salam
c est quand meme bizarre que le corps ne soit pas retrouvé !
a quoi sert le geste des terroristes, s ils cachent le corps sa n a pas de sens !
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Hervé Gourdel : son guide s'excuse "de n'avoir rien fait" pour le sauver
10:49 OTAGES - Ce lundi matin sur RTL, le guide d'Hervé Gourdel a pris la parole et s'est excusé pour son impuissance lors du rapt qui a conduit à l'assassinat du Français.
"Je suis désolé (...) Ça reste dans ma tête". Ce matin, c'est la première fois qu'il s'expliquait devant les médias français. Un mois et demi après l'assassinat du Français Hervé Gourdel dans les montagnes algériennes, son guide, Oussama Dehedin, a pris la parole sur RTL. Le jeune homme de 23 ans s'est excusé au micro "de n'avoir pu rien faire" et évoque "le choc" ressenti lors de l'arrivée des terroristes.
Rencontre avec la famille
Libérés par ces derniers, les compagnons d'Hervé Gourdel ont eu beau se précipiter dans une caserne pour prévenir les militaires, ils resteront impuissants devant le rapt. Et assisteront, comme le monde entier, à l'assassinat du Français 48 heures plus tard.
Les deux hommes avaient pris contact sur Facebook, plus d'un an avant la randonnée qui a été fatale au guide de haute montagne. "Je voudrais bien parler avec sa femme pour lui expliquer ce qu'il s'est passé", a ajouté Oussama Dehedin au micro. Une rencontre qui pourrait avoir lieu bientôt, en Algérie. La famille d'Hervé Gourdel devrait en effet s'y rendre prochainement.
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"Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console"
"Qui que tu sois, viens, viens. Même si tu es un athée, c'est ici la demeure de l'espoir"
salam
c est quand meme bizarre que le corps ne soit pas retrouvé !
a quoi sert le geste des terroristes, s ils cachent le corps sa n a pas de sens !
Zgemma S2 openATV 6.0 hybrid c est l avenir.
et que pensent les services secrets francais et algeriens.....?
votre avis messieurs nous sera trés précieux alors à vos plumes éclairéz nous pour une fois
Le chef terroriste Gouri Abdelmalek, éliminé, lundi soir, par les éléments de l’Armée Nationale Populaire(ANP) au cours d’une opération en plein centre ville des Issers(20 km à l’est de la wilaya de Boumerdès) était à la tête de la nouvelle organisation terroriste Djund Al-Khilafa se proclamant de l’Etat Islamique (EI).Il dirigeait un groupe dissident d’Al-Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) qui était aussi à l’origine de l’attentat terroriste qui avait couté la vie à 12 militaires sur les hauteurs d’Iboudrarène (45 km au Sud-Est de la wilaya de Tizi Ouzou) le lendemain des dernières élections présidentielles.
Puis en septembre dernier, il était derrière l’enlèvement puis la décapitation de l’alpiniste français Hervé Gourdel dans les monts de Tikjda.
Gouri Abdelmalek, né en 1977 au village Boudhar dans la commune de Si Mustapha (Boumerdès), avait rejoint les groupes armés terroristes en 2000 après avoir fait partie d’un réseau de soutien.
De berger il est passé au statut de bras droit de l’émir d’AQMI, Abdelmalek Droukdel. Issu d’une famille paysanne dont il est l’aîné, Khaled Abou Selmane était un recalé du système scolaire puisqu’il avait quitté les bancs de l’école à sa 9e année pour devenir un berger.
Il avait été condamné en 1997 à une peine de 5 ans de prison pour soutien au terrorisme qu’il apportait pendant qu’il faisait paître les moutons près de son village. A sa libération en 1999, après avoir été gracié, il avait changé de métier pour devenir vendeur de volaille pas pour longtemps puisqu’il avait rejoint les groupes armés terroristes en 2000 à l’âge de 23 ans.
Il était parmi les premiers jeunes de son village à rallier les maquis terroristes avant qu’il ne soit suivi par plus d’une vingtaine d’autres dont ses fidèles amis, les frères Khelifi, Youcef et Mohamed. Il comptait même un frère parmi ses acolytes avant qu’il ne soit arrêté par les services de sécurité.
Fort de ses soutiens parmi ces jeunes de son village, en 2005 Droukdel l’avait désigné comme chef à la tête de la phalange Al-Arkam activant au Sud et à l’Ouest de la wilaya de Boumerdès. Une phalange qui a été derrière presque de toutes les attaques terroristes dont les opérations kamikazes ayant ciblé des édifices de sécurité entre 2007 et 2011 en plus des assassinats perpétrés contre des membres des forces de sécurité dont d’anciens patriotes et les GLD.
Son nom de maquis, Abou Selmane figure presque dans tous les arrêts de renvoi des affaires de terrorisme traitées par le tribunal criminel de Boumerdès. La justice l’avait même condamné par contumace à la peine capitale à maintes reprises.
Par son élimination dans une opération minutieusement préparée par les forces de l’ANP sur la base de précieux renseignements en relation avec ses mouvements dansa sa région natale, c’est un coup dur qui vient d’être porté aux groupes armés terroristes qui sévissent encore dans les maquis.
Il a été abattu non loin de l’école supérieure de la gendarmerie nationale des Issers, l’une des cibles des ses attentats kamikazes perpétrée le 19 août 2008 faisant 43 morts et 38 blessés.
Pour avoir félicité les actes de terrorismes, des arrestations pour apologie au terrorisme ont été effectuées en France.
Alors qu’a lieu en ce moment une marche historique sur Paris réunissant des milliers de personnes dont près de 44 chefs d’états, l’heure n’a pas toujours été à l’unité nationale. Alors que le hashtag #JesuisCharlie battait des records dans le monde, le hashtag #jesuisKouachi (en référence aux deux terroristes) faisait lui, place à l’apologie du terrorisme. De nombreux internautes sur Twitter ont notamment chanté les louanges des frères Kouachi.
Des tweets qui ne sont pas passés inaperçus puisque des interpellations ont eu lieu. D’abord hier, lorsqu’un jeune homme de 19 ans a salué l’attentat du Charlie Hebdo sur les réseaux sociaux. Des élèves l’ont ensuite pris à parti pendant la minute de silence observée dans son lycée, et a ensuite été emmené au commissariat.
Une arrestation à Strasbourg
Autre interpellation, celle d’un homme de 30 ans vivant à Strasbourg a été arrêté après avoir posté sur son compte facebook une kalashnikov avec des messages de soutien aux terroristes. Ce dernier nie avoir posté la photo, et n’a pas su s’expliquer.
Des peines pouvant atteindre 100.000 euros et 7 ans de prison
En dehors de ces deux cas, d’autres interpellations sont peut-être à venir avec de nombreux messages postés sur les réseaux sociaux. La police nationale avait indiqué qu’il était possible de dénoncer les propos choquants via la plateforme «PHAROS », mise en place pour recenser les propos faisant l’apologie du terrorisme.Il faut rappeler que l’apologie du terrorisme, peut aller de 100.000 euros d’amende jusqu’à 7 ans de prison. Selon le journal le Monde, « Bernard Cazeneuve a indiqué aux préfets que 3 721 messages faisant l’apologie des attentats avaient été recensés sur les réseaux sociaux depuis l’attaque« .
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"Qui que tu sois, viens, viens. Même si tu es un athée, c'est ici la demeure de l'espoir"
Vraiment tarès les mecs, beaucoups prennent les kouachis pour des heros c'est sur, mais aller l'ecrire sur des reseaux sociaux en dit long sur leurs intelligence
Si Dieu existe, j'espère qu'il a une bonne excuse
Woody Allen
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À 7h00 ce matin, une équipe de la police judiciaire composée d’une dizaine d’agents (il faut bien ça pour maîtriser la bête immonde) est venue interpeller Dieudonné à son domicile devant ses enfants.
Dieudonné a été placé en garde à vue sur ordre du ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, au motif que Dieudonné aurait fait l’apologie du terrorisme dans un tweet.Rappelons que Dieudonné propose la paix au gouvernement Valls depuis plus d’un mois et que ce dernier reste toujours silencieux ; mieux, il l’attaque avec virulence à la première interprétation de travers.
Liberté d’expression : un journaliste de la BBC risque d’être viré pour avoir prononcé le mot en P !
En ces temps si propices à la liberté d’expression, un fait assez cocasse s’est produit ces derniers jours. Un journaliste britannique a en effet dépassé les bornes…
Suite au concerto politico-médiatique offert la semaine dernière en hommage aux victimes des attentats de Paris, la France entière, capitale du monde, s’est levée comme un seul homme afin de braver le danger du plan écarlate clignotant et de manifester contre ceux qui veulent fixer des limites à la liberté d’expression, tentant ainsi de museler nos libertés fondamentales.
La presse internationale a bien évidemment fait le voyage jusqu’à Paris afin de couvrir cet événement majeur qui restera gravé dans le marbre de l’histoire de l’humanité jusqu’à la fin des temps. 17 morts, cela n’arrive pas tous les jours. Et 4 millions de personnes qui déambulent dans les rues pour s’offusquer de ces 17 décès, c’est encore plus inhabituel.
La vraie question, finalement, c’est de savoir où étaient les 60 autres millions ? Que faisaient-ils ? Préparaient-ils des plans machiavéliques pour nuire à la sacro-sainte liberté d’expression ? S’ils ne sont pas Charlie, qui sont-ils ? Doit-on les craindre ? Doit-on les pourchasser ? Les réintégrer ? Les reprogrammer ? Les exterminer ? Attendons que le Gouvernement et les médias nous disent ce que nous devons faire. Ce serait faire preuve de la plus grande sagesse.
Parmi ces journalistes internationaux, Tim Willcox, de la BBC. Au cours d’une entrevue, une femme lui confiait ses impressions et lui parlait de la souffrance juive. Soudain, le journaliste se mit à trembler, ses yeux rougirent, il cracha du sang par terre, ses canines croissant et ses mains se raidissant comme pour étrangler la victime avant de lui croquer la jugulaire.
« Et qu’en est-il des souffrances palestiniennes ? », l’interroge alors le mutant anglo-saxon.
C’en est trop. Il l’a fait ! Il a osé… Le ventre est toujours fécond ! Il a dit le mot qui commence par P et qui suinte la Haine !!
Ni une ni deux, les brigades de la liberté d’expression à géométrie variable enclenchent la machine à bâillon et font raisonner les tambours de guerre.
Certes, il s’agissait-là d’un événement tout à fait singulier : une manifestation populaire de grande ampleur en faveur de la liberté d’expression. Certes, ce journaliste n’avait semble-t-il pas d’antécédents. Mais au vu de ce qui peut se produire lorsqu’on laisse un brin d’herbe et un coin d’étable à la Bête Immonde, c’est la tolérance zéro qui s’impose !
Est-ce que ce pseudo-journaliste est un luminophobe notoire ? Est-il petit-fils d’un dirigeant influent du Troisième Reich ? Combien de terroristes cache-t-il dans sa cave ? A-t-il déjà financé le terrorisme international ? Quels sont ses contacts ?
L’intéressé a bien évidemment tenté de présenter ses plus humbles excuses sur Twitter :
Really sorry for any offence caused by a poorly phrased question in a live interview in Paris yesterday - it was entirely unintentional
source : Attentats : plus de 50 actes anti-musulmans en quatre jours - Le Point
Le Conseil français du culte musulman s'alarme de l'explosion des agressions islamophobes depuis l'attentat contre "Charlie Hebdo".
La salle de prière de la mosquée d'Aix-les-Bains a été incendiée après l'attentat contre "Charlie". © JEAN-PIERRE CLATOT / AFP
Plus d'une cinquantaine d'actes anti-musulmans ont été relevés en France depuis l'attentat djihadiste contre Charlie Hebdo mercredi, annonce lundi l'Observatoire contre l'islamophobie du Conseil français du culte musulman (CFCM), qui appelle l'État à "renforcer la surveillance" des mosquées. Selon le président de cet observatoire, