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    Post L'Office National des Statistiques

    A LA UNE/ACTUALITE
    24 Juin 2015
    Dépenses des familles algériennes
    Le logement accapare 20% des budgets


    Les familles algériennes dépensent plus d’un cinquième de leurs revenus annuels pour couvrir les charges de leur logement. Cette déclaration émanant de l’Office national des statistiques est contenue dans les résultats de l’enquête, récemment publiée et menée par ses services sur un échantillon représentatif de plus de 12 000 ménages ordinaires.


    Cette étude, qui a duré une année, démontre qu’un foyer dépense mensuellement 12 178 DA pour faire face à ces charges, soit 146 133 DA par an. Ainsi, le montant global des dépenses des familles algériennes en matière de logement et charges dépasse les 915 milliards de dinars en une année. Un résultat qui place les frais alloués au logement à la 2e place après les dépenses alimentaires. Ces frais, d’après l’ONS, changent selon le mode de vie du foyer et son milieu de résidence.
    Dans le milieu rural, les dépenses sont évaluées à prés de 9000 DA par mois, contre près de 14 000 DA pour le milieu urbain. Sur les 915 milliards de dinars de dépenses annuelles, la catégorie des familles aisées est responsable de plus de 39% de ces dépenses au moment où les familles démunies ne représentent que seulement 8%, soit une somme de 74,2 milliards de dinars. Sur ces montants, le loyer détient la part du lion avec plus de 764 millions de dinars,
    soit plus de 80% des dépenses annuelles globales.

    Viennent ensuite les produits de réparation et de commodités de logement (40 291 millions de dinars), puis les frais de réparation de logement avec plus de 39 millions de dinars. Le reste du montant global est partagé entre l’achat des articles et les produits d’entretien et de nettoyage, les frais et dépenses liés au logement puis l’éclairage de la maison. D’après cette même enquête, les frais liés au logement augmentent avec le niveau de vie.
    Une hausse sensible des dépenses en 10 ans Dans une autre approche et comparativement aux mêmes dépenses au courant de la période 2000 et 2011, l’Office national des statistiques démontre une importante augmentation des dépenses. Elles sont passées de 207 milliards de dinars en 2000
    pour atteindre 915 milliards de dinars en 2011.
    Ce taux d’augmentation est plus important en milieu urbain où sa courbe est passée
    de 130 milliards de dinars à plus de 703 milliards de dinars durant cette décennie.

    La dépense mensuelles des familles classées «riches» est évaluée à 16 432 contre 4275 pour celles résidant dans un habitat précaire. Pour les familles de classe moyenne habitant dans les immeubles, leurs dépenses sont estimées à 13 197 dans le milieu urbain et près de 9000 dans le milieu rural. Aussi l’augmentation et la baisse de ces frais dépendent étroitement du nombre d’occupants. Un foyer qui ne contient que deux personnes, dépense automatiquement moins qu’une famille nombreuse. «Au niveau national, les propriétaires ou copropriétaires ainsi que les accédants à la propriété ont le plus déboursé en ‘logements et charges’ en 2011.
    Leur dépense est supérieure à la moyenne nationale. Ceci contrairement aux locataires dans le public qui dépensent beaucoup moins, que ce soit dans le milieu urbain ou rural»,
    rapporte l’ONS dans son enquête.
    Cette dernière a englobé 900 produits
    que compte la nomenclature des biens et services et est considérée comme une première,
    vu que l’ONS a toujours eu l’habitude de mener des enquêtes sur 10 ans et non sur une année.

    Asma Bersali
    Dernière modification par zadhand ; 24/06/2015 à 20h22. Motif: L'Office National des Statistiques
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    Post Tout sur le travail et l’emploi en Algérie

    A la une/Actualité_Enquête de l’ONS
    le 16.01.16 | 10h00
    Tout sur le travail et l’emploi en Algérie

    Enquête de l’ONS.jpg

    Plus de 4 millions de travailleurs n’étaient pas, en septembre 2015, affiliés à la Sécurité sociale,
    et ce sur un total de 10 millions de personnes qui représentent la population occupée du pays.

    Ainsi, selon la dernière enquête de l’Office national des statistiques (ONS), rendue publique lundi,
    61,5% de la population active est déclarée à la Sécurité sociale, contre 51% pour l’année 2005.
    Cette augmentation sur une décennie est, certes, importante, mais elle ne reflète toutefois pas
    les efforts fournis par les pouvoirs publics afin de rendre obligatoire et systématique cette affiliation.
    Pourtant, deux travailleurs sur trois sont salariés, selon cette enquête.

    «Le salariat continue à constituer la forme d’emploi dominante et touche en moyenne sept occupés
    sur dix (69,8%). Cette part est nettement plus importante auprès des femmes,
    puisqu’elle atteint 78,8%, soit en moyenne huit femmes occupées sur dix», explique l’ONS.
    Les employeurs et les indépendants représentent quant à eux 28,7% de l’ensemble de la population occupée.

    D’ailleurs, note l’ONS, «on relève une progression en volume de l’auto- emploi, les employeurs
    et les indépendants avec un solde de 231 000 par rapport à septembre 2014, de l’emploi salarié,
    avec une augmentation de 134 000 par rapport à la même période. En revanche,
    le volume des aides familiaux a connu une baisse de 10 000».

    Une frange appelée, peut-être, à augmenter, puisque l’enquête affirme que 31,9% des chômeurs se déclaraient,
    au mois de septembre 2015, à la recherche de moyens pour s’installer à leur compte. Pour ce qui est du
    secteur d’activité, l’enquête montre que le secteur des services marchands et non marchands absorbe 61,6%
    de la main-d’œuvre totale, suivi du BTP avec 16,8%, l’industrie avec 13,0% et enfin l’agriculture avec 8,7%
    de la population active. Et ces chiffres changent selon le milieu de résidence des travailleurs : 67,9%
    des urbains travaillent dans les commerces et services et seulement 3,4% sont dans l’agriculture,
    tandis que les ruraux sont 48,1% dans les commerces et services, et 19,8% à travailler dans l’agriculture.

    Concernant le secteur juridique dans lequel exerce la population active algérienne, force est de constater
    que les statistiques diffèrent selon le sexe des travailleurs. «La ventilation selon le secteur juridique fait ressortir
    que l’emploi dans le secteur privé forme 58,0% de l’emploi total, avec un volume de 6 139 000, soit une
    quasi-stagnation par rapport à septembre 2014. D’importantes disparités sont observées selon le sexe ;
    l’emploi féminin se concentre essentiellement dans le secteur public, soit 64,1% de l’emploi féminin total»,
    énonce l’ONS.
    Ainsi, si la majorité de la population active travaille dans le privé mixte, à hauteur de 54,5%
    en milieu urbain et 65,4% en milieu rural, la tendance s’inverse pour ce qui est de la gent féminine.
    Elles sont ainsi 65,8% de travailleuses en milieu urbain à exercer dans le secteur public, tandis
    qu’elles sont 57,9% en milieu rural. Ce qui peut éventuellement être expliqué par les conditions
    de travail plus avantageuses, notamment en termes d’horaires, fournies par les administrations
    et entreprises privées ou publiques.
    D’ailleurs, l’enquête de l’ONS nous apprend que 51,4% de la population
    active travaille de 40 à 48 heures par semaine, à part quasi égale entre hommes et femmes, tandis qu’ils
    sont 17,9% à travailler 50 heures et plus par semaine, à raison de 20,6% d’hommes et 5,5% de femmes.

    La population active, qui est composée de 11 932 000 personnes, dont 59,9% du taux de participation
    à la force de travail a entre 25 et 34 ans, tandis que 9% ont entre 60 ans et plus. Par ailleurs, 21,2%
    des Algériens âgés entre 15 et 24 ans ne sont ni dans la force de travail ni scolarisés,
    taux qui grimpe pour les Algériennes, puisqu’elles sont 32,1%, contre 10,8 % pour les hommes.

    Ghania Lassal



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    Post La population algérienne a atteint 40,4...

    A LA UNE/ACTUALITÉ_Office national des statistiques(ONS)
    le 19.04.16|13h23


    La population algérienne a atteint 40,4 millions d'habitants en janvier 2016

    Le nombre de la population algérienne a atteint 40,4 millions d'habitants au 1er janvier 2016 contre
    39,963 millions d'habitants en 2015, a appris l'APS auprès de l'Office national des statistiques (ONS).

    Dans son rapport sur la démographie algérienne, l'ONS observe que l'année 2015 a été marquée par
    une augmentation conséquente du volume des naissances vivantes qui a dépassé,
    pour la seconde année consécutive, le seuil d'un (1) million de naissances.

    En outre, l'année 2015 a également connu une hausse du volume des décès et un fléchissement assez
    significatif du nombre de mariages contractés comparativement aux dernières années, note le rapport.

    Ainsi, la population résidente totale a connu en 2015 un accroissement naturel de 858.000 personnes,
    soit un taux d'accroissement naturel de 2,15%.

    Ce taux avait connu une stagnation entre 2014 et 2015 imputée essentiellement à l'augmentation aussi
    bien des naissances vivantes que du volume des décès, a relevé l'ONS.

    En 2015, le nombre de naissances vivantes à atteint 1,040 million alors que le nombre de décès a été de
    183.000, tandis que le nombre de mariages contractés a atteint 369.000.

    Sous l'hypothèse que le rythme de croissance de 2015 se maintiendrait pour l'année en cours,
    la population résidente totale devrait atteindre 41,2 millions d'habitants au 1er janvier 2017, pronostique l'ONS.

    APS



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    Post Le rythme d'inflation annuel à 5,2% en juin selon l'ONS

    Le rythme d'inflation annuel à 5,2% en juin selon l'ONS

    le 24.07.16|13h37

    Le rythme d'inflation annuel s'est établi à 5,2% en juin 2016, a appris
    dimanche l'APS auprès de l'Office national des statistiques (ONS).

    Le rythme d'inflation en glissement annuel de juin 2016 représente
    l'évolution de l'indice des prix à la consommation sur la période allant
    de juillet 2015 à juin 2016 par rapport à celle allant entre juillet 2014
    et juin 2015.
    Quant à la variation annuelle des prix à la consommation,
    c'est-à-dire la croissance des prix en juin 2016 par rapport à juin 2015,
    elle a enregistré une hausse de près de 8%. S'agissant de l'évolution
    mensuelle, qui est l'indice brut des prix à la consommation en juin 2016
    par rapport à mai 2016, elle a été de 1,4% (contre 0,5% en juin 2015 par
    rapport à mai 2015).
    Cette hausse mensuelle a résulté essentiellement de
    l'augmentation de 2,6% des prix des produits alimentaires, tirée par une
    hausse de 5,21% pour les produits frais contre une très légère croissance
    de +0,07% pour les produits agroalimentaires.
    Pour la catégorie des produits
    frais, la plupart a connu une hausse des prix à l'exception des poissons frais
    (-13,15%) et la pomme de terre (-2%) en juin dernier contre un mois auparavant.

    Par contre, des augmentations ont été affichées pour les légumes frais (+15,8%),
    les fruits frais (+13,9%), les viandes de poulet (+9,5%) et les viandes ovines
    (+0,97%) et bovines (+0,86%) ainsi que les oeufs (+1,9%) en juin dernier
    comparativement au mois précédent.Par ailleurs, les prix des biens manufacturés
    ont affiché une légère hausse de 0,4% sur la même période de comparaison, tandis
    que ceux des services sont restés presque inchangés (+0,08%).
    Concernant la
    variation annuelle, il est constaté une hausse quasi-générale des prix entre
    juin 2016 et juin 2015 sauf pour la pomme de terre (-26,02%), et la volaille et oeufs (-8,75%). La plus forte hausse enregistrée en variation annuelle a été connue particulièrement par les fruits (+47,6%), les poissons frais (+17,05%), les légumes (+16,6%) et les boissons non alcoolisées (+8,5%).
    Pour rappel, le taux d'inflation s'était établi à 4,8% 2015, tandis que la Loi de finances 2016 prévoit une inflation de 4%.
    APS
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    Post Les femmes toujours mal loties

    Les femmes toujours mal loties

    Alors que le chômage baisse à 9,9% selon l’ONS
    le 31.07.16|10h00

    Le chômage a connu une baisse sensible durant les sept derniers mois, excepté pour
    la gent féminine, pour qui les taux stagnent à 16%, tandis que leur proportion
    dans la population active baisse à 18%.



    «Le taux de chômage en Algérie a baissé à 9,9% en avril 2016 contre 11,2%
    en septembre 2015, avec une population en chômage estimée à 1,198 million
    de personnes», annonce ainsi l’Office national des statistiques (ONS), repris
    par l’APS. Le nombre de la population active, soit l’ensemble des personnes en
    âge de travailler et disponibles sur le marché du travail, qu’elles aient un emploi
    ou qu’elles soient en chômage, a atteint 12,092 millions de personnes contre
    11,932 millions en septembre 2015.
    Pour ce qui est de la population occupée, soit
    les personnes ayant un emploi, elle a été estimée à 10,895 millions d’éléments en
    avril dernier.
    La place de la gent féminine sur le marché du travail demeure quant
    à elle inchangée, malgré le fait que les femmes sont majoritaires à être diplômées
    de l’université. Seules 2,06 millions de femmes ont une activité professionnelle, soit
    un taux de 18,9%, ce qui représente une baisse de près de 1%, puisqu’elles
    représentaient 19,4% de la population active en septembre 2015, période durant
    laquelle elles étaient 2,31 millions, tandis que les hommes sont 8,83 millions sur
    le marché du travail, soit les 81,1% restants. Le taux de chômage a baissé
    essentiellement chez les hommes à 8,2% en avril 2016, contre 9,9% en septembre
    2015, tandis que chez les femmes, le taux de chômage a connu une quasi-stagnation
    en s’établissant à 16,5%.

    Disparités
    De même, et toujours selon l’ONS, des disparités significatives sont observées selon
    l’âge, puisque pour les personnes âgées de 25 ans et plus, le taux de chômage est
    de 7,5% avec un taux de 5,9% chez les hommes et de 13,7% chez les femmes.

    Quant au taux de chômage des jeunes âgés entre 16 et 24 ans, il a baissé à 24,7%
    en avril dernier, contre près de 30% en septembre dernier, avec 21,8% chez les jeunes hommes contre 40% chez les jeunes femmes. Pour ce qui est du taux de chômage
    des diplômés de l’enseignement supérieur, il s’établit à 13,2%.
    Les universitaires représentent 22,6% de la population au chômage, soit un nombre de 270 000, tandis
    que les personnes non diplômées sont 53,3%, soit 639 000 chômeurs, et les diplômés
    de la formation professionnelle sont 24,1%, soit 289 000 chômeurs. Pour ces deux dernières catégories, le taux de chômage des personnes sans diplôme a baissé à
    8,3% en avril dernier, contre 9,6% en septembre et celui des diplômés de la formation professionnelle à 12,1%.
    A souligner que le taux de chômage le plus bas, selon le
    niveau d’instruction, est celui des personnes sans instruction, qui ne sont que 4,6% de
    la population sans emploi. Concernant la population occupée, qui représente quelque
    10,9 millions de personnes, l’ONS annonce que ce sont majoritairement des salariés,
    7,58 millions, contre 3,11 millions d’employeurs ou d’indépendants, et 192 000 aides familiaux. Le secteur privé et mixte emploie 58% d’entre eux, soit plus de 6 millions d’employés.
    En fonction du milieu de résidence, 7,33 millions de personnes travaillent
    dans le milieu urbain contre 3,56 millions dans le monde rural. «Selon le secteur
    d’activité (y compris les entités administratives), il est observé que celui du commerce
    et des services est le plus grand employeur (61,7% de la population active), suivi du secteur du BTP (16,6%), de l’industrie (13%) et de l’agriculture (8,7%)», conclut l’ONS.

    Ghania Lassal
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    Post Le chômage sous la barre des 10%

    Une tendance conjoncturelle selon les experts
    Le chômage sous la barre des 10%

    22 Août 2016

    L’Office national des statistiques (ONS) a noté une baisse du chômage dont le
    taux est passé en deçà des 10%. Mais peut-elle s’inscrire dans la continuité ?
    Naouel Boukir - Alger (Le Soir)
    - L’ONS a révélé un taux de chômage de
    9,9%, à fin avril 2016, contre plus de 11% à la même période de l’année 2015.
    Certains experts expliquent cette évolution par la hausse de l’entrepreneuriat
    5,4% de nouvelles entreprises, soit 9 166, ont été créées durant le premier
    semestre de l’année en cours comparativement à la même période de 2015.
    D’autres économistes se refusent, cependant, à la percevoir tel un
    indicateur de changement ou de «transformation socioéconomique». Selon
    ces derniers, elle est davantage associée à un simple effet de
    conjoncture. Pour l’économiste Youcef Benabdallah, cette statistique
    n’est pas très significative pour l’instant car «il est encore trop tôt pour se
    faire une idée précise des performances de l’économie nationale». Par ailleurs,
    Mustapha Mekidèche, vice-président du Conseil national économique et
    social (Cnes), considère que ce modeste fléchissement du chômage est
    certainement «une bonne nouvelle». Surtout que «cette reprise» intervient
    à l’heure du choc budgétaire et «qu’elle n’est pas à mettre au compte de
    l’administration ou de la dépense publique». Toutefois, il y a lieu de préciser
    que pour les 9 166 entreprises nouvellement créées, dont le bilan du Centre
    national du registre du commerce (CNRC) fait état, celui-ci ne souligne pas
    le nombre de celles ayant bénéficié de l’appui des organismes publics
    de soutien à l’emploi.Ces deux experts attendent que ce soit la durée
    qui confirme la nature de cette tendance pour pouvoir en tirer des conclusions
    sur ses répercussions sociales et économiques.

    N. B.
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