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    Post Élections Législatives en Espagne

    L'incertitude est totale !



    A LA UNE INTERNATIONAL_Élections Législatives en Espagne
    Valence (Espagne)
    De notre correspondant
    le 25.06.16 | 14h30

    Six mois après l'élection d'un Parlement qui n'est pas parvenu à former un gouvernement,
    36,5 millions d'électeurs sont rappelés aux urnes, ce dimanche, pour renouveler
    les députés du nouveau parlement, dans le cadre des treizièmes
    élections législatives depuis l’instauration de la démocratie en Espagne.


    Pièce jointe 24688

    Le blocage politique a obligé le roi Felipe VI à convoquer de
    nouvelles élections, afin de sortir le pays de l’impasse politique.
    Cela mènera t-il sur un gouvernement de droite ou de gauche ou
    une grande coalition ? Les élections législatives de décembre 2015
    avaient abouti sur un Parlement fragmenté entre quatre grandes
    formations, le Parti populaire de Mariano Rajoy, les socialistes de
    Pedro Sanchez, Podemos de Pablo Iglesias et le libéral
    Ciudadanos d´Albert Rivera. Les derniers meetings de campagne ont
    été tenus ce vendredi, à deux jours des législatives de dimanche.
    L'incertitude est donc totale en ce qui concerne l'avenir proche de
    l'Espagne mais l'hypothèse de la grande coalition est véritablement
    prévisible. Mariano Rajoy, qui n'a pas réussi à convaincre le PSOE
    de le rejoindre dans une grande coalition, ne profite pas de
    l'affaiblissement des socialistes et si certaines sondages lui octroient
    jusqu'à 130 députés (soit 7 de plus qu'en décembre), le consensus est
    plutôt autour de 118-120 Là encore ce serait le plus faible résultat du PP
    depuis 1989.
    À gauche, la nouvelle coalition formée par Podemos et le
    parti écolo-communiste Izquierda Unida, appelée "Unidos Podemos", est
    en train de gagner du terrain. Et ce, au détriment du traditionnel Parti
    socialiste auquel il pourrait arracher la seconde place. Les électeurs de
    "podemos", ont clairement indiqué leur choix et ils sont favorables à la
    construction d'une majorité de gauche. Le parti politique Podemos de
    Pablo Iglesias est devenu en moins de deux ans la troisième force politique
    du pays. Rassemblant notamment des membres du mouvement des
    "Indignés" par l'austérité, né à Madrid en 2011, il a fait son entrée au
    Parlement lors des élections du décembre 2015, avec 20,6% des voix.
    Selon les sondages, Podemos pourrait devenir la première force d'opposition
    du pays, devant le traditionnel Parti socialiste (PSOE.
    Le PSOE qui a gouverné
    l'Espagne pendant 21 ans (1982-1996 et 2004-2011) a échoué à rassembler
    autour de son leader, Pedro Sánchez, une majorité progressiste. Un parti divisé
    sur la position à tenir face à Podemos qui a refusé d'y adjoindre ses 69 élus en
    décembre. il a voté avec la droite, le Parti Populaire,pour empêcher l'investiture
    de Sánchez.
    Par ailleurs, les élus centristes,d´Albert Rivera, leader du parti libéral Ciudadanos (C’s), allié naturel du PP et quatrième des intentions de vote,
    n'apporteront pas leurs voix pour une investiture de Mariano Rajoy, suite aux récents scandales de corruption qui ont visé le camp du Premier Ministre.

    Ali Ait Mouhoub
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    Post Le Parti populaire de Mariano Rajoy remporte les législatives en Espagne



    Le Parti populaire de Mariano Rajoy remporte les législatives en Espagne



    A LA UNE INTERNATIONAL_
    Élections Législatives en Espagne

    (Espagne)-26 JUIN 2016
    Mise à jour 26.06.2016 à 23:30

    Le Parti populaire du Premier ministre Mariano Rajoy remporte
    les élections législatives en Espagne devant le Parti socialiste,
    selon des résultats sur 90% des bulletins. Unidos Podemos est troisième.



    Après le dépouillement de plus de 90% des bulletins, le résultat était proche
    de celui des élections en décembre, quand la fragmentation des voix entre
    quatre partis avait conduit à un blocage politique et à la convocation d'un
    second scrutin en six mois.
    Le Parti Populaire (PP) du chef du gouvernement
    sortant Mariano Rajoy remporterait 136 députés, contre 123 obtenus aux
    élections de décembre. Il reste cependant loin de la majorité absolue de 176 sur 350.

    Déception pour Podemos
    Le Parti socialiste est crédité de 89 sièges, contre 90 en décembre, et reste
    la première force d'opposition. La coalition Unidos Podemos, qui représente
    la gauche radicale, est à la troisième place avec 71 sièges sur 350, selon ces
    résultats presque définitifs.
    "Ce ne sont pas de bons résultats, ce ne sont pas ceux
    que nous espérions et ils ne sont pas bons pour l'Espagne parce qu'ils retardent le processus de changement politique", a estimé le numéro deux de Podemos Iñigo Errejon.





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    Post Mariano Rajoy réclame «le droit de gouverner»

    Mariano Rajoy réclame «le droit de gouverner»



    Les conservateurs terrassent la gauche en Espagne
    le 28.06.16 | 10h00

    La gauche espagnole est la grande perdante des législatives de dimanche.


    Le chef du gouvernement sortant en Espagne, le conservateur
    Mariano Rajoy, a réclamé le soir même de l’élection le «droit de
    gouverner», après avoir remporté les législatives. «Oui, c’est vrai,
    nous avons gagné», a déclaré Mariano Rajoy à une foule en liesse
    rassemblée à Madrid devant le siège de son Parti populaire (PP) et
    agitant les drapeaux bleu azur de la formation aux alentours de minuit.
    «Et nous réclamons le droit de gouverner, précisément parce que nous
    avons gagné les élections», a-t-il lancé, après six mois de blocage politique.

    Le PP, au pouvoir depuis 2011, avait emporté les législatives de décembre,
    mais avec seulement 28,7% des suffrages. Aucun autre parti n’avait ensuite
    accepté de lui apporter le soutien nécessaire pour former un gouvernement,
    lui reprochant les multiples scandales de corruption mettant en cause sa
    formation. La gauche a elle aussi été incapable de former un gouvernement
    alternatif.
    Le PP a cette fois obtenu 33% des suffrages, soit 137 députés sur
    350, 14 de plus que lors du précédent scrutin. La majorité absolue de 176
    sur 350 à la Chambre continue cependant à lui échapper. Dimanche soir,
    Pedro Sanchez, le chef du Parti socialiste, a félicité Mariano Rajoy pour sa
    victoire, tout comme Albert Rivera, qui dirige le parti de centre libéral
    Ciudadanos. M. Rivera a clairement indiqué qu’il était prêt à entamer des
    négociations avec les conservateurs pour négocier la formation d’un
    gouvernement. Les socialistes espagnols ont pour leur part affirmé hier qu’ils n’appuieraient pas Mariano Rajoy. Le secrétaire d’organisation du PSOE,
    César Luena, a fait valoir qu’il revenait d’abord à Mariano Rajoy de tenter
    de former un gouvernement, en tant que premier parti politique. «Nous allons
    y aller pas à pas» mais «celui qui doit prendre l’initiative (de tenter de former
    un gouvernement), c’est M. Rajoy», a dit M. Luena, numéro trois du parti,
    à la radio Cadena ser.
    A la question «les socialistes pourraient-ils s’abstenir»
    à un vote d’investiture si cela était nécessaire pour former un gouvernement,
    M. Luena a répondu: la décision «viendra en son temps mais la vocation du
    PSOE, c’est d’évincer Rajoy». Il a assuré que la position des socialistes
    restait la même que pendant la campagne, en disant: «nous n’allons pas
    appuyer Rajoy ni par action ni par omission, pour que ce soit clair».

    Le PSOE a rejeté la possibilité d’entrer dans une coalition transversale avec
    le PP et les centristes de Ciudadanos: «Les votes du PSOE reçus hier sont
    destinés à évincer Rajoy, pour changer les politiques injustes, inefficaces,
    antisociales du PP», a dit M. Luena.
    Les Espagnols ont dû retourner aux urnes
    dimanche, six mois après les législatives du 20 décembre, les partis n’ayant
    pas été capables de trouver une formule de coalition. Mais les résultats ont peu
    varié et dans un Parlement fragmenté entre quatre grandes forces les conservateurs,
    les socialistes, la coalition de gauche Unidos Podemos et les libéraux de
    Ciudadanos une alliance sera incontournable pour pouvoir
    former un gouvernement.

    Aniss Z.

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    Post Les espagnols plonge dans un long sommeil politique!

    Les espagnols plonge dans un long sommeil politique!

    Sans gouvernement depuis huit mois
    le 09.09.16 | 17h17

    Les députés espagnols ont refusé leur confiance au conservateur Mariano Rajoy, au pouvoir
    depuis 2011, lors des deux sessions d investitures , la semaine dernière, prolongeant
    la paralysie politique du pays, qui dure déjà depuis huit mois.
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    Valence ( Espagne)
    de notre correspondant

    Par 180 voix contre et 170 pour, les députés ont rejeté un deuxième gouvernement
    Rajoy. Les partis ont désormais deux mois pour négocier et s'ils ne trouvent aucun
    accord, de nouvelles élections législatives seront convoquées pour le 25 décembre ,
    une date très compliquée et les troisièmes en un an.
    Les 32 députés de Ciudadanos,
    ceux de la coalition des Canaries et les élus du Parti Populaire ont donné 170 en
    faveur de Rajoy mais sans la majorité absolue et il leur a fallu un ralliement ou une abstention des Socialistes pour être élu.
    " Maintenant , on doit nous asseoir
    sérieusement et explorer toutes les possibilités, à trois , notamment le Parti populaire
    (PP), le Parti socialiste (PSOE) et Ciudadanos , pour garantir que l'Espagne ait
    enfin un gouvernement, et un parlement et garantir aussi l'union et discuter d'un programme de réformes.", a suggéré le leader de Ciudadanos, Albert Rivera, dont
    le parti est en quatrième position .
    le parti de pablo Iglesias , Podemos , la gauche
    radicale qui veut mettre fin aux politiques d'austérité, arrivait en troisième position.
    il propose , par ailleurs, depuis des mois une alliance contre nature avec les
    socialistes et les partis indépendantistes catalans, sachant pertinemment que
    le PSOE, très attaché à l'unité de l'Espagne, ne peut pas accepter les conditions des indépendantistes. Une position d'autant plus difficile à tenir qu'une centaine de
    propositions de l'accord passé entre le droite et le centre figuraient déjà en mars
    dans le contrat passé entre les socialistes et Ciudadanos.
    pour le socialiste , Pedro Sanchez , poursuivre le blocage politique revêt un aspect de vengeance personnel.
    En mars dernier, il était le premier candidat désigné par le roi pour former un
    gouvernement à ne pas décrocher son investiture, et ce depuis le retour de la
    démocratie, après la mort de Franco. l´échec de Rajoy a mis les deux hommes à
    égalité.
    "Nous allons voter contre la continuité du Parti populaire à la tête du gouvernement, avec Mariano Rajoy comme président du gouvernement", a dit à la
    presse le secrétaire général du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE). et d´ajouter .
    "Les possibilités d'un accord avec le PP sont définitivement nulles".
    le parti socialiste
    et le parti populaire se rejettent la responsabilité des troisièmes élections qui
    pourraient être convoquées pour décembre, à moins qu´un miracle de dernière
    minute se réalise.
    Les électeurs de Ciudadanos sont en grande partie "les enfants
    des électeurs du parti Populaire, PP", et "la droite étant plus pragmatique", ils
    pourraient décider la prochaine fois de donner leurs voix au PP afin d'éviter un
    nouveau blocage au parlement. Ciudadanos, qui a offert successivement aux
    socialistes puis à Mariano Rajoy un appui qui s'est révélé insuffisant, risque lui
    aussi d'apparaître comme une force négligeable.

    Ali Ait Mouhoub
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