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    Post O.P.E.P (Organisation des pays exportateurs de pétrole)

    L'Algérie au sein de l'OPEP

    L'Algérie et l'OPEP
    [IMG]http://www.mem-algeria.org/francais/uploads/images/OPEP_logo.jg[/MG] L’Algérie a adhéré à l’OPEP en 1969, qui fut crée en 1960. Dès son adhésion, notre pays a joué un rôle actif au sein de l’Organisation.
    Malgré son poids relativement modeste en termes de réserves et de production de pétrole [1] , l’Algérie a eu à jouer un rôle important et parfois décisif, dans les décisions et orientations de l’OPEP.
    En 1974-75, le Secrétaire Général de l’OPEP, fut l’Algérien Abderrahmane Lamine Khene.
    C’est à Alger qu’eût lieu le premier sommet des Chefs d’Etat de l’OPEP, en mars 1975, où fut notamment réaffirmé le principe de souveraineté des pays producteurs sur leurs ressources naturelles.
    Le 1er sommet avait aussi permis, une année plus tard, la création du Fonds de l’OPEP pour le développement international. Ce fonds accorde des prêts à des conditions préférentielles -aussi parfois des dons- pour les pays les moins avancés.
    L’Algérie a eu à accueillir à plusieurs reprises la réunion de la Conférence des ministres de l’OPEP. La dernière en date fût celle de décembre 2008, où la Conférence a tenu une réunion extraordinaire à Oran.
    Les Ministres algériens de l’énergie ont assuré à plusieurs reprises la Présidence de la Conférence, dont les plus récentes furent celles de M. Yousfi (1998-1999) puis M. Khelil (2001 et 2008).
    Depuis octobre 2010, l’Algérie est membre du Comité de Surveillance du marché pétrolier « MMSC». Constitué d’un nombre réduit de ministres, dont M. Yousfi, ce Comité est chargé d’évaluer la situation du marché et de soumettre ses conclusions à la Conférence.
    L’Algérie produit un pétrole brut (le Mélange Saharien) de très bonne qualité, avec une très basse teneur en soufre et ayant une faible densité. Son raffinage permet d’extraire, avec des rendements appréciables des produits légers, comme l’essence et le gasoil, bien valorisés sur le marché international.
    La capacité de production de pétrole brut du pays est d’environ 1,4 mb/j. Producteur moyen au sein de l’OPEP, notre pays se place au 10ème rang devant le Qatar et l’Equateur.
    L’Algérie produit depuis janvier 2009 environ 1,2 mb/j, en conformité avec le quota qui lui a été alloué par la Conférence des ministres, lors de sa réunion du 17 décembre 2008 à Oran.
    Par son attachement à l’OPEP, l’Algérie contribue au renforcement de la mission de cette dernière qui consiste à «coordonner et unifier les politiques pétrolières de ses pays membres et assurer la stabilité des marchés pétroliers afin de sécuriser, d’une manière efficiente, économique et régulière, l’offre en pétrole au consommateurs, un revenu stable aux producteurs et une rémunération du capital équitable pour ceux qui investissent dans l’industrie pétrolière », telle que définie dans les Statutsde l’Organisation.
    -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
    [1] A noter que le condensat et les autres liquides de gaz naturel, dont l'Algérie est l'un des plus grands producteurs, ne sont pas inclus dans le système de quotas OPEP.

    Excès d’offre sur le marché pétrolier
    L’Irak et l’Arabie Saoudite mis en cause



    Depuis de nombreuses semaines, le marché de l’or noir connaît
    un déséquilibre entre la demande et l’offre.

    2 millions de barils par jour d’exédent sur le marché.jpg


    Selon les experts, l’excès d’offre mondiale de pétrole, par rapport à la demande, s’établit désormais entre 1,5 et 2 millions de barils par jour et peut justifierun baril entre 45 et 50 dollars. Dans son rapport mensuel publié hier, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) vient confirmer cet état de fait en affirmant que «l’offre globale continue de croître à toute allure en dépit d’un effondrement des prix du pétrole». Les mis en cause dans cette surabondance ne sont autres que «les principaux membres de l’OPEP,

    Arabie Saoudite et Irak en tête», affirme l’AIE.

    Selon elle, ces deux pays seraient en train de procéder à des «pompages musclés» et aucun «ralentissement» de la production n’est décelé «depuis que l’Organisation a décidé, en novembre dernier, de ne pas réduire sa production pour contrer l’expansion du pétrole de schiste». L’AIE précise, cependant, qu’un processus de «rééquilibrage a clairement commencé», en ce sens que l’offre de pétrole en provenance de pays non membres de l’OPEP devrait «décélérer jusqu’à la fin de l’année et décliner en 2016», en particulier aux Etats-Unis. Le rapport de l’AIE fait remarquer, néanmoins, que ce processus de rééquilibrage est «susceptible de se prolonger compte tenu d’une offre excédentaire qui devrait perdurer tout au long de 2016» et conduire à une accumulation des stocks de pétrole.

