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    Post Le Chef de Gouvernement

    A LA UNE/ACTUALITE_Le Premier Ministre Abdelmalek Sellal
    le 02.09.15 | 12h01 | mis à jour le 02.09.15 | 13h43


    Sellal dit niet à Madani Mezrag

    Le premier ministre Abdelmalek Sellal a répondu, aujourd’hui mercredi,
    à l’ancien émir de l’AIS, Madani Mezrag,
    qui a annoncé la création d’un parti politique.

    Nous ne permettrons à aucune personne impliquée dans la tragédie nationale de créer un parti pol.jpg


    « Nous l’affirmons vigoureusement. Nous ne permettrons
    à aucune personne impliquée dans la tragédie nationale de créer
    un parti politique. La lois sera appliquée avec force »,
    a déclaré Sellal, en marge de la cérémonie d’ouverture
    de la session d’automne du Parlement.


    « Certains ont bénéficié de droits dans le cadre de la charte
    pour la réconciliation nationale mais ils ne veulent pas
    respecter leurs obligations », a ajouté Sellal,
    en rappelant que l’article 26 de la dite charte et la loi électorale
    sont claires en ce qui concerne le retour
    des responsables du FIS dissous à la vie politique.


    « Il n' y aura pas de retour en arrière et nous allons continuer
    à combattre le terrorisme jusqu’à ce que cette page de tragédie nationale
    soit tournée définitivement », a affirmée Sellal.


    Entre les paroles et les actes

    L’ancien chef de l’Armée islamique du salut (AIS) a annoncé,
    le 27 août dernier, la création de son parti politique
    le Front de l’Algérie pour la réconciliation et le salut (Fars).
    Deux semaines auparavant, il avait réuni ses frères d’armes à Mostaganem, dans un conclave qu’il a appelé « université d’été ».
    La rencontre a eu lieu sans autorisation,
    tout comme celle organisée l’année dernière à Jijel.


    Mezrag semble bénéficier de la protection de gens influents
    au sein du pouvoir algérien. En juin 2014,
    il a été invité à El Mouradia en qualité de « personnalité nationale ».
    L’ancien chef terroriste a été reçu par l’ex-éradicateur,
    Ahmed Ouyahia, pour discuter de la future Loi fondamentale du pays.


    Bref. Vu les soins dont il est entouré,
    Mezrag a des raisons de se croire totalement blanchi
    et assez puissant pour ignorer le « niet » du premier ministre.
    Après tout, les paroles ne valent rien devant les actes.


    Farouk Djouadi
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    Post Austérité

    A LA UNE/ACTUALITE_Le Premier Ministre Abdelmalek Sellal
    16 Septembre 2015
    Austérité
    Sellal interdit les cadeaux de fin d'année


    Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a demandé aux membres du gouvernement de veiller à une gestion plus rigoureuse des ressources financières allouées aux administrations,
    organismes et établissements publics,
    selon une instruction dont l'APS a obtenu une copie.

    Les ressources doivent être orientées exclusivement aux dépenses incompressibles.jpg

    "Dans le cadre de la rationalisation des dépenses publiques (...), je vous instruis de veiller personnellement à l'effet d'attirer l'attention des gestionnaires des administrations, organismes et établissements publiques sous votre tutelle
    à faire preuve de plus de rigueur dans
    la gestion des ressources financières
    qui leur sont allouées",
    a indiqué M. Sellal dans son instruction datée du 10 septembre.

    Ces ressources doivent être orientées exclusivement aux dépenses incompressibles afin d'assurer les missions dont elles sont investies et "ne doivent en aucun cas être affectées à des dépenses superflues", souligne-t-il. Les administrations et organismes publics sont tenus ainsi de diminuer de 4% leurs dépenses de fonctionnement et de 20% les prestations téléphoniques et achat de fournitures alors que les cadeaux de fin d'année sont à prohiber, précise M. Sellal, expliquant que ces réductions étaient "une nécessité fondamentale".

    Cette démarche nécessite, poursuit-il, un audit et un contrôle précis sur ces actes de gestion en matière de dépenses afin de moraliser l'action publique.

    Pour leurs parts, les organismes chargés du contrôle de la dépense publique seront tenus responsables
    de toute complicité ou défaillance,
    souligne le Premier ministre, ajoutant que des sanctions administratives seraient prises à l'encontre
    de tout responsable défaillant.

    M. Sellal a demandé, dans le cadre de la "stricte" mise en oeuvre de ces dispositions, de gérer de manière "rigoureuse et efficiente" les missions à l'étranger en limitant notamment leurs nombre et durée.

    APS


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    Post Des circulaires pour revoir à la baisse le train de vie de l’Etat

    A LA UNE/ACTUALITE_Le Premier Ministre Abdelmalek Sellal
    21 Septembre 2015

    Des circulaires pour revoir à la baisse le train de vie de l’Etat


    Le Premier ministre vient d’envoyer une nouvelle circulaire aux chefs des administrations
    et institutions publiques - centrales et locales -, leur demandant de dépenser moins
    et de supprimerles dépenses superflues.

    Pour que cette énième circulaire du Premier ministre soit crédible,
    efficace et réellement appliquée, il faut réunir au moins 2 conditions :

    1- elle doit être complétée par des objectifs chiffrés précis, ce qui n'est pas encore le cas ;
    2- son application doit être prise en charge, suivie et contrôlée par au moins 2 institutions,
    l'IGF et la Cour des comptes et leurs démembrements régionaux et territoriaux. Sinon,
    elle sera inapplicable ! Qui va contrôler qui ?

    Et pourtant, le train de vie de l'Etat gagnerait à être fortement réduit. Mais comment faire
    quand on prend goût à ces très mauvaises habitudes — financées par le contribuable —,
    à la gabegie, au gaspillage, au luxe tapageur, voire à la luxure tous azimuts qui en découle.
    Encore une circulaire qui risque de tourner en rond comme toutes celles qui l'ont précédée.....

    D. H.

    Dernière modification par zadhand ; 21/09/2015 à 21h00. Motif: Des circulaires pour revoir à la baisse le train de vie de l’Etat
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    Post Enterrement de la sœur du premier ministre à constantine

    A la une/Disparition_Enterrement de la sœur du premier ministre à constantine
    dimanche 31 janvier 2016 à 11:18

    La ville paralysée pendant trois jours


    La ville paralysée pendant trois jours.jpg

    Depuis mercredi dernier jusqu’après la prière du vendredi, les quartiers limitrophes
    au lieu de résidence
    de la famille du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à Sidi-Mabrouk, étaient quadrillés par
    un service d’ordre qui rendait leurs accès compliqués.
    Les voies menant vers le quartier où est situé le cimetière (centre-ville) où a été enterrée la défunte
    ont été également bouclées. Les résidents de ces quartiers ont été contraints, trois jours durant,
    de prendre des chemins détournés pour rentrer chez eux.
    En sus, une opération de nettoyage d’envergure a touché le centre-ville, à telle enseigne que certains citoyens
    ont témoigné l’avoir rarement vu aussi propre. Ce qui les a ramenés à conclure que l’hygiène urbaine n'est pas
    tributaire de manque de moyens comme l’a souvent affirmé le chef de l’exécutif de la wilaya, mais uniquement
    d’une volonté de bien faire. Pour rappel, le Premier ministre a reçu la nouvelle du décès de sa sœur alors
    qu’il animait un point de presse à Laghouat, où il effectuait une visite de travail mercredi dernier.
    Les expressions de son visage ont alors interpellé les journalistes qui ont
    compris aussitôt qu’il venait d’apprendre une mauvaise nouvelle.

    Source/Libérté.


