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    Post Conseil de la Nation & Assemblée Populaire Nationale (Algérie)

    A LA UNE/ACUALITE_La crise financière remet sur le tapis l’existence de cette institution
    25 Septembre


    Vers la suppression du Conseil de la nation ?

    Les besoins pour l’État de faire des économies rend probable la dissolution de la Chambre haute du Parlement
    qui ne fait pas l’unanimité dans la classe politique, eu égard à son caractère budgétivore et formel.

    uppression du Conseil de la nation.jpg

    Dimanche, devant les experts appelés au chevet de l’économie algérienne, Sellal avait demandé aux Algériens,
    à demi-mot, de se préparer à la cure d’austérité. Et ce n’est qu’une question de mois, à l’évidence.
    Mais le gouvernement veut donner l’exemple en s’attaquant au train de vie de l’État.
    Vraisemblablement, le mammouth sera dégraissé.
    La presse s’est déjà fait l’écho d’une instruction du Premier ministre aux entreprises publiques,
    aux administrations centrales et locales leur enjoignant de tailler à mort dans les dépenses
    sur les fournitures de bureaux, les cadeaux de fin d’année, les collations et autres faux frais.
    Mais ce ne serait là qu’un avant-goût de mesures plus spartiates visant à faire des économies plus substantielles.
    Ces futures mesures, “c’est du lourd”, nous a déclaré, sous le couvert de l’anonymat, un haut cadre de l’État à la retraite.
    Il est, selon lui, question de supprimer purement et simplement le Conseil de la nation.
    “Cette institution, née dans un contexte politique particulier, n’a plus aujourd’hui sa raison d’être,
    juge notre interlocuteur, elle est budgétivore et n’apporte rien de plus au travail législatif.”
    L’idée de rayer du paysage institutionnel le Conseil de la nation a toujours été dans l’air,
    mais la situation de crise et l’obligation de faire des économies auraient convaincu, en haut lieu,
    de la nécessité d’en finir avec un bicaméralisme de pure forme. Pour notre interlocuteur,
    “la prochaine révision de la Constitution offre l’opportunité au président de la République d’acter la mort du Sénat”,
    créé, à l’époque, par le président Zeroual, pour endiguer le risque d’une majorité islamiste
    à travers le mécanisme du tiers bloquant.
    Une question se pose néanmoins : les élections qui auront lieu en décembre prochain
    pour le renouvellement partiel du Sénat ? Pas de lien entre les deux problématiques,
    écarte notre source qui parle de “détail”. Même la Chambre basse ne serait pas
    à l’abri de la politique d’austérité. Il est question, poursuit-on, de donner un coup de rabot
    à la taille de l’APN, à travers une révision à la baisse du nombre de sièges.
    De combien ? La question n’est pas encore tranchée. Il faut rappeler que le nombre de sièges
    était, jusqu’à février 2012, de 389. C’est le président Bouteflika, en vertu d’une ordonnance prise en 2012,
    qui a porté le nombre de sièges à pourvoir à 462. La hausse du nombre de sièges à l'Assemblée nationale
    était justifiée alors par le souci de “réunir les conditions propices pour l'application
    de la nouvelle législation sur l'augmentation des chances d'accès de la femme
    à la représentation dans les Assemblées élues”.
    Des spécialistes en droit constitutionnel ont dénoncé, à l’époque, la décision,
    considérant que le nombre de députés était trop élevé, proportionnellement à des pays
    comme la France et les États-Unis. Mais, en 2012, le prix du pétrole rendait encore possible
    ce genre de fait du prince pour un pouvoir tenu par le devoir de renvoyer
    l’ascenseur aux clientèles. Les coupes budgétaires pourraient s’étendre au secteur de la diplomatie.
    Il serait en effet question de fermer certaines représentations
    dont l’utilité n’est pas avérée et d’en jumeler d’autres.
    Il y a certainement des économies à faire à ce niveau, quand on sait que
    certaines représentations diplomatiques ne sont que des planques budgétivores destinées
    au recyclage de copains. Dans le même souci de “rationaliser” les dépenses,
    de nombreuses associations dites de la société civile et qui émargent au budget de l’État,
    se verront signifier l’ordre d’aller chercher leur financement ailleurs.
    Si de telles mesures venaient vraiment à être prises, elles ne compenseraient certainement
    pas le déficit engendré par la baisse des prix du pétrole, mais au plan symbolique,
    cela constituerait un signal fort en direction des citoyens

    Dernière modification par zadhand ; 08/07/2016 à 21h27.
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    Re : Conseil de la nation (Algérie)

    salam
    Pas d industrie ! l agriculture est largement insuffisante
    on importe trop ,le lait, les fruits....
    rien n est fabriqué made in Algérie,d ou le chômage en quantité !voulu par l état!pour maintenir le peuple
    assez de l aumône !
    soyons indépendant
    c est une honte pr le pouvoir !
    Zgemma S2 openATV 6.0 hybrid c est l avenir.

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    Post La succession de Bensalah en filigrane

    A LA UNE/Actualités_RENOUVELLEMENT PARTIEL DES MEMBRES DU CONSEIL DE LA NATION
    20 Décembre 2015

    La succession de Bensalah en filigrane

    Le renouvellement partiel des membres du Conseil de la Nation intervient, cette fois-ci, dans une conjoncture qui confère
    à ce scrutin des grands électeurs parmi les élus locaux, APC-APW, toute son importance.

    M. Kebci - Alger (Le Soir) - Le FLN, version Ammar Saâdani, ambitionne tout simplement à l’occasion de cette joute de reprendre son règne au niveau de la Chambre haute du Parlement en vue de compléter sa domination sur l’appareil législatif et son emprise sur l’exécutif.
    En effet, le vieux front détient une large majorité à l’APN à l’issue des élections législatives du 10 mai 2012, près de 120 élus auxquels sont venus s’ajouter d’autres députés «indépendants» ou élus sur les listes de cette kyrielle de petits partis.
    Comme c’est le cas, d’ailleurs, du plus en vue de ces parvenus, Baha-Eddine Tliba, qui a piloté la liste d’un micro-parti à Annaba avant d’atterrir au FLN et se faire bombarder vice-président de l’APN il y a seulement quelques semaines
    à l’occasion du renouvellement des instances de cette Chambre basse du Parlement.

    Le FLN se prévaut également d’une majorité confortable au niveau de l’exécutif puisqu’ils sont nombreux, ceux qui étaient nommés ministres dans le sillage du dernier remaniement gouvernemental, à se revendiquer du vieux front
    et à rejoindre dans un mouvement de masse le comité central issu du dernier congrès.

    Ammar Saâdani, qui, jusqu’à une époque récente, revendiquait même le gouvernail de l’exécutif qui devait revenir à son parti majoritaire à l’APN, avant de lâcher du lest, le Premier ministre ayant, enfin, revendiqué publiquement sa «vieille» appartenance au vieux front mais aussi,
    perspective de révision constitutionnelle oblige. Manque donc, dans l’escarcelle du FLN,
    une majorité au Conseil de la Nation, qui lui permettrait d’asseoir sa suprématie.

    Ce qu’il tentera de réaliser à l’occasion du tout prochain renouvellement partiel des membres de cette Chambre haute du Parlement. Mais au cœur de cette ambition se loverait, selon de «mauvaises langues», une velléité chez Saâdani de prendre le relais de Abdelkader Bensalah
    dans le cadre d’une succession qui se trame depuis des semaines en haut lieu.

    Le patron du FLN prendrait les rênes du Sénat et deviendrait, ainsi, le deuxième homme de l’Etat
    après avoir été à un rang plus bas quand il a été placé à la tête de l’APN.

    Il serait, pour ce faire, nommé comme sénateur dans le cadre du tiers présidentiel partiellement concerné par
    ce renouvellement avant de se faire introniser président du Conseil de la Nation.

    Ce qui ne serait que récompense à l’homme qui a fait preuve d’abnégation dans l’application à la lettre
    de la feuille de route qui a accompagné sa désignation à la tête du FLN, fin août 2013.

    Et nombre de ses pourfendeurs au sein du vieux front, dont notamment les redresseurs en chef,
    l’accusent carrément de nourrir des ambitions présidentielles.

    Une accusation qu’une telle promotion viendrait ainsi démentir.
    M. K.
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    Post Zohra Drif-Bitat écartée, Bensalah reconduit

    A la une/Actualité_Conseil de la Nation
    le 10.01.16 | 13h43 | mis à jour le 10.01.16 | 14h54

    Zohra Drif-Bitat écartée, Bensalah reconduit

    Abdelkader Bensalah a été reconduit, aujourd’hui dimanche,
    à la tête de la Chambre haute du Parlement (Conseil de la nation).

    Zohra Drif-Bitat et Abdelkader Bensalah.jpg

    La séance plénière, présidée par Salah Goudjil, le plus âgé des sénateurs,
    a vu la lecture de la liste des nouveaux membres élus et ceux désignés
    dans le cadre du tiers présidentiel. Parmi ces derniers on note
    le départ de Zohra Drif-Bitat. L’ancienne Moudjahida a été écartée,
    vraisemblablement, suite à son adhésion au groupe des 15 (19- 4) qui a
    demandé, récemment, audience au président Bouteflika
    pour s’assurer de sa capacité à diriger le pays.

    Les élections pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de
    la nation, tenues le 29 décembre dernier, on permet au FLN de décrocher
    la première place avec 23 sièges, suivi du RND avec 18 sièges.
    Les Indépendants ont obtenu 4 sièges, le FFS 2 sièges et El-Fadjr El-Djadid 1 siège.
    Le Conseil de la nation, créé lors de la révision de la Constitution en 1996,
    est composé de 144 membres, dont 96 élus au scrutin indirect et secret (2 tiers)
    par les élus des APC et des APW. Les 48 autres membres,
    soit un tiers du Conseil, sont désignés par le chef de l’Etat.

    Le président du Sénat est considéré comme le deuxième homme de l’Etat.
    En cas de la vacance du pouvoir, il assumera les fonctions du président de
    la République pour une période de 45 jours (art 88).

    L’avant-projet de révision de la Constitution, dévoilé la semaine passée, propose
    de donner au Sénat la possibilité de faire des propositions de loi. Cela en plus de
    sa prérogative initiale portant blocage des projets de loi proposés par la Chambre basse (APN).
    Farouk Djouadi
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    Post Les sénateurs dénoncent l’acharnement des français

    A la une_EXPLOITATION D'UNE PHOTO DU PRESIDENT BOUTEFLIKA
    Ismain
    Vendredi 22 Avril 2016 - 17:17
    Les sénateurs dénoncent l’acharnement des français

    Le Conseil de la nation a considéré jeudi que l'exploitation d'une photo du président de
    la République Abdelaziz Bouteflika constituait un "dérapage grave qui outrepasse les limites de
    la décence politique et les us diplomatiques", saluant l'élan du peuple algérien qui "ne tolère
    aucune atteinte à son Etat, ses symboles et ses institutions".



    "La campagne orchestrée contre l'Algérie s'est une fois encore confirmée à travers le comportement
    répréhensible du Premier ministre français Manuel Valls après l'honneur qui lui a été fait d'être reçu
    par le président de la République, un dérapage grave dénotant une intention malveillante et procédant
    d'un penchant irréfléchi qui transgresse les règles d'éthique, les us diplomatiques et les limites de
    la décence politique", s'indigne la chambre haute du parlement dans un communiqué.
    "Les attaques consécutives émanant de différents milieux français reflètent un acharnement systématique
    allant en sens contraire des avancées réalisées ces dernières années pour l'édification d'une relation
    algéro-française privilégiée aux perspectives stratégiques basées sur les intérêts partagés, la confiance et
    le respect mutuels", soutient le conseil de la nation. Des outrages "inacceptables" qui ne sont pas un cas isolé,
    martèle encore le conseil de la nation qui rappelle qu'auparavant, un journal français avait déjà, au mépris de
    la déontologie de la presse et dans une entreprise aussi tendancieuse que fallacieuse, évoqué les soi-disant
    Panama papers pour s'en prendre aux symboles et Institutions de l'Etat. Le conseil de la nation dénonce
    un dérapage flagrant dans le contexte d'une campagne visant l'Algérie et le peuple algérien à travers ses symboles.
    Ces attaques successives, poursuit la chambre haute du gouvernement, "viennent en relais à des voix,
    connues pour leur animosité envers notre pays, qui s'élèvent au sein du parlement français pour réclamer,
    sans aucune vergogne l'indemnisation de pieds noirs et qui veulent faire passer une loi qui réhabiliterait
    les harkis et réparerait un dol qu'ils auraient subi". Le bureau du conseil de la nation se félicite de l'élan populaire
    qui marque la scène nationale face à cette campagne, un élan qui est le propre du peuple algérien qui n'accepte pas
    la moindre atteinte à son Etat ou a ses symboles et Institutions. Pour le conseil de la nation, cet élan patriotique reflète l'attachement du peuple algérien au président de la République et sa reconnaissance pour les réalisations
    accomplies et qui continuent de l'être sous sa direction clairvoyante.



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    Re : Conseil de la nation (Algérie)

    il n'y a qu'en Algérie qu'une photo de leur président fait autant jaser à croire qu'il a été surprit nu
    mais sincèrement on veut cacher quoi?
    toutes les photos accrocher sur les murs de nos administrations datent d'au moins une dizaine d'année ;elle est loin l'époque ou il nous criait "arfaa rassak yaba" est ce le bon exemple pour un président qui continue à exercer ses fonctions dans cette état moribond? .s'il s'agissait de mon pere je l'aurait ramener à la maison pour bien m'occuper de lui et lui enlever la très grande charge de responsabilité qui pèsent sur ces frêles épaules
    un peu de décence serait le bienvenu dans cette période de décadences vertigineuses
    et tout ces jours qui passent plantent en mon coeur affligé chaqu'un une lance de regrets et d'angoisse

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    Post Assemblée Populaire Nationale (APN)

    Larbi Ould Khélifa évacué en France, suite à un malaise

    13 juillet 2016

    Le président de l’APN, Larbi Ould Khélifa se trouve depuis mardi
    dans un hôpital parisien, selon des sources concordantes.


    Le numéro trois dans l’ordre protocolaire algérien, âgé de 78 ans,
    a été évacué en urgence à Paris, après que les médecins ont jugé
    nécessaire son transfert.
    Pour rappel, Larbi Ould Khélifa, qui suit
    régulièrement des contrôles médicaux , était déjà hospitalisé
    en France, il y a deux ans.


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    Post Adoption des textes de lois portant Statuts des officiers de réserve et du personnel

    Adoption des textes de lois portant Statuts des officiers de réserve et du personnel militaire

    Conseil de la Nation
    le 17.07.16|15h57

    Les membres du Conseil de la nation ont adopté dimanche les deux textes de
    lois portant statut des officiers de réserve et statut général des personnels militaires
    lors d'une séance plénière présidée par M. Abdelkader Bensalah, président du
    Conseil en présence de la ministre des Relations avec le parlement, Ghania Eddalia
    et du directeur des études au cabinet du ministre de la Défense nationale, Arfi Youssef.

    Dans une allocation à l'issue du vote, la ministre des Relations avec le parlement a estimé
    que l'adoption de ces deux textes "renforce" la place de l'Armée nationale populaire parmi
    les institutions constitutionnelles de l'Etat, "préserve" son image noble et honorable au vu
    de la mission qui lui est assignée pour la protection de la sécurité et de l'intégrité territoriale
    et "la met à l'abri de tout ce qui peut porter atteinte à l'honneur et à la réputation de l'ANP,
    digne héritière de l'armée de libération nationale (ALN)".
    En vertu des deux statuts, le militaire
    mis à la réserve "est interdit de tout acte, déclaration ou comportement susceptibles de
    compromettre l'image des institutions et des autorités publiques".Les nouvelles dispositions
    énoncent que "le militaire actif sur le point de cesser définitivement le service dans les rangs
    de l'armée et mis à la réserve exerce ses droits et libertés consacrés par les lois de la république
    mais reste assujetti à l'obligation de discrétion et de réserve".
    "Tout manquement à ce devoir de
    nature à compromettre la dignité et l'autorité des institutions de l'Etat, est considéré outrage ou diffamation et peut, sur demande des pouvoirs publics, donner lieu à un retrait de la médaille d'honneur ou à un dépôt de plainte auprès des juridictions compétentes conformément aux dispositions en vigueur", selon les mêmes dispositions.
    "Le militaire actif qui sur le point de
    cesser définitivement le service au sein de l'armée et mis à la réserve qui viole l'obligation de discrétion ou de réserve s'expose à une dégradation". Le projet de loi portant statuts des
    personnels militaires énonce l'obligation de réserve à laquelle doivent se conformer les militaires après avoir cessé de servir dans les rangs de l'armée.
    Les nouvelles dispositions assujettissent
    le militaire qui a cessé définitivement de servir à "l'obligation de réserve et, tout manquement à
    ce devoir de nature à compromettre la dignité et l'image des institutions de l'Etat et l'expose à
    une série de mesures" dont " "le retrait de la médaille d'honneur", le dépôt d'une plainte sur
    demande des autorités publiques auprès des juridictions compétentes conformément aux
    dispositions juridiques en vigueur et enfin la dégradation".
    La loi stipule que "le militaire remis à
    la vie civile est interdit de tout acte, déclaration ou comportement pouvant compromettre l'image
    des institutions et des autorités publiques".

    APS
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    Post L’exigence de la nationalité algérienne exclusive

    Hautes fonctions civiles et militaires
    L’exigence de la nationalité algérienne exclusive

    Conseil des ministres
    le 27.07.16 | 10h00

    La nationalité algérienne exclusive est exigée, entre autres, pour les postes de
    présidents des deux Chambres du Parlement et du Conseil constitutionnel,
    de Premier ministre et de membres du gouvernement
    .



    La liste des hautes responsabilités de l’Etat et des fonctions politiques
    dont l’exercice requiert la nationalité algérienne exclusive est enfin dévoilée.
    Réuni hier à Algérie, le Conseil des ministres a adopté un avant-projet de loi
    qui permet la mise en œuvre de l’article 63 de la nouvelle Constitution
    (article 51 de la mouture initiale de la Constitution, ndlr). Le texte définit deux
    catégories de responsabilités : civiles et militaires.
    Ainsi, au titre des responsabilités
    et fonctions civiles, lit-on dans le communiqué du Conseil des ministres, la nationalité algérienne exclusive est exigée pour les postes de présidents des deux Chambres
    du Parlement et du Conseil constitutionnel, de Premier ministre et de membres du gouvernement, de présidents de la Cour suprême et du Conseil d’Etat. Le gouverneur
    de la Banque d’Algérie, les responsables des organes de sécurité ainsi que le président
    de la Haute instance indépendante chargée de la surveillance des élections sont également concernés par cette disposition.Pour les responsabilités militaires, le projet
    de loi englobe les principales fonctions au sein de l’Armée nationale populaire. Il prévoit
    un possible élargissement de la mesure à toute autre responsabilité militaire devant être décidée par décret présidentiel. Dans le cadre de l’application de cette disposition, les candidats à ces responsabilités doivent produire une déclaration sur l’honneur de nationalité algérienne exclusive.
    Pour rappel, l’article 63 de la Constitution stipule que
    «la nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités
    de l’Etat et aux fonctions politiques». «L’égal accès aux fonctions et aux emplois au sein
    de l’Etat est garanti à tous les citoyens, sans autres conditions que celles fixées par la loi. La nationalité algérienne exclusive est requise pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions politiques», énonce cet article qui avait, rappelons-le, suscité une vive polémique.
    La définition des hautes fonctions concernées par cette disposition constitutionnelle mettra-t-elle un terme à ce débat ? Dès l’annonce du contenu du fameux article 51 (article 63 après promulgation de la Constitution), plusieurs partis politiques, en particulier le FLN de Amar Saadani, et des représentants de la communauté algérienne
    à l’étranger ont dénoncé «une sorte de ségrégation». La polémique a duré plusieurs semaines.
    Les contestataires avaient estimé que la disposition empêcherait les membres de la communauté algérienne à l’étranger de «participer à l’effort de développement du pays». Certains sont allés encore plus loin en voyant, à travers cet article, une volonté de barrer la route de la présidence de la République à certaines personnalités établies à l’étranger. Cette polémique a obligé le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à intervenir pour calmer le jeu.Il avait affirmé à l’époque que «l’article 63 de la Constitution aura
    permis, pour la première fois dans l’histoire du pays, d’évoquer la question des Algériens binationaux». «Mais la question ne devrait susciter aucune polémique en ce sens qu’il ne s’agit que de certaines hautes fonctions de l’Etat», avait-il souligné.
    Outre le cas des Algériens vivant à l’étranger, certaines parties ont profité de cette polémique pour appeler
    à l’application de cette mesure au gouvernement où siègent, selon eux, «des ministres détenteurs d’une double nationalité». Si une telle accusation est fondée, y aura-t-il un remaniement du gouvernement ? La polémique sur la nationalité a concerné même le président du Conseil de la nation, dont «la nationalité d’origine serait marocaine».

    Madjid Makedhi
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    Post Ouverture dimanche 4 septembre de la session du parlement

    OUVERTURE DIMANCHE DE LA SESSION DU PARLEMENT

    La réélection en ligne de mire des parlementaires
    1 Septembre 2016


    Un communiqué du Conseil de la nation informe de l’ouverture,
    dimanche 4 septembre, de la session ordinaire du Parlement pour
    l’année 2016-2017. Députés et sénateurs devront reprendre les
    bancs des hémicycles respectifs pour l’examen et/ou l’adoption d’un
    certain nombre de textes de loi. Ces textes sont nombreux mais
    députés et sénateurs, pour nombre d’entre eux, tout au moins, ont-ils
    l’esprit à ces seuls examens et ne sont-ils pas déjà dans autre chose
    la préparation de leur propre avenir ou la recherche de points de chute,
    mais toujours plus près de la sphère de décision ?
    Le communiqué émis par le bureau du Conseil de la nation indique que
    ses membres ont pris connaissance des projets de loi, soumis jusque-là
    au Parlement, et qu’il est attendu que d’autres projets soient inscrits lors
    de cette session qui s’ouvre. Pour rappel, lors de la session précédente,
    un certain nombre de textes de loi, dont la nouvelle Constitution n’est
    pas des moindres, ont été votés dans un contexte de précipitation sans
    pareil.Les projets de loi en cours d’examen sont également nombreux et
    comptent, entre autres, le projet de loi organique régissant les relations
    entre le Parlement et le gouvernement et qui devrait astreindre les ministres
    à répondre dans un délai de 30 jours aux questions orales des députés.
    Il n’est pas inutile de souligner que plus de 300 interpellations de ministres
    par les députés n’ont pas encore reçu de réponses.Sans être explicite, le
    communiqué du Conseil de la nation, qui annonce l’ouverture de cette
    session, mentionne que le bureau du Conseil «a examiné plusieurs
    questions orales et écrites destinées au gouvernement et décidé de les
    soumettre au gouvernement car elles répondent aux conditions de forme».
    Tout se niche justement dans cette dernière condition «de répondre aux
    questions de forme». Il n’est donc pas dit que toutes les questions et
    notamment celles qui dérangent auront une réponse.Sans savoir la nature
    des questions qui recevront au cours de cette session une réponse du
    gouvernement, l’on nous informe qu’elles concernent le Premier ministère,
    l’éducation nationale, les transports et travaux publics ; l’enseignement
    supérieur et la recherche ; les moujahidine ; les affaires religieuses et les
    wakfs, l’intérieur ; la communication ; le travail, l’emploi et la sécurité sociale
    et enfin les ressources en eau et l’environnement. Cette liste à la Prévert
    ferait saliver n’était cette inconnue sur la censure quant aux «conditions de
    forme» qu’elle a dû subir.La reprise des travaux parlementaires intervient
    dans un contexte politique pour le moins agité. Un parti majoritaire à
    l’Assemblée nationale – le FLN – en butte à des contestations en son sein et
    des agitations publiques pour destituer les responsables actuels ; un RND en
    quête de positionnement plus conséquent en vue des législatives de mai 2017
    et au-delà pour leur premier responsable en vue de la présidentielle ; des
    partis islamistes présents à l’Assemblée qui cherchent à gagner plus de places
    au Parlement, et revenir plus forts dans la société, encouragés en cela par
    l’échec qu’a fait subir leur mentor turc aux tentatives de putsch…
    Plus globalement, c’est le quasi-désert et l’absence de débat réel dans la
    sphère politique et dans la société qui ouvrent un boulevard à de très nombreux
    députés et sénateurs qui ne se consacrent, pour l’heure, qu’à garder leur place
    au chaud ou à s’en trouver une meilleure.Quant aux citoyens, il n’est pas très
    évident qu’avec une telle conjoncture, ils veuillent encore aller en nombre se
    prononcer dans les urnes, sauf à sanctionner tous ceux qui se sont, jusqu’à
    présent, fourvoyés dans toutes les précédentes législatures, même si beaucoup
    d’entre eux, on le verra lors de cette session, s’agiteront sur les bancs des
    hémicycles pour tenter de convaincre de leur utilité.

    Khedidja Baba-Ahmed
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

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