Page 1 sur 3 123 DernièreDernière
Affichage des résultats 1 à 10 sur 29

Discussion: Radar de Maghreb-Sat

  1. #1
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 27/08/2014

    C'est ici que vous ne ratez rien.

    Mercredi, 27 Août 2014 09:50

    Un hommage a été rendu au défunt Ebossé

    Les jeunes de Ghardaïa, hôtes de La Radieuse à Oran

    Soixante jeunes de Ghardaïa et de Berriane sont actuellement les hôtes de l’association La Radieuse au mini-complexe sportif Reguieg-Abdelkader de Maraval, à Oran. Avant d’entamer un match de football, une minute de silence à la mémoire du défunt Ebossé a été observée.


    Une vingtaine de directeurs de l’éducation seraient remplacés

    Mme Nouria Benghebrit fait le ménage
    En cette veille de rentrée scolaire, fixée pour les enseignants le 2 septembre et pour les élèves le 7, la nouvelle ministre de l’Éducation nationale, Mme Nouria Benghebrit, s’apprête, d’après nos sources, à procéder à de grands changements, notamment à la tête des structures décentralisées de son secteur. Ainsi, une vingtaine de directeurs de l’éducation seraient remplacés incessamment.




    Mercredi, 27 Août 2014 09:50

    Il est originaire d'Izoubaghen, une localité de Tizi Larbaâ

    Hommage à Abdelhamid Zouba à Draâ El-MizanL'association culturelle Amgud, en collaboration avec l'APC de Draâ El-Mizan, rendra un hommage, le 30 août au stade Mohamed-Boumghar de Draâ El-Mizan, à Abdelhamid Zouba, ancien joueur et entraîneur de l'équipe nationale.


    Interdit de fonctions officielles et exclu du FLN

    Belkhadem excommunié




    En instruisant le SG du FLN d’exclure Belkhadem, Bouteflika foule aux pieds les dispositions statutaires du parti.
    Comme l’ascension est si rapide, la chute est souvent brutale. L’ancien chef de gouvernement et proche du clan présidentiel, Abdelaziz Belkhadem, l’a appris à ses dépens. Il vient d’être limogé par le président Bouteflika. L’information a été donnée, hier, par l’agence de presse officielle APS en citant une source relevant de la présidence de la République.

    Hend Sadi : «Le printemps 1980 marque la fin de l’isolement de Mammeri»


    "La démagogie du pouvoir, qui s'alimentait de surenchères nationalistes, amoindries au fil du temps, s'est effon,drée avec les réunions du gouvernement algérien dans un hôpital militaire français", tance Hand Sadi, une des figures importantes du Printemps d'avril 1980 et auteur du livre "la colline emblématique".

    L’Etat maintient sa politique dépensière


    Un nouveau plan quinquennal d’un montant global de 21 000 milliards de dinars, soit l’équivalent de 262,5 milliards de dollars et de fortes dépenses d’équipement et de fonctionnement pour 2015, avec des hausses, respectivement de 43% et de 5,4% par rapport à l’exercice précédent.

    Mouloud Hamrouche à Boumerdès

    «Mes déclarations sur l’armée dérangent»



    Mes déclarations concernant le rôle de l’armée dans la vie politique dérangent et ont poussé certains à les exploiter pour leur propre intérêts», a déclaré, hier, Mouloud Hamrouche, ancien chef de gouvernement, lors d’un point de presse improvisé en marge de l’université d’été du Front du changement (FC) qui se tient à Boumerdès.

    Cession de 51% de Djezzy à l’état

    La décision sera prise aujourd’hui

    La cession de 51% de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy à l’Etat algérien sera officialisée aujourd’hui au Caire, en Egypte, lors de l’assemblée générale des actionnaires de Global Telecom Holding (GTH), qui commercialise la marque Djezzy. La réunion des actionnaires de GTH devrait déboucher sur l’approbation définitive de l’opération de cession au prix proposé par le gouvernement algérien.

    Décès du peintre et bédéiste Mohamed Bouslah

    Un ancien de “Liberté” s’en va
    Le peintre, caricaturiste, dessinateur de presse et de bande dessinée, Mohamed Bouslah, est décédé brutalement, le 20 août dernier, laissant derrière lui une famille sous le choc et de grandes œuvres qui le garderont pour toujours dans la mémoire de ses proches ...


    Equipe Nationale : Gourcuff convoque 27 joueurs


    Le sélectionneur national, Christian Gourcuff, a rendu publique, lundi, la liste des joueurs devant prendre part aux deux prochains matchs des Verts : contre l’Ethiopie le 6 septembre à Addis-Abeba et le Mali quatre jours plus tard à Blida, comptant pour les éliminatoires de la CAN-2015, prévue au Maroc.


    Belfodil, Boudebouz et Chaouchi de retour

    Zeffane dans le groupe des 27

    La liste des joueurs convoqués comporte 27 éléments parmi lesquels les revenants Benfodil, Boudebouz, Guedioura, Karaoui et le portier Chaouchi. En prévision de cette campagne africaine, le jeune joueur du FC Lyon (France), Medhi Zeffane, effectuera son baptême du feu sous le maillot national. En revanche, le sélectionneur des Verts a décidé de se passer des services de quatre joueurs, à savoir, Kadir, Yebda, Mostefa et Harek. La sélection nationale entrera en regroupement le 1er septembre au Centre technique national de Sidi Moussa jusque après le match contre le Mali, le 10 septembre prochain.


    A demain.


    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. # ADS
    Radar de Maghreb-Sat
    Ich'har Circuit publicitaire
    Date d'inscription
    Toujours
    Messages
    Plusieurs
     
  3. #2
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 01/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .



    Annoncée pour la mi-septembre prochaine, une réunion tripartite (gouvernement, UGTA, patronat) devrait définir le nouveau salaire, suite à la décision d’abrogation de l’article 87 bis du code du travail.
    Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) - C’est ce que le président de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), Habib Yousfi, a indiqué hier lors d’une intervention sous l’égide de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA). Il s’agira lors de cette rencontre de «débattre des décisions à prendre pour aboutir à l'application de la décision de suppression de cet article», dira M. Yousfi. Soit l’opportunité de redéfinir les «éléments» du salaire liés notamment au salaire de base, les primes et autres paramètres d’imposition et de retraite, au-delà de l’ajustement de la grille salariale, observe-t-on. Et ce, dans la mesure où le projet de loi de finances pour l’année 2015 comporte la suppression de l’article 87 bis qui prévoit, rappelons-le, que le salaire national minimum garanti (SNMG) comprend le salaire de base, les indemnités et les primes, à l’exclusion des indemnités versées au titre de remboursement de frais engagés par le travailleur. Estimant que la décision du Conseil des ministres «a une portée politique, (celle) d’apaiser le front social», le président de la CGEA qui s’est montré soucieux de l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs mais aussi de celle de la productivité et de la création de richesses hors hydrocarbures, plaidera également pour une «construction» du SNMG sur une longue période. Et cela même si la revalorisation salariale attendue pourrait induire une hausse de l’inflation, un risque évident en l’absence de productivité selon le président de la CGEA. Néanmoins, la définition du nouveau salaire devra être également précisée dans le futur code du travail, celui-ci devant revoir le cadre des relations de travail ainsi que les droits des travailleurs et des employeurs, considère-t-on. D’où l’opportunité, selon Habib Yousfi, d’un dialogue, un «consensus» entre les divers partenaires socioéconomiques, d’une démarche mobilisatrice de tous. A charge cependant que la redéfinition du salaire puisse être efficiente et accompagnée d’une «contrepartie» en termes de productivité, productivité, mais aussi basée sur des paramètres technico-économiques, des mécanismes et des modèles d’analyse et d’évaluation des répercussions. Ce qui fait justement défaut pour paraphraser le chercheur et économiste, Mohamed Hamidouche, autre hôte de l’UGCAA et qui ne manquera pas de s’interroger sur l’existence d’une réelle volonté des pouvoirs publics d’opérer cette reconfiguration. Mettant en avant le risque d’inflation induit par la hausse des salaires mais aussi par les dépenses publiques, cet économiste plaidera ainsi pour une politique monétaire adéquate même si des instruments d’absorption des liquidités et instruments de régulation sont déjà à l’œuvre. Il s’agira pour la Banque d’Algérie d’œuvrer à ce que le taux d’inflation qui fluctue actuellement entre 3 et 4% ne dépasse pas les 2%, observe Mohamed Hamidouche qui estime également que les modes actuels de calcul de l’inflation sont «archaïques» et donc à revoir.
    C. B.

    Nombre de lectures : 16


    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  4. #3
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 04/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .

    La décision prise en Conseil des ministres de supprimer le fameux article 87 bis du code du travail, ce qui devra permettre la redéfinition du salaire national minimum garanti (SNMG), est saluée par les fédérations de l’UGTA. Réunies, hier au siège de la Centrale syndicale pour débattre du projet du nouveau code du travail, les 30 fédérations ont applaudi, à travers une motion spécifique, à la décision du chef de l’Etat.
    Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Le secrétariat national de la Centrale syndicale n’a pas manqué, il faut le dire, l’opportunité de cette réunion de travail associant les représentants des structures verticales de l’organisation pour louer le geste de Bouteflika. Les fédéraux, convoqués pour débattre du projet du nouveau code du travail, se sont vu proposés, dès l’exposé liminaire, d’exprimer leur satisfaction de la suppression annoncée du 87 bis. Une satisfaction somme toute naturelle, tant est que l’abrogation de l’article en question fait partie des points saillants de la revendication syndicale depuis des années. L’abrogation du 87 bis, dont l’incidence financière sera, selon les calculs de l’UGTA, de l’ordre de 2 400 milliards de dinars, pourrait cependant ne pas profiter à l’ensemble des travailleurs. Si, en effet, la redéfinition du SNMG est aisément applicable dans la Fonction publique, il n’en est pas de même pour le secteur économique. D’ailleurs, le secrétaire national à l’UGTA chargé des questions socio-économiques, Telli Achour, qui a présidé la réunion d’hier, a reconnu qu’il y aura assurément des difficultés d’application dans le secteur économique. Selon lui, l’impact de la suppression du 87 bis sera fonction de la situation des entreprises. Des experts économistes prévoient en effet la hausse jusqu’à 15% des masses salariales des entreprises du fait de cette suppression du 87 bis. M. Telli a parlé d’une hausse oscillant entre 5 et 15%. Une situation qui ne sera supportable pour toutes les entreprises. Cela étant, les fédéraux UGTA ont eu, par ailleurs, à s’imprégner des dispositions du projet du nouveau code du travail. Riche de 661 articles, le document devra faire l’objet d’un débat au sein de ces structures de l’UGTA, lesquelles auront à mettre des propositions que le secrétariat national de l’UGTA devra synthétiser. La copie, finalisée en juillet, du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale propose, entre autres dispositions qui ne devraient pas agréer les syndicats, la généralisation du contrat à durée déterminée (CDD). Une disposition, si elle devait être ainsi votée, consacrera, de l’avis de nombreux syndicalistes, la précarité de l’emploi. Il est fort à s’attendre à un bras de fer entre d’un côté les syndicats et de l’autre le patronat et le gouvernement.
    S. A. I.

    Nombre de lectures : 9

    «IL NE FAUT PAS SE PRÉCIPITER DANS CETTE AFFAIRE DE RÉVISION DE LA CONSTITUTION»
    Surprenante sortie de Amar Ghoul
    Amar Ghoul appelle à «une conférence nationale sur la nouvelle Constitution». C’est ce qu’il a annoncé hier mercredi, à l’occasion d’une réunion du bureau politique de son parti, le TAJ, tenue dans son nouveau siège sis à Dely Brahim à Alger Suite...

    Pendant qu’Alger préfère honorer les artistes égyptiens

    Une place Slimane-Azem à Paris

    Par : Rubrique RadarLa reconnaissance à nos artistes vient toujours d’ailleurs. Cela s’est confirmé avec l’annonce de l'inauguration d’une place à Paris au nom d’un des piliers de la chanson algérienne, Slimane Azem, en l’occurrence. L’initiative revient à la ville de Paris, la mairie du 14e arrondissement, la CBF et l’association Ameslay. Au programme, des stands d'expositions avec des objets ayant appartenu à l’artiste, des originaux de disques, des photos de famille inédites, des poèmes récités par des enfants, un stand librairie, une projection-débat autour du documentaire Slimane Azem, une légende de l'exil de Rachid Merabet, et beaucoup d’autres surprises. Pour la petite précision, la place Slimane-Azem se situe dans le 14e, près de la place de Catalogne, au pied de l'église Notre-Dame-du-Travail, sur la rue Vercingétorix (M° Pernety, Gaîté ou Montparnasse). Forcé à l’exil par le régime de Boumediene, Slimane Azem avait été adopté par la ville de Paris où il est enterré. “Dhaghriv dhavarrani” (l’étranger ou l’exilé), chantait-il.




    Index de “vivabilité”

    Alger classée à la 135e place sur 140

    Par : Rubrique RadarAlger reste à la 135e place sur 140 dans le classement de l’index de vivabilité 2014 établi chaque année par The Economist Intelligence Unit. La capitale algérienne obtient, comme en 2013, un score de 40 en stabilité et est jugée moins stable que Tripoli (132e). La capitale libyenne a un score en stabilité de 45, mais dépasse Alger aussi en matière d’infrastructures (51,8 contre 30,4). Le classement est dominé par les villes australiennes, notamment Melbourne qui décroche la première place pour la quatrième année consécutive. La dernière place est occupée par Damas, capitale de la Syrie. Ce classement de vivabilité du Economist détermine, comme l’explique le rapport, les endroits autour du monde qui offrent les meilleures et les pires conditions de vie. Les critères considérés incluent la stabilité, l’infrastructure, la santé, l’éducation, l’environnement et la culture. De nombreux mauvais élèves se situent dans des zones de conflit. Cela est dû à un mauvais score en stabilité, mais aussi, car les facteurs déterminant cette stabilité, indique le rapport, affectent d’autres critères comme l’infrastructure ou la santé.


    Mobilis

    La 3G, le sport et l’action citoyenne

    Par : Nabila SAIDOUNL’opérateur public fait parler de lui et s’impose sur l’échiquier de la téléphonie mobile.
    Il promet de couvrir les 48 wilayas en 3G en l’espace de 2 ans.

    Décidément Mobilis est sur tous les fronts et ne ménage aucun effort pour séduire le maximum de clients. C’est du moins le message que Saâd Damma, P-DG d’ATM Mobilis, a tenu à transmettre, lundi, à l’hôtel Hilton, lors de la cérémonie de signature d’un partenariat le liant au Comité olympique algérien (COA) jusqu’à 2020. Mobilis pénètre ainsi le monde du sport par la grande porte sans perdre de vue son métier de base. “Tout est lié”, nous a déclaré M. Damma en marge de la rencontre expliquant que “cette stratégie de vouloir occuper la scène n’est pas seulement pour le plaisir de faire parler de soi, mais aussi pour faire fructifier les énormes investissements consentis dans le cadre du développement de l’entreprise”.
    En d’autres termes, chaque sou dépensé par l’opérateur doit être récupéré et cela ne saurait arriver sans investir également sur l’image même de l’entreprise. Il s’agit là des règles de base de toutes les économies réussies que Damma veut “une réalité” et non “une simple chimère”. “Nous sommes une entreprise économique publique qui se donne les moyens pour être à la hauteur dans un domaine à très forte concurrence”, a-t-il insisté, soulignant avec force la pertinence de l’action citoyenne dont l’opérateur ne peut se défaire.
    Il semble que l’ambition affichée par l’équipe dirigeante actuelle porte ses fruits au regard des résultats financiers obtenus, mais aussi et surtout par rapport à l’image que renvoie l’opérateur public ces derniers mois, mais pas seulement. Mobilis arrive à s’imposer sur le marché comme un opérateur fort et vise, pourquoi pas, d’être leader. Selon le dernier rapport de l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile (GSMA) publié, il y a quelques jours, Mobilis est leader dans la 3G au 2e trimestre 2014. Quoi qu’il en soit, M. Damma promet que “le jour J, à savoir en l’espace de 2 ans et 1 jour depuis son lancement, Mobilis couvrira les 48 wilayas du pays et offrira la 3G à tous les Algériens et il sera le seul opérateur à pouvoir le faire. En attendant le 16 décembre prochain, nous allons rajouter à notre liste de couverture 16 wilayas pour arriver à un total de 35”.


    Des cartables scolaires, des ambulances et un espace pour le service pédiatrie de l’hôpital d’Hussein-Dey

    Il n’y a pas que le sport. L’aspect solidarité prime aussi chez l’opérateur qui se lance, dès la semaine prochaine, dans l’action citoyenne consacrant à certaines villes des Hauts-Plateaux une attention somme toute particulière.
    Aussi, Saâd Damma, qui ne perd pas le Nord, enchaîne sur une stratégie tout aussi payante et annonce le parrainage au profit de plusieurs associations qui activent dans le domaine de l’enfance, de la femme, de la jeunesse, etc. il réédite aussi des opérations menées l’année dernière et marque la rentrée scolaire à partir de Djelfa pour distribuer des cartables pleins d’articles scolaires au bénéfice des enfants démunis. L’autre action, qui mérite d’être soulignée avec force, émane des abonnés de l’opérateur (plus de 13 millions de clients) qui, au cours du Ramadhan dernier, ont été très sensibles à l’appel de solidarité lancé par l’opérateur pour y adhérer totalement. Cela consistait à retenir 10 DA sur chaque opération menée par le client.
    Résultat des courses, le gain obtenu permet aujourd’hui à Mobilis d’être en mesure d’offrir quatre ambulances équipées de matériel médical ainsi que l’aménagement d’un espace dédié au service pédiatrique de l’hôpital d’Hussein-Dey (Parnet). “Je suis très fier de mes clients pour lesquels je suis très redevable”, dira humblement M. Damma, annonçant dans la foulée : “Nous allons lancer pas mal de projets avec le Comité olympique pour mener une campagne de sensibilisation et lutter contre la violence dans les stades notamment après la perte tragique de l’attaquant de la JSK : Albert Ebossé.”
    N. S.

    À la mémoire de Mohamed Salah MENTOURI

    Cérémonie de recueillement vendredi 5 septembre

    Par : Rédaction Nationale
    Le 5 septembre 2010, notre cher et regretté Mohamed Salah Mentouri était ravi à l’affection de sa famille et de ses amis.
    L’engagement passionné pour l’Algérie tout au long de sa vie, et ce, dès son plus jeune âge, sa droiture et sa générosité restent à jamais gravés dans les mémoires. En ce jour de commémoration, la famille Mentouri demande à tous ceux qui l’ont connu et apprécié pour son intégrité, son patriotisme, sa compétence, son courage, mais également pour sa discrétion, sa disponibilité, d’avoir une pensée à sa mémoire. Repose en paix, Mohamed Salah, toi qui es mort debout comme tu as vécu.
    Tu n’es pas mort dès lors que tu es présent dans les mémoires de ceux qui restent attachés aux idéaux que tu as, avec d’autres, portés d’une Algérie forte, libre, attachée à ses racines et fière de son histoire, et résolument moderne.
    Une cérémonie de recueillement est prévue le vendredi 5 septembre à 10h au cimetière d’El-Alia.




    Crise politique : Pourquoi l’armée est-elle sollicitée






    Des partis politiques et des personnalités nationales de poids et de divers horizons interpellent l’armée pour juguler la crise dans laquelle s’enlise le pays et aider à l’élaboration d’une perspective de mise en place d’un régime démocratique.


    Fortement sollicitée pour peser de tout son pouvoir en faveur d’un changement démocratique, le commandement militaire cristallise tous les regards. En raison du flou politique dominant et surtout d’un chef d’Etat absent renforçant une périlleuse impasse, alors que les rumeurs font rage au sein du sérail, l’armée est de plus en plus sollicitée pour assumer son rôle historique. Des partis politiques et des personnalités nationales de poids et de divers horizons l’interpellent pour juguler la crise dans laquelle s’enlise le pays et aider à l’élaboration d’une perspective de mise en place d’un régime démocratique.
    La grande muette, dont le rôle a été de tout temps déterminant dans les choix politiques comme dans la désignation des chefs d’Etat, est ainsi mise aujourd’hui face à ses responsabilités en tant que dépositaire du pouvoir réel car c’est elle qui «donne la légitimité aux civils pour gouverner», dixit l’ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Et c’est précisément ce dernier qui, depuis la campagne pour reconduire Abdelaziz Bouteflika au poste de président de la République pour un quatrième mandat qui fait peser sur l’armée une forte pression pour rappeler sa mission historique. «Faire allégeance au pays et à l’Etat de droit en non pas aux hommes», l’invite-t-il.
    Le chef de file des réformateurs ne cesse depuis d’appeler à forger «un nouveau consensus national» dont l’armée serait un acteur majeur car, selon lui, sans elle «rien ne pourra se faire». M. Hamrouche, au double parcours militaire et politique, fait la démonstration qu’il n’est «pas dans l’intérêt de l’armée de rester figée dans la situation actuelle». D’autres acteurs politiques se rallient également à l’idée de s’appuyer sur l’institution militaire pour amorcer un processus de changement politique démocratique.
    De nombreuses formations politiques travaillent à l’élaboration d’un compromis historique et convient le pouvoir à aller vers un changement de régime. Mokrane Aït Larbi a ainsi apporté sa contribution au débat sur le rôle de l’armée dans «une transition démocratique et pacifique».
    Pour l’ancien dirigeant du RCD, il ne s’agit pas d’appeler à un coup d’Etat militaire, mais face à « un dialogue de sourds qui s’est installé entre le pouvoir et l’opposition, l’armée détient la clé de la solution». En rappelant que l’armée a eu depuis l’indépendance « un rôle politique qui a pesé dans les évènements à commencer par l’élection de l’assemblée nationale constituante en 1993 jusque au quatrième mandat.

    C’est le commandement militaire qui a fabriqué les présidents, de Ben-Bella à Bouteflika et c’est le même commandement qui a fixé les grandes lignes de l’Etat. L’armée a pesé dans les grands évènements positivement ou négativement et c’est elle qui déteint les moyens matériels et humains et les compétences capables de contribuer efficacement à un changement démocratique (…)».
    L’avocat poursuit son analyse en considérant que l’armée qui devrait être au « service de l’Etat, du peuple et de la nation en non pas au profit de d’un pouvoir, d’un groupe ou d’un système ne peut retourner aisément dans les casernes alors que l’Algérie est dans une crise multiformes. Dans le contexte actuel, son rôle est de convaincre le président de la république de la nécessité de parvenir à un accord impérieux entre le pouvoir et l’opposition autour d’un plate forme adoptée par tout le monde dans la perspective d’un changement pacifique et éviter une nouvelle tragédie».
    La grande muette restera-elle sourde ?
    Ces appels seront-ils entendus? La grande muette restera-elle sourde aux «appels patriotiques» ? S’il est admis que durant la période post-octobre 1988 l’armée était soudée autour d’un groupe de généraux puissants qui se sont jetés dans l’arène et façonné le paysage politique, aujourd’hui, après quinze ans de règne de Bouteflika c’est le paysage de l’institution militaire qui a sensiblement changé. La guerre que se sont livrée des segments du pouvoir à la veille du scrutin présidentiel du 17 avril a vigoureusement révélé les dissensions, les divisions et surtout les tensions qui caractérisent le pouvoir et son épicentre militaire.
    Une escalade qui avait dévoilé les désaccords entre les centres de décision. Le Département du renseignement et de la sécurité a été violemment secoué et son patron, le général Toufik, a été mis en cause et en «difficulté» par le clan présidentiel via le FLN. Des analystes estiment que le commandement militaire n’est plus un bloc homogène et hégémonique. «En trois mandats, Bouteflika et son clan ont réussi à asseoir leur pouvoir et l’élargir à mesure que les puissants chefs militaires quittaient leurs fonctions».
    Les rapports de force dans le sérail ne sont pas restés figés. Le règne de Bouteflika a donné naissance à d’autres groupes influents au sein du pouvoir s’appuyant sur l’informel dominant et surtout sur l’accumulation de grosses fortunes qui contrebalancent le poids des militaires et des politiques. L’apparition de cette «nouvelle force» à une capacité de nuisance certaine qui évolue en neutralisant d’autres forces et à leur tête celle de l’armée. Cette dernière faut-il le souligner est fortement sollicitée militairement en raison du contexte sécuritaire régional.
    Ses chefs sont pour la plupart au crépuscule de leur carrière. Les acteurs politiques les appellent à accomplir leur denier acte. «Sauver» le pays d’un chaos menaçant ! Les généraux- majors, Toufik et Gaïd Salah interpellés par Mouloud Hamrouche ont-ils la volonté et la possibilité de le faire, eux qui étaient «forcés à maintenir le statu quo» ?
    N’est-il pas illusoire d’accorder des vertus démocratiques à des prétoriens qui ont façonné un ordre autoritaire ? Ceux qui exhortent l’armée à assumer son rôle dans le changement démocratique tablent sur une situation d’urgence nationale. «Les décideurs militaire sont enclins à l’ouverture quand le danger se fait imminent», proclame un connaisseur du sérail. En somme, à court terme, une succession devrait s’ «organiser» à des niveaux différents au sein du pouvoir.
    L’inéluctable départ à la retraite des patrons du DRS, Mohamed Mediène, et du chef d’état-major, Ahmed Gaïd-Salah. Reste le chef de l’Etat dont l’état de santé est incertain, et qui focalise toutes les incertitudes. Ces départs vont-ils alors induire des changements profonds dans la nature du régime politique? En tout état de cause, la classe politique ,comme le reste de la société l’espèrent ardemment.

    Hacen Ouali

    Dernière modification par zadhand ; 04/09/2014 à 01h54. Motif: Radar de Maghreb-Sat
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  5. #4
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 07/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .


    RENTRÉE SOCIALE
    Revoici les embouteillages
    C’est la rentrée, premier rituel, les embouteillages. La frénésie s’empare de la capitale «abandonnée » pendant le mois d’août, en raison des congés et des Suite...

    "Le trésor du FLN" et l’assassinat de Mohamed Khider


    Dans cette contribution, le fils du militant nationaliste Mohamed Khider, assassiné en janvier 1970 à Madrid, apporte quelques éclairages suite à un article publié par notre confrère El Watan.
    Mohamed Khider.
    L’article paru dans le journal El Watan "Du Trésor du FLN aux "casinos" de Sonatrach", bien documenté, nous permet d'apprendre les aboutissants d'une ancienne affaire qui a défrayé les chroniques de l’époque.Cette banque dont les fonds ont été collectés tout au long de la guerre de libération pour soutenir le combat pour l’indépendance puis, plus tard, celui de la démocratie, n’aura servi qu’à profiter aux affairistes qui se sont jetés sur notre pays blessé, épuisé par 132 ans de lutte contre le colonialisme, mais plein d’espoir à l’indépendance obtenue. Un million et demi de patriotes tombés et combien de leaders lâchement assassinés par une poignée de personnes cupides de pouvoir.En démissionnant de son poste de Secrétaire Général du FLN, Mohamed Khider décide de combattre les régimes de dictature de Ben Bella puis celui de Boumediene qui détruisent tous les rêves alors permis à l'indépendance. Les rêves d'une Algérie qui aspirait à la démocratie, au développement, à la liberté, à l'épanouissement que tout citoyen algérien avait droit.L'affaire des fonds du FLN dont mon père avait la charge est limpide par la transparence qu’il lui a donnée. Dès sa prise d'opposition il déclare haut et fort qu'il se battra contre la dictature et qu'il met les fonds dont il avait la charge à la disposition de tous opposants ou mouvements d'oppositions qui se joindraient à lui. 50 millions de francs suisses affectés à une cause patriotique, citoyenne, juste. Son combat s’arrête malheureusement le 3 janvier 1967.Après sa mort, sa famille se battra contre le régime de Boumediene qui, pour camoufler leur crime, cherche à le faire passer pour un simple règlement de comptes lié à une affaire sordide d’argent. Peine perdu, car le passé et la personnalité de Mohamed Khider plaident pour lui. Son passé de militant, ses multiples années de prison pour la cause, sa démission du poste de Secrétaire Générale du FLN, qui le plaçait au premier rang dans la direction du pays et qui lui aurait permis, s’il l’avait voulu, de bénéficier de tous les avantages et trésors du pays, sont autant de preuves du désintéressement qu’avait cet homme pour l’argent.L’intégrité de Mohamed Khider est prouvée par l’affectation qu’il a donnée aux fonds dont il avait la charge. L’Algérie hérite d’une banque en Suisse malgré la législation qui interdit à tout pays étranger d’avoir un établissement bancaire sur son sol s'il n'y a pas réciprocité. Malheureusement, comme le détaille l’article du journal El Watan, cette banque ne servira que de plate-forme pour des transactions frauduleuses menées par les protégés du régime.Combien de temps durera encore ce régime et l’impunité dont ses sbires bénéficient ?
    Tarik Khider




    Autour de "Toute femme est une étoile qui pleure" de Karim Akouche

    Depuis quelques années je pris le risque de me retirer sur une petite île de quinze mille âmes du sud d’Haïti là où je pensais déterrer des fauves, des dragons, des arcs-en-ciel humides. ... Lire l'article



    Algérie-Maroc: 20 ans après, les frontières plus fermées que jamais !

    Tranchées contre le trafic de carburant d’un côté, clôture pour se protéger du «terrorisme» de l’autre: 20 ans après, la ... Lire l'article



    L’adieu à Si Abdelmadjid, l’Adieu à une conscience vivante

    L’implacable destin a voulu qu’une multitude de malheurs frappent notre pays et endeuillent notre peuple en un court ... Lire l'article






    Un ministre algérien dévalorise le dinar !!!

    Tayeb Belaïz, le ministre de l'Intérieur, a lancé une déclaration mercredi de peu de goût pour les petites bourses, mais ... Lire l'article

    Réda Hamiani décidé à quitter la présidence du FCE


    Moins d’un an après sa réélection à la tête du Forum des chefs d’entreprises (FCE) pour un quatrième mandat, Réda Hamiani a annoncé, samedi, son désir de démissionner de son poste pour des raisons « purement personnelles ».
    Il a, à ce propos, indiqué que « je confirme mon souhait de quitter la présidence du forum mais pas le forum en tant qu’organisation. Je ne vais pas claquer la porte parce qu’il y a des désaccords entre nous (membres du FCE) ».
    Hamiani a souligné qu’il n’a pas encore déposé sa démission et nie l’existence de tout conflit interne l’ayant pousser à envisager son départ. « Je voudrais consacrer un peu plus de temps à ma famille et prendre soin de ma santé », a-t-il assuré, ajoutant qu’il préférait l’alternance à la continuité et qu’il était temps de céder la place aux jeunes.
    Hamiani a confirmé avoir fait part de ses intentions de quitter son poste de président du FCE à ses vice-présidents dans une réunion interne. « Je leur ai dit (vice-présidents) que j’étais fatigué et que je n’avais plus la force de poursuivre ma mission jusqu’à la fin de mon mandat en 2015″, a-t-il dit, expliquant que sa démarche s’inscrit dans le cadre de la préparation de l’Assemblée générale (AG) du forum prévu en début d’année prochaine.
    Le président du FCE s’est dit, toutefois, disposé à rester encore le temps qu’il faut (3 à 5 mois, selon lui) pour trouver un successeur. « Ce n’est pas une démission mais c’est un départ volontaire », a-t-il précisé ajoutant « je ne déposerai ma démission qu’une fois la solution trouvée ».
    Hamiani était, depuis plusieurs mois, la cible de critiques de la part de certains membres du FCE et des rumeurs sur sa destitution ont circulé pendant longtemps. Des rumeurs que M. Hamiani a réfuté catégoriquement. « Non, il n’y a rien de tout cela. Je suis président et si je constate que seulement deux ou trois des membres du forum ne sont pas satisfaits de mon travail, je quitte avant qu’on pense à ma destitution », a-t- déclaré.
    « C’est vrai on avait un désaccord avant les présidentielles en mai dernier et il y avait la démission de MM. Rebrab et Otmani mais tout est rentré dans l’ordre. La crise est passée », a-t-il assuré. Élu président du FCE en 2007, Réda Hamiani a été réélu à la tête de cette organisation patronale en 2009 et 2011 puis en 2013.


    La BM table sur une croissance de 3,3% pour l’Algérie en 2014


    Selon son nouveau rapport semestriel publié mercredi, la Banque mondiale prévoit une croissance économique de 3,3% pour l’Algérie en 2014, puis de 3,5% en 2015 et de 3,6% en 2016.
    Avec ces pronostics réactualisés sur les perspectives économiques mondiales, le BM maintient les mêmes prédictions de croissance du PIB algérien que celles faites en janvier dernier alors qu’elle a révisé en baisse ses prévisions pour la croissance mondiale.
    Cependant, les nouvelles prévisions de cette institution financière sur la croissance économique de l’Algérie sont inférieurs à celles du FMI lequel tablait, en avril dernier, sur une croissance du PIB algérien de 4,3% en 2014 et de 4,1% en 2015.
    En ce qui concerne la balance des comptes courants du pays, la BM l’a revue en baisse en la situant à +0,7% du PIB en 2014 (contre une prévision de +2,6% faite en janvier dernier) et à -1,7% en 2015 (contre une prévision de +0,1% faite en janvier) et à -3,4% en 2016.


    L’UNESCO rend hommage au Cheikh al-Alawî


    L’Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a rendu un hommage appuyé au Cheikh Ahmad b. Mustafâ al-‘Alawî à l’occasion du 100e anniversaire de la fondation de l’ordre (Tarika) soufi alawî (1914), « Une école pour la tolérance et la convivialité interreligieuse » écrit en titre l’Organisation Onusienne.
    « L’ordre soufi alawî a été fondé par le Cheikh al-Alawî, ayant fait de la promotion du dialogue interreligieux sa priorité » indique d’emblée le texte de l’UNESCO.
    Les actions du fondateur de l’un des plus importants mouvements soufis du xxe siècle siècle, la tarîqa ‘Alawiyya, une branche de l’ordre Chadhiliyya sont ensuite précisées et admises pour leur dimension universelle, « L’ordre montre comment mieux servir l’humanité ; comment tenter d’harmoniser et d’embellir le monde » est-il écrit.
    Expliquant les fondements de la Tarika ‘Alawiyya, l’UNESCO note ainsi qu’ »Il (l’ordre) accepte et admet tout ce qui peut apporter à l’homme le confort matériel, mais toujours en étroite relation avec la dimension intérieure, dans un équilibre permanent entre le profane et le sacré ».
    Enfin, le texte de l’organisation internationale affirme que « L’ordre mise sur la fraternité aimante des hommes. Il invite, en effet, à ne pas rejeter la rationalité au détriment de la spiritualité, à ne pas s’enfermer dans une religiosité frileuse ».
    Par cet écrit, qui est une reconnaissance, certes tardive mais qui a le mérite d’exister aujourd’hui sous la forme d’un hommage à un grand maitre soufi, l’UNESCO considère ainsi le Cheikh al-Alawî et son oeuvre exotérique et ésotérique, comme un apport universel pour l’humanité.


    Egypte: Mohamed Morsi sera jugé pour des documents livrés au Qatar


    L'ancien président islamiste de l'Egypte avait été destitué par l'armée en juillet 2013.
    Le président égyptien destitué par l’armée Mohamed Morsi sera jugé avec 10 co-accusés pour la livraison présumée au Qatar de "documents relevant de la sécurité nationale", a annoncé samedi un communiqué du procureur général.
    La date de l’ouverture du procès n’a pas encore été fixée.

    L’ex-président islamiste encourt déjà la peine de mort dans plusieurs affaires et depuis sa destitution et son arrestation par les militaires en juillet 2013, ses partisans sont la cible d’une sanglante répression qui a fait plus de 1 400 morts.
    Mohamed Morsi est accusé "d’avoir livré des secrets relevant de la sécurité nationale aux services de renseignement du Qatar et à des dirigeants de la chaîne d’information Qatarie Al-Jazeera (...) en échange d’un million de dollars" (environ 772 000 euros), selon le communiqué du bureau du procureur publié par l’agence de presse Mena.

    Parmi les co-accusés de Mohamed Morsi figurent son ancien secrétaire Amine El-Serafi, ainsi qu’une personne présentée comme un rédacteur en chef d’Al-Jazeera, Ibrahim Mohamed Helal. Les relations entre l’Egypte et le Qatar se sont détériorées après la destitution de Mohamed Morsi, les autorités égyptiennes dénonçant le soutient apporté par le riche émirat aux Frères musulmans, alors que Doha condamne régulièrement la répression visant les pro-Morsi.
    Mohamed Morsi comparaît actuellement devant la justice dans trois affaires, dont un procès pour espionnage dans lequel il est accusé avec ses 35 co-accusés d’avoir comploté avec le mouvement islamiste palestinien Hamas et la République islamique d’Iran pour déstabiliser l’Egypte.


    Mort de Robin Williams: Hollywood rend hommage à son génie comique



    ROBIN WILLIAMS - L'annonce du décès --sans doute un suicide-- de Robin Williams, comique de génie et acteur de grand talent, a provoqué une onde de choc dans la profession mais bien au-delà, tant ce petit bonhomme, à l'énergie inépuisable, était adoré du public.
    De Ben Stiller à Ellen DeGeneres en passant par Barack Obama, ils ont été nombreux à dire leur tristesse et à lui rendre hommage.


    CAN-2015 (qualification- première journée-GR: B) : Ethiopie – Algérie 1-2

    L’Algérie a battu l’Ethiopie 2-1, mi-temps (1-0) samedi à Addis Abeba en match comptant pour la première journée des qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations CAN-2015.
    Les buts de la rencontre ont été inscrits par Hilal Soudani (35) et Yacine Brahimi (84) pour l’Algérie.
    Said (90+6 sp) pour l’Ethiopie. Dans l’autre match du groupe B, le Mali accueillera dans la soirée le Malawi .(Aps)
    Fiche technique du match
    Ethiopie- Algérie (1-2), mi-temps (0-1) disputé samedi à Addis Abeba pour le compte de la première journée des qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations CAN-2015 de football.
    Terrain: mauvais état – Temps : nuageux – Public: nombreux
    Arbitre : Bernard Camille (Seychelles)
    Buts : Ethiopie : Said ( sp 90+6)
    Algérie : Soudani (35), Brahimi (84)
    Avertissements : Soudani (33), Taider (68) Algérie
    Composition des équipes :
    Ethiopie : Temal, Adebaw, Natnael, Thok, Salaheddine Said, Alula, Bargicho, Cheneles, Tadel (Getn 46), Adawe (Menyahc 81), Omod.
    Sélectionneur : Mariano Barreto
    Algérie : M’Bolhi, Mandi, Mesbah, Belkalem, Medjani, Lacen, Feghouli, Brahimi, Taider (Guedioura 90+2), Soudani (Mahrez 76), Slimani (Belfodil 68).




    Sélectionneur : Christian Gourcuff.




    Football européen

    Les transferts ont coûté 3 milliards de dollars aux clubs européens

    La Premier League anglaise a dominé les débats sur le marché des transferts cet été, alors que le montant total des transactions en Europe s'élève à plus de 3 milliards de dollars, selon une étude publiée hier. Les 20 clubs de Premier League ont dépensé environ 835 millions de livres (1,38 milliard de dollars, 1 milliard d'euros), selon une étude du cabinet Deloitte, publiée après la fermeture, lundi à minuit, du marché estival. Les clubs de la Liga espagnole ont, quant à eux, dépensé un peu plus de 700 millions de dollars (535 millions d'euros), avec le Real Madrid et Barcelone à leur tête et les achats coûteux de Luis Suarez et James Rodriguez. La Seria A italienne arrive en troisième position européenne avec 450 millions de dollars (327 millions d'euros) dépensés, suivie par la Bundesliga dont le montant total des transactions s'élève à 415 millions de dollars (315 millions d'euros). La Ligue 1 française se positionne à la cinquième place avec 165 millions de dollars investis cet été (125 millions d'euros).





    Dernière modification par zadhand ; 07/09/2014 à 01h49. Motif: Radar de Maghreb-Sat
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  6. #5
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 08/09/2014

    C'est ici que vous ratez tout cause de cette foutue connexion de AT ; je suis désolé de vous avoir dit a demain mais hélas je me suis engagé sur un domaine qui ne dépend pas de moi en attendant des jours meilleurs .

    Ces «constantes nationales» qui divisent les Algériens

    Par Mustapha Benfodil
    Et revoilà les fameuses «constantes nationales» ! Remises au goût du jour à la faveur des dernières consultations sur la révision constitutionnelle. la suite

    Skikda : Fuite de gasoil au tunnel de l’îlot des chèvres

    Une fuite de gasoil a concerné, dans la matinée d’hier, le tunnel de l’îlot des chèvres qui abrite deux pipes desservant les bras de chargement du port mixte de Skikda.

    La fuite a été causée par la rupture d’un pipe de 16 pouces déversant des quantités non encore déterminées. L’alerte donnée à temps par un officier de la police des frontières du port de Skikda a été de suite suivie par le déploiement d’un dispositif de sécurité. Des camions anti-incendie de la Protection civile ainsi que des moyens de la raffinerie de Skikda ont été déployés pour parer à toute éventualité.
    Une opération de pompage du liquide a aussi été menée par Naftal et le sablage de la chaussée passant près de l’entrée du tunnel a également été effectué pour sécuriser les usagers de cette route très empruntée par les automobilistes de Skikda. A noter que le tunnel de l’îlot des chèvres abrite deux pipes de 16 et de 26 pouces qui desservent le quai pétrolier du port mixte.

    La gamme des Smartphones s'enrichit

    Samsung Algérie dévoile le Galaxy S5


    C’est au milieu du somptueux décor de la Résidence Nedjma (El Biar), qui offre une vue panoramique de la baie d’Alger qu’a été lancé, jeudi dernier en Algérie, le Samsung Galaxy S5.


    Des invités, dont les représentants des opérateurs de téléphonie mobile et des directeurs de journaux, ont assisté à cet événement. L’équipe de Samsung Algérie a dévoilé ainsi un nouveau bijou de haute technologie qui surpassera son prédécesseur, le Samsung S4, qui était déjà à la pointe de l’innovation et en avance dans bien des domaines sur ses concurrents.
    Le mot «bijou» est aussi adapté à son design très chic qui en fait un vrai accessoire de mode. Que peut-on demander encore à un smartphone ? Samsung offre une réponse avec ce modèle. Parmi les différentes fonctions novatrices, on peut citer sa caméra et les différentes options du traitement de l’image qu’elle propose, son optimisation pour le téléchargement et différentes options de sécurité pour protéger les informations confidentielles.
    Autre argument de vente : son indicateur de pouls et la résistance de l’appareil à l’eau, à la poussière et aux chocs. «Avec le Galaxy S5, Samsung se concentre sur ce qui importe le plus aux consommateurs de la région», a déclaré le directeur général de Samsung Electronics Algérie. «Les consommateurs sont à la recherche d’outils mobiles qui les inspirent, les soutiennent et qui améliorent leur quotidien. Le Galaxy S5 représente une conception emblématique avec des fonctionnalités essentielles et utiles pour se concentrer sur la vente du meilleur smartphone sur le marché d’aujourd’hui, à travers l’innovation inspirée par les utilisateurs.»
    La capture et l’enregistrement des souvenirs précieux sont les caractéristiques les plus importantes des smartphones d’aujourd’hui. Le nouveau Galaxy S5 offre des fonctionnalités d’appareil photo de qualité supérieure, comportant un appareil photo de 16 mégapixels doté d’un menu amélioré et d’une interface d’utilisateur qui permettent aux consommateurs de capturer, modifier et partager des photos facilement. Il comporte également un lecteur d’empreintes digitales, offrant un dispositif de verrouillage biométrique d’écran sécurisé, ainsi qu’une expérience de paiement mobile impeccable.
    Peur que vos enfants aient accès à des contenus inappropriés ou qu’ils suppriment des données importantes ? Samsung a mis en place un mode enfant afin de restreindre l’accès, le tout dans une interface colorée et adaptée à vos chers chérubins. Son prix chez les revendeurs est de 163 500 DA. Mais les opérateurs de téléphonie mobile le proposent à des prix moins chers :
    62 950 DA (Djezzy), 64 500 (Mobilis) et 67 000 DA (Ooredoo) ; les stocks sont limités. Le marché algérien de la téléphonie mobile est-il en train de s’orienter vers un «marché opérateur» ? Des signes portent à le croire, surtout après le lancement de la 3G en Algérie. Cela reste toutefois minime par rapport aux revendeurs, mais c’est une tendance qui se dessine depuis des semaines.

    Sonatrach : Haddad, Zerguine et le 4e appel d’offres

    Le limogeage du président-directeur général de Sonatrach au mois de juillet dernier, ainsi que le retard pris dans le processus d’attribution de nouveaux blocs d’exploration dans le cadre du 4e appel d’offres continuent à faire couler l’encre aussi bien en Algérie qu’en outre-mer.


    Malgré les signaux positifs émis par les autorités algériennes en direction des partenaires étrangers, certains facteurs ne sont pas pour redorer le blason de la destination Algérie. D’autant plus que l’influence grandissante de certains cercles d’affaires que l’on dit proches du pouvoir, inquiète. C’est le cas du magazine on-line Orient XXI, qui compte parmi ses collaborateurs des journalistes algériens et français ainsi que des sociétaires du CNRS et de l’Institut français du Proche-Orient et qui se penche sur la question. C’est ainsi qu’un article signé de l’ex-rédacteur en chef de L’Express, Jean Pierre Sérini, se penche sur l’influence présumée d’Ali Haddad, patron de l’ETRHB, sur le limogeage de Abdelhamid Zerguine du poste de PDG de Sonatrach.
    Le fait qu’on n’ait jamais réellement et officiellement expliqué ce limogeage donne lieu à diverses interprétations. La plus évidente étant la main de Ali Haddad. Le journaliste entame son enquête à partir d’un fait d’actualité, l’annonce par le tonitruant porte-parole du Parti des travailleurs, Mme Louiza Hanoune, concernant le désir de Ali Haddad de peser de tout son poids pour la nomination d’un homme acquis à sa cause à la tête de Sonatrach. Le fait est que l’ETRHB est la seule entreprise, avec le groupe KOU G.P., à avoir été préqualifiés pour l’exercice d’activités dans le secteur des hydrocarbures, celui-ci voudrait élargir ses activités au-delà de la simple transformation et distribution de bitumes.
    D’ailleurs il a clairement affiché ses ambitions concernant la réalisation d’une raffinerie pour un montant de 2 milliards de dollars. Haddad aurait aussi des vues sur l’amont pétrolier et voudrait peser pour l’attribution de blocs lors du 4e appel d’offres. Or, la loi sur les hydrocarbures stipule clairement que toutes les activités dans ce secteur stratégique doivent être initiées dans le cadre d’un partenariat où la Sonatrach serait largement majoritaire. Et c’est justement là que le bât blesse.
    Jean Pierre Serini, qui prend le soin de rappeler la guerre des nerfs et le cage à cage médiatique ayant pour objectif dans un cas de démontrer l’incompétence de Abdelhamid Zerguine et dans un autre de le défendre, suppose que le PDG de Sonatrach a traîné la patte pour finir par refuser de s’engager dans cette voie et par en payer le prix. L’auteur estime pourtant que le limogeage de Zerguine ne va pas forcément conduire à la nomination d’un successeur plus docile, d’autant plus, poursuit-il que les cadres de Sonatrach ont été échaudés par les scandales de corruption ayant décapité le management de l’entreprise ainsi que de nombreux cadres, aussi bien le PDG que la majorité des vice-présidents. Une situation qui retarde d’ailleurs de nombreuses décisions, précise Jean Pierre Serini, et qui nuit d’ailleurs aux rapports avec d’éventuels partenaires.
    En tout état de cause, les écrits qui se multiplient outre-mer et qui évoquent «un capitalisme de copinage» faisant rage dans notre pays, ne sont le reflet que d’un constat : si l’influence supposée de Ali Haddad fait aujourd’hui l’objet de nombreux récits réels ou fictifs et d’une véritable légende urbaine, celle-ci pourrait nuire gravement à l’image et au climat des investissement de l’Algérie.

    Un nouveau site Internet dédié à la santé mère-enfant

    Un nouveau site Internet dédié à la santé de la mère et de l'enfant a été lancé, hier, à Alger. Premier du genre en Algérie, le site offre des services et des conseils prodigués par des spécialistes sur la santé de la mère, de l'enfant et l'alimentation saine. Il comprend quatre rubriques outre une vidéo animée par Mme Dalila Yahiaoui, sage-femme au CHU Nafissa-Hamoud (ex-Parnet). Selon les initiateurs du projet, le site a pour objectif de prodiguer des conseils en matière d'éducation et d'alimentation de l'enfant et ne peut, aucunement, prescrire des médicaments aux malades ou orienter les mères vers des spécialistes par respect de la déontologie professionnelle, précisent ses initiateurs. Le site, disponible en arabe et en français, a été lancé par la société française de production de lait pour enfant Celia.



    Sports
    FOOTBALL
    AU LENDEMAIN DU SUCCÈS DES VERTS À ADDIS-ABEBA FACE À L’ÉTHIOPIE
    Maintenir le cap pour mater les Aigles
    Le premier pas est franchi. Pour les Verts et leur nouvel entraîneur Christian Gourcuff, réalistes à souhait lors de ce premier round des qualifications pour la CAN-2015 (Maroc, du 17 janvier au 8 février). Si l’Ethiopie n’est pas ce test révélateur pour savoir si l’EN a mûri depuis son brillant Mondial au Brésil, l’empoignade de ce mercredi, face Suite...

    COUPES DU MONDE 2018/2022
    Platini persiste : «pas une erreur de voter pour le Qatar»
    Le président de l'UEFA Michel Platini continue de défendre le choix du Qatar pour le Mondial-2022, qui «doit être disputé en hiver», tout en Suite...

    EURO-2016 (QUALIFICATION, 1re JOURNÉE)
    Au tour de l'Espagne et de l'Angleterre
    Deux grands d'Europe déçus de leur Mondial, l'Espagne et l'Angleterre, débutent ce soir leur parcours dans les éliminatoires de l'Euro- 2016, quiSuite...

    CROSS-COUNTRY : 56es MONDIAUX MILITAIRES
    L’Algérie sacrée au cross court et vice-championne au cross long
    La sélection algérienne militaire de cross-country a été sacrée championne du monde, en individuel et par équipes dans l'épreuve du cross court (5Suite...

    LA CÉRÉMONIE EST PRÉVUE CET APRÈS-MIDI
    Partenariat scellé entre la FAF et Mobilis
    Un mois après avoir été choisi nouveau sponsor de la FAF et de l’EN de football, l’opérateur public de téléphonie mobile, ATM Mobilis, Suite...

    CAN-2014 «DAMES» : LES CINQ JOUEUSES ÉMIGRÉES DEPUIS HIER À ALGER
    Début du 4e stage préparatoire de l’EN
    Les joueuses de la sélection algérienne de football ont commencé à rallier Alger dès hier matin, en prévision du 4e stage destiné à préparer la Suite...

    GOURCUFF L’A LAISSÉ ENTENDRE À LA FIN DU MATCH D’ADDIS-ABEBA
    Des changements attendus ce mercredi
    L'entraîneur de la sélection algérienne de football, Christian Gourcuff, n'a pas écarté l'idée de procéder à des changements dans le onze de Suite...

    IL EST LE PREMIER SÉLECTIONNEUR DEPUIS QUI ENTAME SA MISSION PAR UNE VICTOIRE
    Gourcuff «peut mieux faire»
    L’entraîneur de l'équipe algérienne Christian Gourcuff a réussi ses débuts à la tête des Verts en allant damer le pion à l’Ethiopie à Suite...

    IL A INSCRIT SON 12e BUT EN SÉLECTION
    Soudani rejoint Slimani au classement du meilleur buteur
    L'attaquant Hilal Soudani a inscrit son 12e but sous les couleurs de la sélection algérienne lors de la victoire sur le terrain de l'Ethiopie samediSuite...
    Dernière modification par zadhand ; 08/09/2014 à 01h39. Motif: Radar de Maghreb-Sat
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  7. #6
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 12/09/2014

    Regain d’hostilités entre le RCD et le FFS

    Par Farouk Djouadi le 11/09/14 à 18h06 | mis à jour le 11/09/14 à 22h53


    « Le FFS n’a pas d’initiative. Il n'a que des paroles, un discours vide... », a déclaré Mohcine Belabbes à la presse. la suite


    L’opposition passe à l’offensive


    Le plan d’action du comité de suivi installé hier devrait être décliné aujourd’hui par un communiqué sanctionnant la rencontre.

    Il y avait du beau monde hier au siège national du RCD à El Biar. L’installation du solennel Comité de suivi, prévu par la conférence nationale pour la transition démocratique tenue le 10 juin dernier, a attiré les opposants politiques de tous poils, au propre et au figuré.
    L’ambiance au siège du RCD, caractérisée par un carrousel de voitures rutilantes déposant les leaders politiques, rappelait au bon souvenir les luttes démocratiques des années 1990.

    Les reporters et les photographes présents en force s’en étaient donné à cœur joie. Dès que la voiture d’un leader politique franchit le portail d’entrée, de nombreux journalistes l’accueillent (ou plutôt le cueillent) l’obligeant à improviser un point de presse avant même le début de la réunion. Particulièrement actif au sein de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD), le chef du parti Jil Jadid, Soufiane Djilali, est le premier à pointer. Il rejoint directement le bureau de son homologue du RCD, Mohcine Belabbas, situé au premier étage.
    Annoncée initialement à 14h, la réunion tant attendue est reportée, nous dit-on, à 15h. La presse s’impatiente dans la petite cour du siège du RCD sous une chaleur étouffante. Mais l’arrivée (14h20) de Ali Benflis à bord d’un bolide allemand noir a réveillé tout le monde. «Ça commence à être sérieux apparemment… », glisse un confrère, un brin refroidi comme beaucoup par l’annonce de la défection de Sid Ahmed Ghozali et Mouloud Hamrouche pour des raisons «d’indisponibilité».
    Tout le monde est là
    En complet noir, chemise blanche et cravate bleu nuit striée de points blancs, Ali Benflis répond avec beaucoup d’entrain aux nombreuses sollicitations des journalistes. Faisant face à une forêt de microphones, l’ex-chef de gouvernement a fait le tour de la question, l’air plutôt serein. Il débarque à cette réunion avec ses proches collaborateurs au sein du Front du changement que sont Djahid Younsi, Nourredine Bahbouh, Tahar Benbaibeche et Djamel Ben Abdesslam. «C’est une bonne chose que les partis d’opposition se rencontrent pour échanger des points de vue sur le meilleur moyen de régler la crise de légitimité dans notre pays», commente, d’emblée, l’ex-candidat à la présidentielle.
    Les questions fusent de toutes parts et sur tous les sujets. Il est même interrogé si Belkhadem allait rejoindre ce Comité de suivi, maintenant qu’il est en rupture de ban avec le pouvoir. «Il n’y a rien à signaler à ce sujet pour l’instant», balaie Ali Benflis. Mais il ne se prive pas de décliner sa vision du «changement politique en Algérie» et la solution de la «crise de légitimité qui passe, enchaîne-t-il, par un retour au processus électoral supervisé par une instance de surveillance indépendante». Sur sa présence à cette réunion, Ali Benflis estime que «pour le Pôle du changement, l’unité de l’opposition nationale constitue un objectif stratégique majeur pour l’ensemble de ses composantes soucieuses de hâter le dépassement de la grave crise de régime à laquelle notre pays est confronté». Visiblement à l’aise face à la presse, Benflis ravit la vedette à tous les autres leaders et a pratiquement improvisée une conférence de presse in situ.
    Benflis ravit la vedette
    Pendant ce temps, Ahmed Benbitour, également ancien chef de gouvernement, voulant visiblement éviter le «faux barrage» des journalistes, rejoint lui aussi furtivement Mohcine Belabbas et Soufiane Djilali au 1er étage. Mustapha Bouchachi, en rupture de ban avec le FFS, se dirige tout droit vers la salle de réunion. Benflis poursuit son speech dans la cour en embrayant sur la nécessité pour l’opposition de «souder ses rangs autour d’une vision rassembleuse de sortie de la crise politique actuelle».
    Ali Benflis sera ainsi happé par les journalistes jusqu’à ce que Kamel Guemazi, membre fondateur du FIS, vêtu d’un qamis blanc, la barbe bien fournie, fait son entrée dans les locaux du RCD en compagnie de Ali Djeddi lui aussi en qamis marron. Les journalistes tentent de leur soutirer une déclaration alors que le duo se dirige tout droit vers la salle de réunion. «Comme nous avons participé à la conférence de Zéralda le 10 juin dernier, nous sommes ici pour essayer de trouver la meilleure voie à un changement pour le bien de l’Algérie», déclare Kamel Guemazi.
    «Qu’est-ce que cela vous fait de vous retrouver au siège du RCD qui a toujours été votre adversaire politique ?» interroge un journaliste. «C’est une preuve que nous avons évolué dans notre réflexion et ce genre de rencontres permet d’échanger des points de vue entre partis et personnalités algériens sur ce qu’il faut faire pour sortir le pays de la crise», répond l’ex-maire FIS, d’Alger-Centre. Mokdad Sifi qui vient d’arriver dit à peu près la même chose : «Je suis ici pour participer à cette initiative politique et d’autres encore pour peu qu’elles visent à changer l’Algérie dans le bon sens.» 15h tapantes.
    Les organisateurs invitent les participants à rejoindre la salle pour une rencontre à huis clos. Les derniers arrivants, dont Abdelaziz Rahabi, Abderrazak Mokri et Karim Younes, pressent le pas vers le lieu de rencontre, échangeant des saluts avec des journalistes. Une petite photo de famille puis la porte de la salle se referme, laissant les leaders de l’opposition peaufiner leur plan de bataille face à un pouvoir qui ne leur fait pas de cadeau. Une feuille de route devrait faire l’objet d’un communiqué qui sera rendu public aujourd’hui, promet-on.

    Le FFS fait machine arrière
    Comme il fallait bien s’y attendre, le Front des forces socialistes (FFS) a fini par décliner l’invitation de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) de participer à l’installation du Comité de suivi. Dans un communiqué publié sur son site web, ce parti dirigé désormais par Mohamed Nebbou justifie sa décision par son choix de «privilégier les contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales». «En application des résolutions de notre 5e congrès qui visent la reconstruction d’un consensus national, nous avons adopté une feuille de route en conséquence. Dans ce cadre, nous privilégions actuellement des contacts bilatéraux avec les forces politiques et sociales, en vue de réunir une conférence de consensus avant la fin de l’année. Nous ne souhaitons donc pas intégrer cette instance de suivi et de concertation», lit-on dans le communiqué du FFS.
    Et comme pour ne pas se fâcher avec tous ces partis et personnalités de l’opposition réunis au grand complet, ce parti les invite à «croire que nous continuons de suivre avec attention, respect et intérêt vos initiatives». Pas de quoi convaincre et l’opposition et l’opinion publique de la pertinence politique de cette décision qui privilégie curieusement une démarche en solo au lieu d’un front unitaire à même de créer un vrai rapport de forces au pouvoir. Question à un dinar symbolique : avec qui le FFS compte-t-il amorcer son «consensus national» alors qu’il joue le dissensus au sein de l’opposition ? (H. M.)


    Des partisans de Abdelaziz Belkhadem ont révélé l’information : Amar Saadani aurait été auditionné par la police française

    11 septembre 2001, 13 ans après

    Cette date qui a changé notre façon de voyager

    Par : Kezzar MouradAujourd’hui, 13 ans après les événements du 11 Septembre 2001, cette date reste comme une grande blessure dont les séquelles marquent toujours le quotidien des voyageurs par voie aérienne, dont les Algériens. Depuis cet événement, à l’instar des citoyens des autres pays, les Algériens, qui se déplacent par avion, sont astreints à des mesures de sûreté plus draconiennes que celles déjà introduites par les autorités algériennes à la suite du détournement de l’Airbus d’Air France en 1994 à l’aéroport d’Alger.
    En effet, sous la pression des USA, mais aussi dans le cadre de la concertation entre les pays menacés par le terrorisme ou engagés dans sa lutte, les Algériens qui prennent l’avion, que ce soit pour un vol domestique ou pour un vol international, sont astreints au respect de certaines règles et procédures sévères dites de sûreté.
    Déjà, lors de la réservation d’un billet d’avion, le passager est obligé de communiquer aux agents de la billetterie des informations considérées par le passé et avant cette date du 11 Septembre comme étant d’ordre privé. C’est la fameuse procédure Apis. Une fois à l’aéroport, le passager est soumis à une fouille systématique de ses bagages et une autre corporelle.
    Dans certains aéroports, la fouille corporelle devient quasi humiliante avec l’obligation de se déchausser, de retirer sa ceinture… Son enregistrement au vol ne devient effectif qu’une fois le contrôle des documents effectué. Une compagnie qui émet à titre d’exemple un billet à un Algérien à destination de la France sera soumise à des pénalités si le passager en question ne possède pas les preuves matérielles de son éligibilité d’entrée dans le territoire français.
    À partir de 2006, la nomenclature des objets admis dans le bagage en cabine a été réduite à sa plus simple expression. Désormais, sur la liste des produits prohibés, on retrouve, aussi, des liquides, à l’instar du miel et de l’huile d’olive. Les shampooings et même les biberons pour bébés sont concernés. Désormais, seuls les flacons de moins de 100 ml et contenant un liquide sont admis en cabine. Conséquences de ces mesures, les passagers sont obligés de suivre de longues files d’attente devant les portiques de sécurité ou même à l’entrée des aérogares, avant leur embarquement. Ils sont dans l’obligation d’expédier dans le bagage allant en soute des liquides précieux, tels que les parfums et les médicaments, ainsi que des équipements électroniques. Une situation qui fait exploser le nombre de vols lors de la manutention des bagages. À noter que les Algériens, par rapport aux citoyens d’autres pays, ont découvert les mesures de sûreté aérienne qui diffèrent des procédures de la sécurité aérienne au lendemain du détournement de l’Airbus d’Air France, soit le 26 décembre 1994, à l’aéroport d’Alger. Fouille corporelle, portiques de sécurité, reconnaissance des bagages, stérilisation des cockpits, soit leur fermeture une fois l’embarquement terminé, et la présence éventuelle de policiers en civil sur certains vols ont été découverts par les Algériens dès 1995. Mais à partir de 2001, ils seront astreints de vivre ces mesures, et d’autres plus sévères, dans des aéroports jusqu’ici réputés pour leur gestion fluide des passagers et des bagages.


    Révélé la semaine dernière à l’IFA de Berlin

    Le Galaxy Note 4 : une nouvelle dimension technologique

    Par : Nabila SAIDOUNLe n°1 mondial du mobile confirme sa suprématie sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note” qui sera commercialisé à partir d’octobre prochain.

    Le show ! Samsung soigne de plus en plus son image et met les petits plats dans les grands pour séduire technologiquement, mais aussi visuellement. Sa participation à l’IFA de Berlin, le rendez-vous annuel de la grande messe high-tech européenne qui s’est tenue la semaine dernière en Allemagne, prend des allures futuristes de celui qui pousse le défi à son paroxysme, notamment en cette période qui coïncide avec la révélation de l’Iphone 6 d’Apple et de sa phablette Iphone 6 plus. C’est indéniable, les yeux du monde sont encore fois braqués sur ces constructeurs qui osent, sans limites, mettre au défi le génie technologique et ne rien se refuser pour surprendre… pour séduire, et c’est loin d’être un jeu. L’industrie mobile rapporte et rapporte gros pour celui qui impose sa suprématie. Le géant sud-coréen ne s’embarrasse pas, d’ailleurs, pour placer la barre très haut et confirmer son leadership sur les smartphones en introduisant le dernier-né de sa série iconique “Note”. Celui-ci sera commercialisé au niveau mondial à partir d’octobre prochain pour être introduit, un peu plus tard, en Algérie.

    La phablette : un segment en forte croissance
    Aux attributs technologiques des plus impressionnants, le Galaxy Note 4 se présente comme une véritable bête de course réunissant tout l'héritage de Samsung en matière d’expérience mobile Galaxy. Ses concepteurs l’ont doté de nouveautés de manière à se distinguer des versions précédentes présentant des arguments irréfutables pour son acquisition. DJ Lee, exécutive vice-président Samsung division Mobile, en a fait d’ailleurs la démonstration en conquérant. Si visuellement, le Galaxy Note 4 affiche peu de différences par rapport au Note 3, en réalité, un détail diffère et pas des moindres. La phablette 2014 de Samsung s’équipe d’un solide cadre en métal dans la veine de ce que propose déjà le Galaxy Alpha. Un matériau attendu depuis très longtemps chez Samsung et qui, à terme, pourrait bien remplacer totalement le plastique sur certains modèles. Le Galaxy Note 4 offre aussi des couleurs plus naturelles par rapport aux versions précédentes avec son extraordinaire écran Quad HD (2560x1440) Super Amoled de 5,7 pouces permettant de meilleurs angles de vue et des temps de réponse d’une vitesse d'un millionième de seconde. La fonctionnalité multi-fenêtres est à son tour améliorée et en mesure de maximiser l'expérience de l'utilisateur en lui fournissant la clé pour faciliter le multitâche. Il peut choisir la façon d’accéder à ses applications en mode plein écran, en écrans fractionnés ou instantanés, et de changer facilement la taille et le positionnement des applications sur l'écran avec une fonction “glisser” intuitive.
    Ce bijou technologique totalement irrésistible arbore également un système de caméra de pointe qui est capable de reproduire des images plus éclatantes et plus claires.
    L'appareil est équipé d'une caméra orientée vers l'arrière de 16 mégapixels avec un stabilisateur d'image optique intelligent qui contrebalance le tremblement de la caméra et prolonge automatiquement le temps d'exposition dans des endroits sombres. En outre, une caméra de face de 3,7 mégapixels dotée d’un F1.9 offre un angle de prise de vue de 90 degrés par défaut et un angle plus grand jusqu'à 120 degrés afin que les utilisateurs puissent prendre les meilleures photos de groupe avec des amis.
    Le Galaxy Note 4 propose également un Fingerprint Scanner amélioré, afin de sécuriser les données personnelles et le premier capteur UV au monde dans un appareil mobile. L’ultra haut de gamme de Samsung offre également aux utilisateurs un choix de plusieurs méthodes de prise de notes intégrées avec l’application S Note de Samsung, qui permet d’effectuer les tâches quotidiennes plus rapidement et plus facilement.


    Après le coup de jarnac de son ex-compagne Valérie Trierweiler

    L’avenir politique de François Hollande plus sombre que jamais !

    Par : Djamel BouattaClimat de rentrée calamiteux pour le chef de l'Etat français : croissance en berne, majorité divisée, fracturée même. Aucune de ses initiatives ne parvient à redresser la barre.
    Cerise sur le gâteau, le livre-brûlot de son ex-compagne qui dévoile un François Hollande pas du tout “normal” et même méprisant à l’égard de l’électorat populaire. Devenu le président le plus impopulaire de la Ve République française, donné comme battu au second tour de la présidentielle face à tous ses rivaux et même surtout Marine Le Pen, François Hollande pourra-t-il se représenter en 2017 ? Clairement non, affirme un sondage Ifop selon lequel 85% des Français ne souhaitent pas que le président postule à un second mandat. Ce serait la première fois qu'un président sortant ne serait pas en position de solliciter une deuxième fois la confiance des électeurs. Même chez les sympathisants socialistes, 65% ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Plus de la moitié des Français (55%) pensent qu’il ne sera d'ailleurs même pas candidat. En première ligne des reproches qui lui sont adressés viennent les promesses non tenues de sa campagne présidentielle, puis dans l'ordre décroissant le manque de résultats obtenus sur le plan économique, la manière dont il exerce la fonction présidentielle, la progression du nombre de chômeurs et l'exposition de sa vie privée.
    Le livre de son ex-campagne, Valérie Trierweiler, l’a encore enfoncé, décrivant un socialiste “bourgeois”, n'aimant pas les pauvres, qu'il appelle des “sans-dents”. Mais, hier François Hollande, a réfuté ces assertions en affirmant qu’il a vécu cela comme “un coup porté à vie tout entière” et dénoncé un “mensonge qui (le) blesse”, selon des confidences faites au Nouvel Observateur, à paraître aujourd’hui. “Cette attaque sur les pauvres, les plus démunis, je l'ai vécue comme un coup portée à ma vie tout entière (...). Dans toutes mes fonctions, dans tous mes mandats, je n'ai pensé qu'à aider, qu'à représenter ceux qui souffrent. Je n'ai jamais été du côté des puissants, même si je ne suis pas leur ennemi, mais je sais d'où je viens”, a déclaré le chef de l'Etat français. “Vous croyez que j'ai oublié d'où je viens ? Mon grand-père maternel, petit tailleur d'origine savoyarde, vivait avec sa famille dans un modeste deux-pièces à Paris. Mon grand-père paternel, lui, était instituteur, issu d'une famille de paysans pauvres du nord de la France. Et vous croyez que je pourrais mépriser le milieu d'où je tiens mes racines, ma raison de vivre ?”, s’est-il indigné. Lors de la conférence de presse qu'il a donnée à Newport (pays de Galles), à l’issue du sommet extraordinaire de l’Otan consacré à la coalition internationale sous le panache américain pour combattre le califat islamiste en Irak et en Syrie, il a martelé qu'il gouvernera jusqu'au bout et n'était qu'à la moitié du mandat que lui a confié le peuple français en mai 2012. Selon les politologues français, bien que protégé par les institutions, François Hollande devra néanmoins devoir prendre des initiatives politiques rapides pour éviter de sombrer dans la spirale d'impopularité qui le tire actuellement vers des niveaux d'impopularité jamais connus.
    La conférence de presse semestrielle prévue le 18 septembre sera-t-elle un moyen pour lui de reprendre l'offensive, comme l’assurent ses proches ? A regarder de prés le président français est le nez au mur. Outre l’offensive de la droite et du Front national dont la patronne est persuadée que son heure à elle est arrivée, François Hollande s’est mis à dos les verts de l’EELV, le Front de gauche et une bonne partie des militants du PS. Pour les plus optimistes, François hollande dispose encore assez de mou pour ne pas envisager des solutions extrêmes genre dissolution de l’Assemblée.

    PROJECTION DE AT (HOME) DE ELISABETH LEUVREY AUX RC DE BÉJAÏA

    L'être et le néant...

    Après la Traversée, film documentaire qui suit par bateau des milliers d'Algériens entre Alger et Marseille, la réalisatrice française quitte la mer Méditerranée en direction du Grand Sud algérien. ... Lire
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  8. #7
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 17/09/2014

    «De nouvelles étapes dans la construction d?un Etat civil...» - Actualité - El Watan

    Le ministre de l’Énergie, Youcef Yousfi, à Mostaganem

    “La chute du cours du baril inquiète le gouvernement !”

    Selon lui, la chute enregistrée depuis le mois de juin s’est déjà traduite par un manque à gagner de 13%.

    La tendance baissière des cours du baril sur le marché international, qui semble s’installer dans la durée, inquiète, outre mesure, le gouvernement algérien. “C’est là une grande préoccupation ! Et ce qui nous préoccupe davantage réside en cette tendance particulièrement rapide de ce cours du baril”, a affirmé, à ce propos, le ministre de l’Énergie, Youcef Yousfi, en
    marge de la visite de travail et d’inspection qu’il a effectuée à Mostaganem. “Nous suivons avec une très grande attention cette évolution et nous sommes en train d’étudier les répercussions potentielles de cette chute qui ‘s’entretient’ dans la durée, alors que l’équilibre entre l’offre et la demande en pétrole est demeuré entre-temps relativement maintenu. Depuis le mois de juin, nous enregistrons des chutes qui culminent à 13% de manque à gagner. C’est là une très grande préoccupation dont nous nous attelons à étudier les tenants et aboutissants”, a-t-il précisé.
    Au sujet de la distribution de l’énergie électrique, le ministre a affirmé que “tous les moyens ont été mobilisés afin que nous passions un été sans grande difficulté”. Au même titre, d’ailleurs, que la production, dont l’offre fut assurée au point de couvrir largement la demande. En ce sens, la demande maximale, équivalente à 10 900 mégawatts, a été amplement satisfaite, malgré des difficultés relevées en certaines régions du pays, notamment dans le Sud où la mise en service des équipements a été retardée.
    Une satisfaction à la lumière de laquelle le représentant du gouvernement anticipe pour prédire un bon été 2015.
    Interrogé sur les priorités arrêtées par son secteur au titre des prochains plans de développement, le ministre a indiqué qu’elles consistent en l’augmentation des capacités de production, en la modernisation et la rénovation du réseau de distribution, et en la réalisation du colossal programme de l’interconnexion des deux réseaux du Sud et du Nord, consistant en la pose de centaines de kilomètres de lignes HT.
    Concernant la visite consacrée à la wilaya de Mostaganem, le ministre de l’Énergie dira que “la centrale électrique dont nous avons lancé aujourd’hui les travaux sera la plus grande d’Algérie. Elle sera livrée à la fin de l’année 2015.
    Elle aura une capacité de production de 1 450 mégawatts. Je souligne qu’elle sera la plus grande centrale de production d’électricité en Algérie. La pose de la canalisation de gaz naturel devant l’alimenter est en cours, presque totalement achevé, tout comme l’est, d’ores et déjà, le réseau de lignes de transport de l’électricité à produire.
    À sa réception, elle va confortablement renforcer le potentiel de production d’électricité du pays”. “En matière de couverture énergétique, la situation est satisfaisante à Mostaganem. La desserte en énergie électrique est assurée à plus de 98%. Le programme de l’électrification rurale sera parachevé dans les 2 ou 3 prochaines années. Le raccordement au gaz de ville, actuellement à hauteur de 18 communes desservies parmi les 32 communes de la wilaya, connaît, malheureusement, un retard relatif qu’on tente de rattraper”, conclut le ministre.

    L?Enfant de la haute plaine, premier roman de Hamid Benchaar - Culture - El Watan

    NASSIMA CHABANE, INTERPRÈTE DE CHANT ET MUSIQUE ANDALOUS, À L'EXPRESSION
    "Je suis un électron libre"n électron libre"

    «La scène est mon milieu naturel»
    La chanteuse et instrumentiste algérienne retrouve sa verve aux côtés des siens, elle qui se considère comme ambassadrice de la chanson arabo-andalouse et de la musique classique algérienne. Avant la sortie de son nouvel album Hommage à l'Emir Abdelkader, L'Expression l'a rencontrée à Alger.


    L'Expression: Racontez-nous Nassima Chabane... d'où est-elle venue et comment est-elle arrivée dans le monde de la chanson?
    Nassima Chabane: Je dirais tout simplement que je suis venue de Blida, cette ville fondée par des Andalous. Bien sûr, ces populations venues s'y réfugier après la chute de Grenade en 1492. Ces Andalous, quand ils sont venus, ont laissé derrière eux tous leurs biens, leur fortune. Ils n'ont ramené que leurs trésors immatériels: les arts et métiers, le savoir, la peinture, la musique... Déjà, le lieu où je suis née à Blida est une rue qui porte le nom d'un métier, «Douirates», qui veut dire les maisonnettes.
    Moi, j'ai eu la chance de naître dans cette ville. J'ai eu la chance d'avoir été à l'école de très grands maîtres de la musique, de la poésie... et de plus, des maîtres qui m'ont fait connaître et enseigné les secrets de cet art.
    Parce qu'il est vrai qu'il faut parler de secrets. Des maîtres qui, avant de transmettre les secrets de cet art, s'assurent d'abord que la personne peut réceptionner ce qu'ils lui transmettent.

    A quel moment avez-vous décidé d'intégrer ce monde de la musique et de la chanson?
    Moi, je n'ai pas décidé d'intégrer ce monde... je n'ai rien programmé. Même ma carrière, je ne l'ai pas programmée. Je suis une passionnée d'art et de musique. Nous sommes des mélomanes, chez nous, à la maison.
    Ma mère chantait merveilleusement bien,... mais à la maison! Ma soeur aussi chantait très bien. La musique, il faut dire que je l'ai tétée du sein de ma mère.
    Ma grand-mère, même quand elle parle, elle le fait en poésie. Il fallait voir comment elle s'exprimait! C'est tout un art! C'est dire que même si nos grand-mères ne savaient peut-être pas lire et écrire, elles savaient comment transmettre le patrimoine oral. Moi, depuis mon enfance je chantais. C'était ma manière de m'exprimer. J'aime chanter, j'ai commencé à imiter le muezzin quand il lançait son appel à la prière.
    Je disais à ma grand-mère: «Même si le muezzin a une belle et forte voix,moi je vais le dépasser en faisant mieux.»
    Alors, je n'arrêtais pas de l'imiter à longueur de journée, jusqu'à ce que ma grand-mère me dise un jour: «Ma fille, mais ce n'est pas encore l'heure de la prière!»
    Et moi, je continuais à le faire...
    j'étais dans le jeu, mais réellement, je faisais mes premières vocalises. Enfant, je ne faisais que chanter, lors des récréations à l'école, au hammam, dans les couloirs, dans la chambre... je ne faisais que ça; je testais en fait l'acoustique!
    Tout le monde avait constaté que j'étais une passionnée de chant... Comme disait saint Augustin: «Celui qui se perd dans sa passion perd moins que celui qui perd sa passion!». Et comme nous avions des maîtres dans la ville de Blida, ils avaient constaté que j'avais une belle voix, alors ils ont dit: «Faites la venir!». J'ai commencé donc avec El Hadj Medjber, Dahmane Ben Achour... J'ai eu une formation classique au Conservatoire, c'est-à-dire la lecture des notes...le solfège, le solfège rythmique,... J'ai étudié les bases universelles de la musique. J'ai appris aussi notre patrimoine dans la pure tradition, c'est-à-dire avec les «chouyoukh».
    Et après, j'ai intégré la doyenne des associations El-Widadia, fondée en 1932 par Mohammed Khodja, Ben Guergoura,... la liste est longue.

    Vous étiez cette petite fille de sept ans qui a rejoint le monde des grands maîtres... Comment avez vous vécu cela?
    C'est vrai, à cet âge, je ne réalisais pas à l'époque. J'étais une mélomane, une passionnée, j'aimais chanter, je montais sur scène normalement! C'était les gens qui se posaient cette question-là. Les Blidéens même m'appelaient: «Planète de la Mitidja» ou le «Rossignol»... ils m'adoraient! Ceux qui étaient avec moi dans le groupe me voyaient sous l'angle de la «musique», «voix», ou du «patrimoine». Ils étaient fiers de moi. D'ailleurs, les maîtres me soutenaient. Les Blidéens qui ne vivaient pas avec nous, demandaient aux musiciens et aux maîtres: «Comment se fait-il qu'elle soit avec vous?».
    En fait, quand je monte sur scène, dès que j'entends les premières notes, je suis déjà dedans, je suis transportée.
    La scène, c'est l'endroit où je me sens le mieux, plus que ma chambre, plus que ma maison. La scène est mon milieu naturel. C'est comme la mer pour le poisson!... D'ailleurs, je suis du signe astrologique «poisson»! (sourire)

    Les oeuvres du répertoire andalou, des merveilles artistiques, c'est aussi un travail de mémoire...
    En effet, c'est un travail de mémoire! Pour preuve, quand on parle de ce patrimoine, j'ai cité, mis en valeur combien de maîtres qui ont fait notre histoire.
    Et puis, pas seulement la mémoire... parce que ce patrimoine déjà, au temps de la colonisation française, les maîtres de l'époque, à travers la chanson, avaient montré que nous avions notre culture, notre patrimoine, notre identité et notre personnalité. Ce n'était pas propre au domaine artistique, nous avions prouvé que nous n'étions pas français et nous ne pouvions pas l'être et ce, dans tous les domaines. Nous avions livré à la France, en plus d'une guèrre militaire, une guerre artistique, littéraire, sportive...
    A l'époque, tous nos maîtres avaient sur leurs instruments gravé une étoile et un croissant, symboles liés au drapeau algérien.
    Aujourd'hui, même quand je monte sur scène dans un pays étranger, j'exige que le décor soit algérien: un tapis sobre algérien. Je joue avec un instrument algérien, je porte une tenue algérienne... Même mes pensées à l'étranger sont algériennes. Je fais voyager les étrangers dans les profondeurs de la culture algérienne.

    Vous avez dédié un album aux femmes, non seulement algériennes, mais du monde entier. Vous considérez-vous comme féministe?
    Non! Moi, je suis plutôt féminine que féministe. Je reste un électron libre et quand quelque chose me fait mal ou me donne de la joie, je l'exprime. J'ai interpellé effectivement toutes les femmes algériennes et les femmes du monde entier. J'ai écrit un texte parce que je ne pouvais plus voir la violence. J'ai dit que quand mes semblables sont touchés, je suis touchée. Ce n'est pas seulement quand c'est une femme qui est touchée.
    Un homme, quand il est touché, je suis aussi touchée. Quand l'humain est touché, je le suis aussi!
    J'ai des enfants, parmi eux des garçons! L'homme pour moi, c'est mon maître d'abord, c'est le père, c'est mon fils...

    Qu'est-ce que c'est que d'être une femme-artiste en Algérie?
    Il faut être la meilleure par la maîtrise. C'est ainsi qu'on se fait respecter tout simplement. Dans l'art comme dans tout autre domaine.
    Quand une femme maîtrise bien son domaine, les hommes la respectent. Quand je monte sur scène et je dirige un orchestre d'hommes, ils me respectent parce que je maîtrise mon domaine.

    Vous avez fait une incursion dans le chant kabyle, français... Comment expliquez-vous ces changements de genre?
    Ce n'est pas un changement de genre, parce que je reste toujours dans mon genre. Spécialiste de la musique arabo-andalous algérienne, mais j'ai toujours, dans mes répertoires, chanté le hawzi, el aroubi, le chaâbi... Ce sont des dérivés. Le-Medh aussi.. un répertoire spirituel, voire religieux.
    Ce sont les dérivés de la musique classique algérienne. A côté, et comme j'aime innover et créer, j'apporte ma touche. Moi, je vis ce temps, je chante les textes andalous médiévaux, mais il y a des textes d'aujourd'hui que j'ai exprimé, aujourd'hui. A titre d'exemple:l'exil, la disparition d'êtres chers...

    Considérez-vous que vous êtes valorisée ou pas dans votre pays?
    Je vais vous dire une chose! C'est la première fois que nous avons des festivals institutionnalisés en Algérie.
    Depuis près de 12 ans, c'est la première fois que j'inaugure un festival de musique au niveau de la salle Ibn Zeydoun de Riad El Feth, dans la capitale. C'est la première fois qu'en tant qu'ambassadrice de la chanson algérienne je rentre dans cette salle.
    Donc, ça vous dit quelque chose! D'ailleurs, je tiens à remercier Maâmmar Guenna, directeur de l'Oref qui a assuré d'excellentes conditions de travail.
    Le ministère de la Culture, avant, a «bien» ignoré le talent algérien. Dieu merci il y a eu la venue de l'actuelle ministre et je la salue. Je lui souhaite la bienvenue. L'actuelle ministre, Nadia Labidi, est d'abord issue d'une famille de la culture. C'est une femme d'innovation. Elle a tendu la main à tous les vrais acteurs de la culture algérienne.
    Personnellement, elle m'a accueillie merveilleusement, elle m'a écoutée comme il le faut. Moi, je lui fait confiance et je la soutiens. Vraiment, elle m'a rendu l'espoir.

    Quand vous vous rendez à Blida, votre ville natale, comment la trouvez-vous aujourd'hui?
    Blida aujourd'hui... La ville ne possède même pas un théâtre! Je suis partie la dernière fois, j'ai eu le coeur déchiré. Ce n'est plus la ville que j'ai connue. Celle qui m'a vu naître et grandir. Il y a de la matière, il y a des artistes, il y a encore des gens passionnés... mais il y a quelque chose qui ne va pas. Prenez l'exemple de ce petit théâtre au centre-ville, au niveau de la place des Mûriers, appelé «le Capitole» il y a très longtemps, aujourd'hui baptisé du nom de «Mohammed Touri». C'était une oeuvre d'art! C'est là-bas que j'ai fait mes premiers pas. Il faut voir comme il était beau ce théâtre avec ses beaux balcons. Doté d'une belle acoustique. En 1914, ce théâtre a abrité un festival international. Puis le premier Festival de la musique arabo-andalouse a eu lieu après l'indépendance dans cette même salle. Un héritage historique et culturel incroyable. Je suis revenue pour enregistrer un film documentaire dans ce théâtre. J'étais contente de retrouver ce lieu qui m'a vu grandir. A peine rentrée, je trouve le plafond sur le point de s'effondrer, les fauteuils complètement abimés,... Je ne veux pas être très dure dans mon propos, mais j'aimerais juste dire qu'il y a quand même des choses dont il faut prendre soin. C'est une oeuvre d'art qu'il faut au moins restaurer...

    Votre pays, l'Algérie, comment le trouve aujourd'hui Nassima Chabane?
    Quand je chante à l'étranger, je fais beaucoup d'efforts pour transmettre mon message. Dans mon pays, tout ce qui sort de ma bouche touche le coeur des Algériens! Je me sens bien dans mon pays.
    Qui n'aime pas son pays? Même si il y a des manques, nous devons oeuvrer pour les rattraper. Nous n'avons pas d'autres pays que l'Algérie.
    Je suis prête aujourd'hui, avec ma formation, avec mon expérience, avec tout ce que j'ai appris, à mettre mes connaissances à la disposition de mon pays, de nos artistes, de nos enfants pour contribuer à l'épanouissement de notre culture.

    Quels sont les projets de Nassima Chabane?
    Déjà, le 1er novembre, je serai ici en Algérie pour assister aux commémorations de cette journée historique. Nous allons rendre hommage à tous les martyrs de l'Algérie... tous les martyrs. Par la même occasion, il y aura la sortie du nouvel album Hommage à l'Emir Abdelkader. Un album qui compte 13 titres. Et il y aura aussi Les chants des femmes d'Algérie.

    En un mot, qu'aimez-vous le plus?
    La sincérité

    Qu'est-ce que vous regrettez le plus?
    Ne pas être à la hauteur de quelque chose

    Votre plat préféré
    La «rechta».

    L’Enfant de la haute plaine, premier roman de Hamid Benchaar

    Une guerre sans images n’en est pas une et ne serait qu’un vague souvenir englouti par l’oubli. C’est pour échapper à cette fatalité que Hamid Benchaar a écrit son premier roman qui raconte la guerre de l’indépendance de l’Algérie à travers les yeux d’un petit garçon de sept ans, Zine, qui pourrait être lui,enfant.





    « La Guerre d'Algérie demeure une inconnue pour les générations post-indépendance pour qui, elle n'existe simplement pas, car sans images », dit l’auteur dans le blog qu’il tient sur le site du journal français Le Monde.

    L’Enfant de la haute plaine, commence en 1958 au moment où« la guerre d'Algérie entre dans sa quatrième année. Tortures, viols et tueries s'abattent du jour au lendemain sur de paisibles paysans de cette région qui fut à la pointe de la lutte pour l'indépendance », peut-on lire en quatrième de couverture de ce roman publié récemment chez l’Harmattan.

    L’enjeu de raconter cette guerre ? Ne pas la raconter « fait l'affaire des bourreaux d'hier qui peuvent ainsi nier l'existence des exactions commises et notamment la torture. Heureusement, il y a les écrits qui témoignent et qui accusent », ajoute l’auteur.

    « J'ai voulu, dans ce livre, rappeler combien ce conflit fut atroce et complexe, et combien il était difficile, sur le moment, de faire la distinction entre les bourreaux et les victimes », dit ce diplômé de l’Institut polytechnique national de Grenoble (France).

    Hamid Benchaar vit entre Montréal et Ottawa où il exerceactuellement comme consultant en systèmes informatiques pour le gouvernement canadien.

    Natif des Aurès en Algérie, il a déjà publié à compte d’auteur un essai, Liberté choisie et appartenance subie: Réflexions de nature politique et philosophique sur l'exil, la mémoire et l'histoire des sociétés, qui est une compilation de textes postés sur le même blog.

    Le doyen des entraîneurs algériens n?est plus - Sports - El Watan

    SMAÎN KHABATOU A ÉTÉ ENTERRÉ HIER À SIDI YAHIA

    Une autre légende s'en va


    Un sportif au long cours
    C'est un authentique patrimoine du football algérien qui vient de nous quitter avant-hier, à l'âge de 94 ans.
    Celui que tout le monde sans exception appelait communément Aâmi Smaïn, vouait une passion sans limite au ballon rond et surtout pour le doyen des clubs algériens, en l'occurrence l'ancestral MCA. Peut-être que le nom de Smaïn Khabatou n'évoque rien de particulier pour les jeunes d'aujourd'hui, mais celui qui avait offert à l'Algérie du foot en 1976 son premier titre africain des clubs champions, sous les couleurs du Mouloudia d'Alger, était en réalité un véritable monument du football algérien. Tous ceux qui ont eu le grand privilège de côtoyer de près cet homme qui respirait le football sont légion et vouaient tous un très profond respect à celui qui a de son vivant, forcé admiration et fierté partout où il est passé. Malgré une silhouette qui ne payait pas de mine, le défunt Smaïn Khabatou portait en lui cette voix rauque que beaucoup de joueurs, notamment ceux du Mouloudia, craignaient vraiment. Certes, Aâmi Smaïn n'était pas plus haut que trois pommes, mais il en imposait bigrement grâce à sa connaissance du football. Smaïn Khabatou symbolisait à lui seul toute une science du ballon rond et, surtout une école qui avait permis à l'Algérie post-indépendance, de poser ses premiers jalons, avant de connaître par la suite, ses premières consécrations d'après- guerre coloniale.
    Celui qui avait été le tout premier entraîneur algérien à obtenir avec brio son diplôme en 1948, dans la ville française de Reims, a surtout brillé de mille feux avec le MCA, durant les années 1960-1970. Adepte du football offensif et surtout bien léché, grâce auquel toute une génération de joueurs a souvent crevé l'écran sous les couleurs du Mouloudia, Smaïn Khabatou et le football représentaient tout un état d'esprit, malheureusement complètement révolu aujourd'hui. Celui qui vibrait souvent pour le MCA, avec lequel il a longtemps écumé la plupart des stades de football algériens, avait été aussi l'un des premiers sélectionneurs de l'EN, avec laquelle il avait battu en janvier 1963 au stade du 20-Août 1955 (ex-les Anassers), la très grande RFA de l'époque, sur le score de 2 à 0. Un match mémorable qui s'était joué à cette époque sous la pluie et sur un terrain en tuf, celui-là même sur lequel Smaïn Khabatou avait entamé sa carrière de footballeur à 15 ans, sous les couleurs du Stade algérien de Belcourt, avant d'opter pour le MCA.
    Le défunt Aâmi Smaïl portera aussi par la suite en 1951, les couleurs de l'USM Blida. En tant qu'entraîneur, il dirigera plusieurs équipes du Centre, en l'occurrence l'OM Ruisseau, et le WA Boufarik. Mais, c'est surtout sous les couleurs du Mouloudia d'Alger que Smaïn Khabatou s'est avéré comme le véritable artisan du grand succès du Doyen en 1976, et que drivait à l'époque Hamid Zouba. Smaïn Khabatou et aussi Abdelkader Drif, avaient grandement contribué à la belle époque au cours de laquelle le Mouloudia d'Alger avait longtemps marqué de son empreinte le football algérien, avant la mise en place de la réforme sportive, et suite à laquelle le MCA était passé sous tutelle de la Sonatrach.
    Mais jamais le défunt Aâmi Smaïl que nous avons tant de fois rencontré de son vivant, semblait «rassasié» de football, encore moins de son Mouloudia à cause duquel il lui arrivait parfois de pleurer.
    Celui qui avait l'oeil vif et le verbe bien «algérois», nous laisse aujourd'hui combien de souvenirs et d'anecdotes au plus profond de notre mémoire, et que beaucoup d'anciens joueurs du Mouloudia ne vont pas manquer d'évoquer, pour ne jamais oublier celui qui prenait un sincère plaisir à «chanter» parfois en public le Mouloudia d'Alger, et qui avait fini avec le temps, par se retirer du football d'aujourd'hui, avant de nous quitter à son tour. Adieu Aâmi Smaïn! Tu faisais incontestablement partie de ces hommes authentiques, partis avant toi et qui respiraient le vrai football que l'Algérie du foot a toujours évoqués, et souvent cités avec beaucoup de fierté. Tu rejoins à ton tour le défunt Ali Doudou, celui-là même que tu avais aligné un jour face à la grande Allemagne des années 1960. Mais ton nom et celui du Mouloudia sont indissociables pour l'éternité. C'est un véritable autre pan de l'histoire du football algérien qui vient de nous quitter.


    EN

    Gourcuff fait taire la rumeur

    La récente sortie de Charles Biétry, vice-président en charge des programmes de BeIn Sports, selon laquelle, l’actuel sélectionneur national, Christian Gourcuff, pourrait quitter l’équipe nationale pour revenir au club Rennais, a été vite démentie par Christian Gourcuff lui-même ...


    Lire la suite



    Projet de la loi de finances (PLF) pour 2015

    Des mesures pour améliorer la trésorerie des clubs professionnels de football

    L'amélioration de la trésorerie des clubs professionnels de football (sociétés par actions) ainsi que l'augmentation des potentialités d'investissement de ces derniers figurent en bonne place dans le projet de la loi de finances (PLF) pour 2015. ...
    Lire la suite


    ORGANISATION DE LA CAN 2017 À LA PLACE DE LA LIBYE

    L'Algérie va-t-elle postuler?



    La décision sera prise en concertation entre la FAF et le MJS
    Le samedi 23 août dernier, la Libye se désistait de l'organisation de la CAN 2017 pour raisons sécuritaires, annonçait la CAF alors que la FAF avait indiqué être prête une vingtaine de jours avant, à prendre le relais.
    Reste donc à savoir si vraiment l'Algérie est prête à remplacer la Libye ou pas, car les faits indiquent que le doute subsiste sur le sujet. A 15 jours de la clôture du délai fixé par la CAF (30 septembre) pour la présentation de la candidature à cette édition et lors de sa visite au Centre sportif de Ghermoul en marge de la réunion avec les DJS, représentant 23 wilayas du pays, le quotidien El Watan a rapporté que le ministre des Sports, Tahmi, avait annoncé que «l'Algérie ne se portera pas candidate pour l'organisation de la CAN de football 2017. Cette décision n'est pas liée à la mort tragique du joueur Albert Ebossé, mais parce que nous sommes candidats à l'organisation des éditions de la Coupe d'Afrique des nations 2019 et 2021», a déclaré le professeur Tahmi. Ce qui contredit la déclaration du président de la FAF, au début du mois d'août dernier.
    En effet, lors du forum de l'Organisation nationale des journalistes sportifs algériens (Onjsa), le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, avait annoncé au début du mois d'août dernier que «l'Algérie est prête à remplacer la Libye dans l'organisation de la CAN 2017, je pense que nous avons tous les moyens d'abriter un tel événement.
    D'ailleurs, la dernière visite d'inspection de la CAF en Algérie a été positive. Mais nous n'en sommes pas encore là, puisque le Comité exécutif de la CAF se penchera sur la question lors de sa prochaine réunion», avait alors fait remarquer le premier responsable de la FAF.
    Pays hôte de la CAN 2017, la Libye qui traverse depuis quelque temps une crise sécuritaire a décidé de se désister. Ce qui pousse le Comité exécutif de la CAF, lors de sa prochaine réunion, le 19 septembre prochain à Addis-Abeba (Ethiopie), à lui retirer l'organisation. «Il s'agit d'une réunion annuelle où il sera question également de l'attribution de la CAN 2019 et 2021, pour lesquelles l'Algérie est candidate. Si la CAF retire l'organisation de la CAN 2017 à la Libye, l'Algérie ne sera pas logiquement en lice pour les éditions de 2019 et 2021.
    Je tiens à préciser que pour la CAN 2017, le suppléant de la Libye doit être un pays membre de l'UNAF (Union nord-africaine de football).» Il est important de signaler qu'un nouveau pays-hôte sera désigné par la CAF au cours de l'année 2015. Et aux dernières nouvelles, le quotidien Echourrouk a rapporté dans son édition d'hier, une déclaration de Tahmi à Bordj Bou Arréridj annonçant qu'il attendait le retour de la délégation de la FAF de l'Éthiopie pour se réunir et être fixé officiellement sur ce dossier. Il faut savoir que les dossiers de la CAN 2019 et de la CAN 2021 ont été déposés se basant sur cinq stades (5-Juillet, Baraki, Douéra, Annaba et Oran) alors qu'en réserve il y a le stade Tchaker à Blida et le stade Chahid Hamlaoui de Constantine. Il faut juste savoir que la CAF a déjà prévenu qu'en raison du court délai, elle sélectionnera «un pays hôte possédant déjà l'essentiel des infrastructures et facilités requises (stades, terrains d'entraînement, hébergement, voies de communication...)».
    Reste donc d'abord à savoir si l'Algérie est intéressée par l'idée de remplacer la Libye ou maintiendrait-elle ses deux candidatures pour l'une des éditions 2019 ou 2021?...



    Dernière modification par zadhand ; 17/09/2014 à 02h23. Motif: Radar de Maghreb-Sat
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  9. #8
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 26/09/2014

    Tizi Ouzou : Rassemblement en hommage à Hervé Gourdel




    Un rassemblement a été organisé ce jeudi, 25 septembre, devant l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou par des citoyens, des étudiants et des militants du MAK (Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie) pour rendre hommage à Hervé Gourdel, exécuté, hier, par un groupe terroriste appartenant à la nébuleuse de Etat Islamique (EI).


    A 11H00, des manifestants se sont rassemblés devant l’entrée de l’université. Ils ont brandi des photos du défunt et sur lesquelles on pouvait lire « Hommage à Hervé Gourdel !». De nombreux jeunes se sont accroupis par terre et allumé des bougies à sa mémoire. Deux manifestants ont tenu une large banderole faisant face à la rue principale, sur laquelle est écrit : «Halte aux kidnappings et à l’insécurité en Kabylie !», pour dénoncer les nombreux actes d’enlèvement perpétrés dans la région depuis 2005.

    Le commun des citoyens a tenu à dénoncer l’assassinat ignoble du touriste français. «Les terroristes qui ont commis cet acte infâme veulent salir la Kabylie et l’Algérie. Nous condamnons fermement cette sale besogne perpétrée par des criminels qui sont étrangers à la région. Nous sommes ici pour nous recueillir sur sa mémoire et présenter nos condoléances à sa famille», a clamé un jeune manifestant à travers d’un mégaphone. «Plus de 80 kidnappings ont été enregistré dans la wilaya de Tizi Ouzou et aucune affaire n’a été élucidée jusqu’à aujourd’hui», renchérit un autre.
    Vers 12H30, les manifestants se sont dispersés dans la calme.


    La France maintient ses opérations militaires contre l’EI

    Après la décapitation d’Hervé Gourdel


    Un pilote français aux commandes d’un Rafale lors d’une mission en Irak.

    La France continuera ses frappes aériennes et ses opérations militaires contre les positions de l’Etat islamique (Daech). C’est la réponse du président français au groupe terroriste Jund Al Khilafah, qui a décapité Hervé Gourdel.


    Paris
    De notre correspondant
    «Notre compatriote a été assassiné lâchement, cruellement, honteusement», a déclaré, ému, François Hollande, hier soir depuis New York, où il participe à un sommet de l’ONU sur le climat. «Hervé Gourdel a été victime d’un crime odieux dont les auteurs devront être châtiés», a-t-il ajouté. Il a pris ensuite un ton plus ferme pour affirmer que «cette agression contribue à renforcer notre détermination, la France ne cédera jamais au terrorisme».Il a assuré ses alliés américains que «les opérations menées par la France vont se poursuivre le temps nécessaire» pour atteindre leurs objectifs. Il a ensuite confirmé cette position dans une tribune aux Nations unies.
    La classe politique française, tous courants confondus, a réagi solennellement pour dénoncer les images épouvantables et effroyables de la décapitation d’Hervé Gourdel, diffusées sur YouTube par les terroristes de Jund Al Khilafah.

    Pour sa part, le maire de Saint-Martin-Vésubie (Alpes-Maritimes), commune où vivait le défunt, a reproché au gouvernement français de ne pas avoir négocié la libération de son concitoyen. Tout en se disant «effondré par la barbarie des terroristes», Henri Giuge s’est emporté devant la presse qui lui demandait s’il mettrait les drapeaux en berne. «On ne peut pas mettre des drapeaux en berne et ne rien avoir fait pour qu’Hervé Gourdel subsiste. Je suis en colère contre tout le monde. La négociation n’est pas la voie choisie par le gouvernement français. J’ai peur pour la France. Peut-être qu’il ne fallait pas s’engager dans ce conflit», a-t-il martelé.Du côté de la communauté musulmane de France, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a rendu public un communiqué de presse où il se dit «horrifié par l’annonce dramatique», indiquant qu’«Hervé Gourdel vient d’être odieusement exécuté par ses ravisseurs».
    Le parquet de Paris s’est saisi de cette affaire et a ouvert une enquête qui portera sur les faits d’assassinat en lien avec une entreprise terroriste.


    L’Algérie dénonce un «acte abject et odieux»

    Comme première réaction à l’assassinat du touriste français, Hervé Gourdel, le gouvernement a qualifié cet acte d’«odieux et abject», ajoutant que c’est avec «beaucoup de peine et de tristesse» qu’il avait appris l’assassinat de l’otage.


    «Dès l’enlèvement (dimanche) du ressortissant français, les autorités algériennes ont mobilisé toutes les énergies et tous les moyens humains et matériels pour libérer l’otage», a indiqué, dans un communiqué, le gouvernement en réitérant sa «détermination à poursuivre lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes». Avant la réaction du gouvernement, le ministère de la Défense avait diffusé un communiqué pour rappeler sa détermination à «poursuivre la lutte» contre le terrorisme. «Depuis que des informations sont parvenues portant sur l’enlèvement d’un ressortissant étranger par un groupe terroriste au niveau de la zone de Djurdjura, les forces de l’Armée nationale populaire (ANP) ont déclenché des opérations de ratissage et de recherche de grande envergure, en déployant tous les moyens humains et matériels nécessaires en coordination et en coopération avec les différents services de sécurité, en vue de retrouver le ressortissant enlevé et neutraliser ces criminels», a indiqué le MDN dans un communiqué. «Le MDN affirme une nouvelle fois que les opérations de lutte antiterroriste et la poursuite de ces criminels où qu’ils se trouvent, demeurent toujours en vigueur avec abnégation et détermination, jusqu’à leur élimination totale et la purification du pays de leurs actes abjects», ajoute le ministère, qui n’a cependant pas évoqué l’exécution de l’otage français.

    Relogement de 589 familles

    Bidonville de Bouabbaz (Skikda)



    Cinq-cents quatre-vingt-neuf familles (589) du bidonville de Bouabbaz, dans la ville de Skikda, ont finalement bénéficié de logements après plusieurs décennies d’attente et de fausses promesses.


    L’opération de recasement a été entamée hier pour concerner un premier quota de 200 logements. Selon un cadre de l’OPGI,
    cette opération devra immédiatement se poursuivre pour comprendre les 589 familles concernées. «L’opération s’achèvera dans cinq jours » précise-t-il.Au sujet des lenteurs enregistrées dans la distribution de ces logements, la même source rapporte qu’elles (les lenteurs) ont été essentiellement causées par l’engagement de plusieurs opérations d’aménagement du site. «On ne pouvait pas donner les clés aux bénéficiaires pour les laisser par la suite dans la gadoue et dans l’obscurité», explique-t-on.
    Le recasement a touché, dans sa grande majorité, les habitants du site dit Front de mer, qui domine le bidonville de Bouabbaz. L’assiette dégagée a déjà été retenue pour abriter le projet du lycée de Bouabbaz, ainsi que d’une bibliothèque. L’opération, qui a mobilisé des moyens humains et matériels, n’a cependant pas fait que des heureux. Une partie des habitants du bidonville, qui n’a pas été concernée, a tenté dans la matinée d’hier de dresser des barricades pour entraver les opérations de démolition des gourbis, et quelques jeunes ont même jeté des pierres sur les policiers présents sur les lieux. Mais globalement, le recasement s’est poursuivi sans heurts particuliers.
    A relever que Bouabbaz est l’un des plus anciens bidonvilles de Skikda. Son implantation remonte aux années 1950, quand les militaires français avaient décidé de «déporter» les habitants de Oued Bibi, à l’ouest de Skikda et de les entasser dans des baraquements à Bouabbaz, pour couper le lien que ces algériens entretenaient avec les moudjahidine. A ce jour, on trouve à Bouabbaz plusieurs générations qui se sont succédées et vécu dans le même gourbi construit en 1955. Avec l’éradication d’une grande partie de ces gourbis, Skikda vient de se défaire d’une tache noire, qui a de tout temps enlaidi son paysage urbain. Puissent ces efforts se poursuivre pour redorer le blason d’une ville dite, méditerranéenne.




    Après une disparition de 4 jours Une fille de 16 ans retrouvée réfugiée sur… un arbreN. B. O., une fille âgée de 16 ans, disparue depuis samedi dans la commune d’Illiltène, à 70 km au sud de Tizi Ouzou, a été miraculeusement retrouvée vivante, mardi soir vers 21h30, après avoir passé 4 jours sur un arbre, perchée à plusieurs mètres du sol. Selon ses parents, elle a été retrouvée vivante, mais très faible et déshydratée. Transférée par la Protection civile d’Aïn El-Hammam vers le centre de santé d’Iferhounène, elle a été placée en observation. N. B. O. a été retrouvée à 2 kilomètres de chez elle par un villageois qui avait entendu la fille tousser en haut d’un arbre, avant d’alerter les villageois et la Protection civile qui ont procédé à son évacuation.

    Pour des raisons qui restent inconnues
    Le site du Cned français inaccessible depuis l’Algérie


    Le site Internet du Centre national français d'enseignement à distance (Cned), un établissement public du ministère de l'Éducation nationale français, est inaccessible depuis l’Algérie alors qu’il est consultable partout dans le monde, ont relevé des utilisateurs qui s’interrogent sur l’origine de “ce blocage énigmatique !”

    Mouloud Hamrouche interdit de conférence à Tlemcen


    La section Chlef de la Ligue algérienne des droits de l'Homme nous a fait parvenir le communiqué dans lequel elle s'élève contre l'interdiction par le pouvoir de la conférence de Mouloud Hamrouche.
    La conférence de Hamrouche interdite par les autorités.
    Le pouvoir n'aime pas la liberté d'expression et le débat public. A preuve ? l'ancien chef de gouvernement vient de subir une interdiction de parler en public. Dans un communiqué la LADDH Chlef "dénonce des mesures de représailles contre les associations notamment la Laddh dont les objectifs vont à l’encontre du discours officiel. Après le service de la Direction de la réglementation et des affaires générales (D.R.A.G) de la wilaya de Tlemcen vient de refuser verbalement la demande d'autorisation pour le bureau de wilaya de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme de la wilaya de Tlemcen, pour la tenue d’une conférence sur le thème «L’Etat algérien et les défis de la mondialisation", animée par l’ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, à l’hôtel Pomaria".Le pouvoir est dans les déclarations dithyrambiques sur la liberté de la pression et la démocration mais pas dans les faits. Bien au contraire. La Laddh rappelle que les contradictions des autorités du pays. "Ces mesures de représailles contre les associations notamment la Laddh (...) vont à l’encontre du discours officiel.", écrit cette organisation.Par ailleurs écrit Houari Kadour, "la Laddh Chlef exprime sa totale solidarité avec le bureau de wilaya de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme de la wilaya de Tlemcen dans ce combat quotidiennement pour enraciner la culture des droits humains et des valeurs universelles". Et "demande aux autorités de mettre fin à ces agissement contraires aux dispositions du Pacte International pour les droits civils et politiques et de la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples ratifiées par l’Algérie."


    L’orientalisme d’Edward Saïd

    Culture

    Depuis la parution du livre-phare du professeur de littérature comparée, Edward Said, L’Orientalisme, réagissant aux discours trop marqués par les jeux de l’exclusion de Bernard Lewis, Huntington et Fukuyama, le monde de la pensée a entamé de sérieuses et nouvelles réflexions sur la question de l’altérité perçue autrement, c’est-à-dire passée au crible fin de la critique et de l’interrogation
    Edward Saïd




    Ce livre est tout d’abord une critique d’un certain orientalisme qui crée l’Orient pour en faire un espace marqué par la barbarie et la sauvagerie. C’est d’ailleurs cette manière de faire et de voir qui a toujours caractérisé la littérature coloniale, mais également le discours de certains auteurs autochtones ou d’autres écrivains extrêmement controversés comme Albert Camus par exemple. Said s’insurge contre ce discours réducteur et propose une redéfinition de l’appareillage conceptuel ciblant les anciennes colonies. C’est dans ce sens que son livre fait date, déconstruisant le regard de l’ « Occident » sur un « Orient » schématisé, stéréotypé , une création de l’imaginaire « occidental », produit d’une vision du « dehors », faisant de l’Autre, un bloc singulièrement pauvre, qui ne pourrait retrouver une certaine humanité que s’il acceptait de se fondre dans l’instance européenne. Mohamed Arkoun va également dans ce sens en évoquant le cas de l’Algérie : "Les Français modernes, représentants des Lumières laïques, ont créé en Algérie le droit de l’indigénat conçu et géré par l’État républicain. L’Autre est ainsi vraiment l’étranger radical, qui ne peut entrer dans mon espace citoyen ou dans mon espace de valeurs religieuses et/ou démocratiques que s’il se convertit ou s’assimile, comme on dit encore à propos des immigrés".Nourri des textes fondateurs de Fanon (Les damnés de la terre ; Peau noire, masques blancs), de Césaire (Cahier d’un retour au pays natal ; Discours sur le colonialisme) et d’Albert Memmi (Portrait du colonisateur) et d’une certaine littérature anglo-saxonne rejetant l’Autre, Edward Said propose une relecture du monde, démontant les mécanismes du fonctionnement du discours colonial traversant les contrées des pratiques sociales, politiques, littéraires et artistiques. Le postcolonialisme qui va par la suite s’enrichir des travaux de Bhabha et de Spivak, apportant une autre manière de lire les réalités coloniales, notamment, à partir des expériences asiatiques et indiennes, propose certes une nouvelle exploration du discours colonial, mais peut tomber dans les pièges du rejet de l’"Occident" considéré comme un bloc, une totalité dépouillée de ses contradictions et de ses luttes, d’ailleurs non défini, ni délimité et du particularisme qui engendrerait une lecture essentialiste du monde, loin des jeux libérateurs et opératoires de l’Histoire. Une lecture fondée sur les jeux de polarités pourrait neutraliser toute lecture sérieuse et altérer la réalité. Avec l’émergence d’idées nouvelles et de débats nouveaux caractérisés par la présence d’interrogations puisées dans les propositions de Deleuze, Foucault, Derrida et Ibn Khaldoun, Ibn Rochd ou Abed el Jabiri, de sérieux positionnements sont possibles, nourris de la positionalité chère à Foucault, de la dissémination (Derrida) ou de la notion de rhizome, mais surtout de Glissant, Said, Mroua et d’Arkoun et de l’idée de transculturalité de Fernado Ortiz rendant désormais obsolète cette histoire d’interculturalité, trop peu engageante.Une autre critique, plus ou moins libérée des canons dominants est-elle possible ? N’y a-t-il pas risque d’une nostalgie et de la célébration d’un passé mythique ?
    Ce livre d’Edward Said est essentiel, fondamental.Et si nous tous, nous nous mettions à discuter de ces questions importantes mettant en jeu les territoires méthodologiques et épistémologiques…












    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  10. #9
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 10/09/2014


    L'ANP annonce la destruction du campement du groupe terroriste qui a enlevé Gourdel


    Le campement qui servait d'abri pour le groupe de terroristes lors de l'exécution en septembre de l'otage français, Hervé Gourdel, a été détruit et les équipements qui étaient en leur possession ont été récupérés, indique jeudi le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.


    "Le campement qui servait d'abri pour ce groupuscule terroriste, lors de l'exécution de son acte abject a été détruit et les équipements qui étaient en sa possession ont été récupérés", lit-on dans le communiqué.
    Une opération de recherche et de ratissage de "grande envergure" a été engagée par l'Armée nationale populaire (ANP), suite à l'enlèvement, du ressortissant français, le 21 septembre, en "déployant tous les moyens nécessaires afin de retrouver et neutraliser le groupe terroriste qui a commis cet acte odieux", a rappelé la même source.
    Dans sa première phase, cette "opération a permis aux Forces de l'ANP de trouver l'endroit où l'enlèvement du ressortissant français a eu lieu, sur les hauteurs du mont Djurdjura, dans la wilaya de Tizi Ouzou", a-t-on ajouté.
    L'ANP a réitéré sa détermination et sa volonté de poursuivre ces "criminels" jusqu'à leur élimination totale, et précisé que l'opération de recherche et de ratissage était toujours en cours.

    Bouteflika reçoit Lakhdar Brahimi
    Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a reçu, hier à Alger, le diplomate et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi. Cette sortie médiatique du président de la République intervient après des rumeurs persistantes sur son état de santé et des interrogations sur sa disparition des écrans radars. Cette réapparition vise, selon toute vraisemblance, à mettre un terme aux incertitudes et aux spéculations suscitées par son absence sur la scène médiatique.

    Le taux d'intérêt du crédit à la consommation sera
    "très faible"
    Le taux d'intérêt applicable au crédit à la consommation dont la réintroduction est prévue pour 2015 sera "très faible", a annoncé, jeudi à Alger, le ministre de l'Industrie et des mines, M. Abdesselam Bouchouareb.


    S'exprimant en marge de la 18ème Journée nationale de la métrologie, le ministre a déclaré que si le gouvernement a décidé du retour du crédit à la consommation, "c'est pour alléger ce que vit le consommateur au quotidien, donc vous pensez bien que le taux d'intérêt sera très faible".
    Le retour du crédit à la consommation dès 2015 avait été décidé en février dernier dans le cadre de la tripartite afin d'encourager la production nationale, améliorer le pouvoir d'achat des citoyens et contribuer à réduire la facture des importations.
    Accordé par un établissement de financement, ce type de crédit bénéficiera aux ménages pour leur permettre de financer leurs achats de biens à usage domestique mais à condition qu'ils soient issus de la production nationale tels que les produits électroménagers, électroniques, les articles d'ameublement et des matériaux de construction.


    La voix des Hauts-Plateaux s’est tue

    Décès de Samir StaÏfi




    Après avoir lutté contre le diabète des années durant, le téméraire Abdelkrim Belkhier, communément appelé Samir Staïfi, n’a pu résister à la Faucheuse, qui a fini par l’emporter.


    Après un court séjour au CHU de Sétif, le chanteur, âgé de 66 ans, a regagné lundi le domicile familial dans un état critique. Véritable porte-flambeau de la chanson sétifienne, l’artiste a rendu l’âme hier vers 5h, chez lui. La nouvelle de la mort de l’interprète de célèbres tubes, tels que Medi-yeddek, Moul Chech, Khatem Sobaia, N’touma El Amriat, Ouanik ya Aïn Fouara, Fatma, El-Aazbaa Staïfia, s’est répandue comme une traînée de poudre à travers la capitale des Hauts-Plateaux, qui vient de perdre un de ses meilleurs fils.


    Les cœurs sont brisés. La douleur envahit les fans et amis qui pleurent le rossignol. Né en 1948 à Sétif, où il a étudié et grandi, le chanteur avait deux passions, le football et la musique. Avant d’entamer une longue et riche carrière artistique à la fin des années 1960, Samir porta les couleurs de l’ESS, où il occupera par la suite le poste de dirigeant. Samir se fera remarquer par sa belle voix.


    Il se distingua à l’intérieur du pays comme à l’extérieur où il possède des centaines, pour ne pas dire des milliers de fans, par un incommensurable répertoire puisé du terroir. Défenseur acharné de la chanson sétifienne authentique, il avait horreur du «plagiat», des «amalgames» et des «opportunistes». Passionné jusqu’à la moelle, l’ombre de Samir qu’on rencontrait presque chaque matin au centre-ville, plus précisément à côté du café de l’ex-cinéma Variétés, va planer sur les lieux.

    «J’ai le s’taïfi dans les veines. Il vit en moi», tenait à préciser, à chaque occasion, Samir, un grand ami de la presse.
    Ne pouvant vivre loin de la scène et des feux des projecteurs, l’artiste, qui a chanté l’amour, la patrie, la famille et divers autres thèmes, honnissait le mot retraite. En dépit de son état de santé précaire, il a continué à monter sur scène et à répondre aux sollicitations des organisateurs de manifestations culturelles. Avec sa mort, c’est un pilier spécial de la chanson sétifienne qui disparaît.

    Pour nous parler davantage de Samir, on a joint par téléphone en France, où il vit, son ami et complice Bekakchi Khier, qui a trouvé moult difficultés à contenir sa peine et sa tristesse : «Généreux aussi bien sur qu’en dehors de la scène, Samir, que j’ai connu à la Jeunesse du Front de libération nationale (JFLN) dans les années 1960, respectait son art et son public. Je ne trouve pas de mots pour exprimer mon chagrin et ma douleur, car je viens de perdre un frère. La mort de Samir est une grosse perte pour la chanson algérienne, car il se distinguait par un s’taïfi propre à lui. Que Dieu ait son âme.»
    Ami de longue date de Samir, le comédien Nouri Reguim, plus connu sous le surnom de «Camacho», qui a gardé le contact avec le défunt, évoque l’homme : «Malgré les affres de la maladie, Samir est resté courageux et égal à lui-même. Faisant un avec le s’taïfi, il manquera à son public, mais restera à travers son riche et indémodable répertoire, éternel. Il m’est impossible d’effacer de ma mémoire le visage de Samir à l’hôpital.»
    «La chanson sétifienne vient de perdre un géant qu’on ne peut aussi facilement remplacer. Qu’on le veuille ou non, Samir occupait une place spéciale dans le st’aïfi. Allah ya rehmou», témoigne cheb Arras.L’interprète du fameux tube Sid El Khier Aamar lahrar, Tchier Abdelghani, perd sa voix : «On doit tout entreprendre pour continuer l’œuvre de Samir qui a donné une autre dimension à la chanson sétifienne, désormais orpheline.» Bref, Samir, qui avait cumulé plus de 45 ans de scène, a quitté ce bas-monde sur la pointe des pieds. Il repose depuis hier à Si El Khier où une foule nombreuse est venue lui rendre un dernier et vibrant hommage. Repose en paix Ya moul echech…

    Dur, dur d’être au lycée

    Ramdane Djamel et Béni Béchir (Skikda)


    1700 élèves poursuivent leur scolarité dans un établissement conçu pour accueillir 800 élèves seulement l Sans surveillant général, le lycée emploie 91 professeurs, qui se partagent 47 classes et d’autres soucis encore.

    Il est midi. L’unique lycée de la daïra de Ramdane Djamel ouvre son portail pour «libérer» ses 1800 élèves. Chrono en main, il a fallu plus d’un quart d’heure pour faire «évacuer» ce monde juvénile qui, en plus, doit impérativement reprendre les cours à… 13h tapante ! A midi trente, on assiste, médusé, à un étrange carrousel: des dizaines de petites lycéennes reviennent à l’établissement portant toutes un sachet en plastique à la main.
    «C’est mon déjeuner. Dans ce sachet il y a une boite de jus, un paquet de gaufrettes, deux pizzas et une bouteille d’eau minérale», explique une élève inscrite en première année secondaire. Elle habite à Béni-Béchir et ne peut se permettre le ‘luxe’ de rentrer chez elle pour manger au risque de rater ses cours de l’après-midi. Plus de la moitié des élèves de ce lycée habitent en dehors de Ramdane Djamel, à Béni-Béchir et dans d’autres agglomérations secondaires comme Béni-Kbouche, Guessaba, Bontouss et d’autres encore. «Chaque jour, je débourse exactement 110 DA pour manger sans parler des frais du transport», rajoute une autre lycéenne.
    D’autres élèves dépensent moins ou plus, c’est selon les bourses. Certains se contentent d’une simple demi- baguette de pain et de deux portions de fromage. D’autres encore, on les rencontre chez les restaurateurs du coin. Entre un casse-croûte «omelette-frites», facturé à 100 DA et une «Loubia» bien chaude à 200 DA, les lycéens n’ont malheureusement que l’embarras. Jamais le choix ! Le lycée de Ramdane Djamel est pourtant doté d’une cantine gérée par un seul cuisinier et qui parvient à peine à assurer un repas pour quelques 500 élèves. Les autres doivent se débrouiller. «On a pensé à opter pour le double service afin de subvenir aux besoins d’un maximum d’élèves mais le temps imparti, une heure seulement de répit (de midi à 13h-ndlr-), ne nous permet pas de mener à bien ce service», explique un employé du lycée. Normal ! Même avec toute la bonne volonté du monde, personne ne pourrait «subvenir» aux besoins des élèves d’un lycée conçu pour accueillir 800 élèves et qui se retrouve à en abriter 1700. Plus du double de sa capacité.
    Cette surcharge ne concerne pas uniquement la restauration. On retrouve ses répercussions dans d’autres infrastructures et touche même le volet de l’encadrement. «Tout le monde, élèves, administration et enseignants souffrent de cette situation. On a l’impression qu’on a incorporé les élèves de deux lycées dans un seul établissement sans se soucier des volets relatifs à la pédagogie, aux commodités et au potentiel humain.» juge une enseignante. Et elle disait vrai. La preuve : dans ce lycée, encore sans surveillant général, ils ne sont que 11 adjoints d’éducation à encadrer 1700 élèves.
    Par ailleurs, cet établissement emploi à lui seul 91 professeurs qui se partagent 47 classes. Ils se partagent aussi la même entrée des sanitaires. «Il nous arrive de recourir aux toilettes des élèves pour ne pas gêner nos collègues femmes», reconnaît un enseignant. Pour les salles de cours, on est parvenu cette année à procéder à une opération d’extension assez singulière, nous confie un professeur. «On a en effet scindé quatre salles de cours en deux pour en faire huit. C’était indispensable, même si les nouvelles petites salles ne disposent que d’une porte et d’une seule fenêtre», explique un membre du bureau de wilaya du Cnapest, et d’ajouter : «ceux qui souffrent le plus de cette situation sont les élèves qui passent souvent quatre heures dans ces salles.»
    Le Cnapest avait, selon ses dires, proposé il y a une année à ce qu’une annexe au lycée soit ouverte à Béni Béchir, «pour permettre d’atténuer un tant soit peu la pression sur Ramdane Djamel. On attend toujours même si nous considérons que l’implantation de deux nouveaux lycées dans ces deux communes est devenue une urgence», conclut-il. Il est vraiment temps car cette situation n’a que trop duré. On sait que par ‘régionalisme’ de bas étage, des lycées ont été construits dans des contrées où le besoin n’était pas si évident.
    Les lycéens de Ramdane Djamel, de Béni Béchir et de leurs agglomérations secondaires ne doivent en aucun cas payer le prix de l’insouciance. Il s’agit de l’avenir de nos enfants et au diable tous les «apôtres» du nombrilisme régionaliste qui voudraient construire un lycée dans chacun de leurs douars alors qu’à moins de 30 km seulement de Skikda, des milliers de lycéens s’entassent les uns sur les autres.


    Équipe nationale de football

    Les Verts à pied d’œuvre dès aujourd’hui à Blantyre

    La sélection nationale s’envolera aujourd’hui pour la capitale Blantyre (Malawi) en prévision du match de la troisième journée des éliminatoires de la CAN 2015 face au Malawi, prévu samedi après-midi. C’est à bord d’un avion spécial que les coéquipiers de Madjid Bougherra décolleront de l’aéroport d’Alger en fin de matinée pour arriver à Blantyre le soir du jour même. Pour ce qui est de la préparation, et en plus des trois jours de stage effectué au Centre technique de Sidi-Moussa, le coach national a programmé une séance d’adaptation sur le terrain synthétique du stade Kamuzu, demain, à l’heure du match, en prévision de la rencontre qui se déroulera le lendemain.
    Un terrain qui préoccupe le technicien français, puisque les joueurs, et en plus du climat continental, seront appelés à tester leurs capacités sur un terrain synthétique, mais qui ne s’emble pas perturber les camarades du gardien Zemmamouche qui, lui, évolue à longueur de saison avec son club sur un terrain du genre : “Je ne pense pas que le terrain soit un handicap pour nous les joueurs. Personnellement, j’ai l’habitude d’évoluer sur du gazon artificiel et je suis même prêt à jouer si le coach fait appel à moi lors de cette rencontre face au Malawi. Pour ce qui est du reste des joueurs, je peux vous assurer que tout le monde s’est bien débrouillé sur le synthétique lors des séances d’entraînement que nous avons effectuées jusque-là. La plupart se sont bien adaptés”, a déclaré le gardien usmiste, lors d’un point de presse animé avant leur départ. De son côté, l’arrière droit Mesbah affirme que le terrain ne peut pas être un handicap et que cela ne changera pas l’objectif des Verts d’aller chercher les trois points de la victoire : “Il est vrai que nous ne sommes pas habitués à ce genre de terrain, mais ce n’est nullement un prétexte pour justifier une probable contre-performance. Nous allons jouer comme nous l’avons toujours fait, c'est-à-dire pour gagner”, a-t-il précisé.
    Un terrain qui obligera probablement le coach national à porter des rectifications dans son onze rentrant : “Je n’ai pas encore une idée sur les joueurs que je vais titulariser, mais la pelouse synthétique pourrait influencer mes choix”, a laissé entendre Gourcuff lors de sa dernière sortie médiatique. Il faut ajouter à cela la défection de deux joueurs hier lors de la séance d’entraînement, à savoir l’attaquant Hilal Soudani et le milieu de terrain Ryad Boudebouz qui ont déclaré forfait même pour le match retour prévu le 15 octobre prochain face à la même formation du Malawi.
    Gourcuff était d’ailleurs obligé de rappeler le milieu de terrain du Mouloudia d’Alger, Gourmi, pour pallier l’absence de ces deux éléments. Pour ce qui est du reste, Gourcuff a laissé entendre qu’il comptera bien évidemment sur le duo Brahimi-Slimani en attaque. “Brahimi et Slimani sont complémentaires. Ce sont deux joueurs de qualités différentes, mais très complémentaires”, a fait savoir l’ex-entraîneur de Lorient. Ce dernier ne cache d’ailleurs pas son souci pour la composition de son compartiment défensif : “Je reconnais qu’il y a encore des lacunes en défense, mais je dirais que la paire Belkalem-Medjani se débrouille bien. Mandi, de son côté, s’en sort bien aussi. Le retour de Ghoulam pourrait aussi constituer un renfort de qualité.”
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  11. #10
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    151

    Post Radar de Maghreb-Sat

    FLASH INFOS : 17/10/2014

    Face au mouvement des policiers : Sellal n’a pas convaincu


    Les révoltés du Bounty version CRS. La mutinerie aux allures de mouvement social, secouant les rangs de la police, est décidément promise à complications.


    «Pas de marche arrière», criaient hier soir des agents des Compagnies républicaines de sécurité (CRS), dont des centaines étaient venues d’Alger et des wilayas limitrophes, dont Blida, battre le pavé à El Mouradia. Manifestation surréaliste sur ce parvis de la Présidence, dont les abords du palais et les espaces verts alentour sont pris d’assaut, pour la première fois de son histoire, par des centaines de policiers antiémeute chauffés à blanc et décidés à ne rien concéder. «Nous occuperons la place jusqu’à satisfaction de nos revendications, dont le départ de Hamel», fulmine ce policier qui égrène un long chapelet de reproches à l’endroit du Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major Hamel Abdelghani, accusé entre autres de «hogra», de répandre les injustices et les brimades au sein du corps de la police.
    Catalogué de «transfuge» (de la gendarmerie), de «Brani», le général Hamel cristallise tout le ressentiment et le malaise au sein des effectifs. «Pour un rien, on vous confisque la carte», se plaint-on. «Imaginez un DGSN qui menace ses éléments de mutation à Ghardaïa. Wach maânatha ? Qu’est-ce que ça veut dire ?» La réunion ayant regroupé, à la Présidence (sic), une quarantaine de délégués des CRS avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, n’a pas entraîné les résultats espérés par la troupe. «Même à Evian (négociations), ce n’était pas aussi long», devisent des CRS parqués, pare-choc contre pare-choc à l’entrée de la Présidence.
    A 18h30, après plus de 4 heures de conclave, le Premier ministre arrive, après deux tentatives non concluantes, à s’extraire des bâtiments de la présidence de la République. L’issue était littéralement submergée par les CRS et des reporters. «Hamel Irhal» (Hamel dégage), entonnent les policiers manifestants. Les slogans des révoltes arabes arrivant à El Mouradia par fourgons cellulaires de la police. Prévue par le protocole, la prise de parole de Sellal a finalement été annulée. La voiture du Premier ministre et son escorte légère démarrent en trombe, sur les chapeaux de roue, laissant les policiers à leurs vagues supputations. Pas de trace de leurs délégués.
    Un conseiller auprès du ministre de l’Intérieur, Tayeb Belaïz (en déplacement à Ghardaïa), rencontré sur le site, affirme que 12 points sur les 19 que comporte la plateforme de revendications émises par les CRS avaient été acceptés par le Premier ministre, «y compris ceux en rapport avec la revalorisation du salaire de base à hauteur de 100% et/ou les primes et indemnités exigées». Les négociations ont toutefois buté sur plusieurs points, dont le premier, exigeant le départ du patron de la police. «Cette revendication est d’ordre politique», leur a signifié le Premier ministre.
    Vers 19h, les autobus alignés sur l’avenue de Pekin, à hauteur du rond-point d’El Mouradia, sont renvoyés sans leurs passagers. Les dizaines d’agents qui s’apprêtaient à regagner leurs unités ont été invités, sous les huées et avec force noms d’oiseaux proférés par leurs collègues, à descendre illico presto. Ce qu’ils firent. La circulation automobile est interrompue. Une foule de curieux perplexes regardent se dérouler ce vaudeville. Il fait nuit, l’avenue de Pékin grouille de CRS et la Présidence projette sur Alger ses ombres de palais hanté.


    Trois policiers assassinés à Bordj Bou Arreridj

    Deux policiers ont été assassinés et un troisième a été blessé par un groupe terroriste ce jeudi dans la région de Zemmoura, à 30km au nord de Bordj Bou Arreridj, sur la RN 75. Le troisième policier a succombé à ses blessures quelques instants après son admission à l'hopital.


    Selon notre correspondant à Bordj Bou Arreridj, les policiers en patrouille avait dressé un barrage routier à Zemourra, une région que surplombe une foret. Ils ont été surpris par des tirs nourris d'armes à feu, provenant de la foret qui surplombe la route. Deux des policiers sont morts sur le coup et un troisième a été blessé et évacué à l'hopital de Bordj Bou Arreridj. Il a succombé à ses blessures moins de 2h plus tard.
    Une opération de recherche a été immédiatement déclenché pour tenter de retrouver les assaillants.


    Skikda : Un bus «sauterelle» fait deux blessés



    Un invraisemblable accident s’est produit hier, à la gare routière Mohamed Boudiaf de Skikda. Un bus de marque Toyota et alors qu’il était stationné au niveau du quai de la ligne Constantine-Skikda a subitement démarré, gravi trois marches, escaladé le trottoir et est allé heurter de plein fouet l’enceinte vitrée de la gare routière.


    Des témoins oculaires rapportent que le bus était à moitié plein à cet instant. «Heureusement qu’il n’y avait pas beaucoup de monde en face, sinon on aurait assisté à un authentique carnage, vu l’importance du choc», témoignent les mêmes sources. La Protection civile a pour sa part enregistré deux blessés légers. «Il s’agit de deux personnes, des voyageurs certainement, qui se trouvaient dans le bus au moment de l’accident», apprend-on.
    Quelles seraient les causes de cet accident pour le moins singuliers ? Des personnes présentes sur les lieux avancent que le conducteur se serait certainement trompé en appuyant sur l’accélérateur et pris de panique, il aurait alors perdu le contrôle de son véhicule qui est allé escalader les marches. Les dégâts matériels occasionnés restent plus ou moins importants et la gare Mohamed Boudiaf, déjà très délabrée est, aujourd’hui, carrément ouverte aux quatre vents.



    Colloque national sur Mostefa Lacheraf à Médéa

    Retour sur le parcours d’un militant du progrès


    C’est la première fois que l’auteur de L’Algérie, nation et société est l’objet d’un colloque national organisé du 14 au 16 octobre par l’université Yahia-Farès de Médéa, suite à des propositions insistantes de nombreux intellectuels et hommes de culture. Une vingtaine de conférenciers algériens, de Tunisie et des Émirats arabes unis ont tenté des approches d’analyse et de lecture diversifiées sur l’œuvre du penseur, homme de lettres et militant de la cause nationale, en livrant des témoignages sur ses positions et son engagement intellectuels en faveur des idées de progrès et de justice. La pensée de Mostefa Lacheraf a toujours suscité des réactions antinomiques qui ont alimenté les débats universitaires et académiques eu égard à la profondeur des idées qu’elle véhicule et à son apport aux problématiques contemporaines des sciences sociales et humaines.
    Mostefa Lacheraf est le fondateur de la critique littéraire et de cinéma, selon le docteur Mustapha Madi, maître de conférences en sociologie à l’université d’Alger et consultant aux éditions Casbah.
    Contrairement à ce que certains ont voulu faire accroire à propos de l’arabisation de l’école, il dira que Mostefa Lacheraf a été contre une certaine catégorie d’arabisants négatifs et idéologues. D’ailleurs, poursuivra-t-il, l’homme avait une vision prophétique et craignait la survenue de certains événements qui, malheureusement, se sont réalisés. La mauvaise arabisation n’a fait que l’affaire de l’élite francophone, généralement bilingue, au détriment de la masse qui ne maîtrise plus aucune langue étrangère. L’orateur rapportera que Mostefa Lacheraf est le premier à avoir analysé La Colline oubliée de Mouloud Mammeri, et rappellera quelques remarques émises par l’Égyptien Taha Hussein à propos de l’œuvre et de l’auteur. Livrant ses témoignages sur Mostefa Lacheraf, il évoquera la polémique provoquée par le choix entre les notions “nation” et “société” qui a atteint son paroxysme lors de la rédaction de la Charte nationale de 1976 et dont Mostefa Lacheraf était membre du comité de rédaction.
    Le choix du terme nation proposé par lui qui n’avait pas reçu l’adhésion des autres membres, hormis Mouloud Kassim et Rédha Malek, a nécessité l’arbitrage du président Houari Boumediene, qui a tranché en faveur de l’emploi du terme “nation”.
    Pour le professeur Salah Alouaoui de l’université de Tunis, Mostefa Lacheraf, qui tenait beaucoup à son algérianité, ne voulait pas que celle-ci reste en vase clos, mais s’ouvre sur l’universalité à travers la maîtrise de plusieurs langues. Mostefa Lacheraf prend l’exemple des grands noms qui, dans leur majorité, utilisent plusieurs langues. Pendant la courte période de sa nomination à la tête du ministère de l’Éducation nationale, il est allé dans les écoles assister aux cours pour dresser un diagnostic de la réalité de l’enseignement à travers le pays. Il s’est rendu compte que les enseignants n’étaient pas, dans la majorité des cas, à la hauteur de leur mission, alors que les élèves étaient vifs et avides de savoir. Il n’a pu mettre en marche son projet, bloqué dans sa démarche par les attaques et les critiques de ses détracteurs qui l’ont taxé d’anti-arabisme. D’ailleurs, il ne cessait d’opposer à ses détracteurs l’argument que “l’arabisme se construit à travers l’effort et non pas par l’idéologie”. On rappellera que Mostefa Lacheraf (7 mars 1917-13 janvier 2007) est originaire de la ville de Chellalet El-Adhaoura, partie sud de la wilaya de Médéa. Il milita au Parti du peuple algérien (PPA) et au Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). Il est arrêté en même temps que les autres membres de la délégation des dirigeants de la “Révolution algérienne”, dont l’avion est détourné en 1956 par l’armée coloniale. Emprisonné, il est libéré en 1961 pour des raisons de santé. Il occupera plusieurs fonctions diplomatiques.


    Objet d'un colloque au Sénat français

    “Le 17 Octobre dans tous ses états” à… Paris


    Un important colloque intitulé “Le 17 Octobre dans tous ses états” se tiendra demain au Sénat français. La rencontre se veut également un hommage à Mouloud Aounit, Henri Alleg, Jean-Luc Einaudi, Jean-Louis Hurst et Elie Kagan. Parmi les intervenants, on peut citer, notamment, Benjamin Stora, Edwy Plénel, Gilles Manceron, Farid Aïchoune, Mehdi Lallaoui, Chafia Mentalecheta, Patrick Le Hyaric, Pascal Blanchard, François Durpaire, Samia Messaoudi et Hassen Zerhaoui. Si l'ouverture du colloque échoira à Mme Esther Benbassa, sénatrice membre des Verts, la clôture, quant à elle, sera confiée à Mme Bariza Khiari, sénatrice PS.

    Fellag, un nouveau livre, une vieille histoire
    France, écrivain, Algérien, Fellag, Humoriste



    "Un espoir, des espoirs", c'est ainsi qu'il intitule son dernier livre qui ne ressemble à aucun genre littéraire connu. Peut-être n'est-ce que de la divagation justifiée par des années de douleurs jamais encaissées ?
    Comédien, écrivain, metteur en scène et surtout gourou pour lui-même, Mohand Fellag erre dans ce texte qui n'accepte aucune catégorie littéraire au creux de l'histoire de l'Algérie contemporaine. Il n'a raté que l'équipe nationale de foot, la JSK et le meurtre d'Ebossé.
    Cette chronique qui révèle un vrai, un bon chroniqueur, traverse un demi-siècle d'existence de ce pays si aimé, tant honni : l’Algérie.Nous voici, embarqués dans ce court réquisitoire publié chez Jean-Claude Lattès, dans le bateau Algérie qui a commencé à tanguer à l'époque du GPRA (Gouvernement provisoire de la république algérienne). Fellag semble vouloir dire que ce pays qu'on aime est resté dans le provisoire, le précaire. Il dénonce sans pérorer "l'insoutenable légèreté" de nos gouvernants.A et B, les deux seuls personnages de cette grosse séquence théâtrale qui n'est sans doute pas un roman semblaient vouloir s'entre-déchirer d'emblée. Ils finissent par se calmer et par se parler. L'occasion faisant le larron, Fellag s'envole dans un délire juste qui s'en va récurer notre boîte à souvenirs, ce cerveau tant de fois maltraité. Nous voici embarqués dans cette histoire si douloureusement ressentie qui démarre au cessez-le-feu du 19 Mars 1962 et qui n'est pas, qui ne veut pas se terminer.Nos présidents successifs se sont tous ressemblé. Une anecdote rapportée par Fellag : "La cinémathèque d'Alger qui était à l'époque l'un des rares lieux de culture underground avait projeté le film "Aguirre ou la colère de Dieu" en présence du réalisateur, Werner Herzog. Nous avions, j'y étais ce jour-là, fortement ovationné le film et Werner Herzog nous avait déclaré: "J'aime ce film comme vous l'avez aimé. J'aime la prestation de Klaus Kinski, mais il aurait été meilleur si le rôle principal avait été interprété par Boumédiene. Je suis fasciné par le regard de votre président."Qui peut jurer qu'en ce temps-là, il n'était pas ébloui ? La dictature, en ce temps-là, avait des airs d'un doucereux protectorat. Boumédiene était le papa et la maman. C'est bien plus tard, sous le règne de Chadli, notamment que les Algériens vont commencer à se rendre compte que la révolution a été trahie, qu'ils ont été, eux aussi, trahis.Ce sont toutes ces sales histoires, plus les graves, les crimes commis par les intégristes durant la décennie noire et les milliards détournés ces dernières années que met en scène Fellag, mine de rien.Fellag ne fait pas de politique, il vomit sans vouloir faire de vagues.
    Mohand Fellag, le clown fait du rire un acte grave.
    Meziane Ourad



    Algérie 3 - Malawi 0

    Les Verts compostent leur billet pour la CAN


    À la faveur d’un facile succès hier à Tchaker face à un faible Malawi, l’Algérie a composté son billet qualificatif pour la Coupe d’Afrique des nations 2015 pour ce qui aura été une balade de santé dans une poule qu’elle surclasse. Cerise sur le gâteau, l’EN mondialiste est le tout premier gros bras du continent qualifié.
    À l’image de son entrée fracassante dans ces éliminatoires, la sélection nationale a rapidement mis le Malawi à genou hier, ouvrant le score après seulement 49 secondes de jeu grâce à un petit bijou de son nouveau maître à jouer, Yacine Brahimi.
    Après avoir donné le tournis à cinq défenseurs adverses en pivotant sur lui-même à l’entrée de la surface avant de trouver appui sur Slimani qui lui a bien remis la balle, la nouvelle étoile portista est allée de son subtile extérieur du gauche pour trouver la lucarne droite d’un keeper malawite devenu spectateur sur cette action de toute beauté.
    Pour avoir d’emblée pris cet avantage décisif, tout est devenu plus facile pour les poulains de Christian Gourcuff. À l’instar d’un Brahimi de gala, les Verts régaleront par moments sans pour autant être inquiétés par un Malawi stérile et sans imagination.
    En roue libre, l’EN tombera même dans la facilité à l’approche des bois adverses, comme cet emmêlement des pinceaux d’Islam Slimani après pourtant un service parfait de l’intenable Brahimi.
    Mais comme animés par l’ardent désir d’en finir au plus vite avec cet adversaire et cette qualification, les Verts doubleront la mise dans les ultimes secondes de ce premier half à sens unique par Ryad Mahrez qui, superbement servi dans l’intervalle par Feghouli, éliminera son vis-à-vis avant de tromper Arawa d’un enveloppé du droit.
    Le sociétaire de Leicester City manquera, au retour des vestiaires, de peu d’inscrire son premier doublé en sélection, enlevant trop sa tentative de près à la suite d’une géniale inspiration d’un irrésistible Brahimi (48’).
    La sentence ne tardera, toutefois, pas puisqu’après avoir fait le ménage dos au but puis décalé le même Mahrez sur sa gauche, Islam Slimani profitera d’un centre millimétré de son coéquipier de la Premier League pour placer une tête piquée imparable, signer le 3 à 0 et apporter sa pierre à l’édifice (55’).
    Etouffée, assommée et complètement mise hors d’état de nuire par une écrasante Algérie, la sélection de Chimodzi n’aura que ce coup franc cadré de Kamwendo, dévié en corner par une claquette d’un vigilant M’bolhi, à se mettre sous la dent (64’), avant un autre essai du même joueur vingt minutes plus tard, encore annihilé par l’impassable gardien algérien (84’).
    Trop peu pour inquiéter une EN déjà sur orbite, intouchable et visiblement décidée à ne certainement pas s’arrêter en si bon chemin, surtout que la belle démonstration de force d’hier aura confirmé, si besoin l’était encore, que cette sélection monte irrésistiblement en puissance et adopte, de plus en plus ostensiblement, des aptitudes d’un futur patron du continent.




    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

Page 1 sur 3 123 DernièreDernière

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •