Affichage des résultats 1 à 9 sur 9

Vue hybride

Message précédent Message précédent   Message suivant Message suivant
  1. #1
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    168

    Post « Ne vous laissez pas entraîner sur la fausse piste de l’Etat civil »

    A LA UNE/ACTUALITÉ POLITIQUE_Ali Benflis à Blida
    23.01.2016 16:5

    « Ne vous laissez pas entraîner sur la fausse piste de l’Etat civil »
    Par Tarek Hafid

    A partir de Beni Tamou, dans la banlieue de Blida, Ali Benflis a donné le conseil suivant
    aux militants de sa formation : « Ne vous laissez pas entrainer sur la fausse piste de
    l’Etat civil. Cette piste ne mène nulle part et n’est pas destinée à mener quelque part que ce soit.
    Gardez le cap sur l’Etat de droit car contrairement au concept brumeux de l’Etat civil,
    l’Etat de droit à ses constantes, ses critères et ses repères ».
    Le président de Talaie El Hourriyet
    considère qu’il n’y a qu’un seul concept politique qui sied à la République algérienne
    « l’Etat de droit ». « La modernisation politique passe par l’Etat de droit. Si vous m’interrogiez
    sur les constantes de l’Etat de droit, je vous répondrai qu’il s’agit de la citoyenneté exerçant
    ses attributs dans leur plénitude, du choix du peuple respecté et non faussé, des droits
    et des libertés protégés et garantis, des institutions légitimes, représentatives et crédibles
    et de l’exercice des responsabilités publiques soumis au contrôle et à la reddition des comptes»,
    a-t-il déclaré..
    « Au sein de Talaie El Hourriyet nous avons une autre vision de notre pays,
    un pays fort et respecté et non ce pays que seize années d’un pouvoir personnalisé à l’extrême
    ont fragilisé, dévitalisé et déstabilisé. Nous avons une autre ambition pour notre pays,
    un pays en capacité de suivre la cadence accélérée du monde qui l’entoure, un pays capable
    de répondre aux exigences du XXIe siècle, un pays qui n’accepte pas d’être distancé dans
    la course à la sécurité, au progrès et à la prospérité. Nous avons un autre projet pour notre pays,
    celui d’un système politique moderne, d’une économie performante
    et d’une société en phase avec son époque et ouverte sur le monde ».

    Refus du « faux témoignage »
    Benflis est revenu sur le projet de Constitution qu’a décidé d’imposer Abdelaziz Bouteflika. Selon lui,
    ce nouvel amendement répond à trois objectifs : « en premier lieu la personnalisation du pouvoir pour
    qu’il ne soit plus incarné que par un homme et lui seul ; en second lieu prendre d’assaut les manifestations
    de l’équilibre des pouvoirs partout où elles se trouvent pour leur substituer un régime de concentration
    des pouvoirs ; et en troisième lieu s’accaparer des prérogatives du Chef du Gouvernement
    et du Parlement pour que plus aucun autre contrepoids n’existe face
    à un pouvoir présidentiel inhibiteur, dominateur et exclusif ».
    Face aux militants de la région centre,
    il a tenu à s’expliquer sur son refus de prendre part aux processus de consultations politiques
    entamé en 2011. « Pour deux fois, j’ai été invité aux consultations menées sur cette révision constitutionnelle
    et par deux fois j’ai décliné les invitations qui m’avaient été adressées. Pourquoi ai-je décliné ces deux invitations
    me demanderez-vous ? Je vous répondrai que je n’entendais pas être un faux témoin, ni m’associer à l’usage
    d’un faux ni commettre le crime de faux témoignage contre mon pays.

    Qu’ai-je voulu dire par là ? J’ai envers vous un devoir d’explication et je tiens à m’en acquitter devant vous.
    Je ne voulais pas être un faux témoin car en participant à ces consultations j’aurai laissé croire que l’initiative
    de révision constitutionnelle était légitime et qu’elle était le fait d’une autorité mandatée alors qu’elle ne l’était pas.
    Je ne pouvais oublier que la fraude permet certes d’imposer et de forcer des choix mais que dans le même temps
    elle délégitime son bénéficiaire, lui enlève toute crédibilité ou autorité et le prive irrévocablement
    de la confiance du peuple souverain dont le libre choix a été confisqué ».

    Société malheureuse
    Mais la dictature a eu des effets dévastateurs sur la société. Le président de Talaie El Hourriyet a constaté
    que la manne financière dont a bénéficié l’Algérie ces dernières années a engendré malheurs,
    privations et frustrations. Une situation qui incombe au « régime politique
    qui s’est obstiné dans les dérives et les errements ».
    « Notre société n’est pas une société heureuse
    et épanouie. Notre société ne déborde pas de vitalité. Notre société est une société à laquelle son présent
    ne procure que frustration, que son devenir inquiète ou angoisse et qui ne se tourne que vers son passé
    pour y puiser quelques motifs d’espoir ou quelque réconfort. Lorsqu’une société est insatisfaite de son présent,
    qu’elle doute de ses lendemains et qu’elle n’a plus que le passé pour repère, cette société-là
    se condamne elle-même à la stagnation, à la dévitalisation et au désespoir ».

    T.H.
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. #2
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    168

    Post Talaie El Houriat pour une commission nationale « indépendante et neutre »

    Talaie El Houriat pour une commission nationale
    « indépendante et neutre »


    Organisation des élections
    Publié le 15 octobre 2016

    Le président du parti Talaie El Houriat (Avant-gardes des libertés),
    Ali Benflis, a plaidé hier pour la création d’une commission nationale
    « indépendante, neutre et impartiale » qui veillerait à l’organisation
    des élections. Benflis a estimé dans sa réponse, dans le cadre de
    la consultation lancée par la présidence de la République avec
    les partis politiques pour la nomination d’Abdelwahab Derbal à
    la tête de la Haute-Instance indépendante de surveillance des
    élections (HIISE),
    (Annoncé déjà ici )
    que cette dernière « n’est pas conçue comme instrument de
    prévention et de dissuasion de la fraude ». Sans donner un avis
    sur la nomination de Derbal à la tête de cette instance, il a dans
    ce cadre appelé à la création « d’une instance souveraine,
    neutre et impartiale en matière de préparation, d’organisation
    et de contrôle de l’intégralité des processus électoraux ».
    La nomination de Derbal à la tête de la HIISE a été saluée par
    plusieurs partis politiques, alors que d’autres ont émis des réserves
    notamment sur le rôle que peut accomplir cette instance. La
    présidence de la République avait indiqué, dimanche dernier,
    que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika,
    envisage de nommer Derbal à la présidence de cette Haute-
    Instance. L’article 194 de la Constitution a créé cette instance
    qui « veille à la transparence et à la probité des élections
    présidentielle, législatives et locales et du référendum, depuis la
    convocation du corps électoral jusqu’à la proclamation des
    résultats provisoires du scrutin ». Cette même disposition précise
    notamment que l’instance est « présidée par une personnalité
    nationale nommée par le président de la République, après
    consultation des partis politiques ». Le président de la République
    entend prendre les mesures appropriées afin que l’instance
    puisse être mise sur pied sans délai et exercer ses attributions,
    dès les prochaines élections législatives en 2017. Juriste de
    formation, Derbal a, notamment, été élu à l’Assemblée populaire
    nationale en 1997 au titre du parti Ennahda, puis a exercé
    successivement les fonctions de ministre chargé des Relations
    avec le Parlement et de conseiller à la présidence de la
    République, avant de diriger le bureau de la Ligue arabe auprès
    de l’Union européenne, à Bruxelles.
    Derbal a, également, été ambassadeur d’Algérie en Arabie
    saoudite jusqu’au printemps de cette année
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  3. #3
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    168

    Post Talaïe El Hourriyet se prononcera en janvier

    Talaïe El Hourriyet se prononcera en janvier

    Législatives de 2017
    le Samedi 5 Novembre 2016

    La position deTalaïe El Hourriyet, par rapport aux élections législatives
    et locales de 2017, sera connue à l’issue de la session du comité central
    prévue les 6 et 7 janvier.
    Le bureau politique de Talaïe El Hourriyet a annoncé, aujourd’hui samedi,
    avoir fixé « les modalités de consultation des structures locales du Parti au
    sujet des prochaines échéances électorales, en prévision de la réunion du Comité
    central qui décidera de la position du Parti quant à ces échéances ».
    La prochaine
    session du CC devra se tenir les 6 et 7 janvier 2017, a précisé le parti de
    Ali Benflis dans un communiqué.

    Elwatan.com





    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •