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Vue hybride

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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Les Pays-Bas en quarts après leur victoire face au Mexique (2-1)






    Menés à 3 minutes de la fin, les Pays-Bas ont renversé la vapeur face au Mexique pour l'emporter (2-1) et se qualifier en quarts de finale, dimanche au stade Castelao de Fortaleza.

    Le match : Pays-Bas - Mexique : 2-1

    Finalistes malheureux il y a quatre ans, les Pays-Bas ont éprouvé les pires difficultés pour éliminer le Mexique (
    2-1) et se qualifier en quarts de finale du Mondial brésilien. Ils ont souffert pour deux raisons :
    1) La chaleur accablante (38°c au coup d'envoi à 13h00, heure brésilienne), malgré les pauses hydratation aux 30e et 75e.
    2) La qualité de leurs adversaires. Meilleure défense à l’issue de la phase de poules, les Mexicains ont prouvé qu’ils savaient aussi manier le ballon.
    En première période, ils se sont procuré les occasions les plus dangereuses (17e, 20e, 24e, 28e, 42e) et ont logiquement ouverts le score au retour des vestiaires (Giovani Dos Santos à la 48e).

    Les Néerlandais ont poussé pour égaliser, mais De Vrij (57e) a d’abord vu sa reprise à bout portant détournée sur son poteau par Ochoa.
    Pour réussir à tromper le gardien mexicain, Wesley Sneijder a mis tout ce qu’il avait (88e). Cinq minutes plus tard (90e+3), Arjen Robben a obtenu le penalty de la qualification, inscrit par Klaas Jan Huntelaar.
    C’est la sixième fois de suite que les Mexicains sont éliminés en huitièmes de finale d’une Coupe du monde.



    Le tournant du match : l'entrée de Klaas Jan Huntelaar


    Comme tournant du match, nous aurions pu vous parler de la sortie de Nigel De Jong dès la dixième minute (blessé à l'aine), qui a complètement désorganisé le milieu batave. Mais, alors que les Pays-Bas n’arrivaient pas à percer le coffre-fort mexicain et que Robin van Persie n’avait pas cadré la moindre frappe, l’entrée en jeu de Klaas-Jan Huntelaar à la 76e minute a tout changé. Pour ses premières minutes de jeu au Brésil, l’attaquant de Schalke 04 a d’abord remisé le ballon de la tête vers Wesley Sneijder sur l’égalisation (88e). Il a ensuite pris ses responsabilités et le ballon des mains de Robben pour tirer le penalty. Il n’a pas tremblé et a pris Ochoa à contre-pied pour qualifier les Néerlandais en quarts de finale. En 14 minutes passées sur la pelouse, Huntelaar n'a touché que 7 ballons. Suffisant pour délivrer une passe décisive et marquer un but…

    Un homme dans le match : Arjen Robben





    Face à la meilleure attaque du Mondial, Arjen Robben n’a pas eu beaucoup de ballons à exploiter. Mais il a fait passer un frisson dans la défense mexicaine à chaque fois qu’il s’est lancé dans un raid dont il a le secret.
    Pour l’arrêter, les Mexicains n’ont pas hésité à contrer le ballon de la main (Marquez à la 15e), à le sécher à l’entrée de la surface (22e) ou dans la surface (45e+2). A chaque fois, M. Proenca n’a pas sifflé. A la fin de la première période, le Néerlandais s’est fait pourtant fait tacler non par un, mais deux joueurs (Marquez et Moreno). Et quand il se retrouvait, enfin, face à Ochoa, il a perdu son face à face (74e).
    Robben a finalement obtenu le penalty de la qualification pour une nouvelle faute de Rafael Marquez dans la surface.




    Dernière modification par edenmartine ; 30/06/2014 à 10h51.


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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    le Costa Rica élimine la Grèce (1-1)

    Pour la première fois de son histoire, le Costa Rica s'est qualifié pour les quarts de finale d'un Mondial. Ce dimanche soir, les Ticos ont battu la Grèce (1-1, 5-3 tab). Ils affronteront les Pays-Bas pour une place dans le dernier carré.


    https://mtc.cdn.vine.co/r/videos/CA6...j9e44Q2blZKpWX



    Le match : Costa Rica - Grèce : 1-1

    Que n’a-t-on pas entendu avant ce match?
    C’était le 8e de finale qu’on pouvait zapper, celui qui nous bercerait lentement vers le sommeil. Rien de tout cela ! Au terme d’un match haletant basculant aux tirs au but, le Costa Rica s’est qualifié pour le premier quart de finale de son histoire.
    Réduite à 10 à partir de la 66e minute, la sélection emmenée par Bryan Ruiz est sortie victorieuse de la



    séance de tirs au but grâce à une parade de Navas devant Gekas et un 5 sur 5 devant les cages grecques.


    Certes la première période a été peu spectaculaire. Les joueurs sont rentrés aux vestiaires sous les sifflets. La faute à une Grèce trop défensive et à des Ticos peu habitués à faire le jeu. Mais dès le retour des vestiaires, le match a gagné en spectacle.
    Les Costariciens ont pris l’avantage sur leur seul tir cadré du match. Sur un service de Bolanos à l’entrée de la surface, Bryan Ruiz a trompé Kamezis d’un plat du pied surprenant par sa lenteur (52e).
    Les Ticos ont longtemps cru tenir le bon bout grâce à un excellent Navas avant que des Grecs méritants ne rééditent leur «
    coup ivoirien» de la phase de groupes en inscrivant un but dans les derniers instants de la partie par Papastathopoulos (90e +1).
    Maladroits et inefficaces (Mitroglou 116e et 120e), ils n’ont pas su prendre l’avantage lors de la prolongation avant d’échouer face au génial gardien adverse.



    L'homme du match : Keylor Navas



    Depuis le début de cette Coupe du monde, Keylor Navas est en feu. Face aux Grecs, le gardien de Levante a été fidèle à sa réputation. Quasi-imbattable. Avec, en clou du spectacle, sa parade décisive sur le 4e tir au but grec, tiré par Gekas. Auparavant, Navas les avait écœurés. D’abord en déviant à bout portant la reprise de Salpingidis (38e), seul au 2e poteau après un service de Holebas. Ensuite en s’interposant sur un centre dangereux de Samaras (71e) alors que son équipe, réduite à dix, était acculée puis en se jetant devant les pieds de Mitroglou dans la surface de but (87e). Plus de 330 minutes sous le maillot national sans voir ses filets trembler… jusqu’à ce but de Papastathopoulos (90e +1) après une frappe de Gekas pourtant repoussée. Mais Navas n’a pas sombré. Deux minutes plus tard, le portier tico a empêché la défaite des siens grâce à une parade «Buffonesque» sur une tête puissante de Mitroglou. Puis, face à ce même Mitroglou, son tête-à-tête victorieux (120e) au bout de la prolongation a laissé les Ticos en vie.


    Le tournant du match : la contre-attaque vendangée par les Grecs




    116e minute.
    Le Costa Rica, réduit à 1:0, a les jambes coupées depuis belle lurette. Il a mal négocié son corner. Il n'a plus la force de revenir. Les Grecs sont partis à l'assaut du but adverse. C'est un 5 contre 2. Les Costariciens présents en tribunes sont déjà en train de pleurer, leurs adversaires filent vers la victoire. Mitroglou va pourtant les sauver.
    Il est celui qui a mené la contre-attaque, celui qui a eu tout le loisir et le temps de choisir le bon partenaire.
    Mais il s'est trompé. Un ballon donné tardivement dans les talons de Karagounis.
    Un angle trop fermé... Le capitaine grec a tiré sur Navas. Raté. Le Costa Rica croit de nouveau à la victoire.
    Avec raison.



























    Dernière modification par edenmartine ; 01/07/2014 à 01h17.


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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Une victoire à l'arrachée contre le Nigéria (0:2) France

    Au terme d'un match laborieux, la France s'impose dans la douleur. Les Bleus réalisent l'essentiel en battant une vaillante équipe nigériane qui a manqué de jus dans la dernière demi-heure, et n'a su se montrer aussi efficace que les Bleus devant le but.




    Longtemps accrochés, les Bleus se sont qualifiés pour les quarts de finale du Mondial en s'imposant contre le Nigeria en huitièmes (2-0), lundi 30 juin, à Brasilia, grâce à des buts de Pogba (79e minute) et Yobo (90e + 2) contre son camp. L'équipe de France rencontrera au prochain tour l'Allemagne, vainqueur de l'Algérie après prolongations (2-1).

    Après les fiascos de 2002 et 2010, où la France avait plié bagage dès les phases de poule, les Bleus de Didier Deschamps ont d'ores et déjà rempli leur objectif : Accéder aux quarts de finale. Acquise dans la douleur, cette qualification fut plus plus ardue à obtenir qu'au tour précédent, la France ayant fini en tête du groupe E grâce à deux larges succès sur le Honduras (3-0) et la Suisse (5-2), puis un nul contre l'Equateur (0-0).




    « On ne s'attendait pas à un match facile, on a subi par moments et on prouve que même si on a moins le ballon, on peut rester organisés », savourait Yohan Cabaye, à l'issue de ce huitième face au Nigeria. Le milieu du Paris-Saint-Germain s'apprête donc à disputer un nouveau quart de finale sous le maillot des Bleus, après celui perdu contre l'Espagne à l'Euro 2012(2-0).
    Pour leur premier rendez-vous du Mondial à 13 heures (heure locale), sous la chaleur de Brasilia et à 1 172 mètres d'altitude, les Bleus ont vécu une entame difficile contre les champions d'Afrique en titre. Mais ils le doivent surtout à la prestation d'une équipe du Nigeria joueuse et combative qui leur aura causé bien des désagréments, surtout en première période.





    Dominateurs dans leurs duels, les « Super Eagles » se sont créé les premières occasions. Aux 25 mètres, le coup franc d’Emmanuel Emenike est trop enlevé (17e minute). Le même Emenike inscrira même un but deux minutes plus tard… refusé par l’arbitre de la rencontre, en raison d'un hors-jeu (19e).
    Un fait de jeu qui n'a pas plu au sélectionneur nigérian, Stephen Keshi.
    « Je veux savoir pourquoi l'arbitre a refusé un but au Nigeria et pourquoi le ralenti n'a pas été diffusé sur l'écran géant. C'est une honte. Une défaite fait toujours mal mais quand vous voyez que votre équipe joue bien, c'est encore plus dommage de perdredans ces conditions et ça fait mal. »


    Emmenée par un Paul Pogba volontaire, mais parfois malheureux dans ses transmissions, l’équipe de France a peu à peu refait surface en première période. Le milieu de terrain de la Juventus, positionné très haut, a armé une reprise de volée limpide, sur une remise de Mathieu Valbuena. Le Nigérian Vincent Enyeama était à la parade (22e).


    ENYEAMA CRAQUE
    Très en jambes, Blaise Matuidi a lui aussi apporté de la percussion. Le milieu du Paris-Saint-Germain a servi Mathieu Debuchy, bien lancé à droite, dont la frappe de l’extérieur du droit est passé au-dessus (40e).
    De nouveau bousculés au retour des vestiaires, les Bleus ont dû compenser leur fébrilité en durcissant les contacts à l'image de Blaise Matuidi rendu coupable d'une vilaine semelle sur Onazi (54e). Le Nigérian, sorti sur civière, aura la cheville brisée.
    Et le Parisien sera seulement averti d'un jaune mais la couleur aurait pu
    être bien plus sévère.




    C'est en fin de seconde période que les Français ont accentué leur pression. Yohan Cabaye a d'abord trouvé la transversale sur un missile déclenché côté droit (77e). Puis Karim Benzema a, à son tour, inquiété Enyeama de la tête.
    Encore une fois impeccable, le gardien du Nigeria a sauvé sur sa ligne la tête de l’avant-
    centre madrilène, à la réception d’un coup franc (79e).

    Le dernier rempart du Nigeria (et de Lille) a toutefois dû s'incliner dans la foulée, sur un corner frappé côté gauche par Valbuena.
    Paul Pogba a repris de la tête pour
    catapulter le ballon dans les cages vides,
    Enyeama ayant commis une sortie hasardeuse (
    1-0, 79e). Sa première bévue de la rencontre.
    Le but contre son camp de l'ancien Marseillais Joseph Yobo, sous la pression d'un Griezmann décisif, donnera au succès des Bleus encore plus d'ampleur, dans le temps additionnel (2-0, 90e + 2).




    La réaction de Deschamps : « Très fier »
    L'aventure s'arrête là pour les coéquipiers de Vincent Enyeama. Le gardien avait gratifié son équipe de 18 arrêts en phase de poule, record du tournoi. Alors qu'il visait son premier quart de finale en cinq participations à la Coupe du monde, le Nigeria aura donc craqué en toute fin de rencontre face à des Bleus réalistes, comme contre l'Italie en 1994 et le Danemark en 1998.
    Au cours de ses treize précédentes participations, la France, elle, n'avait chuté qu'une fois en huitième de finale, lors de l'édition 1934 organisée dans l'Italie de Mussolini, face à la « Wunderteam » autrichienne (3-2).
    Tenus en échec ce soir jusqu'à la 79e minute, les Bleus de 2014 ont finalement franchi l'obstacle, à l'instar de leurs prédécesseurs en 1938, 1958, 1982, 1986, 1998 et 2006.
    Ils rêvent désormais du dernier carré, au bout d'un quart de finale prévu vendredi 4 juillet à 18 heures, contre les Allemands de Joachim Löw.





    Les Fennecs leur en ont fait baver

    En grande difficulté face à une Algérie qui a joué crânement sa chance, l'Allemagne s'est imposée lors de la prolongation d'un match passionnant (2-1, a.p.).
    En quarts, les hommes de Löw affronteront la France.

    Ce mardi soir à Porto Alegre, l'Algérie a résisté à l'Allemagne. Un tête à tête de haut niveau, marqué par des actions des deux côtés et le talent de deux gardiens - Neuer et M'Bolhi - en état de grâce.



    Le match :
    L'Allemagne a fini par y arriver (2-1, a.p.)

    Depuis 1954, l’Allemagne a toujours fait partie des huit dernières équipes en lice lors des Coupes du monde. Bénéficiant d’une expérience incomparable à celle des bizuts algériens à ce niveau, elle a pourtant eu beaucoup de mal pour se qualifier en quarts (2-1, a.p.).
    En difficulté face au système de jeu offensif et très vertical des Fennecs, les hommes de Joachim Löw ont joué avec le feu en se positionnant très haut. L’absence de Hummels,
    malade, s’est largement faite sentir et Djabou a trouvé la faille en toute fin de match pour sauver l'honneur.



    Au final, ils se sont imposés in extremis en réussissant à battre enfin un Raïs M’Bohli impérial dans les buts algériens. «Nous devons être capables de monter en puissance», avait expliqué Joachim Löw. Son équipe ne suit pas vraiment ce schéma.
    Enthousiasmante face au Portugal (
    4-0), elle est rentrée dans le rang contre le Ghana (2-2) puis les USA (1-0) avant de peiner pour s’offrir un quart alléchant face à la France.

    Le coach de l'Algérie a craqué à l'issue du match face à l'Allemagne...
    Le romantisme était algérien lundi. Combatifs et enthousiastes, les Fennecs ont presque renversé la montagne allemande. Un exploit effleuré du bout des doigts que beaucoup pensaient impossible. Après une prolongation intense, l’Algérie a déposé les armes (2-1). Si souvent impassible, le sélectionneur algérien, Vahid Halilhodzic, a finalement craqué dans les bras de ses joueurs.

    Coach Vahid ne s’est pas présenté en conférence de presse à l’issue de la rencontre. Le Bosnien devrait quitter son poste de sélectionneur. «Je ne sais pas ce qui va se passer, mais on entend les rumeurs, et il mérite de sortir par la grande porte avec une grande cérémonie parce qu’il a fait beaucoup de bien à l’Algérie», a déclaré le défenseur Madjid Bougherra.
    La frontière est ténue entre une performance louable et une prestation véritablement historique. Cela tient autant à des détails qu’à la capacité à générer ces louanges du début à la fin du match.Démonstration par l’exemple. Une équipe africaine aborde une rencontre face à une superpuissance européenne dans le costume d’outsider. Elle fait étalage d’un courage à toute épreuve, affiche des qualités techniques appréciables et tient le match nul beaucoup plus longtemps qu’on n’aurait pu le prédire, notamment grâce aux parades de son gardien. En quittant le terrain, elle ne peut que s’enorgueillir de sa performance. Sauf qu’elle est éliminée...

    https://v.cdn.vine.co/r/videos/E3F9E...I6npry5dPVlEs5

    En observant l'équipe d'Algérie à la fin du match contre l'Allemagne, lundi 30 juin, à Porto Alegre, on repensait à la phrase de l'aviateur français Georges Guynemer : « Tant qu'on n'a pas tout donné, on n'a rien donné. » Islam Slimani s'écroulait d'épuisement à la fin de ses courses, comme renversé par le simple souffle des défenseurs dans son dos. Sofiane Feghouli, pansement sur le crâne, semblait s'arracher à chaque foulée, comme écrasé par la pesanteur terrestre. Rafik Halliche, le capitaine, venait de sortir, sa dernière pelletée de charbon jetée dans la chaudière, perclus de crampes que les étirements de ses partenaires ne parvenaient plus à faire passer. Essaïd Belkalem avançait encore mais les jambes raides comme des branches de compas. Les autres étaient pareillement à bout, à l'agonie, consumant leurs dernières calories. Les guibolles n'en pouvaient plus : il n'y avait plus que les têtes qui couraient encore.


    Même le sélectionneur Vahid Halilodzic avait cessé de jouer les moulins à vent sur le banc de touche, exténué. A cette extrémité pathétique, l'Algérie, menée 2-0 à la toute fin des prolongations, alors que tout semblait avoir été fait d'humainement faisable, Abdelmoumene Djabou trouva encore la ressource de marquer sur un dernier raid.
    Alors on se dit que cette équipe d'Algérie n'aurait jamais à s'en vouloir de cette défaite (
    2-1) : elle avait bien tout donné.




    Le plus bel hommage est venu d'Espagne. «Ce Mondial laissera beaucoup de belles choses dans nos mémoires, mais rien d'aussi important que la disparition de la peur. La peur de gagner ou la peur du puissant, la peur qui à la fin tenaillait les petites équipes au moment d'affronter un rival parmi les 'grands'», écrit Marca. «Puis est venu le Brésil, et tout a basculé».

    Le quotidien sportif espagnol salue avec enthousiasme la prestation de l'Algérie qui a su pousser dans ses retranchements «rien moins que la puissante Allemagne».Les Fennecs qui ont su séduire non seulement à l'étranger mais qui ont définitivement conquis la presse algérienne.
    Le Quotidien d'Oran salue ainsi la prestation de l'équipe d'Algérie qui quitte le Brésil «avec mérite et grand honneur.» «Les Verts [...] ont quitté la scène par la grande porte en fournissant une prestation digne des grandes équipes qui a ébloui spectateurs et téléspectateurs du monde entier, ils ont fait douter les Allemands», résume le quotidien.


    «Les Verts sortent grandis de ce Mondial, tout en donnant rendez-vous aux férus du sport-roi en Russie dans quatre ans», espère Le Quotidien d'Oran qui soulève la question épineuse de l'avenir du sélectionneur, doutant que Vahid Halilhodzic, qui a «remis sur rails le football national après un travail de longue haleine» prolonge son contrat

    Pour la presse sportive algérienne, cela ne fait aucun doute : «Il ne s'est pas présenté à la traditionnelle conférence de presse et tout le monde a compris», explique Compétition. «Certes, il n'a rien dit aux joueurs hier soir, pas un mot sur son départ, mais tous savent et ont compris que ce fut son dernier match à l'image.»

    «Merci Coach Vahid !» salue le quotidien.Même hommage de la part du Buteur : «Halilhodzic n'a pu retenir ses larmes et on le voyait complètement anéanti suite à cette défaite, lui qui croyait dur comme fer en la capacité de son équipe de renverser la vapeur et mener au moins ces Allemands à la séance des tirs au but», raconte le quotidien sportif.
    Au coup de sifflet final, «Halilhodzic est resté debout seul devant son banc, les larmes aux yeux.

    Voyant la scène, certains joueurs sont venus pour l'aider à se ressaisir, mais il n'en fut rien. Le coach était inconsolable.»





































    Dernière modification par edenmartine ; 01/07/2014 à 11h35.


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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Entre Nous........


    L’Algérie sort avec les honneurs
    Les Fennecs ont emmené l’Allemagne en prolongation à l’issue d’un match très courageux, mais comme dit le dicton, ce sont les Allemands qui ont gagné à la fin. Schürrle et Ozil ont permis à la Mannschaft de venir à bout de l’Algérie qui a tout de même mis un pion grâce à Djabou à la toute fin des 120 minutes.
    Vraiment dommage pour la sélection de Vahid Halilhodzic que la France pourra tout de même remercier d’avoir fatigué les Allemands.
    Parce que oui, vendredi, le quart de finale, c’est France-Allemagne au Maracanã.

    Le détenu de la nuit: Un Français arrêté à Brasilia pour revente de billet
    Il n’était pas seul, il y avait aussi un Espagnol, deux Nigérians et un Argentin. Ils avaient au total 45 billets pour le match France-Nigeria et plusieurs milliers d’euros en espèces, a rapporté l’agence de presse brésilienne Agência Brasil.
    Le Français n’a pas été arrêté près du stade de Brasilia, contrairement à ses homologues étrangers. Ils ont tous été libérés à la fin de la journée.

    Le portrait du jour: Marc Wilmots le scénariste
    Le charismatique sélectionneur belge a prouvé depuis le début de ce Mondial qu’il était un fin tacticien. Pour lui, un match de football a un scénario qu’il prévoit à l’avance et dont il corrige les lignes en cours de rencontre. On a décrypté pour vous la méthode Wilmots ici.

    Le match du jour: Belgique-Etats-Unis
    C’est un peu le match des outsiders. Les Etats-Unis sont devenus une valeur sûre du football mondial, avec une médiatisation locale du «soccer» qui bat des records cette année et une jolie qualification en huitièmes à l’issue d’une poule de haut niveau, tandis que la Belgique est de retour dans un Mondial où sa très belle génération actuelle a tout pour refaire le coup de 1986 (demi-finale). Une affiche qui se regarde, dans les deux camps, en mangeant des frites.

    Stephen Keshi n'est plus le sélectionneur du Nigeria. L'ancien joueur d'Anderlecht, du RWDM et de Lokeren, a annoncé sa décision de quitter son poste quelques heures après l'élimination du Nigeria en huitièmes de finale de la Coupe du monde par la France (2-0), lundi à Brasilia.

    Le coup franc le plus ridicule du Mondial




    Dernière modification par edenmartine ; 01/07/2014 à 10h16.


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