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Vue hybride

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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Coupe du monde : une appli pour éviter de se faire arnaquer dans les bars


    • Publié le 11/04/2014 à 15:29




    Deux jeunes Brésiliens ont créé une appli où les consommateurs peuvent dénoncer les prix abusifs dans les restaurants et bars.

    L’application a été créée pour afficher les prix des bars et des restaurants. En utilisant un système de géolocalisation, «Ju$to» signale les établissements qui sont les plus proches de l’utilisateur. Dans un deuxième temps, le Ju$to recommandera une liste de bars et restaurants qui proposent des prix «plus justes».Eviter les prix abusifs dans les bars au moment de la
    Coupe du Monde de football à Rio ?Le rêve de tous les amateurs de foot et de... caipirinha à deux mois du Mondial au Brésil! C’est désormais possible grâce à une application mobile sur laquelle les consommateurs peuvent dénoncer les prix abusifs pratiqués par les bars et restaurants. A l’origine de cette idée, deux jeunes de Rio: l’un est designer, Pedro Almeira, l’autre informaticien Ubiratan Braga.

    Cette application s’inspire du mouvement créé mi-janvier sur Facebook, le «Rio $urreal», un jeu de mot combinant «surréalisme» et «réal», la monnaie nationale. Son but: dénoncer les prix abusifs et boycotter les établissements qui les pratiquent.
    En février, un autre mouvement avait vu le jour, celui de la glacière en polystyrène ou «isoporzinho». Longtemps considérée comme le «comble de la ringardise» dans les quartiers huppés de Rio de Janeiro, la glacière s’est convertie en symbole branché de résistance aux prix prohibitifs pratiqués dans la capitale touristique du Brésil. Cela devient «hype» d’aller prendre un pique-nique sur la plage avec sa glacière.



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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Algérie Russie : plus aucune place

    écrit par La rédaction on avril 16, 2014



    Le match Algérie-Russie, prévu le 26 juin à Curitiba pour le compte de la troisième journée du premier tour du Mondial-2014 au Brésil, groupe H, se jouera à guichets fermés, a indiqué ce mardi 15 avril la FIFA.
    En effet, tous les billets mis en vente pour les différentes catégories y compris les places réservées aux personnes handicapées ont été vendus.
    Pour le second match de l’Algérie contre la Corée du Sud, programmé le 22 juin à Porto Alegre, tous les billets ont été vendus à l’exception de ceux de la catégorie (A) où il existe encore une forte disponibilité.
    Pour la première rencontre des Verts contre les Diables Rouges de Belgique qui se déroulera le 17 juin à Belo Horizonte, des places de première catégorie sont « fortement disponibles », alors que pour les places de la catégorie 2, il y a une « disponibilité moyenne ».




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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Cafu : une bombe sur le blanchiment d’argent au Brésil


    C’est une vraie bombe que vient de lancer Cafu, le champion du monde du Brésil en 2002.
    Il dénonce le crime organisé dans son pays et pointe le doigt sur des fondations caritatives qui ont été créées en marge du football brésilien pour «blanchir de l’argent, détourner des fonds».
    Les propos explosifs ont été publiés par le journal O Estado de Sao Paulo.
    « Les gens ont peur » de financer les fondations. Ils ne savent pas si l’argent qu’ils mettent dans l’institution sera correctement investi, s’il sert vraiment aux enfants. Quand j’ai monté la Fondation Cafu, j’ai payé pour les erreurs des autres, poursuit-il. Parce que beaucoup de gens créaient leur fondation pour blanchir de l’argent, détourner des fonds… Et j’ai payé très cher pour ça. Je frappais à la porte des patrons et on me disait: – Mais toi aussi tu trempes là-dedans, Cafu?, je demandais: – Mais tremper dans quoi? Je ne vois pas… Là, j’ai commencé à comprendre la situation et tout ce qu’on avait à affronter pour arriver à mettre un projet sur pied».
    La Fondation Cafu vient de fêter ses dix ans.
    Elle a déjà aidé 750 enfants de 3 à 17 ans à Jardim Irene, quartier défavorisé de Sao Paulo.



