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Vue hybride

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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Le footballeur Ronaldinho met sa maison en location sur Airbnb pendant le Mondial

    Ronaldihno.jpg
    Le prix de la nuit dans cette villa située à Rio de Janeiro s'élève à 11 300 euros.
    Vous cherchez à pied-à-terre pendant le Mondial ? Le footballeur brésilien Ronaldinho a mis sa maison en location sur Airbnb pendant la Coupe du monde de football au Brésil, rapporte The Mirror, samedi 24 mai. Le prix de la nuit dans cette villa de 1 000 mètres carrés située à Rio de Janeiro s'élève à 11 300 euros.
    L'annonce précise que la demeure, qui compte cinq chambres, six salles de bain, une piscine avec au hammam, se situe à "30 minutes en voiture du centre-ville et du Maracana", un stade où se dérouleront plusieurs matchs du Mondial.
    Interdit de fumer à l'intérieur

    Pour ceux qui douteraient de l'authenticité de cette annonce, l'ancien footballeur du FC Barcelone et du PSG a confirmé sur Twitter que sa maison était à louer.
    Le joueur de l'Atlético Mineiro, non retenu pour le Mondial par le sélectionneur de l'équipe de foot du Brésil, Luiz Felipe Scolari, précise toutefois aux futurs locataires quelques consignes à respecter : il est interdit de fumer à l'intérieur et de gêner les voisins entre 22 heures et 8 heures.
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  2. #2
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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Brésil: la passion du foot dans la Cité de Dieu





    Comment raconter en images l'enfance du football des rues au Brésil qui a donné naissance au "roi" Pelé et tant d'autres gloires du football brésilien ?

    Christophe Simon, responsable photo de l'AFP à Rio a eu l?idée de confier des appareils photo aux enfants d?une favela de Rio, la Cité de Dieu pour qu'ils témoignent eux-mêmes de leur passion, avec leur propre regard. Il raconte son expérience :

    "Dans les favelas du Brésil, les gamins jouent au foot tout le temps, partout. Avec des ballons râpés. Sur des terrains vagues poussiéreux. Contre les murs des maisons. En prévision du Mondial 2014, je cherchais une façon d'illustrer les origines cette ferveur des Brésiliens pour le football. Et quoi de mieux que demander à une poignée de ces enfants des favelas de me montrer leur passion avec leur propre regard.
    Depuis mon arrivée à Rio, en 2011, j'ai couvert de nombreuses opérations de pacification+ des favelas par les forces de sécurité, destinées à améliorer l'image de la ville en prévision du Mondial et des jeux Olympiques deux ans plus tard.

    Bardé de mes appareils, je circulais dans les rues pour suivre la progression de l'armée et de la police à travers les ruelles sordides. A chaque fois, j'étais entouré de nuées de gamins qui semblaient fascinés par mon travail, me suivaient partout en me posant mille questions. En 2011, j'ai fêté mes 50 ans, un âge où l'on commence à avoir envie de transmettre son savoir-faire à plus jeune que soi. Voilà par quels chemins j'ai été amené à concevoir ce projet.

    Un résultat sincère

    L'AFP a contacté le fabricant d?appareils photo Nikon France, qui a accepté d'apporter sa contribution sous la forme de dix boîtiers étanches. Dans la Cidade de Deus, " la Cité de Dieu " une des plus célèbres favelas de Rio, j'avais sympathisé avec un certain Tony Barros, qui tient un atelier de photographie. Je l'avais rencontré grâce à Nadine Gonzalez, une amie française qui a monté l'association Modafusion qui anime une école de mode dans ces quartiers défavorisés.

    Tony est immédiatement devenu mon principal allié et mon passeport: c'est lui qui a recruté les enfants volontaires. C'est lui qui qui nous a accompagnés pendant trois mois et demi à travers le quartier. C'est lui qui nous a ouvert les portes, et qui a dénoué quelques situations compliquées.

    Tous les week-ends ou presque, depuis février 2013, Tony, Nadine et moi avons accompagné à travers les rues du quartier des groupes d'entre trois et dix enfants de dix à quinze ans. Chacun était muni d'un appareil photo et avait la mission de ramener des images ayant pour thème le football.

    Les séances duraient généralement trois ou quatre heures, parfois des journées entières. Cela n'a pas été simple à organiser. A chaque fois il fallait passer chercher les gamins chez eux, les raccompagner à la fin, arriver en même temps aux mêmes endroits, prendre des photos sans qu'aucun membre de notre groupe ne figure dans le champ.

    Je leur ai appris les rudiments du métier et leur ai imposé quelques règles de base, comme l'interdiction de faire poser les gens (difficile à appliquer dans un pays où les gens adorent le faire) ou d'utiliser le flash. L'expérience a été passionnante et le résultat surprenant. Que ces enfants aient été capables de produire d'aussi bonnes photos m'a émerveillé. Si j'avais décidé de traiter ce sujet moi-même, j'aurais utilisé mes codes à moi, mon regard personnel. Là, des jeunes ont eu la possibilité de montrer les lieux où ils vivent et l'origine de leur passion pour le foot. Le résultat, je pense, n'en est que plus sincère.

    Des moments de tension

    Et dans le même temps, alors que je pensais au départ que c'était surtout eux qui allaient me faire découvrir des choses, j'ai souvent eu la surprise de constater que c'était moi qui ouvrait les yeux de mes élèves.
    Les favelas ont leurs lois non écrites. Par exemple, tout le monde sait, dans la Cidade de Deus, qu'il vaut mieux éviter de regarder ce qui se passe chez le voisin. Moi je ne connaissais pas ces lois. J'arrivais avec mon regard neuf. Et je leur faisais découvrir des choses qu'ils avaient toujours eu sous les yeux sans jamais les voir.

    La Cité de Dieu a beau avoir été officiellement pacifiée, elle n'en est pas devenue pour autant un endroit de tout repos. A plusieurs reprises, nous sommes tombés nez à nez avec des trafiquants de drogue, pas franchement ravis de voir tout à coup tous ces appareils photo. Mais grâce à l'intervention habile de Tony, ces moments de tension n'ont jamais dégénéré.

    Le turn-over a été important parmi les participants. Au bout d'un certain temps, notre projet a commencé à être bien connu dans la favela et les candidats se sont mis à affluer. Mais il y avait aussi quelques assidus. Parmi ces derniers, je garde un souvenir exceptionnellement bon de Kuhan. Un garçon de dix ans dont les parents sont accros au crack. Un gamin incroyablement vif et talentueux. Sur la cinquantaine d'images que j'ai sélectionnées à la fin du projet, c'est lui qui, incontestablement, a pris les meilleures".

    Et l'aventure va se poursuivre. L'AFP et l'association Modafusion ont signé un partenariat pour faire vivre l'atelier des apprentis photographes de la Cité de Dieu jusqu'aux jeux Olympiques de Rio de Janeiro de 2016.
    Dernière modification par edenmartine ; 26/05/2014 à 19h12.


  3. #3
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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Parreira : "Le Brésil a déjà une main sur la Coupe"






    Le coordinateur technique de l'équipe du Brésil, Carlos Alberto Parreira, a assuré que la Seleçao avait "déjà une main sur la Coupe", lundi lors du rassemblement des joueurs au camp de base de Teresopolis (sud-est), premier jour du stage de préparation au Mondial-2014.

    "Ce que j'ai appris en six ou sept Coupes du monde ?

    Que gagner en dehors du terrain est le plus important, et ce n'est pas facile, a-t-il déclaré en conférence de presse. Ca inclut la partie opérationnelle, logistique, la planification, la relation avec les supporteurs, la presse, l'ambiance de travail. Et ça, nous l'avons déjà réussi, et donc nous avons déjà une main sur la Coupe".

    "Nous avons une grosse équipe, l'équipe est très bonne, a souligné l'ancien sélectionneur du Brésil, champion du monde en 1994. Il suffit de voir l'équipe que nous avons. La charnière centrale titulaire du Brésil est la plus chère du monde (avec Thiago Silva et David Luiz, tous deux au Paris SG, ndlr). Nous avons des joueurs expérimentés, de qualité, reconnus au niveau international, et nous jouons à la maison".
    "Nous sommes favoris, oui, mais évidemment, il ne suffit pas d'être favori pour gagner, a-t-il averti. Combien de favoris ont échoué!"
    "Des grandes sélections, nous sommes la seule à n'avoir jamais gagné à la maison, a relevé le coordinateur. Nous voulons nous racheter de cela, réécrire cette histoire. Nous avons déjà perdu un Mondial et ne voulons pas en perdre un deuxième", a dit le coordinateur en référence à la défaite surprise en 1950 dans le match considéré comme la finale face à l'Uruguay, sacré champion du monde à Rio de Janeiro lors de l'épisode du "Maracanazo".
    "J'ai déjà parlé avec Flavio Costa (sélectionneur du Brésil lors du Mondial-1950, ndlr) et ce qu'il m'a raconté, c'est des choses incroyables qui se sont passées en dehors du terrain, avec des hommes politiques dans le vestiaire, a-t-il aussi avancé. Le hors-terrain ne les a pas aidés".
    Entre l'ouverture du groupe à l'extérieur (supporteurs, presse) au Mondial-2006 et la fermeture en 2010, "nous allons tenter d'éviter l'ouverture totale et la fermeture totale, a-t-il lancé. Il est important de s'entraîner avec tranquillité et sécurité. La sécurité ne permet pas qu'il y ait mille personnes ici par jour. (...) Nous pensons à tirer au sort dix ou quinze supporteurs qui viendraient ici".
    Le Brésil entre en lice dès le match d'ouverture contre la Croatie, le 12 juin, avant d'affronter le Mexique et le Cameroun, dans le groupe A.


  4. #4
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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Mondial : la sélection brésilienne chahutée, la Seleçao subit les manifs





    Les manifestations sont toujours bien présentes au brésil, où la Seleçao commence à en subir les frais.

    Alors qu'ils se rendaient ce lundi à Teresopolis, le camp d'entrainement de la Seleçao pour le Mondial situé à une centaine de kilomètres de Rio de Janeiro, les footballeurs brésiliens ont vu leur bus se faire bloquer par des groupes de manifestants.
    Au départ du périple, une trentaine de professeurs en colère s'en est pris au véhicule de l'équipe quintuple championne du monde. Devant les yeux ébahis des joueurs auriverde, ils ont recouvert le car avant de s'acharner sur la carrosserie à coup de pieds et de poings. A l'arrivée à leur camp de base, d'autres manifestants ont également accueilli très hostilement la sélection brésilienne.
    Avec la coupe du monde 2014 et les Jeux Olympiques en 2016, le Brésil est en proie à de violentes manifestations à travers tout le pays, comme l'année passée, lors de la Coupe des Confédérations, où les Brésiliens étaient descendus en masse dans la rue pour protester contre la hausse du prix des transports en commun. La population réclame plus de justice sociale, en dénonçant le coût exorbitant de cette compétition sportive.
    La Coupe du monde de football, c'est dans 17 jours mais pour autant la tension ne retombe pas au Brésil.

    Lundi, quelque 200 professeurs ont brièvement bloqué le car de la sélection brésilienne aux abords de leur hôtel, situé près de l'aéroport de Rio de Janeiro. Les enseignants sont en grève depuis le 12 mai. Ils revendiquent une augmentation salariale de 20%. Pour eux, le Mondial est surtout un vaste gaspillage d'argent public.

    Les forces de l'ordre ont réussi au bout d'une demi-heure à laisser passer le bus. Les joueurs se rendaient à leur centre d'entraînement de Teresopolis sur les hauteurs de Rio. Le premier match de l'équipe brésilienne, ce sera contre la Croatie, le 12 juin à São Paulo.





    VIDEO.Mondial 2014: Adidas détruit le bus de Knysna, «symbole fort d'un boulet» de l'équipe de France


    Une réplique du bus de Knysna détruit par Adidas lors d'une soirée promotion le 26 mai 2014.

    FOOTBALL - Adidas a voulu s'attaquer à ce «boulet» de l'équipe de France, mauvais souvenir d'Afrique du Sud...

    L’équipementier Adidas a procédé lundi en banlieue parisienne à la destruction symbolique d’une réplique du «bus de Knysna», symbole de la grève de l’entraînement des joueurs de l’équipe de France au Mondial 2010.
    «Le bus de Knysna, c’est le symbole fort d’un boulet qui empêche l’équipe de France d’aborder sereinement la Coupe du monde au Brésil. C’est pour cette raison que nous avons décidé de le détruire», a expliqué Guillaume de Monplanet, directeur de la marque Adidas France.

    Bus articulé et plaques d’immatriculation française

    Un bras articulé a complètement déchiqueté le bus portant le slogan de l’équipe de France au mondial 2010 et arborant des plaques d’immatriculation françaises dans une casse de La Courneuve au nord de Paris devant plus de quatre cents personnes invitées.
    Le 20 juin 2010, à leur camp de base de Knysna (Afrique du Sud), les joueurs de l’équipe de France avaient refusé de s’entraîner devant les caméras du monde entier, pour protester contre l’exclusion de l’équipe de l’attaquant Nicolas Anelka, qui avait insulté le sélectionneur Raymond Domenech quelques jours plus tôt à la mi-temps d’un match.
    Ils avaient refusé de descendre du «bus de Knysna», devenu depuis le symbole d’un comportement déplacé.











    Mondial 2014: La presse camerounaise s'offusque du montant des primes exigées par les Lions Indomptables




    Les Camerounais Bedimo et Coupo-Moting, le 26 mai 2014, en Autriche.

    FOOTBALL - Les joueurs réclament 182.000 euros rien que pour la participation...

    La presse camerounaise s'offusque du montant des primes exigées selon elle par les Lions indomptables du Cameroun qui participeront au Brésil pour la septième fois à une phase finale de Coupe du monde de football. «
    L'indécente revendication», s'indignait ainsi dans son édition de lundi le quotidien privé Le Jour.
    «Les joueurs de la sélection nationale exigent des primes mirobolantes» pour leur participation au Mondial, accuse le journal.

    «La presse (locale) a évoqué le chiffre astronomique de 120 millions de FCFA » (plus de 182.000 euros) de prime de participation par joueur revendiquée par le groupe, rapporte Le Jour pour qui «il est urgent de s'interroger sur le mercantilisme débridé de ces soldats d'un autre genre dont on attend toujours les premiers lauriers sur le champ de bataille».

    Les 68.000 euros rejetés

    La question des primes a souvent créé des tensions au sein de l'équipe camerounaise lors des compétions internationales. Le 20 mai, le gouvernement a fait une première proposition de 40 millions de FCFA (environ 61.000 euros) puis une seconde de 45 millions de FCFA (68.602 euros) de prime de participation pour chaque joueur, mais cette proposition a été rejetée, selon Le Jour.
    Vendredi, un autre quotidien privé, La Nouvelle Expression, faisait état d'une «tension sur le montant des primes».
    Lors du dernier mondial en Afrique du Sud, chaque Lion avait perçu 45 millions de FCFA de prime de participation. Le Cameroun avait fait une piètre prestation, se classant 31e sur 32 pays en compétition.
    Au Mondial brésilien, le Cameroun figure dans le groupe A avec le Brésil, la Croatie et le Mexique.



    Dernière modification par edenmartine ; 28/05/2014 à 09h45.


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