    Une envolée de croissance

    A l’hypothèse d’une probable décision de réduction de la production pétrolière de la part des pays non affiliés à l’OPEP, l’AIE rétorque que «même avec un ralentissement de la production de ces pays et une croissance plus forte de la demande, un surplus assez important demeure», précisant que ses «prévisions ne tiennent pas compte d’une éventuelle augmentation de la production iranienne avec une levée des sanctions».
    La Banque mondiale, faut-il rappeler, avait estimé, lundi dernier dans un rapport, qu’une levée des sanctions contre l’Iran aurait «un impact important sur les marchés mondiaux du pétrole en faisant baisser les prix du baril de brut de 10 dollars dès 2016».

    S’agissant de la consommation, le rapport de l’AIE prévoit, en 2015, une croissance planétaire sur la demande en pétrole de 1,6 million de barils par jour (mbj) «portée par une croissance économique qui se consolide et une baisse des prix conduisant les consommateurs à utiliser plus d’essence». Pour l’AIE, il s’agit de « la plus forte envolée de croissance en 5 ans», l’ayant amené à réviser à la hausse de 260 000 barils par jour sa prévision pour 2015 et tabler, par ricochet, sur une demande en progression de 1,4 mbj en 2016, soit une augmentation de 410 000 b/j par rapport à son estimation précédente.
    Dans son rapport mensuel paru mardi dernier, l’OPEP a, elle aussi, de nouveau révisé à la hausse sa prévision de la demande de brut pour 2015, et continue de tabler sur une accélération de la demande l’an prochain. L’Organisation prévoit une demande de 1,38 mb/j en 2015, soit une augmentation de 100 000 b/j. Pour 2016, elle évoque, comme lors de ses premières prévisions publiées en juillet, une accélération de la demande de l’ordre de 1,34 mb/j, liée à un rebond de la croissance mondiale à 3,5% contre 3,2 % cette année.
    Sous l’effet d’un «surplus de l’offre» de pétrole, en particulier en provenance des pays de l’OPEP, et du dollar fort, les prix de référence du baril ont perdu 10 dollars en un mois. Le baril de brent de la mer du Nord s’échange actuellement autour de 49 dollars, contre 59 le mois dernier, et celui de light sweet crude (WTI) à New York, à environ 43 dollars contre 53 à la mi-juillet.

    Lyes Malki







    Dernière modification par zadhand ; 14/08/2015 à 21h37. Motif: O.P.E.P (Organisation des pays exportateurs de pétrole)
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    Post Une réunion urgente n’est possible que par une action de la Russie

    L'Algérie au sein de l'OPEP
    L'Algérie et l'OPEP
    [IMG]http://www.mem-algeria.org/francais/uploads/images/OPEP_logo.jg[/MG] L’Algérie a adhéré à l’OPEP en 1969, qui fut crée en 1960. Dès son adhésion, notre pays a joué un rôle actif au sein de l’Organisation.
    Malgré son poids relativement modeste en termes de réserves et de production de pétrole [1] , l’Algérie a eu à jouer un rôle important et parfois décisif, dans les décisions et orientations de l’OPEP.
    En 1974-75, le Secrétaire Général de l’OPEP, fut l’Algérien Abderrahmane Lamine Khene.
    C’est à Alger qu’eût lieu le premier sommet des Chefs d’Etat de l’OPEP, en mars 1975, où fut notamment réaffirmé le principe de souveraineté des pays producteurs sur leurs ressources naturelles.
    Le 1er sommet avait aussi permis, une année plus tard, la création du Fonds de l’OPEP pour le développement international. Ce fonds accorde des prêts à des conditions préférentielles -aussi parfois des dons- pour les pays les moins avancés.
    L’Algérie a eu à accueillir à plusieurs reprises la réunion de la Conférence des ministres de l’OPEP. La dernière en date fût celle de décembre 2008, où la Conférence a tenu une réunion extraordinaire à Oran.
    Les Ministres algériens de l’énergie ont assuré à plusieurs reprises la Présidence de la Conférence, dont les plus récentes furent celles de M. Yousfi (1998-1999) puis M. Khelil (2001 et 2008).
    Depuis octobre 2010, l’Algérie est membre du Comité de Surveillance du marché pétrolier « MMSC». Constitué d’un nombre réduit de ministres, dont M. Yousfi, ce Comité est chargé d’évaluer la situation du marché et de soumettre ses conclusions à la Conférence.
    L’Algérie produit un pétrole brut (le Mélange Saharien) de très bonne qualité, avec une très basse teneur en soufre et ayant une faible densité. Son raffinage permet d’extraire, avec des rendements appréciables des produits légers, comme l’essence et le gasoil, bien valorisés sur le marché international.
    La capacité de production de pétrole brut du pays est d’environ 1,4 mb/j. Producteur moyen au sein de l’OPEP, notre pays se place au 10ème rang devant le Qatar et l’Equateur.
    L’Algérie produit depuis janvier 2009 environ 1,2 mb/j, en conformité avec le quota qui lui a été alloué par la Conférence des ministres, lors de sa réunion du 17 décembre 2008 à Oran.
    Par son attachement à l’OPEP, l’Algérie contribue au renforcement de la mission de cette dernière qui consiste à «coordonner et unifier les politiques pétrolières de ses pays membres et assurer la stabilité des marchés pétroliers afin de sécuriser, d’une manière efficiente, économique et régulière, l’offre en pétrole au consommateurs, un revenu stable aux producteurs et une rémunération du capital équitable pour ceux qui investissent dans l’industrie pétrolière », telle que définie dans les Statutsde l’Organisation.
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    [1] A noter que le condensat et les autres liquides de gaz naturel, dont l'Algérie est l'un des plus grands producteurs, ne sont pas inclus dans le système de quotas OPEP.