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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    sportifsLundi, 21 Avril 2014 09:50

    Bentaleb, Belkalem, Yebda, Guedioura, Taïder et Kadir

    Les mauvaises nouvelles du printemps

    Par : Fares RLaissé sur le banc des remplaçants face à Sunderland puis contre West Bromwich, Nabil Bentaleb s’est contenté de nouveau de chauffer le banc pour la rencontre qui a opposé Tottenham à Fulham en ouverture de la 35e journée de la Premier League. Il faut savoir que la dernière apparition du milieu relayeur des Verts remonte au match disputé le 30 mars dernier face à Liverpool et qui fut sanctionné, pour rappel, par une sévère défaite des Spurs par quatre buts à zéro.
    Ce jour-là, le natif de Lille a participé à une heure de jeu avant de céder sa place. Il est vrai qu’entretemps, Bentaleb avait participé à un match avec l’équipe de Tottenham des U21 face à Manchester United il y a quelques jours. Toutefois, cette situation risque de porter un coup au bon élan du joueur qui avait enchaîné onze matches, soit depuis l’intronisation du coach Tim Sherwood qui ne compte plus sur lui et dont les jours sont désormais comptés avec Tottenham du moment qu’on évoque la venue l’été prochain du technicien Italien et ancien entraîneur du Milan AC, Massimiliano Allegri. Notons que le match entre Tottenham et Fulham s’est terminé par un succès des Spurs sur le score de trois buts à un. Le face-à-face algéro-algérien de la 34e journée de la Serie A n’a pas eu lieu puisque un seul joueur a participé à la rencontre entre Udinese et Naples. En effet, si Faouzi Ghoulam a été reconduit par Benitez au poste d’arrière-gauche du onze napolitain, ce n’en est pas le cas en revanche pour Hassen Yebda qui s’est contenté de suivre la partie à partir du banc des remplaçants.
    Pourtant, beaucoup de spécialistes s’attendaient à ce que le milieu relayeur des Verts soit de nouveau titularisé après les bonnes 70’ qu’il a jouées le week-end dernier à l’occasion du match face à la Juventus de Turin (0-2). Hélas, il n’en fut rien. Un coup d’arrêt pour le joueur qui doit sortir le grand jeu d’ici la fin du Calcio s’il veut se faire une place parmi le groupe des 23 joueurs qui seront sélectionnés par le technicien bosnien Vahid Halilhodzic en vue de la Coupe du Monde du Brésil. À l’opposé, Ghoulam, qui a joué l’intégralité de la rencontre et qui continue d’enchaîner les bonnes prestations depuis son transfert à Naples, est bien parti pour décrocher une place de titulaire dans le onze des Fennecs du Mondial. Il est utile de souligner enfin que la rencontre Udinese-Naples s’est soldée par un score de parité un but partout. Une performance qui renforce davantage les chances des Napolitains de jouer le tour préliminaires de la Ligue des Champions d’Europe de la saison prochaine alors qu’Udinese reste bien loin de la zone des relégables malgré ce nouveau semi-échec à domicile.
    A quelques semaines de la fin de la Championship, Essaïd Belkalem continue de chauffer le banc avec Watford. Avant-hier, l’ancien joueur de la JSK s’est de nouveau contenté de suivre à partir du banc des remplaçants le match qui a opposé Watford face a Ipswich Town dans le cadre de la 43e journée. Voilà qui complique un peu plus la tâche de l’enfant de Mekla vis-à-vis de sa sélection parmi le groupe des 23 joueurs qui seront retenus par le coach Vahid en vue du Mondial du Brésil. C’est presque le même cas que vit Rafik Djebbour qui n’a plus été convoqué depuis presque trois semaines avec Nottingham Forest et qui est en train de perdre des points précieux par rapport à sa possible participation à la Coupe du Monde.
    Avant-hier, l’attaquant des Verts n’a pas figuré sur la liste des joueurs convoqués pour le match entre les Reds et Birmingham (1-0) alors que son équipier et ancien international, Djamel Abdoun est resté sur le banc de touche sans pour autant jouer, lui qui revient à peine d’une blessure qui l’a éloigné des terrains durant quelques semaines. Les jours se suivent et se ressemblent pour Adlène Guedioura, qui a été écarté du groupe de Crystal Palace qui affrontait avant-hier West Ham dans le cadre de la 35e journée de la Premier League. En effet, cela fait un bout de temps que le milieu récupérateur des Verts n’a plus été revu sur les terrains d’Angleterre puisque son dernier match remonte à la rencontre mettant aux prises son équipe à Sunderland joué le 15 mars dernier, où il a fait une apparition d’un quart d’heure alors qu’il venait à peine de revenir d’une blessure qui l’a éloigné de la compétition durant des semaines.
    Une situation qui rend de plus en plus difficile sa situation vis-à-vis du sélectionneur national Vahid Halilhodzic, notamment en prévision d’une sélection parmi les 23 joueurs qui seront retenus pour la Coupe du Monde du Brésil.
    Aligné dans le dernier quart d’heure du match face à la Sampdoria de Gênes le week-end dernier, Saphir Taïder s’est de nouveau contenté de suivre à partir du banc la rencontre d’avant-hier qui a opposé l’Inter Milan à Parme. Alors qu’on croyait que le coach Walter Mazzarri allait utiliser un peu plus le milieu relayeur algérien, ce ne fut rien finalement pour le joueur qui doit prendre son mal en patience, lui qui occupe une place importante dans le groupe des Fennecs en vue du Mondial du Brésil. Pour rappel, la dernière apparition du natif de Castres en tant que titulaire dans le onze intériste remonte au match disputé face à la Juventus de Turin le 2 février, avant qu’il n’aligne par la suite quelques minutes pour ensuite rester sans jouer pendant plusieurs semaines pour faire enfin son retour il y a quelques jours.
    Convoqué mais non utilisé lors de la demi-finale de la Coupe de France disputée mardi face à Angers, Foued Kadir a de nouveau débuté sur le banc de touche la rencontre d’avant-hier soir entre Rennes et l’AS Saint-Etienne, en ouverture de la 34e journée du championnat de Ligue 1. Cependant, le milieu offensif algérien a eu l’occasion, dans ce match, de disputer presque un quart d’heure en effectuant son apparition à la 78’.
    Et dès son premier ballon, l’ancien joueur de Valenciennes se distingue en tirant non loin du cadre stéphanois. Le match se termine au final par un précieux nul en déplacement pour les Rennais,points forts lesquels peuvent désormais respirer après le revers at home de la précédente journée devant l’AS Monaco.



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    Didier Deschamps va faire des malheureux



    Didier Deschamps regarde vers le Brésil et le Mondial 2014.
    Mis à jour le 20 avril 2014 à 22h05


    Dans un peu plus de trois semaines, Didier Deschamps va livrer une première liste de 30 joueurs convoqués pour la Coupe du monde 2014. Un rôle que le sélectionneur sait ingrat mais qu'il semble assumer. Dans le CFC, le patron de l'équipe de France a par ailleurs évoqué les sujets Nasri, Blanc et Zidane.
    Comme Didier Deschamps l'a dit et répété ces dernières semaines, le rôle de sélectionneur comporte des difficultés. Dresser une liste de 30 (puis de 23) pour une grande compétition internationale en est une. Il faut d'une part choisir judicieusement (lapalissade) mais également se confronter à la tristesse et à la déception de ceux qui seront renvoyés dans leurs pénates. Un rôle que le sélectionneur de l'équipe de France se dit assumer sans sourciller à 53 jours de la Coupe du monde au Brésil.
    "Je fais des choix d’hommes, donc je sais très bien que je vais faire beaucoup de malheureux", a rappelé un "DD" laconique dans le CFC dimanche soir. Pas franchement une nouvelle information, nous direz-vous, mais sa seconde intervention avec Mamadou Sakho en décors fut davantage instructive.Pour les moins assidus des sorties médiatiques du patron des Bleus, ce dernier a ainsi rappelé que, désormais, la forme du moment n'était plus un critère majeur dans la convocation d'un joueur: "Dans une phase avec des matches amicaux, de matchs de qualification, c'est un critère qui pouvait intervenir. Mais sur la liste, il est complètement annihilé par ce que - moi – je considère être le potentiel du joueur." Comprendre, Rémy Cabella ou Kevin Gameiro auront beau empiler les buts et les passes décisives lors de ces deux derniers mois, si Didier Deschamps ne voit pas en eux un talent intrinsèque utile aux Bleus, il continuera de les snober comme depuis le début de son mandat. "DD" botte en touche pour Nasri

    Outre ce sujet toujours un peu polémique mais intéressant un grand nombre de français sélectionneurs en herbe, Deschamps a évoqué les cas Samir Nasri, Laurent Blanc et Zinedine Zidane. Le joueur de Manchester City, qui avait exigé une conversation privée avec le sélectionneur national, a ainsi été renvoyé dans les cordes par ce dernier. "Répondre, ça voudrait dire que je ne le prends pas… (sourire). Je ne rentre pas dans ce jeu-là. J’ai des discussions avec certains joueurs, je ne communique pas là-dessus. Je n’ai pas à me justifier", a-t-il rappelé à un Citizen qui se serait bien vu bénéficier d'un traitement de faveur particulier.
    Au sujet de Laurent Blanc, vertement critiqué après l'élimination du PSG face àChelsea en Ligue des champions, l'ancien entraîneur de l'OM s'est voulu fataliste: "C’est la loi du foot. C’est injuste mais c’est comme cela. Laurent connait le métier, quand tu as une défaite, l’entraîneur est responsable a 95%, et quand tu as une victoire, l’entraîneur est responsable à 5%. Tu vis avec." Une expérience que va bientôt connaître un autre champion du monde 1998, un certain Zinedine Zidane qui avait failli prendre les rênes des Bleus en 2012: "C’est le cadet de mes soucis, a ainsi lâché Deschamps. C’est bien pour lui qu’il ait choisi de devenir entraineur. J’ai été confronté à ça, et j’ai payé le prix fort : je n’ai jamais pu finir une interview sans avoir la question ‘alors, un jour, sélectionneur' ?"



    Le trophée retourne au Brésil


    Le trophée de la Coupe du Monde de football a terminé son aventure mondiale et est retourné au Brésil, pays hôte, à 52 jours du coup d’envoi du Mondial-2014 (12 juin-13 juillet), a annoncé lundi la Fédération internationale de football (FIFA).
    Après avoir déjà visité 89 pays en 221 jours, dont la Tunisie, la coupe est arrivée aux Etats-Unis en début de semaine dernière, pour donner aux fans américains l’opportunité de voir de près ce trophée le plus convoité du football mondial.
    L’étape américaine a débuté sur la côte Est, à Washington, sous la forme d’un événement très spécial au Département d’Etat américain en présence des jeunes de Boys & Girls Clubs of America et des Special Olympics, ainsi que d’invités de haut rang comme le vice-président américain Joe Biden, le secrétaire d’Etat John Kerry, la médaillée olympique et vainqueur de la Coupe du Monde féminine Julie Foudy et l’ancien international Cobi Jones, qui détient le record de sélections en équipe des Etats-Unis, avec 164 matchs disputés de 1992 à 2004.
    Le trophée a ensuite pris la direction de Los Angeles, pour une ultime célébration avant de s’envoler pour le pays hôte de la Coupe du Monde 2014 au Brésil. De retour au Brésil, dernière étape de son périple, le trophée visitera 27 villes en six semaines. L’aventure débutera à Rio de Janeiro le mardi 22 avril, et prendra fin à Sao Paulo, ville hôte du match d’ouverture entre le Brésil et la Croatie, le 12 juin.



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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Brésil : émeutes à Rio de Janeiro, deux mois avant la Coupe du monde


    Pneus brûlés en guise de barricades, coups de feu et casse : de violentes émeutes ont éclaté dans la soirée du mardi 22 avril dans une favela du quartier touristique de Copacabana, dont deux grandes avenues et un tunnel ont été fermées à la circulation. Un jeune homme, qui aurait environ 30 ans, a été tué d'une balle dans la tête au cours des affrontements.

    A l'origine de cette flambée de violence : un danseur de la favela Pavao-Pavaozinho, Douglas Rafael da Silva Pereira, 25 ans, aurait été tué par les forces de l'ordre après
    avoir été confondu avec un trafiquant de drogue, selon la policecitée par les médias brésiliens.
    Ses amis affirment qu'il a été battu à mort par la police alors qu'il s'était réfugié dans une école de la favela qui bénéficiait d'une unité de police pacificatrice (UPP) depuis décembre 2009 en vue de la sécurisation de la ville pour la
    Coupe du monde (12 juin-13 juillet). La police explique que :
    « Les circonstances de la mort de Douglas font l'objet d'uneenquête. Le rapport fait sur place indique que les blessures de Douglas sont compatibles avec une mort occasionnée par une chute. Témoins et habitants seront convoqués pourtémoigner. »

    « ON EST BLOQUÉS CHEZ NOUS »


    • A l'origine de cette flambée de violence : un danseur de la favela Pavao-Pavaozinho, Douglas Rafael da Silva Pereira, 25 ans, aurait été tué par les forces de l'ordre après avoir été confondu avec un trafiquant de drogue.








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      De violentes émeutes ont éclaté dans la soirée de mardi 22 avril dans une favela du quartier touristique de Copacabana.

      Emeutes violentes à Rio, deux mois avant la Coupe du monde


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      Un jeune homme, qui aurait environ 30 ans, a été tué d'une balle dans la tête au cours des affrontements.



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    «Cela a commencé vers 17 h 30 [22 h 30 à Paris]. Il y a de la fumée partout, des tirs dans la rue et des personnes courent pour rentrer chez elles. De nombreux camions du BOPE [police d'élite] viennent de monter dans la favela [de Pavao-Pavaozinho]. On est bloqués chez nous, on ne peut pas sortir », a déclaré à l'AFP Etienne, un étudiant français installé à Rio, qui habite dans la rue Saint Roman, rue qui monte à la favela.
    Des hélicoptères survolaient la zone où un trafiquant surnommé « Pitbull » était recherché.
    Lire les explications de notre correspondant au
    Brésil : A Rio de Janeiro, l'armée tente de sécuriser les favelas
    Jasper, étudiant néerlandais qui habite également dans la rue Saint-Roman, a également témoigné à l'AFP : « J'ai essayé de
    rentrer chez moi en taxi par Ipanema, mais le taxi n'a pas voulu aller
    jusqu'au bout et a fait demi-tour. Là, en redescendant, on a vu des groupes de personnes portant des armes, peut-être des policiers en civil. »
    L'électricité était coupée dans toute la favela, selon un autre témoignage, et la rue Saint Roman était toujours bloquée par les forces de l'ordre à 19 h 30 locales (0 h 30 à Paris)
    .

    Dernière modification par edenmartine ; 23/04/2014 à 10h59.


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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Brésil : voici l'hymne officieux des opposants au Mondial de foot

    "Excuse-moi, Neymar", chante le musicien brésilien Edu Krieger, qui dénonce les coûts engagés pour rénover les stades avant la compétition, alors même que les infrastructures sont selon lui obsolètes.

    Des opposants au Mondial 2014 manifestent à Sao Paulo (Brésil), l



    Avec Desculpe, Neymar ("Excuse-moi, Neymar"), les opposants .

    "J'ai vu un abîme entre deux Brésil"

    Edu Krieger s'adresse successivement à Neymar, la star de l'équipe du Brésil, à Carlos Alberto Parreira, membre de l'encadrement de la Seleçao actuelle, et à "Felipao" Scolari, l'actuel sélectionneur, champion du monde en 2002. Les deux premiers couplets disent :
    "Excuse-moi, Neymar
    Mais pendant cette Coupe je ne vous soutiendrai pas
    Je suis fatigué de voir mon peuple dépérir peu à peu devant la télé
    Pendant que la Fifa s'occupe des normes, des voleurs nous dirigent
    Et faussent le jeu pour gagner
    Excuse-moi Neymar, cette fois je ne vous soutiendrai pas"

    "Parreira, j'ai vu un abîme entre deux Brésil
    Combien le "tetra" [le 4e titre de champion du monde] a rendu les gens heureux
    Mais nous ne serons pas les vrais champions en dépensant plus de dix milliards
    Pour organiser la Coupe dans le pays
    On a de beaux stades monumentaux
    Alors que les écoles et les hôpitaux
    Tombent en ruines
    Parreira, un abîme entre deux Brésil."

    Un contre-pied à la chanson officielle "We Are One"

    Le chanteur reprend ainsi les arguments de centaines de milliers de manifestants durant la Coupe des confédérations de juin dernier, qui critiquaient les investissements publics massifs pour les stades et réclamaient des améliorations dans les services publics, comme les transports et, surtout, l'éducation et la santé. Elle prend le contre-pied de la chanson officielle de la Coupe du monde, We Are One, chantée par les Américains Jennifer Lopez et Pitbull et la Brésilienne Claudia Leitte.









    VIDEO. La dernière chanson de Stromae devient l'hymne belge pour le Mondial 2014

    A trois mois de la coupe du Monde au Brésil, la chanson a été choisie par les Diables rouges, l'équipe nationale de football belge, pour être leur musique officielle.
    va accompagner les Diables rouges au Brésil. Sa chanson Ta fête a été choisie
    pour être l'hymne officiel de l'équipe belge de football pour la prochaine Coupe du monde. La maison de production du phénomène belge de la chanson, Mercury, la filiale d'Universal, l'a annoncé, lundi 17 mars, à trois mois du Mondial.
    Stromae fait "la leçon" aux Diables rouges

    L'annonce a été faite via pleine d'autodérision, mise en ligne sur YouTube, lundi. L'auteur de Formidable et de Papaoutai s'y met en tête de "faire la leçon" aux Diables rouges. Il rêve, dit-il, de transformer Ta fête en "hymne officiel" de la sélection belge.

    Le chanteur belge campe d'abord dans le rond central du stade roi Baudouin, à Bruxelles, entièrement vide, dans l'espoir de rencontrer les joueurs. Il prend ensuite la direction de l'hôtel des Diables rouges pour leur exposer les détails, de plus en plus farfelus, de son futur "clip officiel". Stromae n'a pas plus de succès en poursuivant son exposé dans un ascenseur bondé de joueurs belges nullement intéressés et jusque dans les toilettes des hommes, où il s'intercale, toujours avec le même manque de réussite, entre deux joueurs majeurs de l'équipe qui défendra en juin les couleurs de la Belgique au pays de Pelé.
    A bout d'arguments et de guerre lasse, le chanteur au succès foudroyant de tout juste 29 ans finit par proposer "de faire un truc dans le bus en cinq minutes, avec deux caméras", ce que l'équipe accepte finalement de faire, avec un enthousiasme tout relatif. Des photos des coulisses de cette vidéo savamment préparée sont visibles sur la page Facebook officielle des Diables rouges.







    Pas d'arbitre français au Mondial 2014 : "Il faut préparer l'Euro 2016"


    Bruno Derrien, ancien arbitre international, revient sur l'absence d'homme en noir français à la Coupe du monde de foot au Brésil. Une première depuis 1974.

    L'arbitre Bruno Derrien (au centre), lors d'un quart de finale de Coupe de France entre l'OM et Metz, le 1er février 2006, à Marseille.

    C'est une première depuis 1974. Aucun arbitre français ne figure dans la liste divulguée par la Fifa, mercredi 15 janvier, désignant ceux qui vont diriger les matchs de la Coupe du monde au Brésil, en juin. Un signe de plus que l'arbitrage français est sur le déclin, victime de conflits internes et d'un mauvais lobbying au niveau international. Bruno Derrien, ancien arbitre international, contacté par francetv info, estime qu'il faut maintenant préparer l'avenir.

    Francetv info : Comment réagissez-vous à l'absence d'arbitre français au Mondial brésilien ?

    Bruno Derrien : C'est une triste nouvelle pour l'arbitrage français, un échec. Nous avons besoin d'une locomotive, comme ce que représente l'équipe de France pour le football français. Cette décision vient solder une période difficile [des conflits internes à la direction technique de l'arbitrage ont transformé l'arbitrage français en "pétaudière" où "il y avait plus de clans qu'au Parti socialiste", pour reprendre les mots de Bruno Derrien dans son livre 'A bas l'arbitre']. La présence en Ligue des champions est un bon indicateur : la France n'y a qu'un seul arbitre, quand l'Italie ou l'Angleterre en ont trois. Maintenant, il faut tourner la page, préparer l'arbitre de l'Euro 2016 et de la Coupe du monde 2018.

    Y a-t-il une relève pour ces prochaines compétitions ?

    J'aime bien Ruddy Buquet [36 ans, sa fiche sur le site de la Ligue de football professionnel]. La direction technique de l'arbitrage français doit faire des choix très clairs dès maintenant. Il faut miser sur lui, qu'il soit proposé pour arbitrer en Ligue des champions afin que la Fifa le repère. Pour le moment, il arbitre en Ligue Europa, qui est l'antichambre de la Ligue des champions. Mais attention : il ne faut pas se tromper de personne.

    Est-ce que cette absence au Mondial aura des conséquences en Ligue 1 ?

    Je crains que cela donne un argument aux entraîneurs et aux joueurs qui contestent l'arbitrage dans le championnat. On peut imaginer un entraîneur mécontent dire aux médias : "Les arbitres français ne sont pas bons. La preuve : la Fifa n'en veut pas."Pourtant, les arbitres français ont vraiment besoin de sérénité en ce moment.
    Dernière modification par edenmartine ; 26/04/2014 à 15h32.


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    Re : Coupe du Monde :2014 Tous les potins du jour !

    Les pessimistes, les défaitistes et le complexe du chien bâtard

    Difficile de cerner Aldo Rebelo. Membre historique du PCdoB, le Parti communiste du Brésil, l’actuel ministre des sports est certes un serviteur fidèle et discipliné du gouvernement de Dilma Rousseff. L’homme revendique des convictions plutôt tranchées et pourrait même coller à la définition de « nationaliste endurci », selon l’élégante formule choisie par la revue Piaui.
    D’ailleurs, une des initiatives les plus célèbres de cet ancien président de la Chambre des députés (2005-2007) a été de limiter les anglicismes dans la langue portugaise. Il avait également défendu promptement la réforme du Code forestier sous prétexte qu’un grand nombre de propriétaires terriens ne respectaient la loi. Malgré les protestations des associations de défense de l’environnement, il était resté inflexible.
    Seulement voilà, à l’approche du coup d’envoi de la Coupe du monde de football ses propos laissent parfois perplexe, pour ne pas dire plus. En décembre, le ministre a pris tout le monde de court lorsqu’il a annoncé vouloir quitter son poste pour briguer un siège de gouverneur aux élections générales d’octobre 2014. A six mois du Mondial, l’annonce avait suscité quelques émois. Aldo Rebelo s’était ravisé.
    Face aux mauvaises langues pointant les retards des travaux liés au Mondial, il a pris l’habitude de répondre, dès la fin 2012, que le pays « avait réussi à mettre sur pied des choses bien plus audacieuses ». Six mois plus tard, il répondait d’un ton légèrement plus irrité : « Nous avons du retard sur quelques stades pour des raisons divers, mais les constructions sont en bonne voie. »
    Plus récemment, en mars 2014, le ministre a laissé entendre que la Copa était plus facile à organiser que le Carnaval de Rio. A propos des dépenses fastidieuses engagées pour l'organisation (environ 30 milliards de reais, mais personne ne connait le chiffre avec exactitude), il a défendu que ces sommes « étaient modestes par rapport aux 240 milliards de reais d’intérêts payés en 2013 par le Brésil pour sa dette publique. »
    Dans un long entretien au journal du Portugal Publico, toujours en mars, Aldo Rebelo balaye cette fois-ci les critiques venant des Brésiliens : « Il n’y en a que pour les pessimistes, les défaitistes et ceux qui ont le complexe du chien bâtard (expression brésilienne - propre à celui qui pense ne pas avoir voix au chapitre). »
    Et puis ceci, lorsque le journaliste Hugo Daniel Sousa insiste sur les inquiétudes européennes concernant la sécurité et les transports : « Qu’ils viennent au Brésil. Nos stations de métro sont plus sûres que celles en Europe. Nos aéroports sont plus sûrs que ceux en Europe. D’après les statistiques, ils sont plus sujets aux attentats qu’au Brésil. » Avant d’ajouter, d’un trait : « Une revue française (France Football) avait parlé de la Coupe de la peur. Je ne peux que dire que la Coupe du monde au Brésil sera plus sûre et aura beaucoup plus de succès que l’intervention française au Mali. » C’est dit.











    Deschamps : « Le 13 mai, je vais annoncer 30 noms » pour le Mondial


    Toujours pas de noms, mais désormais un chiffre. Lors d'un entretien accordé auMonde, mardi 25 mars, le sélectionneur de l'équipe de France, Didier Deschamps a révélé qu'il ne retiendrait pas 23 joueurs mais 30, le 13 mai, pour entamer la préparation de la Coupe du monde au Brésil. Didier Deschamps l'a répété à plusieurs reprises, à propos de la fameuse liste qui agite le monde du football : «Le 13 mai, il y aura trente noms. »


    Le 4 mars, à la veille de France-Pays-Bas (2-0), à la question de savoir s'il opterait pour une liste de 23 joueurs (agrémentée de 7 réservistes) ou une liste plus large de 30 noms, le sélectionneur avait botté en touche : « Si vous me demandez ce que je vais faire, je ne vais pas répondre ».


    De ces 30 joueurs, Didier Deschamps devra donc en écarter encore sept d'ici le 2 juin, date limite fixée par la Fédération internationale (FIFA), dix jours avant le début de la compétition. « Le 13 mai, je vais annoncer 30 noms. Il y aura peut-être 50 ou 100 déçus. Je le sais. Mais, c'est mon boulot, ma responsabilité de faire des choix, explique le patron des Bleus au Monde. C'est le côté un peu négatif, mais je l'assume. Je vais faire plus de malheureux que d'heureux. J'ai encore le temps, avec mon staff, c'est toujours de longues réflexions, des discussions, et enfin je me retrouve face à moi-même pour choisir. »
    Didier Deschamps assure suivre aujourd'hui encore « 50 joueurs » avec son adjoint Guy Stéphan et Franck Raviot, chargé des gardiens. Réunis à partir de la mi-mai à Clairefontaine, les Bleus disputeront trois matchs de préparation contre la Norvège (27 mai), le Paraguay (1er juin) et la Jamaïque (8 juin). Il pourra doncutiliser les deux premiers matches pour affinerses choix.
    Didier Deschamps évoque une « obligation » de la FIFA de communiquer 30 noms au 13 mai. Les « textes » auxquels il fait référence laissent pourtant une marge de manœuvre.« Chaque association qualifiée pour la compétition doit envoyer une liste d'un maximum de 30 joueurs qu'elle a sélectionnés », trente jours avant le début de la compétition, énonce le règlement de la FIFA. Le contingent, s'il ne peut pas être supérieur à 30 noms, peut donc être plus réduit.
    C'est cette option qu'avait choisi Raymond Domench avant le Mondial 2006. Le 14 mai, il avait livré une liste définitive de 23 joueurs en partance pour l'Allemagne. Quatre ans plus tard, avant la Coupe du monde en Afrique du Sud, le même Raymond Domenech opte pour la même stratégie avant de se raviser au regard de « l'importance prise dans les médias par la publication de cette liste ». Karim Benzema et Samir Nasri font alors des sept joueurs recalés.


    DESCHAMPS : « IL N'Y A PAS LA BONNE SOLUTION »

    Avant l'Euro 2008, Raymond Domenech avait également retenu trente joueurs pour le stage de préparation à Tignes. A quelques jours de la compétition (enSuisse et en Autriche), il avait frappé à la porte de la chambre des sept tricolores qui durent quitter leurs partenaires en hélicoptère. « J'ai vécu le plus sale moment de ma carrière de sélectionneur », confiera alors Raymond Domenech.
    Avant le Mondial 1998, Aimé Jacquet avait aussi penché pour une liste élargie de 28 joueurs avant d'écarter Nicolas Anelka, Sabri Lamouchi, Ibrahim Ba, Pierre Laigle et Martin Djetou. Les « bannis » avaient quitté Clairefontaine en taxi après une séance d'explications houleuse. «Il n'avait pas trouvé les bons mots », témoignera Martin Djetou». « Ce n'était pas une bonne idée parce que cela fait toujours mal. Rares sont ceux qui ont pu se relever après », dira Nicolas Anelka.
    Ce souvenir du 21 mai 1998 hante-t-il Didier Deschamps ? « Non je n'étais pas encore à Clairefontaine, se rappelle le sélectionneur. J'avais une finale de Ligue des champions [perdue 1-0 avec la Juventus face au Real, la veille] et j'étais arrivé après. Mais oui ça fait partie de l'histoire. »
    Le sélectionneur a-t-il déjà choisi la façon dont il allait annoncer aux sept recalés qu'ils n'iront pas au Brésil? « Je ne vais pas vous dire ça aujourd'hui, répond Didier Deschamps. La chose dont je suis convaincu, c'est qu'il n'y a pas LA bonne solution. Je vais faire en sorte de choisir la moins mauvaise à mes yeux. »





    Dernière modification par edenmartine ; 27/04/2014 à 09h36.


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