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Phares au fil du temps
Phares qui se dressent toujours fièrement face à la mer malgré les années et les intempéries
Symboles de sécurité et d’orientation, les phares sont des alliés pour les marins des mers et des océans depuis de nombreuses années.
Bien qu’elles perdent leur utilité au fil du temps, ces fières constructions donnent toujours l’impression de dominer les éléments.
Phare de Fastnet Rock, Irlande
Phare de Brest, France
Phare du canal Beagle, Argentine et Chili
Phare d’Andros, Grèce

Phare de Victoria Beach, Californie

Phare de Whiteford, Grande-Bretagne
Phare de Viavelez, Asturies, Espagne
Phare de Talacre, Pays de Galles
Phare de Sturgeon Bay, Wisconsin, Etats-Unis

Phare de Saint-Joseph, Michigan, Etats-Unis

Phare de Stangholmen in Lysekil
Phare de Schleswig-Holstein, Allemagne
Phare de Santander, Espagne

Phare de San Esteban de Pravia

Phare de St Mary’s, Grande-Bretagne

Phare de Porto, Portugal

Phare de Portland, Maine, Etats-Unis
Phare sous une aurore boréale, Islande
Phare du Petit Minou, Brest
Phare Old Scituate, Massachussetts, Etats-Unis

Phare de Newhaven Breakwater, Angleterre
Phare de Mouro, Espagne

Phare de Molnes, Norvège
Phare de Lange Nelle, Belgique

Phare de Holyhead, Pays de Galles
Phare de Kermorvan, Bretagne, France

Dernière modification par edenmartine ; 15/10/2014 à 09h20.
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Re : Phares au fil du temps
Magnifique images qui méritent une illustration par ce poème de Etienne CHAMPOLLION
Le phare
Au-delà de la terre et au-dessus des eaux,
Baignant en un berceau d’azur et de lumière,
Les poètes, toujours, auront comme chaumière,
Un phare enluminé de leurs frères oiseaux.
Ils sauront écouter discrètement les vagues,
Qui viennent discuter dans des fracassements,
Aux échos infinis de millier d’ossements,
Magiciens, dans la rime ils en feront des dagues !
Haut perchés dans l’éther ils seront aux marins,
Les voyants assurés et les divins oracles,
De la brume des cieux, de l’enfer aux miracles,
Qui naissent en secret dans des alexandrins.
Un pied dans l’océan, l’autre dans les étoiles,
Berçant dans des couleurs blanche, azur, rouge et nuit,
D’une plume, un pinceau ! à l’écume évanoui,
D’un ailleurs inconnu ils nous peindront des toiles.
Au sommet de leur tour il vole des parfums,
D’orient à l’Italie, exotiques et tendres,
De leur rayon intense à enflammer des cendres,
Ils nous clignoteront leurs effluves défunts.
Mais ils vivent aussi dans l’acre des tempêtes,
Aux heures où les cieux se déchirent en cris,
C’est alors dans ce froid que souvent sont écrits,
L’avatar et l’amour sous les mains des poètes.
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