Origine de «One, Two, Three, viva l'Algérie».


C'est à Oran, et plus précisément lors d'un fameux match entre
l'équipe nationale et le club anglais de Sheffield United, que ce cri de ralliement est né, au stade Bouakeul, entre le douar Kheraza et Haï Badr. C'était le 3 mai 1974. Une victoire sur un club du pays qui a créé le football, ça se fête dignement. Ce fut «One, two, three», comme les trois buts inscrits par Belkedrouci, Lalmas et Belbahri, sous la houlette du rusé Roumain Dimitri Makri. C'était le pied de nez de Lalmas en guise de référence.

Il a fallu donc cette victoire et la qualification de notre équipe
nationale à la Coupe du monde pour que cette locution fasse chorus et reprise par tous les fans du pays. Elle est devenue une immense clameur, accompagnée par des battements de mains. Sortie de la poussière de l'histoire, elle se conjugue à tous les temps et s'est unie affectueusement aux verbes beugler, hurler, brailler et s'époumoner.

1441369_617044368333110_93587492_n-2.jpg
1450053_638521672865769_1943970159_n.jpg