Page 89 sur 90 PremièrePremière ... 397987888990 DernièreDernière
Affichage des résultats 881 à 890 sur 897

Discussion: Sante

  1. #881
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    Pourquoi perdre du ventre est bon pour la santé

    perdre-ventre.jpg
    Au fil des années, votre taille s’est épaissie. Ces kilos autour du ventre ne sont pas anodins : ils augmentent le risque de diabète et de maladies cardiontre est différente de celle des hanches ou des cuisses. « Toutes les études épidémiologiques réalisées depuis quinze ans ont montré que l’augmentation du tour de tailleest corrélée à la hausse du risque de maladies métaboliques, comme le diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires », souligne le Pr Max Lafontan, directeur de recherche à l’Inserm.Comment la graisse abdominale agit-elle ?

    Contrairement à la graisse superficielle logée sous la peau, cette graisse profonde et viscérale n’est pas inerte. Elle relargue dans la circulation sanguine différentes molécules (acides gras, hormones, facteurs de croissance...) qui vont, graduellement, entraver le bon fonctionnement des organes.
    C’est quoi le syndrome de la bedaine ?

    Ces réactions en cascade déséquilibrent l’organisme. Petit à petit, tous les clignotants passent au rouge et forment ce que l’on appelle le “syndrome métabolique”. Différents critères définissent ce syndrome :
    · un tour de taille excessif,
    · une analyse sanguine montrant un taux de triglycérides trop élevé et une augmentation de la glycémie à jeun,
    · une tension artérielle trop forte
    · et un taux de “bon” cholestérol (HDL) abaissé.
    Une personne qui présente au moins trois de ces symptômes a davantage de risque de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires (infarctus, accident vasculaire cérébral, hypertension artérielle...), mais également de cancers et de maladies du foie.
    Pourquoi la graisse viscérale est-elle toxique ?

    Cette graisse envoie des messages qui interfèrent avec le fonctionnement des organes. C’est tout un équilibre qui est rompu.
    · Elle perturbe des organes essentiels : les cellules adipeuses de l’abdomen stockent des acides gras. « Le problème, c’est que cette graisse est drainée par les vaisseaux sanguins qui alimentent le foie », remarque le Pr Karine Clément, spécialiste de l’obésité à l’Institut de cardiométabolisme et nutrition de la Pitié-Salpêtrière (Paris). Via la circulation sanguine, les acides gras arrivent au foie. Ils vont perturber son fonctionnement mais aussi, par une réaction en chaîne, celui du pancréas, des muscles et du cœur.


    · Elle provoque une inflammation : des cellules immunitaires s’infiltrent dans la graisse abdominale lors de la prise de poids. En réaction, l’organisme déclenche une inflammation. Ce phénomène a, lui aussi, des conséquences néfastes puisque des molécules toxiques vont partir dans la circulation sanguine et arriver au foie. « Ces facteurs inflammatoires contribuent à la résistance à l’insuline, qui est associée au diabète et aux maladies cardiovasculaires. Cette inflammation perturbe aussi la biologie des cellules, ce qui pourrait expliquer l’augmentation du risque de cancer, notamment le cancer du sein après la ménopause », ajoute le Pr Clément.


    · Elle attaque le système cardiovasculaire : en parallèle, l’équilibre du cholestérol est modifié : le mauvais (LDL) prend le pas sur le bon (HDL). Le gras s’accumule dans le foie et les vaisseaux sanguins, augmentant ainsi le risque de maladies cardiovasculaires et de stéatose hépatique.


    · Elle favorise la résistance à l’insuline : le foie va sécréter davantage de glucose. Le pancréas réagit en déclenchant un pic d’insuline, une hormone destinée à réguler le taux de sucre dans le sang. À la longue, l’organisme ne répond plus correctement à cette insuline. Il devient “résistant”. Un mécanisme qui mène au diabète de type 2.
    Comment savoir si mon tour de taille est excessif ?

    La mesure du tour de taille se fait debout, en se tenant bien droit, et au niveau du nombril. On considère que le tour de taille est excessif quand il dépasse 94 cm pour un homme et 80 cm pour une femme.
    Ces chiffres sont des normes adaptées à la morphologie des Européens. Certaines personnes ont un bourrelet autour de la ceinture, mais peu de graisse profonde. Pour le savoir, il faudrait effectuer un scanner ou une IRM ! Pour l’heure, on s’en tient au tour de taille, mesuré à l’aide d’un simple mètre de couturière.
    Dernière modification par rachidbeo55 ; 13/09/2017 à 19h46.

  2. # ADS
    Sante
    Ich'har Circuit publicitaire
    Date d'inscription
    Toujours
    Localisation
    Monde des annonces
    Messages
    Plusieurs
     
  3. #882
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    Marcher, c’est bon aussi pour le mental !

    randonnee-foret.jpg

    On connaît les bienfaits de la marche pour entretenir sa forme physique, moins ceux sur la santé psychique. Les dix bénéfices qu’il y a à marcher pour se sentir mieux dans sa tête.
    Se sentir mieux après une bonne marche est un sentiment largement partagé par ceux qui en ont fait l’expérience. Lors de cette activité, l’interaction corps/esprit est en effet unique. Marcher 30 à 40 minutes plusieurs fois par semaine permet de décompresser, de s’apaiser quand on est tendu, mais aussi d’y voir plus clair ou encore de trouver des solutions. Bref, c’est à la fois un extraordinaire booster cognitif et un formidable tranquillisant naturel. Cette expérience empirique des bienfaits psychiques de la marche est confirmée régulièrement par les chercheurs.
    « Les travaux de l’Inserm, dit le Dr Guillaume Schneider-Maunoury, ont scientifiquement établi les bienfaits de la marche pour prévenir les troubles psychiques sur le très large spectre qui va du stress de la vie moderne jusqu’à la dépression. La marche libère les endorphines qui participent à notre sensation de mieux-être, nous permet de mieux nous situer dans notre vie et de renforcer notre estime de soi. »

    Marcher pour dénouer les tensions

    La respiration ample et régulière que la marche implique favorise une meilleure oxygénation du corps et du cerveau, ce qui participe à dénouer les tensions accumulées.
    « C’est un effet mécanique, souligne Pierre-Yves Brissiaud, psychothérapeute. La verticalité qu’impose la marche entraîne un relâchement des trapèzes, du haut du dos, des mâchoires, jusqu’aux dents qui se desserrent... La marche oblige à abandonner ces tensions hautes, dos, nuque, épaules, qui s’installent quand nous sommes stressés. Ce relâchement physique induit immédiatement un relâchement psychique. »

    Marcher pour découvrir

    La marche favorise notre capacité d’attention et fait émerger notre créativité. « Quand on marche en pleine campagne par exemple, rappelle Valérie Germain, psychologue clinicienne, on s’éloigne de la sur sollicitation du quotidien. Notre attention en est à la fois plus large et moins dispersée. Le seul mouvement de la marche renforce notre concentration. Nos réflexions aussi changent de nature. Elles sont plus existentielles. »
    En effet, la symbolique de ce mouvement est très forte. « En marchant, précise Pierre-Yves Brissiaud, on se retrouve relié au ciel et à la terre, les pieds reprennent racine et la tête s’évade vers le haut. Il y a une dimension de quête spirituelle dans la marche. » Et l’occasion de découvrir en nous des ressources insoupçonnées, nos résistances habituelles baissent la garde, les associations d’idées se font plus facilement aidées par ce qui se passe sous nos yeux.

    Marcher pour jubiler

    C’est la cerise sur le gâteau. Il y a un très vif plaisir à profiter de l’énergie, du bonheur, que nous renvoient la douceur de l’air, la clarté d’un ciel, la force d’un vent, un grand ravissement à contempler la beauté qui nous entoure. La nature est un puissant et joyeux thérapeute.

    Marcher pour méditer

    Méditer, ce n’est pas seulement faire le vide, c’est aussi réfléchir autrement.
    « La marche est une médiation en mouvement, insiste Pierre-Yves Brissiaud. Par la rupture avec notre quotidien, par la régularité de ce mouvement répétitif, un pied devant l’autre, et par la respiration qu’elle instaure, elle nous fait entrer en méditation plus facilement. »
    On peut alors décider de se focaliser sur son ressenti corporel. Par exemple, on peut entamer une marche en faisant attention à relâcher ses épaules et en observant ce qui se passe en nous. Ou bien en décidant d’être plus attentif à ce que l’on entend de l’oreille droite, puis de l’oreille gauche, et enfin des deux. Ensuite, il n’y a plus qu’à laisser libre cours à ce qui vient à l’esprit.

    Marcher pour positiver

    Marcher permet de positiver parce que c’est une activité toute simple et libératrice. Aucune compétence n’est nécessaire, aucun prérequis n’est exigé, pas besoin d’être beau, jeune, riche ou fort ! On sait tous marcher. Mieux, on est tout de suite bon. On peut démarrer et en tirer plaisir immédiatement. On enclenche ainsi une spirale positive dont l’un des atouts est de nous aider à sortir de nos ruminations et pensées négatives.
    « La marche met en mouvement notre corps, précise Valérie Germain, et cette nouvelle réalité physiologique a une incidence sur notre réalité psychique : elle nous oblige à sortir de notre fonctionnement en boucle. » On adopte de fait un nouvel angle de vue, on échappe à une vision sans issue, on abandonne ces pensées qui tournoyaient sans fin en nous. Un effet visualisé dans le cerveau par l’imagerie médicale.

    Marcher pour prendre de la distance

    Quand on se sent coincé, sans solution, marcher nourrit la réflexion, « en nous plaçant dans un état de concentration qui favorise un retour vers l’essentiel, observe Valérie Germain. Ce mouvement se fait presque naturellement, à notre “corps défendant”. On se remet face à soi-même dans une vision plus globale au lieu de se focaliser sur des détails, on reformule ce qui nous obsède. » En intégrant une réalité nouvelle, un autre chemin, on prend du recul tout simplement. On ne subit plus, on se place en tant qu’acteur.

    Marcher pour rencontrer de nouvelles personnes
    La marche est aussi un puissant facteur de convivialité. C’est un exercice qui fait sortir de l’isolement, y compris lorsqu’on marche seul. La rencontre et la reconnaissance par ceux que nous croisons se trouvent toujours à un pas devant soi.
    « Quand on n’a pas le moral, constate Valérie Germain, on perd l’envie d’aller vers les autres. On doute de sa valeur, on manque de confiance en soi. Or, marcher dans un endroit qui nous plaît aide à restaurer cette confiance.
    On se sent de la même famille que ceux qui nous entourent. Les marcheurs se saluent, un regard peut suffire, et partagent des valeurs qui les unissent. »

    Marcher pour réveiller ses sens

    En marchant, nos cinq sens sont mis en éveil. « Presque automatiquement, ils se synchronisent, constate Pierre-Yves Brissiaud. On sent l’odeur de la forêt, on écoute le chant des oiseaux, on ressent le vent ou la chaleur du soleil, on observe le paysage, on goûte la pluie... » Cette stimulation sensorielle ouvre la palette des émotions, nous permettant de mieux ressentir ce qui vient à nous.

    Marcher pour se recentrer

    Marcher permet de remettre en ordre ce que l’on a entendu, vécu, réalisé. C’est l’occasion de trier et de réorganiser les multiples informations et sensations perçues dans la journée. « C’est un exercice d’intériorisation quand on décide de s’y livrer en pleine conscience, dit Pierre-Yves Brissiaud. On peut se demander, “Pourquoi je me mets en marche ? Est-ce pour faire le vide ? Tout oublier ? Ou bien me rappeler ?” Marcher, c’est alors revenir à soi, recréer une intimité avec soi. »

    Marcher pour se retrouver

    Mais la marche, seul, dans le silence de ses pensées, c’est certainement d’abord et avant tout l’occasion d’une rencontre avec soi-même, d’un dialogue intérieur. L’harmonie entre corps et tête dans laquelle le mouvement nous installe, nous restaure dans notre complétude.

  4. #883
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    Le soleil est de retour : attention aux mélanomes

    Le soleil est de retour attention aux mélanomes.jpg


    La meilleure arme contre le cancer de la peau est la prévention. Ne sous-estimez pas les premiers rayons du printemps.
    Avec le retour des belles journées ensoleillées, l’envie de prendre des couleurs se fait sentir. Mais les premières expositions au soleil ne doivent pas pour autant nous faire oublier la protection aux rayons ultraviolets néfastes, rappellent les experts. Car le mélanome est un type de cancer de la peau plus rare que le carcinome, mais beaucoup plus dangereux car il se propage très vite à d’autres parties du corps. En 2015, il a causé 1 773 décès en France, d’après les chiffres de l’Institut national du cancer (INCa). Et s’il peut être lié au développement d’un grain de beauté, il est également provoqué par l’exposition au soleil.
    Côté recherche, rappelle le site d’Europe 1, des progrès ont permis de faire régresser un mélanome choroïdien, qui touche une partie de l’œil. En stimulant le système immunitaire des patients, il serait possible de lutter contre le cancer. Mais la meilleure arme reste la prévention. Profitez de cette période pour jeter un coup d’œil à vos grains de beauté, prendre rendez-vous pour un contrôle chez votre dermatologue et pour discuter d’un éventuel changement d’aspect (ABCD= Asymétrie, Bords, Couleur, Dimension).
    Protéger les enfants
    Si vous décidez de vous allonger sur une chaise longue ou de prendre un verre en terrasse, choisissez un endroit à l’ombre (vous bronzerez aussi, mais moins vite), et évitez le moment où les rayons sont les plus intenses, entre midi et 16 heures. N’hésitez pas à agrémenter votre style vestimentaire d’un chapeau et de lunettes de soleil : la meilleure protection est celle apportée par les vêtements, et un mélanome peut se cacher n’importe où, même dans le cuir chevelu. Pour les autres parties du coup, optez pour la crème solaire avec un indice haut, à appliquer régulièrement.
    Enfin, il est particulièrement important de protéger les enfants et les adolescents. Leur peau est fine et leur système pigmentaire n’est pas tout à fait développé, ils sont donc très sensibles aux rayons UV. L’exposition intense et les éventuels coups de soleil représentent un risque majeur d’apparition d’un mélanome à l’âge adulte, rappelle l’INCa. N’exposez donc jamais un nourrisson de moins d’un an au soleil, et utilisez tous les moyens de protection (chapeau, t-shirt, lunettes, crème solaire) à votre disposition.

  5. #884
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    Allergique, et plus sensible aux infections virales : la double peine

    Allergique, et plus sensible aux infections virales : la double peine
    Les effets de l’allergie aux pollens ou à la poussière ne se limitent pas au nez bouché, aux yeux qui brûlent, aux plaques d’eczéma, bref à un quotidien infernal pour les personnes touchées.
    Les personnes touchées par une allergie aux pollens sont souvent particulièrement vulnérables aux infections virales. Leur réactivité à des substances inoffensives les rend aussi plus vulnérables aux infections virales respiratoires, comme la rhinopharyngite ou la grippe. De sorte qu’elles tombent facilement malades quand un virus circule dans leur entourage. Une double peine, en quelque sorte. [IMG]file:///C:/Users/Ali/AppData/Local/Temp/msohtmlclip1/01/clip_image003.gif[/IMG]
    Le phénomène est observé de longue date chez nombre de personnes allergiques, mais l’énigme autour de son mécanisme vient seulement d’être élucidée. Notre équipe CNRS, à l’université Paris Descartes, vient en effet de découvrir, en collaboration avec des laboratoires français, britannique et allemand, ce qui déraille au moment où leurs défenses immunitaires devraient se mobiliser contre le virus. Ces travaux, publiés dans la prestigieuse revue Nature Communications, permettent d’espérer des médicaments capables de rétablir une réaction normale en cas d’infection.
    Un tiers des Français touchés par les allergies
    Les allergies sont en très forte croissance dans les pays développés. Elles concernent à ce jour près d’un tiers des Français selon l’Inserm, et constitue un véritable problème de santé publique. Elles provoquent des symptômes variés tels que l’asthme, la rhinite ou rhume des foins, la conjonctivite, l’eczéma, l’urticaire, le choc anaphylactique.
    Cette hypersensibilité consiste en une réaction inadaptée des défenses immunitaires de l’organisme contre des éléments étrangers mais inoffensifs, qualifiés d’allergènes. Il peut s’agir par exemple de pollens, de déjections d’acariens ou de particules de la salive des chats. L’allergie est caractérisée par une production massive, appelée « décharge », d’histamine. L’histamine est une molécule de signalisation utilisée par le système immunitaire. Et c’est elle qui est en cause, dans la fragilisation vis-à-vis des infections virales.
    Pour se défendre des agents pathogènes que sont les virus, les bactéries ou encore les cellules cancéreuses, le corps possède une arme particulièrement efficace, les interférons. Découvertes en 1957, ces protéines sont sécrétées par les cellules de l’organisme en présence de l’agent pathogène, par exemple un virus. Leur nom vient de leur capacité à « interférer » avec la réplication du virus dans la cellule, c’est-à-dire à la perturber. Ils viennent activer, au sein de la cellule, un programme de transcription de gènes qui va détraquer les différentes étapes du cycle nécessaire au virus pour se multiplier.
    Les interférons ont la capacité d’induire un état antiviral, c’est-à-dire un milieu défavorable à l’infection et la propagation du virus, à la fois dans les cellules infectées mais aussi dans les cellules voisines qui ne le sont pas encore.

    Des globules blancs très rares

    La plupart de nos cellules produisent des interférons, mais les championnes toutes catégories sont certaines cellules du système immunitaire, les cellules dendritiques plasmacytoïdes, dont l’abréviation en anglais est pDC. Ces globules blancs très rares, découverts en 1997, produisent jusqu’à 1 000 fois plus d’interférons que n’importe quelle autre type de cellule.
    Les cellules pDC patrouillent un peu partout dans le corps, en circulant dans le sang. Dès qu’elles détectent un virus, elles déversent dans le sang de très grandes quantités d’interférons. C’est ce phénomène qui provoque, par exemple, l’état grippal, avec sa fièvre, ses frissons et ses courbatures.
    Notre équipe Chimie et biologie, modélisation et immunologie pour la thérapie (CBMIT) s’intéresse depuis plusieurs années aux cellules pDC, ces sentinelles de l’immunité. Grâce à cette expertise, nous venons de comprendre ce qui se passe chez les personnes allergiques. L’histamine, la molécule de signalisation produite en masse lors de la réaction d’allergie, bloque la production d’interférons par les cellules pDC.
    Comment ? En se fixant à un récepteur particulier à la surface des pDC, appelé CXCR4 (qui est aussi le récepteur du VIH, le virus du sida). La fixation de l’histamine à la protéine CXCR4 a pour conséquence d’empêcher la libération d’interférons. Le corps perd alors ses armes antivirales, et les patients sont plus sensibles aux infections.
    Nous avons fait cette démonstration in vitro (en laboratoire) sur des cellules humaines pDC puis in vivo (dans un organisme vivant) chez la souris.
    Ainsi, on comprend ce qui se cache, à l’échelle cellulaire et moléculaire, derrière la sensibilité accrue des personnes allergiques aux infections virales respiratoires. Lorsque le patient est exposé aux pollens, par exemple, les mastocytes (des globules blancs très nombreux) déchargent dans ses poumons de grandes quantités d’histamine.

    Une rencontre tout sauf heureuse

    S’il contracte un virus au même moment, des cellules pDC migrent vers les poumons pour combattre l’infection. L’histamine se retrouve alors au contact des pDC. Et la rencontre est tout sauf heureuse ! Car l’histamine bloque la production d’interférons par les pDC, permettant au virus de se répliquer en toute tranquillité.
    L’identification du récepteur utilisé par l’histamine, le CXCR4, ouvre de nouvelles perspectives de traitement. L’étape suivante consistera en effet à synthétiser, dans notre laboratoire, des molécules qui auront vocation à se fixer au fameux récepteur CXCR4, afin d’occuper la place… avant l’arrivée de l’histamine.
    Grâce à de tels médicaments, l’histamine devrait passer son chemin, et les cellules pDC produiraient normalement des interférons. Ainsi, nous pensons que ces futurs médicaments pourront rétablir une immunité antivirale efficace chez les patients allergiques.

  6. #885
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    8 conseils pour améliorer son pouvoir de séduction

    thinkstockphotos-468981574.jpg
    On a tous envie de plaire, à notre conjoint, à nos amis, à nos collègues et même à des inconnus. Identifiez vos vrais atouts grâce aux conseils de nos experts. Séduisants, forcément !Manifestation de notre pouvoir d’attraction, la séduction permet la rencontre amoureuse ou sexuelle. Pourtant, ce n’est pas tant la beauté qui compte. Il y a quelque chose en plus où intervient “ce qui ne se voit pas”.
    Séduire, c’est exister autrement que par son physique. Ni manipulation ni mensonge, la séduction traduit souvent un besoin de reconnaissance, mais surtout un désir de vie, une volonté de communiquer, une envie de se tourner vers les autres. Nos experts vous expliquent ce qu’elle met en jeu et comment la travailler.
    1. « Avoir confiance en soi »

    Le conseil de Pilar Lopez coach et sophrologue, www.pilarlopez.com
    « Qu’il s’agisse de relations professionnelles, amicales ou amoureuses, séduire, c’est attirer l’autre dans sa sphère. Pour cela, on doit avoir confiance en soi, en commençant par se sentir bien dans son enveloppe corporelle et prendre soin de soi. Ensuite, on prend le temps de reconnaître ce qu’on aime chez soi. On ferme les yeux, et on visualise ce que l’on aime. »
    2. « Partager ce qui nous fait vibrer »

    Le conseil de Florence Escaravage love coach, fondatrice de la methode-florence.com, auteure, avec le Dr Serge Hefez, de La drague pour les nuls (éd. First)

    « En aucun cas, il n’est question de manipulation ou de contrôle de ses tenues comme de son discours. D’ailleurs, les gens qui se cachent, qui ne se révèlent pas, sont dépourvus de séduction. Il s’agit au contraire d’être authentique, de partager ce qui nous fait vraiment vibrer.
    Le problème, c’est qu’avec l’âge et les difficultés de la vie, on a tendance à perdre en justesse. Pour retrouver notre vérité, on peut se livrer à quelques exercices pratiques. L’idée, c’est d’identifier ce qui nous révèle vraiment pour le partager ensuite.
    On peut aussi dresser une liste de nos qualités en développant ce qu’on aime en soi et qu’en général les autres ne reconnaissent pas ou que tout simplement on cache. Par exemple, être sensible, c’est une qualité souvent dissimulée. Pourtant, c’est un joyau sur lequel s’appuyer pour séduire. On peut aussi s’attacher à décrire les loisirs que l’on aime en décrivant non pas comment, ce serait vite ennuyeux, mais pourquoi on pratique ces activités. »
    3. « Penser à sourire »

    Le conseil de Élodie Madureira, photographe-thérapeute

    « Quand on traverse des moments difficiles, le visage se ferme, on perd son sourire. Or, la séduction passe par les yeux, par les lèvres. D’apprendre à lâcher prise devant un objectif, alors que l’on a plutôt tendance à être crispé face à un appareil de photo, permet de constater à quel point on peut présenter un visage fermé qui est une barrière aux autres. A contrario, on peut mesurer comme on dispose bien d’un visage ouvert, beau et séduisant. »
    4. « Laisser place au naturel »

    Le conseil de Martine Teillac, psychanalyste et psychothérapeute, auteure de Pour un couple durable (éd. Solar)

    « La séduction, c’est ce que nous mettons en œuvre pour créer du lien avec autrui et instaurer des relations durables. C’est une composante essentielle à notre vie en société.
    Mais ne nous trompons pas, la séduction c’est d’abord et avant tout ce qui vient du dedans, de notre être profond. C’est donc une notion éminemment subjective et qui a peu à voir avec l’enveloppe physique. La travailler, c’est laisser place au naturel, à une vérité assumée qui échappe à l’artifice. »
    5. « Reconnaître ses peurs »

    Le conseil de Sophie Cadalen, psychanalyste, auteure d’Aimer sans mode d’emploi (éd. Eyrolles) longtemps la “psy” de référence du site de rencontre Meetic

    « La séduction est loin de la recherche de standards auxquels il faudrait appartenir coûte que coûte. C’est un chemin plus personnel. On y accède en se demandant “Comment je me sens, moi ?” “Est-ce que j’ai envie de plaire et comment ?” “De quoi ai-je peur ?” On doit reconnaître ses peurs et ne pas les nier au risque d’être bloqué et de ne pas être authentique. »
    6. « Ne pas trop intellectualiser la relation »

    Le conseil de Chine Lanzmann, coach en relations hommes-femmes

    « Les gens oublient souvent que la séduction passe par le corps. On l’intellectualise alors qu’un geste, une main posée sur l’épaule, un regard un peu plus appuyé en disent dix fois plus que de longs discours. Mais encore faut-il pouvoir se dire “Oui, je peux séduire, j’en ai le droit”. Exercer sa séduction sans avoir l’intention de rencontrer le prince charmant ou l’homme idéal, c’est un formidable outil pour profiter du moment présent, retrouver des relations spontanées ou le simple plaisir de moments uniques. »
    7. « Avoir des égards pour l’autre et pour son couple »

    Le conseil de Alain Geberowicz, psychiatre, auteur des 7 vertus du couple (éd. Odile Jacob)

    « Dans l’histoire d’un couple, la séduction est un mot qui réfère, en général, au moment de la conquête. Or, ce qui a séduit, ce qui a fait le sel de la rencontre, doit être entretenu. La séduction est l’expression de l’attention portée à l’autre et à la relation, ainsi qu’une étape qui mène au désir, notamment sexuel.
    D’où sa dualité précieuse pour le couple : elle excite et rassure à la fois. Elle passe par des mises au point régulières sur ce que l’on aime ou ce qui nous agace, et par de petits efforts pour ne pas laisser le quotidien et la routine aux commandes. Avoir des égards pour l’autre est essentiel. Il doit exister des temps pendant lesquels chacun peut éprouver qu’il est là pour l’autre et pour le couple. Vous connaissez la formule d’Einstein ? “Il n’y a pas d’échecs, il n’y a que des abandons”. »
    8. « Oser regarder »

    Le conseil de Isabelle Constant, psychothérapeute

    « Ceux qui pensent ne pas être séduisants sont souvent freinés par la peur de ne pas être à la hauteur. Ils fuient le regard, restent distants. Pour enrayer ce cercle infernal, on peut se lancer des petits challenges. Essayer de regarder un enfant plus de trois secondes, comme s’il était de sa famille, s’adresser à ses amis en cherchant à leur plaire. Des défis qui permettent de faire tomber les barrières construites autour de soi. »
    Dernière modification par luchugsat ; 08/07/2017 à 16h46. Motif: Lien non caché

  7. #886
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    Comment soigner un coup de soleil et le réparer ?
    Un coup de soleil, ça fait maaaaal. Si tu ne sens rien, j’avoue, balèze. Si tu n’es pas un maître yogi et que tu ressens la douleur comme tout un chacun, quelques astuce pour te soulager.
    Les brumisateurs sont à utiliser pour soulager la peau façon coup de fraîcheur immédiat. Bien entendu ça ne répare pas la brûlure, mais ça t’enlève déjà l’envie de mourir. Choisis de l’eau thermale pour les peaux irritées comme celle d’Avène, très douce. Tu peux même te faire une petite compresse en l’imbibant d’eau pour calmer la douleur et la sensation d’échauffement.
    selection-shopping-coup-de-soleil (1).jpg
    La Biafine est bien connue pour les soucis de coups de soleil. C’est, à la base, une crème à utiliser en cas de brûlures domestiques. Tu peux l’appliquer dès que tu te rends compte que tu as attrapé un méchant coup de soleil. Non seulement ça apaise, mais ça aide aussi à limiter les dégâts !
    Le gel d’alo vera est aussi utile : il rafraîchit pas mal et possède des propriétés cicatrisantes, ce qui limite là encore les dégâts en cas de vilain coup de soleil. Tu en appliques directement sur la peau et tu laisses poser. Pour en trouver du « pur », tu peux aller fouiller du côté d’Aroma Zone.
    Les soins après-soleil classiques des marques réhydratent intensément la peau mais ne réparent pas un vrai coup de soleil. Vous pouvez en appliquer, ça fait toujours du bien, mais ce n’est pas assez costaud pour les vraies brûlures.
    Les astuces de type rondelles de tomates ou rondelles de pommes de terre sont surtout là pour rafraîchir quand tu n’as rien sous la main mais ne réparent pas la peau. Si tu commences à sentir la ratatouille, enlève, c’est mieux.
    Dernière modification par rachidbeo55 ; 29/07/2017 à 10h41.

  8. #887
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    Travail : comment retrouver la motivation au retour des vacances

    istock-537713924.jpg
    Non, la baisse de moral d’après les vacances ne va pas forcément s’abattre sur vous. Suivez ces conseils pour une reprise pleine d’énergie !

    Il n’est pas facile de dire au revoir au soleil, à la plage, aux grasses matinées et au temps libre. Et le coup de blues post-vacances nous guette. Mais la morosité du retour au travail n’est pas une fatalité ! Vous pouvez retrouver de l’énergie et toute votre motivation en modifiant votre environnement et vos habitudes :
    Faire du rangement

    De retour au bureau, profitez-en pour ranger. Vous pouvez jeter ou donner tous les objets que vous n’avez pas utilisé depuis six mois : ils ne sont visiblement pas utiles à votre quotidien et ne font qu’encombrer votre espace de travail. Gardez le strict nécessaire, comme votre tasse, du thé, un carnet pour écrire vos idées, un parfum qui vous apaise, une plante verte et quelques photos ou notes qui vous font sourire.
    Trouver le bon rythme

    Essayez d’ajuster votre journée de travail à votre rythme naturel. Vous êtes plutôt du matin ? Ne commencez pas la journée en triant vos mails, mais attaquez-vous plutôt aux tâches qui vous demandent le plus d’énergie, et prévoyez vos rendez-vous et réunion en fin de journée.
    Eteindre le portable

    Il suffit d’un appel, d’un email ou d’un sms pour nous distraire, voire gâcher notre journée de travail. Quand vous devez vous concentrer sur une tâche particulière, laissez le portable dans un tiroir pour ne pas être dérangé. Si vous devez être joignable, et qu’une mauvaise nouvelle vous trouble, prenez le temps de vous promener quelques dizaines de minutes pour vous changer les idées au lieu de ruminer à votre bureau.
    Se faire des amis

    Personne n’est gagnant lorsque les rapports entre collègues sont tendus. Autant faire un effort pour maintenir une bonne entente au sein de l’équipe. Vous pouvez féliciter un/e collègue qui a bien réussi son travail, ou partager un bon moment en dehors du bureau. Pourquoi ne pas lancer une activité de groupe, comme le théâtre, le sport ou la chorale, après le déjeuner ? Se détendre ensemble aide à travailler dans de meilleures conditions.
    Positiver

    Les experts interrogés par le quotidien britannique The Telegraph conseillent de vous concentrer sur les aspects que vous aimez de votre travail, et de demander à votre patron d’en faire plus souvent. En exprimant votre reconnaissance et en montrant que vous êtes motivé pour réussir, vous allez retrouver toute l’énergie pour une bonne reprise.

  9. #888
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    L’eau de javel augmente le risque de bronchite chronique
    menage_0 (1).jpg
    Les désinfectants, et en particulier l’eau de javel, sont toxiques pour les voies respiratoires, surtout si on les utilise régulièrement. C’est ce que montre une étude menée auprès d’infirmières.

    À force d’inhaler des vapeurs d’eau de javel ou d’autres produits désinfectants, le risque de développer une BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive) augmente de 22 % chez les personnes qui font usage de ces produits au-moins une fois par semaine.
    Ces données sont issues d’une étude présentée au dernier congrès de la Société européenne de pneumologie qui se tient du 9 au 13 septembre 2017 à Milan (Italie).
    Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont scruté l’état de santé de plus de 55 000 infirmières américaines suivies pendant huit ans.
    Dans leur métier, l’eau de javel et les produits comme les ammoniums quaternaires servent à désinfecter des surfaces ou des instruments.
    La BPCO, ou bronchite chronique, touche 5 à 10 % des plus de 40 ans. Le principal facteur de risque est le tabac, mais on parle de plus en plus des expositions environnementales et professionnelles. Celles-ci représenteraient environ 15 % des cas.
    Les produits désinfectants ont déjà mis en cause dans l’asthme, notamment chez des personnes exposées dans le cadre de leur métier.





  10. #889
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    **Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **

    Voici des conseils à suivre au quotidien pour traverser l'automne sans avoir recours aux mouchoirs !

    rhume.jpgLe matin, au réveil, les températures oscillent entre 9 et 10 degrés. De quoi se sentir frigorifié et tomber malade. Pas déjà ! L’automne démarre seulement. Et il est possible de le traverser sans courir à la pharmacie, s’automédiquer ou prendre rendez-vous chez le médecin.
    Que faire ?

    1 – Le matin, quand on se lève ou le soir quand on rentre du bureau, on aère son appartement au moins 10 minutes par pièce. Cela permet de chasser tous les microbes que l’on rapporte du bureau, des transports en commun…

    2 – Il ne fait pas bien chaud, certes, mais ce n’est pas une raison pour superposer les couches de vêtements les unes au-dessus des autres. Non seulement on n’a pas très envie de ressembler à un Bibendum, mais, en plus, cela n’aide pas l’organisme à apprendre à se défendre.

    3 – On ne surchauffe pas son appartement, sous peine d’avoir un chaud-froid quand on sortira. 18 à 19 °C dans la chambre et pas plus de 20 °C dans le salon.

    4 – On adore les viennoiseries et autres douceurs sucrées, mais ce ne sont pas des alliées santé, loin de là. En fait, elles affaiblissent le système immunitaire. Alors, on les troque contre du poisson, des légumes et des fruits riches en vitamines et minéraux qui boostent le système immunitaire.
    5 – On se concocte des tisanes revigorantes à base de thym, de pin, d’eucalyptus ou de rhodiola, et on les sirote tout au long de la journée.

    6 – On bouge : faire du sport deux à trois fois par semaine rend l’organisme plus résistant et lève les tensions. Alors, on chausse ses baskets !
    Dernière modification par rachidbeo55 ; 28/09/2017 à 18h02.

  11. #890
    Date d'inscription
    décembre 2012
    Localisation
    https://t.me/pump_upp
    Messages
    2 936
    Thanks
    128
    Total, Thanks 6 341 fois
    Pouvoir de réputation
    0

    Re : Sante

    5 bienfaits santé de la lecture
    istock-506584266 (1).jpgmaghreb sat 28/09/2017[IMG]file:///C:/Users/Ali/AppData/Local/Temp/msohtmlclip1/01/clip_image002.jpg[/IMG]
    Lire est excellent pour la santé, mentale, émotionnelle et même physique. Vous en doutez ? Voici plusieurs bonnes raisons d’ouvrir un livre.
    Savez-vous qu’aux Etats-Unis, certains ont décidé de soigner leurs congénères… par la lecture. Ces bibliothérapeutes ne sont pas encore nombreux, et leur spécialité n’est pas reconnue par l’université. Certes. Mais il n’empêche, l’idée que lire est bon pour la santé ne date pas d’hier.
    Pour preuve, voici quelques exemples de bienfaits.
    La lecture est antistress

    Selon des chercheurs de l’Université britannique de Sussex (Canada), il faut environ six minutes au lecteur pour être dans un état d’apaisement, une fois la lecture commencée. Quels sont les signes physiques constatés lors de la lecture ? Une baisse de la tension musculaire et du rythme cardiaque. Clotilde, 43 ans, business woman qui court à longueur de journée, le constate : « j’ai des journées de folie où je cours tout le temps. Mon temps de lecture, le soir, dans mon lit, est un moment indispensable où j’ai l’impression que mon corps s’apaise et revient à la normale. »
    Pour vivre plus longtemps

    Vivre plus longtemps en lisant ? Là encore, des scientifiques se sont penchés sur la question. Une étude menée par l'université de Yale révèle que lire plus de 3h30 par semaine permettrait de prolonger l'espérance de vie de plus de 20 % sur douze ans.
    Lire développe la sensibilité et l’empathie

    Développer la sensibilité, l’empathie, pouvoir se mettre à la place de l’autre… Voici autant de belles qualités que l’on peut développer en ayant le nez penché sur un livre. C’est d’ailleurs ce que des chercheurs ont constaté chez des enfants qui lisaient Harry Potter. Ceux qui s’identifiaient au héros de la saga avaient davantage de facilité pour ressentir de l’empathie face à une personne marginalisée.


    La lecture permet d'éveiller les bébés

    Les pédiatres américains recommandent aux parents de lire des histoires à voix haute au bébé, même tout petit. Les raisons ? Cela lui apprend un vocabulaire plus riche, développe ses sens et permet de passer un moment de proximité avec son papa ou sa maman.
    Le chemin du bonheur

    La lecture rend heureux, et ce sont les lecteurs qui en parlent le mieux. Pourquoi c’est bien de lire. Les mots revenus le plus souvent ? « Pour se détendre, pour s’évader, pour s’instruire.

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •