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    L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole



    Pétrole/26 Juin 2016
    La victoire du Brexit fait baisser les prix

    Les cours pétroliers ont fortement baissé vendredi dernier, suivant
    la débâcle générale des marchés à la suite du vote britannique en
    faveur d'une sortie de l'Union européenne (UE), même si ses
    conséquences n'étaient pas évidentes pour le marché de l'or noir.

    Younès Djama - Alger (Le Soir) - Le cours du baril de référence (WTI)
    pour livraison en août a perdu 2,47 dollars, soit environ 5%, à 47,64
    dollars sur le New York Mercantile Exchange, qui a annoncé son niveau
    de clôture avec une demi-heure de retard sur l'horaire habituel.
    A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en
    août a reculé de 2,50 dollars, là aussi un déclin de quelque 5%, à 48,41
    dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE). «C'est largement lié à tout
    ce qui s'est passé depuis hier en Europe, c'est-à-dire le vote britannique
    pour quitter l'UE», a résumé à l’AFP Bart Melek, de TD Securities.
    «Cela a attisé les craintes pour la croissance mondiale.» Les marchés
    financiers étaient dans l'ensemble pris de court vendredi par la victoire
    du Brexit au référendum de la veille, avec sur les Bourses européennes
    des chutes du même ordre de grandeur qu'au moment de la faillite de
    la banque américaine Lehman Brothers en 2008. En ce qui concerne le
    pétrole, les investisseurs se demandent «ce qui va se produire (...)
    en premier lieu pour l'économie mondiale» et donc la demande en énergie,
    a souligné Gene McGillian, de Tradition Energy. Autre conséquence de ce
    scrutin, l'euro et la livre britannique chutaient sur le marché des changes,
    alors que «le dollar monte au détriment d'actifs comme le pétrole», comme
    l'a noté M. Melek.
    Les échanges pétroliers pâtissent en général de la force
    du billet vert car ils sont libellés en monnaie américaine et deviennent donc
    moins intéressants pour les acheteurs munis d'autres devises. Malgré ce
    contexte défavorable, les observateurs remarquaient dans l'ensemble que
    les cours pétroliers limitaient leurs pertes par rapport à des actifs plus
    directement concernés, comme les actions européennes. «Même si le marché
    du pétrole a fortement baissé, il s'est un peu stabilisé et se maintient au-dessus
    de ses plus bas niveaux de la semaine précédente», a souligné M. McGillian.
    «Mais vu les incertitudes, on ne peut vraiment pas établir si le Brexit est désormais complètement intégré dans les cours», a-t-il reconnu.

    Y. D.
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    Les cours bloqués sous les 50 dollars



    Marché pétrolier

    le 02.07.16|10h00

    Les cours pétroliers mondiaux restent invariablement bloqués sous
    le seuil psychologique des 50 dollars le baril, malgré quelques
    perspectives de réajustement du marché et de relative contraction
    des excédents d’offre mondiale de brut.
    Dans la journée d’hier,
    les cours restaient encore sur leur glissade de jeudi, subissant
    notamment les effets de la nette appréciation du dollar, suite à une
    intervention du gouverneur de la Banque d’Angleterre (BoE)
    Mark Carney. Vers 10h GMT, rapportait ainsi l’AFP, le baril de brent
    de la mer du Nord pour livraison en septembre, dont c’est le premier
    jour d’utilisation comme contrat de référence, évoluait autour de
    49,59 dollars sur l’InterContinental Exchange (ICE) de Londres,
    perdant 12 cents par rapport à la clôture de la veille.
    Sur le New York
    Mercantile Exchange (Nymex), le prix du baril de light sweet crude (WTI),
    pour livraison en août, reculait pour sa part de 13 cents pour s’établir à
    48,20 dollars. «Il semble ce jeudi que les prix du brut ont atteint des
    niveaux non viables avec un dollar qui s’est renforcé dans le sillage de
    commentaires accommodants de Mark Carney», observaient
    Michael van Dulken et Augustin Eden, analystes chez Accendo Markets.

    Le gouverneur de la BoE, faut-il en effet le souligner, avait prévenu
    avant-hier que la Banque centrale britannique pourrait assouplir sa politique
    monétaire dès cet été, comme une réponse exceptionnelle à la décision
    du Royaume-Uni de quitter l’Union européenne. Aussi, l’annonce par la
    Banque d’Angleterre qu’elle allait mettre en place des opérations de prêts
    aux banques hebdomadaires pour trois mois et les propos de Mark Carney
    laissant attendre de nouvelles mesures d’assouplissement monétaire dès
    cet été ont plombé la livre et même l’euro, tout en profitant à l’inverse au dollar.
    Aussitôt, la hausse de la monnaie américaine n’a pas manqué de peser sur
    les achats de brut, libellés en dollar, les rendant plus coûteux pour les
    investisseurs disposant d’autres devises.
    Outre cette appréciation du billet vert,
    d’autres facteurs ont également contribué, ces quelques derniers jours, à freiner
    la reprise espérée des cours, dont notamment un accès de prises de bénéfices
    avant un long week-end aux Etats-Unis et le début de négociations destinées à
    éviter une grève des travailleurs de l’industrie pétrolière en Norvège.
    S’y ajoutent,selon des analystes du marché, les derniers avertissements de
    Goldman Sachs, selon lesquels la normalisation de la production pétrolière
    nigériane va compromettre l’actuelle estimation de la banque d’un prix du
    pétrole à 50 dollars au second semestre de 2016.

    Akli Rezouali
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    Post Les multiples visages de la crise

    Les multiples visages de la crise

    Chute des cours du pétrole
    le 09.07.16|10h00


    Plusieurs membres de l’Opep pourraient emprunter
    le chemin du FMI, de l’avis même de cette institution.



    La Russie s’est mise à vendre ses bijoux pour faire face à la chute des prix
    du pétrole. En effet, l’Etat russe a lancé la vente en Bourse de 10,9% du géant
    des diamants Alrosa, qui constitue la première cession d’actifs publics du plan
    de privatisation décidé par le gouvernement après la chute des prix du pétrole.
    Le premier producteur mondial de diamants annonce avoir commencé à recueillir
    les offres des investisseurs pour 802 millions d’actions détenues par l’Etat, selon
    un communiqué diffusé par la Bourse de Moscou.
    Les 10,9% d’actions proposées
    à la vente correspondent à une valeur de 54 milliards de roubles, soit environ
    760 millions d’euros. Selon les sources citées par les médias russes, le résultat de l’opération devrait être connu lundi. Actuellement, le groupe basé en Iakoutie est
    détenu à 44% par l’Etat fédéral et à 25% par la région de Iakoutie.
    Une part de 16%
    a déjà été mise en Bourse en 2013, mais l’opération avait donné des résultats
    décevants. L’Etat russe compte utiliser les fonds tirés de l’opération pour ses
    dépenses budgétaires. Fin 2015, sur fond de crise liée à la chute des cours du brut,
    le gouvernement russe a décidé de lancer un vaste programme de cessions d’actifs
    publics pour combler le trou béant laissé dans le budget par la chute des cours du
    pétrole, qui constitue une grande partie de ses revenus.
    Ces opérations devraient concerner, outre Alrosa, les producteurs de pétrole Rosneft et Bachneft. Même si
    tous les pays pétroliers ont été touchés de plein fouet par la crise de la chute des
    cours, certains résistent mieux que d’autres. L’Irak, un des membres de l’Organisation
    des pays exportateurs de pétrole, a d’ores et déjà entamé les procédures pour recevoir
    les premiers prêts du Fonds monétaire international (FMI).
    Cette institution de Bretton Woods vient d’approuver une ligne de crédit de 5,3 milliards de dollars en faveur de
    l’Irak, secoué très fortement par la baisse des prix du pétrole. Selon les clauses du
    contrat imposé par le FMI, les autorités irakiennes bénéficieront immédiatement d’un premier prêt de 634 millions de dollars et devront mettre en œuvre des réformes économiques afin d’obtenir les autres tranches du prêt étalé sur trois ans. Cependant,
    dans un communiqué, le FMI n’a pas caché son inquiétude quant aux «importants» arriérés de paiement accumulés par le pays, qui peine à faire face à ses obligations financières.
    En juillet 2015, le Fonds monétaire international avait déjà accordé à l’Irak
    un prêt de 1,2 milliard de dollars pour l’aider à redresser ses finances publiques.
    Plusieurs autres membres de l’Opep pourraient emprunter également le chemin du
    FMI, de l’avis même de cette institution. Dans un récent rapport sur l’Algérie et les monarchies du CCG (Conseil de coopération des pays du Golfe), le FMI a averti que l’Algérie, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn et Oman deviendront débiteurs sur la période
    2016-2020, leurs besoins de financement devant dépasser les réserves liquides dont
    ils disposent actuellement.
    Les projections de ladite institution prévoient aussi que les budgets de presque tous les pays non membres du CCG seront toujours déficitaires à
    la fin de la présente décennie. Au Venezuela, membre de l’Opep de l’autre bout du
    monde, le visage de la crise induite par la dégringolade des cours pétroliers est plus visible qu’ailleurs. Malgré ses abondantes réserves pétrolières, le pays sud-américain sombre
    la chute des cours l’a privé de devises et vidé les rayons des supermarchés et pharmacies, suscitant une grogne sociale croissante.
    Depuis la chute des cours du brut, amorcée à
    la mi-2014, le Venezuela traverse une grave crise économique. Près de 80% des produits de première nécessité sont désormais quasi introuvables, avec une inflation de près de 200%, la pire au monde et un surendettement suffocant… le pays est au bord de l’implosion. Signe d’un choc pétrolier ravageur, l’Arabie Saoudite, qui ne s’est jusqu’ici jamais endettée compte tenu des ses importantes réserves en devises, va pour la première fois de son histoire avoir recours au prêts extérieurs.
    Le pays a annoncé le mois dernier qu’il allait lancer dès juillet sa première émission obligataire 15 milliards de dollars.
    Le comportement dépensier des gouvernements des pays de l’Opep a précipité la banqueroute de plusieurs Etats, plus particulièrement de ceux dont les économies dépendent totalement des recettes des hydrocarbures. Les prix du brut ont perdu
    environ 60% de leur valeur depuis juin 2014, chutant de 110 dollars le baril
    à 47 dollars actuellement.

    Ali Titouche
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    La Russie devance l’Arabie Saoudite

    Production de pétrole
    le 25.07.16|10h00

    La production d’or noir de la Russie s’est chiffrée à 10,46 millions de barils.
    Elle devrait dépasser 10,8 millions de barils par jour cette année,
    soit un nouveau record pour la Russie post-soviétique.



    La production pétrolière de la Russie a dépassé celle de l’Arabie Saoudite
    en mai 2016, rapporte le service fédéral russe des statistiques Rosstat dans
    un communiqué, cité par l’agence de presse Sputnik. En effet, la production
    d’or noir de la Russie s’est chiffrée à 10,46 millions de barils par jour au mois
    de mai, tandis que celle du royaume saoudien a atteint 10,24 millions de barils,
    selon les chiffres avancés par Rosstat. Dans le même temps, la production
    quotidienne totale de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep),
    qui contrôle 40% de la production mondiale, s’est élevée à 32,36 millions de
    barils en mai. Ces derniers mois, la Russie, qui ne discute aucunement les
    questions de coordination avec l’Opep, selon les propos de son ministre de l’Energie,
    ne cesse d’augmenter sa production d’or noir, participant ainsi à la bataille acharnée
    entre pays producteurs pour conserver leurs parts de marché alors que les cours ont plongé au plus bas niveau en 12 ans. En Russie, Alexander Novak table sur une
    hausse d’environ 1,5% de la production de pétrole cette année, ce qui marquerait un nouveau record.
    La production russe devrait dépasser 10,8 millions de barils par jour
    cette année, soit un nouveau record pour la Russie post-soviétique. De son côté,
    l’Opep menée par l’Arabie Saoudite continue à produire à des niveaux records.
    Comme lors de la réunion Opep et non Opep, en avril à Doha, l’Organisation a
    maintenu en l’état début juin dernier à Vienne son niveau de production actuel,
    contribuant indirectement à alimenter les excès de l’offre mondiale.
    Dans son dernier rapport mensuel publié début juillet, l’Opep fait état d’une hausse de 264 100 barils
    par jour de la production de ses 14 pays membres pour atteindre 32,858 millions de baril/jour en juin. Dans ce contexte, les espoirs d’une possible réduction de l’offre
    mondiale, toujours surabondante, sont minimes. L’excédent s’est chiffré à 2,52 millions
    de barils par jour au premier trimestre 2016. Face au statu quo, le ministre russe de l’Energie a jugé que les objectifs de coopération de son pays avec l’Opep se résument désormais en un échange d’informations et d’analyses sur le marché pétrolier.

    La question des prix constitue l’un des points d’achoppement entre les pays. Alors que
    le ministre saoudien du Pétrole pense que l’industrie pétrolière a besoin d’un prix
    supérieur à 50 dollars le baril pour soutenir les investissements, Alexander Novak
    s’attend à ce que les cours évoluent dans une fourchette de 40 à 50 dollars cette année. Interrogé sur une éventuelle nouvelle rencontre avec les dirigeants saoudiens, le ministre russe de l’Energie a répondu qu’il allait «probablement» rencontrer le nouveau ministre saoudien en Algérie en septembre, à l’occasion de la tenue d’une réunion ministérielle
    du Forum international de l’énergie.

    Hocine Lamriben
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    Le pétrole achève la semaine en nette hausse

    Le brent au-dessus de 47 dollars
    le 14.08.16 | 10h00


    Les cours de l’or noir ont achevé la semaine de cotation, vendredi, sur une note d’optimisme,
    affichant des valeurs au-dessus de 47 dollars à Londres, place de cotation du pétrole algérien.


    Un seuil inespéré jusqu’alors, après la dégringolade qu’ont connue les cours
    durant le mois de juillet et la première semaine du mois d’août. Les espoirs
    fondés sur la réunion d’Alger, prévue fin septembre entre pays Opep et non Opep, maintiennent les cours sur une courbe haussière malgré des indices encore
    probants d’un excédent de l’offre.
    La semaine aura été en tout cas tumultueuse,
    imprimant aux cours du pétrole une cadence hachurée de baisses et de remontées éphémères, avant que l’optimisme ne gagne la partie en fin d’échanges, lors de la
    dernière journée de cotation, suite aux déclarations du ministre saoudien de l’Energie
    qui affichait un penchant inattendu de l’Arabie Saoudite pour l’option du gel de la production. Les prix ont ainsi regagné des sommets dès jeudi, bondissant de façon spectaculaire en raison des propos du ministre saoudien rapportés par les médias.
    Khaled Al Faleh a déclaré que son pays, qui est le plus important producteur de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), pourrait prendre part à une
    action coordonnée pour aider à équilibrer le marché pétrolier.
    Des déclarations jugées
    de bon augure dans la perspective d’une réunion informelle de l’OPEP à Alger,
    annoncée en début de semaine. Le brent a ainsi clôturé la séance de cotation de
    vendredi à 47,19 dollars tandis que le WTI a atteint le même jour 44,72 dollars, son
    plus haut en trois semaines. «La raison pour laquelle le sentiment s’est retourné pour
    la première fois depuis le vote en faveur d’un Brexit fin juin au Royaume-Uni, c’est
    que l’on est de nouveau optimistes quant à la solidité de la demande et à une
    stabilisation de l’offre», a résumé un analyste cité par les agences de presse. Les
    cours avaient chuté en juillet, face à la prise de conscience du niveau toujours élevé
    de l’offre ainsi qu’aux incertitudes sur la demande, et ils tentent désormais de se
    redresser tout en observant des fluctuations importantes depuis le début du mois
    d’août.
    L’annonce en début de semaine d’une réunion extraordinaire de l’Opep a
    relancé les espoirs d’un accord de gel de la production, après l’échec d’un sommet
    en ce sens en avril entre la Russie et la plupart des membres de l’Organisation. Dans
    le même ordre d’idées, les observateurs n’étaient pas tous d’accord sur les conclusions
    à tirer sur le marché d’une série de trois rapports mensuels, respectivement publiés
    cette semaine par le département américain de l’Energie, l’OPEP et l’Agence
    internationale de l’énergie (AIE), bras énergétique de l’OCDE.
    Dernier en date, jeudi,le rapport de l’AIE a certainement alimenté la hausse des cours
    en annonçant qu’«il n’y aurait pratiquement aucune surabondance au second semestre»,
    a souligné un expert du marché.


    Zhor Hadjam
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    Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole

    Le pétrole poursuit son ascension





    Le prix du baril du pétrole Brent (référence pour le Sahara Blend algérien) a poursuivi son rebond, ce lundi 15 août, dépassant la barre des 48 dollars en séance à la bourse ICE de Londres. À 19h30, le baril gagne près de 2% à 48,11 dollars.Les déclarations, jeudi dernier, du ministre saoudien du Pétrole, Khalid al Falih, continuent à faire leur effet après la trêve du week-end. En effet, le représentant de l’Arabie saoudite s’est montré ouvert à des discussions visant à stabiliser le marché et soutenir les cours, lors d’une rencontre prévue à Alger le mois prochain. Un changement de ton inattendu de la part du premier producteur de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole.De son côté, le ministre russe de l’Énergie, Alexander Novak a reporté à 2017 toute perspective de stabilisation du marché pétrolier mondial. Cette affirmation n’a pas affecté les cours du brut outre mesure.
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    Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole

    Le pétrole en hausse après la publication des chiffres des stocks américains



    Le pétrole Brent (référence pour le Sahara Blend algérien) est en forte hausse, ce mercredi 17 août, à la Bourse ICE de Londres, dépassant les 49,6 dollars en cours de séance à 17h (heure locale). Le baril prend plus de 1% en cette fin de journée, réagissant à la publication des chiffres des stocks de brut américains.Baisse surprise des stocks

    L’agence américaine de l’information sur l’énergie (EIA) a publié, aujourd’hui, le niveau hebdomadaire des stocks américains. Il en ressort un net repli surprise de 2,5 millions de barils, alors que les analystes anticipaient une légère hausse de 410 000 barils. Pour les stocks de produits raffinés (essence) sont également en forte baisse, de près de 2,7 millions de barils. La semaine dernière, ils avaient déjà baissé mais dans des proportions moindres.
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    Re : L'Actualité du Prix du Baril de Pétrole

    Le pétrole passe la barre des 50 dollars

    Ce n’était plus arrivé depuis 6 semaines. Le baril de Brent (référence pour le Sahara Blend algérien) a clôturé la séance, ce jeudi 18 août à la Bourse de Londres, au-dessus de la barre symbolique des 50 dollars.Après une 6e séance de hausse consécutive, le pétrole brut a gagné 2,2% aujourd’hui, atteignant les 50,88 dollars le baril. Reste à savoir si la tendance va se poursuivre et si cette hausse tiendra jusqu’à la trêve du week-end, vendredi soir.Les cours sont toujours soutenus par la perspective d’un accord, en septembre prochain à Alger, entre les principaux pays pétroliers du monde, sur une réduction de la production de brut.Par ailleurs, la tension sur le dollar retombe après le report d’une hausse des taux d’intérêt directeurs de la Réserve fédérale (banque centrale) américaine. En effet, la Fed n’a pas atteint un consensus sur le relèvement de ces taux avant 2017, poussant la valeur du dollar à la baisse. Ainsi, le « billet vert » est en recul face à l’euro, soutenant les cours du brut.
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    Post Les prix en ballottage

    Les prix en ballottage
    Marché pétrolier
    le 06.09.16 | 10h00

    Les prix du pétrole sont repartis à la hausse
    hier, à Londres comme à New York.
    **Contenu caché: Cliquez sur Thanks pour afficher. **
    Ils ont bondi de quelque 5% dans la matinée après une déclaration commune
    signée par les ministres saoudien et russe de l’Energie en marge du sommet
    du G20 à Hangzhou, en Chine. Les deux pays producteurs se sont engagés
    hier à une «étroite coopération entre pays exportateurs pour soutenir la stabilité
    du marché du pétrole», sans se prononcer sur la possibilité d’un gel du niveau
    de leur offre discutée sans succès en début d’année.
    Dans le sillage dudit accord,
    les cours du brut ont retrouvé toute leur vigueur, bondissant de plus de 2 dollars
    durant les échanges de la matinée. Les deux colosses de la production pétrolière
    mondiale ont repris langue, six mois après l’échec des pourparlers de Doha.

    Dans une déclaration commune qualifiée d’historique par le ministre russe de
    l’Energie, Alexandre Novak, les ministres ont reconnu «l’importance d’un dialogue constructif et d’une coopération étroite entre les principaux pays exportateurs afin
    de soutenir la stabilité sur le marché du pétrole et garantir un niveau constant d’investissements sur le long terme».
    Aussitôt, les marchés se sont sentis fiévreux,
    mais gardaient la tête froide, bien que l’engagement russo-saoudien ait été suivi par
    la mise sur pied d’un groupe de travail chargé de présenter «des recommandations concernant les mesures et les actions communes à prendre pour garantir la stabilité
    et prédictibilité du marché».
    Certains autres producteurs du Conseil de coopération
    des pays du Golf (CCG), à l’instar des Emirats arabes unis et du Koweït, se sont illico presto laissés embarquer dans cette vague d’optimisme naissant après plusieurs
    semaines de déprime sur les marchés.
    Cependant, l’absence d’un accord clair sur le
    gel de la production a aussitôt refroidi les ardeurs, renvoyant la suite des conciliabules
    à la réunion des producteurs prévue à Alger à la fin du mois en cours. Il y a bon espoir
    que la réunion d’Alger aboutisse à un début de réaction des pays producteurs.

    En effet, à trois semaines de ladite réunion des 14 pays de l’OPEP, en marge d’un
    Forum énergétique à Alger, cette reprise du dialogue russo-saoudien apparaît à
    beaucoup d’analystes comme particulièrement opportuniste, sans que cela ne préjuge d’une quelconque action concrète le jour venu. Certains analystes estiment que si
    accord il y a, il doit être global en incluant plusieurs des poids lourds de l’Opep,
    dont l’Irak et l’Iran, ainsi que d’autres producteurs non Opep.
    Bien que l’Algérie ne
    lésine sur aucun moyen logistique et diplomatique pour la réussite de son forum,
    l’espoir d’une réaction immédiate est fragile, quand bien même les deux poids lourds
    de l’offre mondiale se soient réconciliés. Alors que les Saoudiens restent scotchés
    à une ligne défendue à cor et à cri depuis une longue date, les Irakiens pompent à
    plein régime, à l’heure où les Iraniens, qui reviennent depuis peu sur le marché, ne
    jurent que par leur droit à retrouver leur quota d’avant les sanctions occidentales.

    De son côté, la Russie était favorable à l’option d’un gel de la production, tout en
    répétant néanmoins, par la voix de son ministre Alexandre Novak, que l’Iran devait
    pouvoir augmenter ses volumes d’extraction.
    Face à de telles positions, les débats promettent d’être houleux à Alger. Après s’être entretenu avec son homologue
    iranien Bijan Zanganeh, le ministre de l’Energie Noureddine Bouterfa s’est réuni, hier
    à Doha, avec le ministre qatari de l’Energie et de l’Industrie, Mohammed Saleh Al Sada,
    et le secrétaire général de l’Opep, Muhammed Sanusi Barkindo, pour discuter de la situation du marché pétrolier en prévision de la réunion informelle de l’Opep, prévue
    le 27 septembre à Alger.
    Ne souffrant d’aucune ambiguïté, Alger cherche à concilier les pays producteurs entre la nécessité de parvenir à des solutions consensuelles
    susceptibles de «stabiliser le marché pétrolier à un niveau de prix acceptable», selon Noureddine Bouterfa. Lors d’une conférence de presse commune, M. Boutarfa a jugé qu’«un prix du pétrole inférieur à 50 dollars n’est pas acceptable et n’est favorable ni
    aux pays producteurs ni à l’économie mondiale dans son ensemble».
    Tous les regards
    sont rivés sur Alger, un test de volonté pour chacun des pays producteurs.


    Ali Titouche
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    Post Pétrole-Chute de 22% des investissements pétroliers en 2016

    Pétrole
    Chute de 22% des investissements pétroliers en 2016


    le 21.09.16 | 10h00

    Les investissements dans le secteur pétrolier s'effondrent en raison de la baisse des prix du brut, ce qui
    représente une menace pour l'avenir, a averti hier, à Rome, le secrétaire général de l'OPEP, Mohammed Barkindo
    .


    Les investissements dans l'exploration pétrolière ont diminué de 26% en 2015
    et une «baisse supplémentaire de 22% est attendue cette année», a-t-il déclaré
    lors d'une conférence organisée par ENI, le groupe énergétique italien.
    Pour renverser cette tendance, «le processus de rééquilibrage du marché doit
    être accéléré», a-t-il souligné, ajoutant que la prochaine réunion informelle
    de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, prévue le 27 septembre
    à Alger, en serait l'occasion.
    Producteurs et consommateurs de pétrole
    «doivent se retrouver tous ensemble pour répondre à ces défis majeurs qui
    représentent une menace pour l'avenir», a-t-il déclaré. Car pour répondre
    à une demande de quelque 94 millions de barils consommés chaque jour dans
    le monde, il faudra des investissements massifs de l'ordre de quelque
    10 000 milliards de dollars d'ici 2040, a affirmé M. Barkindo.


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