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    La Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN

    ALGERIE
    La police pour lutter contre le chômage

    On vient de découvrir ahuris la nouvelle “stratégie” de l’Etat pour lutter contre le chômage. Et bien c’est la sûreté nationale qui va s’en occuper…

    Le directeur général de la DGSN, le général Abdelghani Hamel, a instruit les chefs de sûreté des huit wilayas du sud (Ouargla, Ghardaïa, Adrar, Tamanrasset, Illizi, Ouargla, Bechar et Tindouf) d’ouvrir prés de 6.000 postes d’emploi entre policiers, personnel civil assimilé (PCA).
    Mieux encore, cet ordre de recruter précise que les heureux bénéficiaires ne seront pas contraints de subir des concours.
    Ce sera à tour de bras ! Et pour donner un caractère solennel et une dimension politique à l’opération, la DGSN organise aujourd’hui même des journées portes ouvertes sur l’emploi qui s’étaleront jusqu’à jeudi 25 avril.
    Une sorte de salon de l’emploi dédié à la police…
    Il ne faut pas être un devin pour comprendre que cette opération obéit à un objectif politique. C’est tellement évident dans une région en proie à des mouvements de protestations cyclique de la jeunesse depuis des mois.
    On remarquera en effet que le sud est la seule région du pays qui a eu l’honneur de recevoir cette soudaine générosité de la police.
    Dans l’absolu, il n’est pas interdit à la police d’étoffer ses troupes à Ouargla, Ghardaïa et Tam s’il y avait réellement un manque dans ses effectifs. Sauf qu’on n’a pas entendu le DGSN évoquer ce besoin de recruter avant le déclenchement des manifs dans ces wilayas.
    Des boucliers anti émeutes
    On devine du reste aisément le double objectif de cette opération : offrir un boulot et un revenu à la jeunesse désœuvrée et dans le même temps servir de bouclier à des actions de protestation à venir.
    Un double emploi qui va comme un gant aux autorités soucieuses d’en finir le plus tôt possible avec une instabilité sociale qui tranche avec le légendaire calme des gens du sud.
    Mais cette petite bouffée d’oxygène tendue par la DGSN aux jeunes de Ouargla, Ghardaïa et d’ailleurs cache mal le désert économique qui frappe la région toute entière.
    Elle confirme si besoin était que les gouvernements successifs n’ont rien fait dans ces wilayas qui pouvait assurer aux jeunes du travail non pas en tant que flics mais en tant que cadres dans des entreprises créatrices de richesses.
    L’uniforme pour masquer le désert économique
    A son corps défendant, l’Etat vient de fournir lui-même la preuve de sa mauvaise gestion en ayant laissé cette région en jachère des décennies durant. Il est en effet tellement facile de “pondre” une instruction aux différents corps de la sécurité, de la protection civile, voire même de l’Etat civil pour recruter même en surnombre des fonctionnaires payés sur le budget de l’Etat.
    Mais il serait économiquement malvenu de parler de lutte contre le chômage quand c’est le contribuable qui devra payer ces nouveaux “emplois” non créateurs de richesses.
    C’est même une démarche anti économique au même titre que les fameuses augmentations salariales avec rappel depuis 2008 qui ont gravement grevé le budget de l’Etat.
    Par cette façon de faire, le gouvernement signifie qu’il ne sait pas créer de l’emploi mais sait comment dépenser sans compter la rente pétrolière quand les algériens le rappellent à l’ordre.
    Faut-il alors se réjouir du recrutement des ces milliers de policiers et assimilés au sud ? Tout dépend du bord où l’on se situe…

    Rafik Benasseur 230413 15:31 Algérie1
    Dernière modification par zadhand ; 18/08/2015 à 00h43. Motif: La Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN

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    Post Les policiers du sud contestent le nouveau régime des congés

    A LA UNE/ACTUALITE_Le régime des congés (Sud)
    17 Août 2015
    La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN.jpg

    Les policiers du sud contestent le nouveau régime des congés

    Désormais, les fonctionnaires de la police du sud n’ont droit qu’à 45 jours de congé par an.
    C’est l’une des mesures qu'avait prises le Directeur général de la sûreté nationale
    suite à une instruction modifiant le régime des congés.

    Manifestation de policiers à Alger en octobre 2014..jpg

    Dans le souci de maintenir la mobilisation policière dans cette vaste partie du pays et de faire face à toute éventuelle menace provenant des frontières, le général Abdelghani Hamel s’est ainsi arrogé le droit de modifier le décret exécutif 95-28
    fixant les avantages particuliers attribués aux personnels exerçant dans le grand sud,
    lequel arrête la période des congés à 50 jours calendaires.

    Selon une source sécuritaire, l’instruction du DGSN a également touché les fonctionnaires qui n’ont pas bénéficié de congés durant les années antérieurs à 2015 pour nécessité de service. Leur reliquat sera donc calculé à base de la nouvelle instruction.

    Cela n’est pas sans susciter colère et indignation parmi des policiers qui contestent cette « mesure qui devrait se faire, si besoin est, par décret exécutif modificatif, et non pas par instruction », explique notre source.
    Ravah Ighil



    Dernière modification par zadhand ; 18/08/2015 à 00h55. Motif: Les policiers du sud contestent le nouveau régime des congés
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    Post La DGSN se déploie en force sur les réseaux sociaux

    La DGSN se déploie en force sur les réseaux sociaux
    La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN.jpg


    La campagne de sensibilisation contre les accidents de la circulation dans
    laquelle la police algérienne s’est lancée en 2016 ne se limite pas
    uniquement dans des salles fermées, sur des plateaux de télévision ou sur
    les ondes des Radios mais, cette année, elle est surtout,
    et pour la première fois, sur les réseaux sociaux.



    Mardi 14 Juin 2016

    La DGSN vient de faire ses premiers pas et c’est déjà un tabac.
    La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a investi
    les réseaux sociaux, surtout Facebook et Twitter qui détiennent
    le plus grand nombre d’internautes algériens, pour sensibiliser
    les jeunes personnes contre les accidents de la route.
    L’hécatombe qui se poursuit sur les routes du pays,plus de 100 morts
    déjà sont dénombrés dans des accidents de la circulation depuis le
    début du mois du Ramadhan- a poussé la police algérienne à créer
    un site sur Facebook pour sensibiliser les Algériens et, par la même
    occasion, tenter d’enraciner la culture d’une bonne conduite chez
    les internautes.La cellule de communication de la DGSN a expliqué hier
    qu’un effet rapide et efficace chez les citoyens a accompagné l’opération
    de sensibilisation contre les accidents de la route qu’a lancé la DGSN sur
    son site.Sur les cinq premiers mois de l’année en cours, la DGSN a dénombré
    plus de 20 000 visiteurs et commentaires sur son site, qui ont tous condamné
    les terribles accidents qui se sont produits ces dernières semaines, comme
    celui survenu sur la route de Laghouat et ayant fait 33 morts.
    Les internautes algériens ont tous pointé du doigt certains automobilistes
    et chauffeurs de bus responsables d’horribles accidents qui se produisent
    presque chaque jour sur les routes rapides.Profitant de cet espace créé par
    la Sûreté nationale, certains internautes ont livré à chaud et en temps réel
    des renseignements sur des accidents de la route qui sont survenus à ce
    moment-là.De son côté, le commissaire de police Aâmer Laâroum, également
    directeur des relations publiques à la DGSN, a indiqué qu’à travers
    les commentaires des Internautes algériens et leur soutien à la police dans
    le cadre de la lutte contre les dépassements dangereux et l’excès de vitesse,
    une large solidarité réunit aujourd’hui les Algériens pour condamner certains comportements irresponsables de nombreux conducteurs qui provoquent
    des accidents mortels sur les routes.« La DGSN ne ménage aucun effort pour
    préserver les vies et les biens des citoyens. Pour cela, tous les canaux seront
    utilisés afin de mieux sensibiliser les citoyens y compris les automobilistes.
    Facebook et Twitter restent parmi les canaux les plus importants auxquels
    la DGSN va recourir régulièrement pour faire diminuer le taux des accidents
    sur les routes et surtout celui du nombre de morts », a déclaré le commissaire
    de police Laâroum.Pour rappel, la DGSN avait comptabilisé 809 morts et 19 337
    blessés à travers 16 245 accidents de la circulation. Ce nombre de morts est
    recensé dans les milieux urbains, il faut le souligner.Face à ce « terrorisme »
    routier, les réseaux sociaux peuvent jouer un rôle capital pour enraciner une
    nouvelle culture de conduite et de vigilance chez les algériens, tel est l’objectif
    primordial visé par la DGSN à travers son site.
    (Pour suivre la DGSN sur facebook,
    c’est
    Code:
    ici




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    Post Le numéro vert 1548

    LE NUMÉRO VERT 1548
    Un maillon fort dans le plan d’alerte des kidnappings des enfants

    La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN.jpg


    24 Octobre 2016

    Opérationnel depuis 2004, le numéro vert de la police 1548
    contribue à réduire la criminalité. Aujourd’hui, l’activation du
    plan d’alerte pour les affaires de kidnapping des enfants
    compte énormément sur ce numéro.
    Rym Nasri-Alger (Le Soir)- «Le numéro vert 1548
    contribue à lutter contre le crime. Notre souhait est de le voir
    utilisé pour résoudre les affaires de kidnapping des enfants»,
    affirme le commissaire divisionnaire de la police à la DGSN,
    Amar Laroum.La preuve poursuit-il, «il y a quelques jours, un
    appel via ce numéro a permis de déjouer une tentative de
    kidnapping d’un mineur à Tipasa et d’en intercepter l’auteur».
    L’intervenant hier au forum d’El Moudjahid à Alger, Amar
    Laroum a fait part d’une étude en cours à la DGSN pour
    «optimiser» l’utilisation du 1548 dans le plan d’alerte des
    affaires de kidnapping des enfants.L’idée de la mise en place
    d’un numéro vert de la police remonte à l’apparition du
    téléphone mobile en Algérie. «C’est un moyen pour assurer
    la protection des citoyens et leurs biens», dit-il.Chiffres à l’appui,
    le commissaire divisionnaire de la police à la DGSN assure que
    le nombre des appels reçus ne cesse d’augmenter d’année en
    année. «En 2014, nous avons enregistré un nombre total de
    1 957 896 appels. En 2015, nous avons atteint 1 964 513 appels
    et durant les neuf mois de l’année 2016, 1 442 234 appels»,
    précise-t-il.Des appels qui interviennent souvent pour demander
    une intervention, faire part d’infractions et d’accidents de la route,
    demander des renseignements, et solliciter divers services.
    «Nos centres d’appels ont recensé 254 392 appels de demande d’intervention en 2014 contre 265 706 appels en 2015. Jusqu’à fin septembre 2016, 243 515 demandes d’intervention ont été
    enregistrées. Quant aux infractions d’accidents de la route, 56 835
    appels ont été recensés en 2014, 64 806 appels en 2015, 34 660
    appels en 2016», détaille-t-il.L’invité du forum évoque également les
    appels divers que reçoivent les centres d’appels de la police.
    «Aujourd’hui, le citoyen a recours au numéro vert 1548 pour
    accélérer la réaction d’autres services pour la prise en charge de leur problème tels que les services des urgences médicales».Il cite ainsi plusieurs exemples notamment le cas d’un groupe de harraga menacé
    de noyade, qui a eu l’idée de contacter la police via le 1548 afin que
    celle-ci intervienne et alerte les garde-côtes pour qu’ils soient
    secourus.Le numéro vert de la police a été aussi d’un grand secours
    pour une candidate au baccalauréat 2016. «Restée bloquée le matin
    dans l’immeuble où elle habite à cause de la porte qui ne voulait pas
    s’ouvrir, cette élève de terminale a eu l’idée d’appeler le 1548. S’étant déplacés sur les lieux, les policiers l’ont délivrée avant de la
    raccompagner au centre d’examen», explique Amar Laroum. Idem
    pour un malade hospitalisé qui, lui aussi, a eu recours au numéro
    vert 1548 pour bénéficier d’une intervention urgente du personnel
    médical. «Se sentant mal sur son lit d’hôpital, un malade n’a pas hésité
    à appeler le numéro vert. C’est ainsi que l’hôpital en question a été
    contacté et l’infirmière du service alertée à son tour», dit-il.
    Ry. N.



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