié des programmes de la formation
    et de l'enseignement professionnels depuis 1999, indique un bilan du ministère
    rendu publique jeudi à l'occasion de la visite d'inspection du premier responsable
    du secteur, Mohamed Mebarki dans plusieurs établissements
    relevant du secteur dans la capitale.


    Selon le document, quelque 2.000 stagiaires sont formés chaque année
    alors que 1.216 stagiaires handicapés dont 429 femmes ont été recensés
    au premier semestre de l'année en cours.

    Lors de sa visite au centre de formation spécialisé pour personnes handicapées
    "Said Belalam" à l'occasion de la journée mondiale des personnes handicapées,
    le ministre a souligné que "l'insertion" de cette catégorie dans
    les différentes secteurs et selon les moyens disponibles,
    constituait une priorité pour le secteur.

    Il a rappelé les dispositions prises en faveur de l'insertion de personnes aux
    besoins spécifiques dans le processus de formation et d'enseignement
    professionnels comme les mesures de dispense des examens, les concours d'accès,
    la priorité en matière d'hébergement et la possibilité de prolonger
    la durée de formation et la reprise du cycle pour les stagiaires ayant interrompu
    leur formation pour des raisons de santé.

    Le ministre a par ailleurs rappelé que le secteur disposait de quatre centres régionaux
    de formation spécialisé pour personnes handicapées (Alger, Boumerdes,
    Laghouat et Relizane), ajoutant qu'un autre centre
    devrait être réceptionné à Skikda en 2016.

    M. Mebarki a insisté à cette occasion sur la sensibilisation des parents des personnes
    aux besoins spécifiques quant à l'importance de la formation afin
    de bénéficier des moyens "importants" consacrés par l'Etat en faveur de cette catégorie.



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    Post SOS d’un Handicapé





    A la une Actualité_SOS d’un Handicapé
    le 17.12.15 | 10h00

    Le cas Ahmed Khenchouche

    Cloué à une chaise roulante usée, Ahmed Khenchouche, 48 ans, propose des lustres à 100 DA
    disposés à même le sol, sur l’une des allées de la cité des 3555 Logements, à Sidi Hamed.

    SOS d’un Handicapé.jpg

    C’est son unique moyen de subsistance. Paraplégique, Ahmed souffre d’une pathologie osseuse
    qui lui pourrit la vie. «Je suis né avec une malformation osseuse. Mes os sont infectés,
    le mal ronge inexorablement mon corps. Je ne sais pas combien de temps il me reste à vivre.
    J’ai traîné pendant 40 ans dans les hôpitaux, on a trituré mes jambes dans tous les sens,
    maintenant, il n’en reste plus rien», explique-t-il en brandissant sa carte de handicapé à 100%.

    Ahmed nous invite à le suivre. Il se meut péniblement en faisant tourner les roues râpées de
    son fauteuil poussif qui, à l’image de ses os, s’effrite à vue d’œil. Il parcourt quelques mètres
    jusqu’à la cage d’escalier d’un petit immeuble. A l’abri des regards indiscrets, il baisse
    son pantalon jogging pour nous montrer le terrible mal qui le dévore. L’infection a entamé
    ses hanches, sa cuisse droite. «L’os a fini par transpercer la chair», gémit-il en exhibant
    une plaie béante. «Sawwar, sawwar (Prends-ça en photo)»,
    répète-t-il à l’adresse de Samy, notre collègue, qui frémit.

    Ce n’est pas beau à voir, c’est sûr. «J’ai dû faire une prothèse au niveau de la jambe droite,
    la prothèse tient dix ans. Après, ton corps ne la supporte plus, et ça provoque une infection.
    Une fois que ça attaque le corps, ça te tue à petit feu. Je dois refaire ma prothèse, mais pour
    cela il faut stopper l’infection. J’ai également besoin d’une prothèse pour ma jambe gauche»,
    clame Ahmed. D’après lui, ces soins, très lourds, requièrent une hygiène
    de vie de chaque instant, avec une prise en charge soutenue à domicile.


    «On n’a pas tenu compte de mon handicap»

    En clair, Ahmed Khenchouche a besoin d’un logement individuel, lui qui a été relogé avec sa sœur
    et ses enfants. «Je suis un handicapé lourd, avec des besoins spécifiques. Pour ma toilette intime,
    pour mes soins, j’ai besoin d’un espace personnalisé. On n’a pas tenu compte de ma situation
    et on m’a mis avec ma sœur. Je suis marié, mais mon épouse ne veut pas venir dans ces conditions.
    Elle est retournée chez ses parents, à Kouba. Et sans le soutien de ma femme, je ne peux rien faire.

    Depuis qu’on a emménagé ici, elle n’est venue qu’une seule fois. Cela fait plus d’un mois que je ne
    me suis pas lavé. J’ai aussi un ami qui venait m’aider quand j’habitais à Remli, maintenant il ne
    peut pas venir. Ma sœur est divorcée, elle a un garçon de 27 ans et une fille de 18 ans. Ce ne sont pas
    des gamins, ils ont eux aussi leur vie à faire. Ma sœur veut marier mon neveu, ce qui est légitime,
    et moi je ne sais pas ce que je vais devenir. Depuis qu’on est venus, on n’a pas défait nos cartons.
    Nos affaires sont entassées dans le salon.

    Les autorités auraient dû tenir compte de mon cas et m’attribuer un logement individuel comme elles
    l’ont fait pour toutes les familles nombreuses. Qui plus est, j’ai un fils aussi. Je veux pouvoir réunir
    ma famille dans un logement décent de sorte qu’on puisse s’occuper de moi.» Ahmed a déposé un recours
    et attend. «Il y a 400 familles de Remli qui vont être relogées ici dans quelques jours.
    Leur recours a été validé. Mais moi, je n’ai rien reçu», affirme-t-il.


    «Au moins, avant, j’avais mon intimité»

    Revenant sur son douloureux parcours, il raconte : «Je suis né à Ruisseau en 1967. Mon père s’est remarié
    et il nous a jetés à la rue, ma mère, mes frères et sœurs et moi. C’est comme ça qu’on s’est retrouvés à Remli.
    J’y ai passé 20 ans. Et quand je pensais voir enfin la lumière, voilà qu’on me prive d’un logement conforme
    à ma situation, surtout quand on voit que des gens qui sont arrivés sur le tard à Remli ont bénéficié d’un
    logement. Certains ont même obtenu plusieurs logements injustement.» Ainsi, comme beaucoup de relogés,
    on ne peut pas dire qu’Ahmed a sauté de joie en recevant les clés de son nouveau logis. «Je ne me suis pas
    du tout réjoui du relogement. A la limite, je préfère la baraque où j’étais.
    Au moins j’étais chez moi, j’avais mon espace privé, mon intimité.

    J’avais mon épouse qui prenait soin de moi, j’avais mes amis qui venaient m’aider.
    Ici, je ne peux recevoir personne», martèle-t-il. En attendant le verdict de la commission de recours,
    Ahmed a besoin en urgence d’un fauteuil roulant pour améliorer sa mobilité. «Je n’ai pas les moyens de m’offrir
    une chaise roulante neuve. Je ne touche même pas l’allocation pour handicapés.
    Si au moins on pouvait m’aider à acquérir un nouveau fauteuil», implore-t-il. Puisse son appel être entendu…

    Mustapha Benfodil


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    Post 14 mars, journée nationale des handicapes





    A la une/14 mars, journée nationale des handicapes
    14 Mars 2016

    Citoyens handicapés.jpg

    Dignité et reconnaissance des droits fondamentaux


    Comme chaque année, a lieu la Journée nationale des personnes handicapées,
    une occasion de nous rappeler cette frange et faire le douloureux bilan de
    la situation réelle du nombre important de citoyens handicapés que compte l’Algérie.
    14 mars, journée nationale des handicapes : Dignité et reconnaissance
    des droits fondamentaux La mobilisation des associations, et les quelques timides efforts
    des pouvoirs publics n’ont su venir à bout d’une forme d’exclusion sociale particulièrement
    brutale, radicale et pérenne. L’engagement des pouvoirs publics quant à leur prise en charge
    réelle pour favoriser leur insertion et notamment en agissant concrètement pour l’encadrement,
    la scolarisation, l’intégration et la mise en place de structures adéquates reste insuffisant.
    Cette journée nationale qui se tient tous les 14 mars de chaque année est par ailleurs
    l'occasion idéale de réaffirmer certains principes de base, trop souvent oubliés: tels que
    le respect et la dignité due à chaque personne, valide ou non, ce qui implique la reconnaissance
    de droits fondamentaux comme l'éducation, l'accès au travail ainsi qu’à un revenu
    pour les personnes lourdement handicapés et dont les parents ont la charge.
    L’handicap est une affaire de tous
    Cette journée est une occasion pour nous d’être à l’écoute de leurs préoccupations, et nous invite
    à modifier le regard que nous portons sur ces personnes handicapées et qui sont parfois même
    rejetés du fait de la vision que nous avons d’eux. Aujourd’hui il est important d’apporter un regard
    neuf sur cette frange. Si nous jetons un regard sur le monde d’aujourd’hui, toutes les sociétés dans
    les pays développés se sont dotées d’institutions et de mécanismes solidaires pour aider et prendre
    en charge cette frange de la société surtout que l’islam le recommande . Aussi est il nécessaire
    de mesurer l’importance des actions entreprises pour la réinsertion des handicapés, afin que
    s’organisent les soutiens et les actions concrètes au profit de cette catégorie, d’autant plus qu’elle
    a besoin d’être prise en considération pour une totale insertion dans la société. L’handicap est
    une affaire de tous, aussi est-il primordial qu’elle fasse l'objet de toute l’attention de la société,
    par un soutien continu ,qui doit évoluer dans le sens de la garantie des droits obligatoires pour
    toute personne handicapée. A l’instar des autres journées nationales et mondiales, cette frange
    de la population n’attire pas assez suffisamment d’attention, alors que nous avons des handicapés
    qui se sont distingués dans diverses activités s’imposant dans la vie et ce par leurs propres moyens.
    Dans ce contexte, la célébration de cette Journée offre la possibilité à toutes les sensibilités de
    la société qu’elles soient gouvernementales, ou non gouvernementales, de réfléchir à des mesures
    concrètes et innovantes pour une meilleure application des normes et règles édictés au niveau
    international et relatives aux personnes handicapées. Associations, organisations, écoles, universités
    et institutions du même type peuvent apporter leur contribution propre, de façon à susciter parmi
    les parties concernées un plus grand intérêt et une prise de conscience des droits sociaux, culturels,
    civils et politiques dont ont droit les personnes handicapées et mettre à leur disposition les moyens
    nécessaires pour que celles-ci puissent mener une vie autonome, de manière à vivre dans la dignité
    et obtenir des moyens de subsistance durables et une sécurité financière.
    Fixer des objectifs et appliquer les normes et règles relatives aux personnes handicapées
    Partout tous les États le monde se sont mobilisés et font des progrès en matière de prise en charge
    et organisent à chaque occasion des manifestations de soutien et de défense des droits
    des personnes handicapées à travers la célébration de la journée internationale,
    contrairement à l’Algérie et ce malgré les efforts consentis mais qui restent pour
    le moins insuffisants de par la précarité de certaines familles qui n’ont aucune ressource
    pour subvenir aux besoins et aux dépenses de leurs enfants handicapés.L’on devrait pour
    cette journée se fixer des objectifs par des actions concrètes, qui fassent avancer l’application
    des normes et règles internationales relatives aux personnes handicapées et qui fassent
    progresser leur participation à la vie sociale et au développement, au même titre
    que les autres personnes.L’occasion est telle que les médias ont un rôle particulièrement
    important à jouer et peuvent concourir au succès de cette Journée et tout au long
    de l’année pour sensibiliser le public aux contributions positives des personnes handicapées.
    La Convention relative aux droits des personnes handicapées, que l’Algérie a ratifiée
    en mai 2009, devrait en principe aider à dépasser le stade revendicatif en appliquant
    la convention et les programmes de développement, qui doivent prendre en compte
    cette catégorie, qui a plus que jamais besoin d’être considérée, à savoir en tant que
    personne à part entière par la société,ce qui n’est pas encore le cas.
    Les pouvoirs publics se doivent d’être à l’écoute de cette frange,qui n’a pas réussi
    à trouver ses repères dans la société du fait de sa marginalisation en donnant les moyens
    d’insertion aux personnes handicapées et à leur parents pour leur permettre, de sortir
    de l’isolement dans lequel ils sont confinés.Cet objectif ne peut être atteint qu’avec
    la participation de tous et en particulier avec l’aide des associations, qui activent pour
    la promotion des droits des handicapés, avec le concours de l’état qui doit tout mettre
    en œuvre pour apporter aide et assistance à tous ceux qui œuvrent à leur insertion.
    Dernière modification par zadhand ; 13/03/2016 à 22h26.
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    Post Quelle école pour les enfants handicapés ?





    A la une/Journée nationale des personnes en situation de handicape
    15 Mars 2016


    Quelle école pour les enfants handicapés ?


    Quelle-ecole-pour-les-enfants-handicapes.jpg

    Les personnes à mobilité réduite sont fortement pénalisées en Algérie.
    Pour Mustapha Khiati, président de la Forem, “l’école algérienne exclut
    les enfants en situation de handicap”. À l’occasion de la Journée nationale
    des personnes en situation de handicap,la Forem a organisé, hier, à Alger,
    une journée d’étude sur “l’inclusion scolaire de l’enfant en situation de handicap”.
    La rencontre était axée sur l’importance de la scolarité de cette frange de la population
    et sur la nécessité de son intégration.“L’école algérienne exclut les enfants en
    situation de handicap”, a déclaré Mustapha Khiati, président de la Forem,
    en marge de la rencontre. Tout en ajoutant que “certains enfants à mobilité
    réduite peuvent intégrer les établissements scolaires généraux, si nous adaptons
    les lieux selon leurs besoins. Nous avons parlé d’inclusion, car nous pensons que
    le handicap n’est pas un motif de rejet de la part de la société”. Pour M. Khiati,
    l’accueil de l’enfant en situation de handicap en milieu scolaire peut commencer
    dès la maternelle. D’après lui, la place des jeunes handicapés dans
    des établissements scolaires n’est pas encore un fait ordinaire.
    “Notre école n’a pas encore atteint un état de développement qui lui permet
    d’accepter tous les enfants souffrant de handicap. Des dispositifs particuliers
    doivent être mis en place en fonction des besoins de ces élèves pour que
    leur scolarité soit la plus simple et la plus complète possible”, a-t-il souligné.
    Pour M. Khiati, l’objectif de l’inclusion scolaire de cette catégorie de la société est
    de faire progresser les enfants dans leur apprentissage pour acquérir le plus de
    connaissances et de compétences, selon leurs capacités. “Pour aider les enfants
    à dépasser leur handicap, un projet d’enseignement personnalisé doit être mis
    en place. Il s’agit de reconnaître la singularité des compétences et des différences
    de chaque élève pour que l’inclusion scolaire soit un vecteur de réduire un tant soit
    peu les effets du handicap”, a précisé le premier responsable de la Forem.
    Selon le professeur, en Algérie, les chiffres ne sont pas connus. La dernière fois
    que “nous avons fait un recensement remonte aux années 90. Mais si nous prenons
    le dernier recensement et que nous faisons une projection, l’Algérie compterait
    près de 600 000 handicapés physique et moteurs”, a-t-il noté. “Nous nous
    apercevons que la catégorie des personnes souffrant de déficit moteur,
    sensoriel et cérébral trouve des difficultés à s’insérer dans l’école. Si nous prenons
    le cas des enfants malvoyants, il y a des dispositifs pour leur prise en charge,
    mais il reste beaucoup à faire. Car bon nombre de wilayas ne comptent aucune
    infrastructure pour accueillir cette frange de la population.”
    Les conditions de vie des personnes en situation de handicap restent très précaires
    en Algérie. Bien que la majorité des infrastructures soit récente, les espaces dédiés
    à cette frange de la population restent inexistants. En Algérie, tout reste à faire
    pour faciliter l’insertion sociale des personnes à mobilité réduite.


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    Post Pas d'augmentation de la pension des handicapés

    " Pas d'augmentation de la pension des handicapés"


    Mounia Meslem::
    le 10.07.16 | 16h44






    Mauvaise nouvelle. La pension des personnes handicapées qui est déjà jugée
    dérisoire ne connaîtra aucune augmentation pour l’heure, a déclaré ce dimanche
    Mounia Meslem, ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Condition de la Femme.



    "On est face à une crise financière très aiguë. Pour l'instant on ne peut
    penser à l'augmentation de la pension des personnes handicapées",
    affirme Mme Meslem qui se désole de cette situation.

    La ministre s’exprimait en marge d’un séminaire organisé conjointement
    avec l’Union Européenne au sujet de l’accessibilité des personnes handicapées.

    Pour palier à cette situation la ministre annonce que son département compte
    lancer un nombre de services destinés à répondre à des besoins précis de cette
    tranche de la population dont, par exemple, la désignation des auxiliaires de vie
    pour les handicaps lourds et offrir des colis alimentaires tout au long de l'année.

    Il est à noter qu'en juillet 2014 Mme Meslem a déposé une demande auprès du gouvernement pour augmenter la pension des handicapés à hauteur de 100%.
    Mais la demande est restée sans réponse.
    Bien que la loi algérienne consacre le
    droit des personnes handicapés à participer activement à la vie sociale, en facilitant notamment l’accès aux édifices, au transport, au système de sante mais aussi aux
    bancs de l’école la réalité est tout autre puisque certaines mesures qui ont été prises
    en faveur de cette tranche de la population attendent toujours des textes d'application. C'est le cas, par exemple, de l'exonération de la TVA pour tout handicapé achetant un véhicule aménagé ou encore l’intégration de ces personnes dans des postes d’emplois conformément à la décision de juillet 2015 qui appelle les entreprises à intégrer les personnes handicapées dans leurs effectifs à hauteur de 1%.

    Mina Adel
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    Post SOS de la mère de Mohamed Azzouz

    SOS de la mère de Mohamed Azzouz

    «SVP, sauvez mon fils»
    le 24.07.16|12h08







    Mohamed Azzouz, un adolescent de 13 ans, vit un drame. Il lance un
    appel de détresse, un SOS pour crier son désespoir. Handicapé, il ne
    peut plus marcher et a des douleurs atroces. Et il risque de ne plus
    pouvoir fréquenter le CEM.
    Mohamed Azzouz, enfant adopté, est né avec
    un handicap. Il présentait un raccourcissement de 2,5 cm de la jambe
    gauche. Sa mère avait entrepris des démarches pour qu’il soit hospitalisé
    à Douera où il a subi une intervention chirurgicale à l’âge de 9 ans.

    En juin 2012, il présentait un raccourcissement de 10 cm ; il a été admis à
    l’hôpital pour une autre intervention consistant à une scission de l’os de la
    jambe afin de placer un fixateur externe permettant le processus
    d’allongement d’un millimètre par jour. Au bout de quelques mois,
    un allongement de 4 cm a été constaté. On lui a placé deux broches allant
    de la partie plate du pied jusqu’au genou en plâtrant la jambe. Mohamed a
    gagné 4,5 cm d’allongement de la jambe gauche. Malheureusement, son pied
    a dévié vers l’extérieur en raison d'un os déplacé à la cheville. Les médecins
    de l’hôpital de Douera l’ont constaté, mais aucune «solution» médicale adéquate
    n’a été donnée.
    Actuellement, Mohamed porte un appareillage avec une chaussure orthopédique montante de 8 cm. Il a un contrôle tous les six mois à l’ Office national d’appareillage pour handicapés, à l’hôpital de Ben Aknoun, à Alger.
    La mère de Mohamed, très inquiète, a décidé de recueillir plusieurs avis de médecins orthopédistes en se rendant à l’hôpital Necker (France) en 2014. Le diagnostic est optimiste quant à voir Mohamed débarrassé de son handicap. Aussi, la mère de
    Mohamed, n’ayant pas les moyens car l’intervention chirurgicale est onéreuse, lance
    un SOS à toute âme charitable pour l’aider à financer l'opération de son fils et le voir marcher et aller au collège à pied avec ses camarades. Une prise en charge des
    pouvoirs publics serait la bienvenue.
    R.C
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

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