    Une réunion urgente n’est possible que par une action de la Russie

    29 Août 2015|16h01



    Si l’Algérie réussit à coté du Venezuela à ramener la Russie à mener une « action », l’Opep pourrait organiser une réunion urgente, déclare le ministre qatari du pétrole Mohammed Al Saba au Wall Street Journal (WSJ).

    Une réunion urgente n’est possible que par une action de la Russiel.jpg

    La dépression des marchés pétroliers qui perdure depuis juin 2014, pourrait reprendre sa courbe ascendante en 2016, a estimé hier l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
    Le cartel pétrolier s’appuie sur les prévisions de l’Agence Internationale de l’Energie (AIE), qui avance une contraction de l’offre des pays non Opep pour la première fois depuis 2008. Cette contraction serait de l’ordre de 200.000b/j, en 2016, a rapporté hier le site financier Bloomberg.Cette réduction de l’offre des pays non membre de l’Opep, proviendrait notamment du recul de l’offre du schiste américain en 2016, car « beaucoup de sociétés de schiste aux États-Unis sont accablées par les emprunts qui ont alimenté le boom de l'industrie pétrolières ces dernières années ». « Les paiements d'intérêts sur les dettes des entreprises de forage, estimées à 235 milliards de $, dans l’index Bloomberg Intelligence des sociétés d’exploration et de production nord-américaines de pétrole (Bloomberg Intelligence North America Independent Explorers and Producers Index), pourraient réduire la production de certaines compagnies, tandis que d’autres ont trouvé des façons de réduire leurs coûts de production et augmenter leur efficacité », explique Bloomberg. La part de l'OPEP dans marché mondial du pétrole a diminué en 2014
    « Dans le long terme, nous allons avoir une offre inférieure des pays producteurs de pétrole hors OPEP. Nous auront en face, une augmentation de la demande mondiale, en dépit du maintien du plafond de production des pays de l’Opep, à leur tête l’Arabie Saoudite », prévoit Greg Sharenow, le vice président de du fond obligataire américain, Pacific Investment Management Company (PIMCO). La part de l'OPEP dans marché mondial du pétrole a diminué en 2014, et s’établit à son plus bas niveau en 10 ans, depuis l’expansion de la production de schiste aux États-Unis, rappelle le même site.
    Exiger une action de la Russie
    Le Venezuela renouvelle cette semaine, ses démarches diplomatiques auprès des pays de l’Opep, pour faire pression et obtenir l’organisation d’une réunion urgente du Cartel. « Le Venezuela est en contact avec plusieurs membres de l’OPEP, et tente de faire pression pour une réunion d'urgence avec la Russie pour définir une stratégie capable de freiner la chute mondiale des prix du pétrole », a rapporté jeudi, le Wall Street Journal. Selon ce quotidien américain, une réunion urgente de l’Opep serait possible, uniquement si l’Algérie ou s’autres pays se joignent au Venezuela pour convaincre la Russie à engager une action ». Cette exigence est formulée jeudi, par le ministre qatari du pétrole Mohammed Al Sada, qui préside actuellement la conférence de l’Opep : « Si le Venezuela ou d'autres pays comme l'Algérie peuvent obtenir de la Russie qu’elle s’engage dans une action, alors nous pourrions avoir une raison de se réunir, mais pour le moment il n'y a rien qui nécessite une réunion urgente », déclare le ministre qatari au WSJ. Cette action serait certainement une réduction de l’offre russe dans le court terme, que seul le Venezuela n’a pu obtenir jusqu’à maintenant. L’Algérie, le Venezuela et la Libye (appartenant au groupe des cinq fragiles de l’Opep selon la banque canadienne RBC Capital Market), ont lancé successivement des appels en ce mois d’aout, pour la tenue d’une réunion d’urgence de l’Opep. Ces appels ne seront manifestement pas entendus par les monarchies pétrolières détentrices des décisions au Cartel, si la Russie ne … mène aucune action.




    Dernière modification par zadhand ; 29/08/2015 à 21h17. Motif: Une réunion urgente n’est possible que par une action de la Russie
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    Post Baisse de la production de l’OPEP en octobre

    A LA UNE ECONOMIE_L’organisation maintient ses prévisions de demande
    14 Novembre 2015

    Baisse de la production de l’OPEP en octobre

    Le marché reste plombé par une surabondance
    de l’offre et des stocks record.


    L’Organisation des pays exportateurs de pétrole n’en démord pas et demeure attachée à sa stratégie de défense des parts de marché. Ainsi, malgré une légère baisse au mois d’octobre, la production Opep est largement au-dessus
    des objectifs de production assignés par quotas.

    Selon le rapport mensuel de l’Organisation, publié jeudi à Vienne, celle-ci aurait produit en octobre 31,38 millions de barils/jour, soit 256 000 b/j de moins qu’en septembre et bien au-dessus des quotas de l’Organisation fixés à 30 millions de b/j. Mieux encore, les prévisions de demande pour le pétrole Opep sont maintenues à un niveau de 29,6 millions de b/j en 2015.
    Cela n’entame en rien l’optimisme de l’Opep qui table sur un redressement de la demande de son pétrole, qui devrait atteindre 30,8 millions de b/jour en 2016.
    Globalement, l’Organisation basée à Vienne maintient inchangées ses prévisions de demande mondiale de brut. Celles-ci devraient croître de 1,5 million de b/j pour atteindre 92,86 millions de b/j en 2015. en 2016,
    la demande devrait atteindre 94,14 millions b/j, selon l’Opep.

    L’Organisation va plus loin en estimant que les pressions sur le marché devraient être atténuées par une baisse de la production qu’elle anticipe en 2016. L’Opep table ainsi sur une baisse de 130 000 b/j de la production hors Opep en 2016, après que celle-ci eut enregistré une hausse,
    moins importante que prévu, de 720 000 b/j cette année.

    Une baisse inédite depuis 2007, que l’Organisation impute à la baisse des prix et par ricochet des investissements qui ont été réduits à 200 milliards cette année et en 2016. L’Opep n’hésite d’ailleurs pas à affirmer que la baisse des investissements créera «un trou béant dans l’offre». Une estimation très optimiste et qui semble conforter les gros producteurs de l’Opep qui mènent depuis une année une guerre des prix à l’effet de préserver leurs parts de marché.
    Ces derniers doivent d’ailleurs faire face aux revendications
    des autres membres de l’Opep, l’Algérie et l’Iran en tête,
    en vue de réviser cette stratégie et travailler à des prix plus soutenus.

    Rien n’y fait. Un rapport portant sur la stratégie à long terme de l’Opep, dont certaines grandes lignes ont été révélées il y a quelques jours par l’agence Reuters, soutient l’idée que la part de marché de l’OPEP devrait augmenter sur le long terme à mesure que la production des pétroles de schiste sera freinée. Le document estime aussi que la production de l’Opep devrait atteindre plus de 40 millions de barils /jour à l’horizon 2040 pour porter sa part de marché à 37% contre 33% actuellement. Enfin le document portant stratégie à long terme de l’Opep prévoit une hausse du cours du brut à 5 dollars
    par an pour atteindre les 80 dollars en 2020.

    Hier, les cours du brut évoluaient en dents de scie à l’ouverture des marchés. Dans les échanges européens, le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en décembre, valait 44,70 dollars, vers 11h30 GMT sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 64 cents par rapport à la clôture de jeudi. A contrario, le baril n’arrivait pas à freiner son déclin sur le marché new-yorkais.
    Vers 14h05 GMT, le cours du baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en décembre, qui a perdu quelque trois dollars depuis le début de la semaine, reculait encore de 47 cents à 41,28 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

    Le baril de pétrole algérien gagne 1,15 dollar

    Les cours du pétrole continuent à évoluer dans un mouchoir de poche. C’est dans ce contexte que le prix moyen du baril de pétrole algérien a inscrit une légère hausse au mois d’octobre. Selon les données publiées par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, le cours moyen du Sahara blend a atteint, ainsi, 49,51 dollars contre 48,36 dollars un mois auparavant, soit une hausse de 1,15 dollar.
    En glissement annuel, le baril de brent
    inscrit un cours moyen de près de 55 dollars.

    Une moyenne qui demeure cependant très en deçà des niveaux de 2014 à 105,12 dollars. Petit changement en revanche, le Sahara blend est actuellement le pétrole le mieux coté du panier Opep, devant le Bonny light
    du Nigeria et le Girassol angolais.

    Globalement, le panier de référence Opep représentant le cours moyen des pétroles commercialisés par les 12 membres de l’Opep a vu sa valeur se stabiliser autour des 45 dollars durant le mois d’octobre. Selon le rapport mensuel de l’Organisation basée à Vienne, le panier Opep a progressé de manière marginale
    en prenant 19 cents entre septembre et octobre.

    Il a ainsi pris moins de 5% pour atteindre 45,02 dollars. Le rapport en question explique que les cours du brut demeurent accrochés à un plus bas depuis le mois de juillet dans un contexte marqué par une absence des changements au niveau des fondamentaux. L’Opep explique ainsi que le marché reste plombé par une offre excédentaire. Celui-ci est saturé par une production et des stocks record. Sans oublier l’impact des signaux négatifs concernant la croissance en Chine. Il explique aussi que le marché du raffinage commence à s’éroder,
    notamment aux Etats-Unis et en Europe.

    Roumadi Melissa
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    Post Vers le maintien du statu quo

    A la une Actualité_Réunion ministérielle de l’Opep à Vienne
    le 03.12.15 | 10h00
    Vers le maintien du statu quo

    L’Organisation des pays exportateurs de pétrole tiendra,
    demain à Vienne (Autriche), une réunion cruciale pour étudier
    la situation mondiale du marché pétrolier, les cours ayant chuté de 60%
    depuis juin 2014 en raison d’une production surabondante
    et de stocks à un niveau record.

    Le siège de l’OPEP à Vienne.jpg

    La réunion abordera tous les sujets et le résultat n’est pas connu,
    a déclaré mardi le ministre saoudien du Pétrole. «Nous avons
    une réunion vendredi. Nous discuterons de toutes ces questions
    et ensuite nous déciderons. Nous écouterons et ensuite nous déciderons»,
    a précisé Ali Al Nouaïmi à son arrivée à Vienne. La réunion ministérielle
    devrait être tendue, d’autant plus que la stratégie de l’Organisation,
    visant à maintenir des niveaux de production élevés suscite
    les inquiétudes de ses membres les plus vulnérables.

    D’après la plupart des analystes, l’Opep devrait s’abstenir de baisser
    son quota théorique de production de 30 millions de barils par jour – un tiers
    de la production mondiale – fixé fin 2011, au risque d’une baisse durable
    des cours qui pèse sur la situation financière de ses membres. La réunion
    intervient dans un contexte où la production des pays hors OPEP devrait
    baisser en 2016 pour la première fois en près de 10 ans
    en raison de coupes dans les investissements.

    Cela dit, le problème de l’abondance de l’offre subsiste, puisque la Russie,
    qui ne fait pas partie de l’Opep, et l’Irak, qui en est membre, ont augmenté
    leurs livraisons et l’Iran s’apprête à en faire autant après la levée attendue
    des sanctions internationales contre elle. Dans ce contexte, les membres
    les plus fragiles de l’Opep, dont les finances publiques souffrent de la chute
    des revenus pétroliers, craignent de voir le baril sombrer vers
    les 20 dollars le baril et expriment de plus en plus ouvertement des critiques
    à l’égard de la stratégie de l’Opep, initiée par l’Arabie Saoudite.

    Les partisans traditionnels de la hausse des prix, dont l’Iran, l’Algérie
    et le Venezuela, ainsi que des membres plus modérés comme l’Equateur
    et l’Irak, ont qualifié d’exagérément optimiste la prévision du secrétariat de l’Opep
    d’une demande s’élevant à 1,25 million de barils par jour (bj) l’an prochain.
    Ces membres s’attendent plutôt à une demande d’un million de bj en 2016,
    soit une baisse significative par rapport au chiffre de cette année, qui devrait
    dépasser les 1,7 million de bj. Mais la production
    de l’Opep ne montre aucun signe de ralentissement.

    Selon une enquête de l’agence Reuters, elle a atteint 31,77 millions de bj en novembre,
    contre 31,64 millions le mois précédent. Avant la réunion ministérielle,
    le ministre iranien du Pétrole, Bijan Zanganeh, a écrit à la présidence de l’Opep
    pour réclamer le respect du plafond de production du cartel, soit 30 millions de bj,
    d’après l’agence de presse iranienne Mehr. A son arrivée à Vienne, le ministre saoudien
    du Pétrole, Ali Al Nouaïmi, a semblé démentir qu’il s’agisse d’une stratégie
    de la part de l’Opep. «Quelle stratégie ? Qui a dit
    que nous défendions des parts de marché ?» a-t-il demandé.

    Un changement de position de l’Opep à l’occasion de la réunion de Vienne ne pourrait
    survenir que si les grands producteurs non membres de l’Organisation, principalement
    la Russie, participaient à une réduction coordonnée de la production mondiale,
    selon la plupart des observateurs. Or, la Russie, dont la production a atteint
    10,78 millions de bj en octobre, a fait savoir lundi dernier qu’elle n’enverrait pas
    d’observateur à ladite réunion et ne participerait pas non plus à des consultations préalables.

    Hocine Lamriben
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    Post L’Algérie reçoit une invitation officielle

    A la une/Actualité_Réunion des producteurs OPEP-non OPEP de Doha
    Publié/EL MOUDJAHID 30-03-2016 | 0:00

    L’Algérie reçoit une invitation officielle

    Le ministre de l'Énergie, a reçu à Alger, l'ambassadeur du Qatar en Algérie,
    Ibrahim Abdelaziz Assahlaoui, qui lui a remis une invitation officielle pour participer à
    la réunion des pays producteurs de pétrole, membres et non membres de l'Organisation
    des pays exportateurs de pétrole (OPEP) à Doha. Selon un communiqué du ministère de l'Énergie,
    l'ambassadeur a remis à M. Khebri l'invitation officielle que lui a adressée le ministre qatari de l'Énergie,
    président en exercice de l'OPEP, Mohamed Ben Salah Al Sada, pour participer à la réunion des pays de l'OPEP
    et non OPEP, prévue le 17 avril prochain à Doha.
    Au cours de cette rencontre, les deux parties ont passé en revue l'état des relations bilatérales,
    qualifiées d'«excellentes», entre l'Algérie et le Qatar, a indiqué la même source.

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    Post La réunion de Doha, crucial, selon le ministre de l’énergie

    A la une/Actualité_Réunion des producteurs OPEP-non OPEP de Doha

    par Z OUMEHDHI - 11 avril 2016 14:33

    OPEP
    La réunion de Doha, crucial, selon le ministre de l’énergie




    La réunion des producteurs de pétrole Opep et non-Opep, prévue le 17 avril
    à Doha (Qatar), est « cruciale », a affirmé, lundi à Alger, le ministre de l’Energie,
    Salah Khebri, qui a estimé qu’un accord consensuel pour geler la production permettrait
    au marché pétrolier de se raffermir progressivement.

    « La réunion du 17 avril a pour objectif de se mettre d’accord pour geler la production à
    son niveau de janvier 2016. C’est une réunion cruciale, car si tous les pays (…) sont d’accord
    pour geler leur production, cela va permettre au marché de se raffermir progressivement »,
    a déclaré M. Khebri à la presse en marge d’une rencontre sur les carburants.

    Selon le ministre, les cours de pétrole pourraient se stabiliser, au moins, autour des 40 dollars
    si les pays producteurs de pétrole, qu’ils soient membres ou non de l’Organisation des pays
    exportateurs de pétrole (Opep), s’engageront à maintenir leur production au niveau de celle de
    janvier 2016.
    « Si tous ces pays s’engagent à ce qu’ils n’augmentent pas leur production, cela donnera
    un signal fort au marché pour que les prix se stabilisent au moins autour de 40 dollars le baril »,
    a-t-il avancé.
    Il a, dans ce sens, observé que rien que l’annonce de la tenue de cette réunion a fait
    remonter progressivement les cours au-dessus de 40 dollars le baril.

    Selon lui, si la réunion de Doha parviendra à aboutir à un accord de gel accepté par tous les producteurs,
    ce sera déjà un premier pas lequel était « inespéré » il y a quelques mois de cela.

    S’agissant de la réaction attendue du marché à un éventuel accord de gel, le ministre a indiqué
    qu’il faudrait observer cette réaction pendant les six prochains mois.

    « Il y a un monitoring du marché qui se fera dans les six mois à venir, et des décisions ultérieures seront
    prises » en fonction de la situation du marché, selon lui.
    Quant à la possibilité d’aller vers une réduction de
    la production pour soutenir les cours, M. Khebri a rappelé que plusieurs pays producteurs n’avaient pas
    accepté cette option.
    « Les pays (producteurs) ne veulent pas réduire leur production.
    Nous avons déjà demandé une baisse de production, mais des pays ne le veulent pas dont notamment
    ceux qui ne sont pas membres de l’Opep et à leur tête la Russie », a noté le ministre.

    Il a, toutefois, émis le souhait que la demande mondiale puisse contribuer à stabiliser le marché en puisant
    dans l’excédent de l’offre en vue de soutenir les cours.
    Interrogé par l’APS sur la position de l’Iran qui refuse d’adhérer à un éventuel accord de gel, M. Khebri a considéré que la réunion du Doha était, justement,
    destinée à « rapprocher » les positions des pays producteurs et à atténuer les divergences.

    L’objet de la réunion de Doha « est de rapprocher tous les points de vue. Chaque pays a des préoccupations,
    des justificatifs. Nous les étudierons ensemble et nous sortirons, j’espère, avec un consensus qui arrange
    tout le monde », a-t-il souhaité



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    Re : O.P.E.P (Organisation des pays exportateurs de pétrole)

    Pétrole : vers un rééquilibrage plus rapide du marché grâce à l’Opep

    Le rééquilibrage du marché pétrolier pourrait intervenir plus rapidement que prévu, si l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et la Russie se mettent d’accord sur une réduction de leurs productions respectives, selon une déclaration de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) rapportée, ce mardi 11 octobre, par le journal français Les Echos.Les cours du brut tributaires de la mise en œuvre de l’accord d’Alger

    Pour ce faire, l’Opep devra mettre en œuvre l’accord d’Alger, prévoyant une baisse de production de l’ordre de 700.000 barils par jours (bpj). Cette seule annonce a propulsé le prix du brut au-delà des 50 dollars (52,83 dollars ce mardi matin pour le baril de Brent, référence pour le pétrole algérien). « Si l’Opep respecte son nouvel objectif, le rééquilibrage pourrait se faire plus rapidement », selon l’AIE.Par ailleurs, l’annonce de la Russie, se disant prête à « participer à une limitation de l’offre globale » renforce cette possibilité. Cela dit, les intérêts particuliers au sein de l’Opep, parfois divergents, ainsi que la situation géopolitique dans certains pays membres continuent à alimenter un certain scepticisme des observateurs.Une équation à plusieurs variables

    Désormais, les experts se penchent sur les modalités de la mise en œuvre de cet accord de principe. « À ce stade, il est difficile d’évaluer comment la baisse de production de l’Opep, si elle est mise en œuvre, affectera les équilibres du marché », indique l’AIE.Cette dernière s’interroge sur un possible retour en force de la production libyenne et nigériane, ainsi que sur une « poursuite de la croissance de celle de l’Iran », qui veut atteindre ces niveaux d’extraction antérieurs aux sanctions internationales, imposées dans le cadre du dossier du nucléaire iranien.Dans ce cas, le principal producteur du cartel, à savoir l’Arabie saoudite, ainsi que les autres membres de l’Organisation, « devraient mettre en œuvre des baisses plus importantes pour atteindre (…) l’objectif de production », toujours selon la même source.Hausse de la demande en 2017

    L’AIE, représentant généralement les intérêts des pays consommateurs occidentaux, table sur une croissance de la demande de pétrole en 2017. Ses prévisions, inchangées par rapport au mois dernier, estiment cette hausse à 1,2 millions bpj. Un facteur qui contribuerait, en conjonction avec une réduction de l’offre, à un rééquilibrage plus rapide du marché pétrolier.La meilleure nouvelle est à chercher du côté des stocks de bruts mondiaux. Ceux-ci ont reculé de 10 millions de barils en août dernier, une première depuis le mois de Mars. Dans le même temps, les producteurs non-Opep devraient enregistrer une baisse de production sensible en 2016, de l’ordre de 900.000 bpj, avant de repartir à la hausse l’année prochaine (+400.000 bpj), indique l’AIE.Cela dit, pour l’année en cours, l’agence enregistre un ralentissement de la croissance de la demande mondiale. Elle reste positive, avec une hausse de 800.000 bpj, mais se situe au plus bas depuis quatre ans, rapporte le quotidien français Les Echos. En cause notamment, une « décélération prononcée en Chine ».
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    Re : O.P.E.P (Organisation des pays exportateurs de pétrole)

    Pétrole: L'Opep a augmenté sa production en septembre





    L'Opep a constaté une augmentation de sa production en septembre, au plus haut depuis plusieurs années, et elle a relevé sa prévision de la croissance de l'offre non-Opep, deux évolutions qui devraient amplifier l'offre excédentaire sur le marché mondial l'an prochain en dépit de l'accord de principe sur une limitation des pompages.
    L'Organisation des pays exportateurs de pétrole a produit 33,39 millions de barils par jour (bpj) le mois dernier selon des chiffres qu'elle a obtenus de sources secondaires, un chiffre en hausse de 220.000 bpj par rapport à août, lit-on dans le rapport mensuel publié mercredi par le cartel.
    Reuters

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    Re : O.P.E.P (Organisation des pays exportateurs de pétrole)

    Réduction de la production Opep: la présidence du Comité technique de haut niveau confiée à l'Algérie

    La présidence du Comité technique de haut niveau de l'Opep a été confiée à l'Algérie, a appris jeudi l'APS de source sûre. La mise en place de ce Comité technique de haut niveau avait été décidée lors de la réunion extraordinaire de l'Opep tenue le 28 septembre à Alger, qui avait été couronnée par la décision de réduire sa production pétrolière à un niveau allant entre 32,5 mbj et 33 mbj.Chargé essentiellement de définir les mécanismes de réduction de la production de chaque pays membre de cette organisation pétrolière dans le cadre de la mise en oeuvre de la décision prise par l'Opep à Alger, ce Comité technique se réunira les 28 et 29 octobre en cours à Vienne (Autriche) et dont les résultats des travaux seront présentés lors de la conférence formelle de l'Opep prévue en novembre prochain à Vienne. "Les pays non membres de l'Opep se joindront à ce Comité technique le 29 octobre pour coordonner leurs actions et discuter des meilleurs moyens pour équilibrer et stabiliser les marchés (pétroliers)", fait savoir la même source.Depuis la décision de l'Opep de réduire sa production, les prix du Brent ont enregistré un redressement en se plaçant à plus de 51 dollars et ont même dépassé les 53 dollars lundi dernier à Londres.


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    Re : O.P.E.P (Organisation des pays exportateurs de pétrole)

    Gel de la production de l’OPEP en novembre prochain :Un « boulevard » pour le baril

    Maintenant que l’incertitude est levée quant à la concrétisation de la décision d’Alger de retrancher 750.000 barils par jour du marché, les prix du pétrole doivent poursuivre leur ascension.
    Les rumeurs, le doute, les spéculations: c’est terminé. L’Opep va geler sa production en novembre. «L’accord de l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (Opep) sur le gel du niveau de sa production pétrolière sera officiellement conclu en novembre prochain», a affirmé le ministre vénézuélien du Pétrole Eulojio del Pino rapporte une dépêche du site d’information Sputnik datée du 14 octobre, qui cite l’agence Bloomberg. Sacrée bonne nouvelle. Elle ne sera pas seule à serrer ses vannes. «Plusieurs pays qui ne font pas partie de l’Opep seront également d’accord pour geler le niveau de leur production pétrolière», a confié Eulojio del Pino qui a annoncé que les pays producteurs de pétrole tiendront prochainement de nouvelles rencontres. «Il s’agit de la quête d’un consensus qui s’explique par l’idée que plus il y aura de producteurs ne faisant pas partie de l’Opep à rejoindre l’accord sur le gel, plus efficace sera cette mesure pour la stabilité du marché», souligne la même source.
    Une démarche qui a de fortes chances d’aboutir étant donné les ravages provoqués par la dégringolade des cours de l’or noir sur les économies des pays producteurs. Des pays comme la Norvège, le Mexique, le Brésil ou l’Azerbaïdjan ne peuvent s’accommoder encore longtemps d’un niveau du baril bas. Un prix de l’ordre de 60 dollars d’ici la fin de l’année 2016 semble tout à fait dans leurs cordes s’ils parvenaient à un consensus autour d’un gel ou carrément d’une réduction de leur production. Le chef de file de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole y croit de toute façon. Le ministre saoudien de l’Energie a estimé, le 10 octobre, qu’un prix du baril de brut à 60 dollars d’ici la fin de l’année, n’était pas exclu. «Nous voyons une convergence de l’offre et de la demande.
    Il n’est pas impensable qu’on arrivera (à un baril) à 60 dollars d’ici la fin de l’année», avait dit Khaled al-Faleh, lors de son intervention au Congrès mondial de l’énergie qui a eu lieu en Turquie. Mais il ne suffit certainement pas que de belles déclarations pour booster de manière durable les prix du pétrole. Le marché veut du concret. Et pour lui saper le moral il y a foule. Les analystes ont été nombreux à se prêter à ce jeu-là. Un casting qui est actionné dès que les cours de l’or noir commencent à reprendre des couleurs. A titre d’exemple, il aura suffi d’une déclaration attribuée au patron de Rostnef, la plus grande compagnie pétrolière russe pour qu’ils marquent un temps d’arrêt, le 11 octobre dernier, alors qu’ils étaient sur une courbe ascendante. «Le dirigeant de la plus importante compagnie pétrolière russe, Rosneft, a indiqué qu’il n’avait pas l’intention de participer à une réduction de la production», avait affirmé John Kilduff de Again Capital.
    Ce qui avait ouvert la porte à une hypothétique position ambiguë de la Russie concernant sa participation à un gel de la production des pays producteurs. «Nous pensons que les chances d’une réduction volontaire de la production russe sont proches de zéro puisque de nombreuses compagnies pétrolières sont privées», avaient conclu de leur côté les analystes du second groupe bancaire allemand Commerzbank, dans une note. Le Président russe a dû monter au créneau pour balayer ce doute. «Je ne vois aucun problème par rapport à cet accord portant gel de la production au niveau actuel», avait déclaré, le 12 octobre, Vladimir Poutine. «Dans le grand schéma des choses, nous pourrions même envisager une certaine réduction, mais globalement cela n’est pas nécessaire. Si les pays de l’Opep tombent d’accord sur un niveau de gel de leur production de pétrole, alors nous allons nous joindre à cette décision», a affirmé le maître du Kremlin. Les prix ont certes légèrement reculé vendredi dernier (dernière séance de la semaine, Ndlr), mais le ton a visiblement changé. «Nous subissons une petite correction après la progression des cours due à l’annonce russe qu’ils pourraient se joindre à la réduction de la production annoncée par l’Opep», a expliqué James Williams de Wtrg Economics. La mayonnaise semble avoir pris cette fois-ci…
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