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    Post Sellal évoque un nouveau modèle économique

    A la une/Le pays traverse une grave crise
    le 03.03.16 | 10h00

    Sellal évoque un nouveau modèle économique

    Rattrapé par la crise, le gouvernement Sellal compte revoir sa copie
    et prévoit un «nouveau modèle économique» pour le pays dès avril prochain.

    Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.jpg




    Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a surpris plus d’un, hier, en annonçant
    qu’«un nouveau modèle économique pour la période 2016-2019 est en phase
    de préparation et d’examen» et sera présenté et annoncé en avril prochain.
    Pour faire face à la baisse des recettes due à la chute des cours du brut qui
    oscillent actuellement entre 30 et 35 dollars, soit un niveau inférieur au prix
    de référence arrêté à 37 dollars le baril dans la loi de finances, le Premier ministre,
    qui a souvent évoqué le recours à l’endettement extérieur, rectifie le tir
    et invoque, cette fois, le recours à «l’emprunt interne».
    En effet, un emprunt obligataire national sera lancé en avril avec un taux d’intérêt
    très élevé de 5%, et ce, pour augmenter, selon M. Sellal, les sources de revenus.
    Le Premier ministre n’a pas précisé les contours de cette nouvelle orientation de
    la politique économique du pays. Ce qui est certain, c’est que le gouvernement Sellal
    est ainsi rattrapé par la crise économique que traverse le pays depuis
    la dégringolade des prix du pétrole.
    Bien qu’ayant opéré des coupes budgétaires,
    notamment dans les dépenses d’équipement pour 2016, il faut savoir que le déficit
    sera si important qu’il sera difficile de le combler par le Fonds de régulation
    des recettes (FRR), dont les comptes ont commencé à fondre comme neige au soleil
    depuis 2014. Le mécanisme mis en place début 2001, comme le FRR, alors que
    les revenus réels d’exportation des hydrocarbures étaient supérieurs aux dépenses
    budgétaires afin de faire face aux années de «vaches maigres», ne tiendra pas longtemps
    en raison du niveau actuel des prix de pétrole.

    «Nous écartons pour le moment le recours à l’endettement extérieur. Nous allons adopter
    un nouveau modèle économique que nous annoncerons en avril prochain et qui s’étalera
    jusqu’en 2019. Cette nouvelle orientation nous permettra de mieux maîtriser et gérer
    la situation économique. Nous avons pris cette décision pour éviter de recourir dans
    l’immédiat à l’emprunt extérieur», a expliqué M. Sellal en marge de l’ouverture de
    la session de printemps du Parlement. Le chef de l’Exécutif n’a pas nié l’existence
    d’une crise économique, mais a tenu à rassurer que l’Algérie maîtrise toujours
    les grands équilibres macroéconomiques nationaux.

    D’autres décisions économiques seront prises sans toutefois, assure le Premier ministre,
    toucher aux acquis sociaux. Pour appuyer ses dires, M. Sellal annonce la réunion de
    la tripartite (gouvernement-patronat-syndicat) qui se tiendra début juin prochain
    pour examiner plusieurs dossiers relatifs à la situation économique du pays. L’annonce
    de Sellal a laissé perplexes les parlementaires qui ignoraient totalement cette initiative
    portant sur un nouveau modèle économique. «Nous ne sommes pas au courant.
    Nous avons pris connaissance à l’instant de cette proposition relative à l’adoption
    d’un nouveau modèle économique», révèlent des députés de différentes obédiences
    rencontrés sur place.
    Ni le FLN ni le RND, les deux partis au pouvoir, n’ont été, semble-t-il,
    associés à ce projet susceptible de «faire bouger les lignes». Des députés indépendants
    et de l’Alliance de l’Algérie verte estiment que la chute des recettes pétrolières a mis
    à nu la politique du gouvernement. Aucune stratégie ni proposition, encore moins
    de solutions à long terme.
    Des incohérences et des contradictions dans les discours apparaissent au fil des jours.
    «Lorsque l’Algérie baignait dans l’aisance financière, elle n’a pas pu réaliser des exploits
    ni finaliser ses grands chantiers et aujourd’hui, avec un baril à 30 dollars, elle veut
    faire des économies ! Question : est-ce que le gouvernement va encore une fois
    puiser dans la poche des citoyens pour régler la crise», s’est interrogé Zineddine Tebbal,

    chargé de communication au MSP.
    Il y a quelques jours, le groupe Sonelgaz a annoncé vouloir recourir à un financement
    étranger pour lever 9 milliards de dollars en vue de financer ses investissements.
    Sonatrach, matrice de l’Etat algérien, n’a pas écarté cette éventualité, elle aussi,
    afin de financer ses projets. Comment, se demandent les députés, le gouvernement
    va satisfaire les besoins de ces deux entités ?

    «Est-ce un énième appel au citoyen pour qu’il serre davantage la ceinture ?»,
    s’offusquent les députés. Les élus du PT disent n’avoir aucune idée sur l’initiative
    du gouvernement et estiment que leur parti a formulé plusieurs solutions pour
    une sortie de crise, notamment l’abrogation de l’article 59 qui permet aux
    entreprises privées et étrangères établies en Algérie de recourir à l’endettement externe
    avec la garantie du Trésor public.
    Il faut annuler l’Accord d’association avec l’Union européenne
    et il faut en urgence rétablir le monopole de l’Etat sur le commerce extérieur, comme
    il faut, selon Taâzibt du PT, en finir avec l’exonération tous azimuts accordée au secteur privé
    parasitaire. Comme il est impératif que l’Etat récupère son argent via les impôts impayés.
    Ce sont autant de questions que le gouvernement ne pourra pas, cette fois-ci,
    éluder pour faire jouer la logique économique. 


    Nabila Amir


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    Post Conseil Interministériel en mars...des possibilités de soutenir les coûts du Hadj

    A la une/Conseil Interministériel en mars pour discuter des possibilités de soutenir les coûts du Hadj
    10 Mars 2016

    Conséquence de la dépréciation du dinar
    Le hadj plus cher

    Un Conseil interministériel sera prochainement organisé afin
    de discuter des options envisageables quant à
    la prise en charge des futurs hadjis.

    Prise en charge des futurs hadjis..jpg


    La chute des prix du pétrole et la dévaluation constante du dinar influeront-ils
    sur le déroulement du hadj 2016 ? A l’issue des contrats signés
    avec l’Arabie Saoudite, il a ainsi pu être constaté une augmentation de la somme
    que les pèlerins algériens auront à débourser. «Nous avons pu négocier le prix
    de l’hébergement et du transport. Toutefois, la restauration et le cours du change
    sont deux facteurs qui s’imposeront en matière de hausse des frais et
    des coûts du hadj», a confié à des journalistes Mohamed Aïssa, ministre
    des Affaires religieuses et des Wakfs, en marge de la cérémonie officielle
    organisée à l’occasion du 8 Mars.
    Un Conseil interministériel sera, de ce fait,
    prochainement organisé afin de discuter des options envisageables quant à
    la prise en charge des futurs hadjis. «Ce Conseil interministériel, présidé par
    le Premier ministre Abdelmalek Sellal, aura lieu courant mars, durant lequel
    le coût réel du hadj de cette année sera discuté», a expliqué le ministre.
    Seront alors exposés les différents facteurs ayant un impact financier sur
    l’opération et si le pèlerinage reste accessible selon les moyens des Algériens.

    «Faute de quoi, nous allons demander une subvention, négociée et commentée
    par le Conseil interministériel, qui sera ensuite jugée par le président de
    la République qui départagera les avis contraires» et tranchera la question quant
    à la nécessité d’assister les pèlerins si la hausse des prix entre l’année dernière
    et cette année est trop importante. Toutefois, selon le ministre, la hausse à attendre,
    de l’ordre que de «quelques milliers de dinars», sera due aux fluctuations des cours
    de change. Pourtant, M. Aïssa refuse de parler de «hadj subventionné» à proprement
    parler, évoquant une assistance et une baisse des coûts.
    «La subvention n’est pas à la page.
    Nous l’avons déjà déclaré l’année passée. Seulement,
    si le taux est trop haut, il est possible que le gouvernement subventionne une partie
    du pèlerinage. Mais si vous voulez mon avis, je défends et j’opte pour un hadj à la portée
    de ceux qui en ont les moyens, comme requis par la religion, comme dicté par le Saint Coran
    et par la Sunna», ajoute-t-il. Comment cette «assistance» se manifestera-t-elle ?
    En allant, en quelque sorte, vers un hadj «low-cost».

    Un «hadj «low-cost»
    «La subvention interviendra en supprimant des prestations. Par exemple, nous avons signé
    un contrat pour la prise en charge du transport des pèlerins dès leur descente d’avion,
    et ce, dans des bus haut de gamme. Il nous faudra alors abaisser le standing des véhicules
    et opter pour des transports moins chers», cite le ministre, qui ajoute : «Un hadj low-cost
    peut-être, mais un hadj de la dignité tout de même», car «il faut que chaque dinar versé ait
    une contrepartie en matière de prestations». La question de la part du pèlerinage amortie
    par l’Etat sera donc tranchée dans quelques jours, à la suite de quoi la somme à débourser
    par chacun des 29 000 Algériens qui effectueront le pèlerinage cette année sera annoncée.
    L’année dernière, les frais du hadj avaient été fixés à 412 000 DA, billet d’avion compris.

    Toutefois, il avait été estimé, l’année dernière, que les frais du hadj devaient atteindre
    les «600 000 DA en raison de la hausse du dollar sur la marché international», mais le prix
    avait été réduit à la baisse «grâce aux négociations menées par la partie algérienne avec
    les autorités saoudiennes, outre l’aide apportée par le président de la République au profit
    des hadjis algériens», avait alors indiqué le ministre, sans toutefois préciser quel était
    le montant de cette aide présidentielle. Un tel scénario sera-t-il envisageable cette année,
    au vu de la situation économique et de la diminution des moyens financiers de l’Etat ?

    Ghania Lassal


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    Post "Le Monde" a porté atteinte aux institutions du pays

    A la une/Actualité_Sellal
    le 10.04.16 | 15h47


    Le journal "Le Monde" a porté atteinte aux institutions du pays


    Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé dimanche que la décision
    de refus du visa à un journaliste du quotidien français Le Monde a été prise,
    parce que ce journal s'est permis de "porter atteinte à l'honneur et au prestige
    des l'une des plus importantes institutions du pays".
    "La décision a été prise tout simplement parce que ce journal (Le Monde) respecté
    et respectable, s'est permis de porter atteinte à l'honneur et au prestige des l'une
    des plus importantes institutions du pays, gratuitement, puisque l'information était
    fausse et non fondée", a précisé M. Sella en réponse à une question sur le refus
    d'octroyer le visa d'entrée à un journaliste du Monde.
    "On a porté atteinte à un symbole de ce pays, au Président de ce pays, connu pour
    avoir été tout jeune un des plus grands combattants pour l'indépendance du pays",
    a indiqué M. Sellal lors d'une conférence de presse conjointement animée avec
    son homologue français Manuel Valls, au terme des travaux de la 3ème session
    du comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français (CIHN).
    Le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,
    Ramtane Lamamra, avait convoqué, mercredi dernier, l'ambassadeur de France en Algérie,
    Bernard Emie pour protester de manière énergique, suite à la campagne de presse,
    hostile à l'Algérie et à ses institutions, menée en France dans différents médias
    et à travers d'autres activités publiques.
    M. Lamamra "a fait valoir le fait que ladite campagne malveillante et fallacieuse -que l'invocation
    de la liberté de la presse ne saurait aucunement justifier- a atteint son paroxysme avec
    des manipulations diffamatoires délibérément dirigées contre l'institution présidentielle".
    M. Lamamra a, dans ce contexte, souligné "la nécessité morale et politique que des autorités
    françaises qualifiées marquent clairement leur réprobation de cette campagne qui est incompatible
    avec la qualité et le niveau des relations algéro-françaises".
    APS



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    Post Sellal raconte le mythe de la justice sociale

    Sellal raconte le mythe de la justice sociale
    le 05.06.16|16h40

    Il est indécent de parler de justice sociale à des millions d’Algériens
    privés de routes, de gaz et de structures de santé, surtout lorsque
    on assiste au gaspillage de l’argent public dans la réalisation
    de projets aussi dispendieux qu’inutiles.



    Le premier ministre Abdelmalek Sellal a dévoilé, aujourd’hui dimanche à Alger,
    les grandes lignes du nouveau modèle économique, visant à mettre en place,
    à l’horizon 2030, une économie affranchie des recettes issues de
    l’exportation des hydrocarbures.Au-delà de ce slogan de diversification de
    l’économie, prôné par les responsables politiques qui se sont succédés à la tête
    de l’État depuis des décennies, Sellal a insisté sur « l’attachement » du
    gouvernement aux principes de la justice sociale et de l’équilibre territorial.
    La justice sociale est une « constante dans l’action de l’Exécutif », a assuré
    le premier ministre, en faisant fi des injustices intolérables dont sont victimes
    les populations du sud et des zones montagneuses de l’est et du centre du pays.

    Les habitants de ces régions marginalisées sont sévèrement pénalisés par l’absence
    de projets de développement et continuent, en dépit des centaines de milliards de
    dollars dépensées depuis le début des années 2000, à vivre les affres de l’isolement,
    du chômage et de la pauvreté. Il est indécent de parler de justice sociale à des
    millions d’Algériens privés de routes, de gaz et de structures de santé, surtout lorsque
    on assiste au gaspillage de l’argent public dans la réalisation de projets aussi
    dispendieux qu’inutiles, à l’exemple de la grande mosquée d’Alger.
    Cela, sans parler des sommes faramineuses englouties dans des marchés douteux
    et des anciens responsables mis en cause dans des scandales de corruption qui
    continuent à narguer et le peuple et l’État.
    Ce discours sur l’équilibre territorial et l’égalité
    des chances est en contradiction flagrante avec le fait que de nombreux responsables
    politiques et économiques soient originaires de Tlemcen et ses environs, la région
    du chef de l’État.
    Bref, une telle politique, qui encourage l’exclusion et le tribalisme,
    a donnée naissance à un profond sentiment d’indignation au sein des populations exclues.
    Et ce n’est pas avec des mots que l’on peut réparer cette injustice.

    Farouk Djouadi
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    Post Les grands changements de l'été

    Les grands changements de l'été



    MOUVEMENTS DES WALIS, DES CHEFS DE DAÏRA
    ET CONFÉRENCE DES AMBASSADEURS



    Par Brahim TAKHEROUBT
    Mercredi 29 Juin 2016 00:00

    Les nouveaux promus n'auront pas la tâche facile. Leur tâche
    est de donner corps à cette politique de rigueur, veiller à sa stricte
    application et faire en sorte qu'il n'y ait pas de perturbations
    sociales au niveau local.

    La fin du mois de Ramadhan ne rime pas nécessairement avec le début
    des vacances. Il s'annonce plutôt chaud pour les administrations qui
    connaîtront de nombreux changements. Pour son nouveau modèle économique,
    le Premier ministre Abdelmalek Sellal, veut de nouveaux hommes et
    du sang neuf pour exécuter ce programme. De sources gouvernementales
    on a appris que le Premier ministre aurait déjà soumis au chef de l'Etat une liste
    de nouveaux walis à nommer dans le cadre d'un prochain mouvement qui
    interviendra au terme des rencontres régionales qu'organise actuellement
    le ministre de l'Intérieur, Mohamed Bedoui, avec ces commis de l'Etat. Il est attendu
    de ce changement une nouvelle dynamique à une gestion locale sclérosée et souvent décriée. Il n' y a qu'à voir les foyers de tension omniprésents dans plusieurs régions du pays, au Sud comme au Nord sans que des solutions durables ne soient proposées.
    Nos sources précisent également que ce mouvement des walis sera un prélude à un
    réel bouleversement dans la gestion des collectivités locales et une décentralisation effective. Avec la situation de crise marquée par la baisse des réserves de changes
    et la chute des prix du pétrole, l'Etat n'est plus en mesure de supporter les charges
    au niveau local comme ce fut le cas à l'époque de l'embellie financière.
    Les nouveaux promus à la gestion locale n'auront pas la tâche facile, leur nomination intervient à un moment où l'Algérie traverse une zone de turbulences économiques.
    Leur tâche est de donner corps à cette politique de rigueur, veiller à sa stricte
    application et faire en sorte qu'il n'y ait pas de perturbations sociales au niveau local.
    On apprend par ailleurs que ce mouvement des walis qui interviendra vers le début
    du mois de juillet touchera également les diplomates. Mais auparavant rapportent nos sources, c'est une conférence des diplomates qui serait convoquée à Alger par le
    Premier ministre. Parmi les points phares inscrits au programme de cette conférence,
    le rôle de la diplomatie économique ainsi qu'un intérêt particulier qui sera accordé aux postes du continent africain. Depuis l'indépendance, la structure des échanges commerciaux de l'Algérie est restée quasi inchangée, il est donc temps de secouer
    le cocotier. L'Algérie qui traverse une crise financière profonde est en train de se
    débattre pour réduire ses importations faramineuses, d'une part et de l'autre trouver
    des niches financières comme d'éventuels marchés en vue d'installer ses produits
    sur le marché africain. Face aux difficultés financières induites par la chute des prix du baril, l'Algérie a décidé de regarder vers le Sud et de prospecter le marché africain.
    C'est le virage de la diversification de son économie qui se négocie.
    Pour les besoins de cette offensive économique, nos sources indiquent que les futurs postes diplomatiques en Afrique seront chargés de cette mission spéciale: la diplomatie économique qui nécessite des diplomates jeunes, ambitieux, dynamiques et rompus à la négociation. Comment convaincre les entreprises africaines, comment vendre l'image de l'Algérie et ses avantages comparatifs dans ce marché en pleine expansion et compétitif.
    Il faut une démarche réfléchie, dans la durée, avec un marketing spécifique.
    Tel est le défi qui se présente au gouvernement qui n'a d'autre choix que celui de
    mobiliser les compétences requises à cette tâche qui s'annonce déterminante pour
    sa stratégie économique qui vise un redéploiement effectif sur le continent africain.
    Les chefs de daïra, dernier maillon de l'administration au niveau local et qui feront
    partie de ce grand mouvement estival sont également interpellés par cette conjoncture. Dans une directive que le ministère de l'Intérieur a adressée aux autorités locales il
    a été clairement signifié à ses dernières de se prendre en charge et de ne plus compter
    sur les financements de l'Etat.Le pays est en phase de rigueur aussi bien dans les dépenses que dans la gestion et c'est aux communes de trouver leurs propres
    ressources. Dure tâche en ces temps de vaches maigres!

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    ZsFa

  11. #10
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    Re : Le Chef de Gouvernement

    Bonjour,

    "les vaches maigres" ne sont pas maigres pour tous.
    starsat 2000 hd hyper mise à jour V 2.0.5
    atlas 200 hd mise à jour 125 bootloader 105
    et plein de vieux démo !

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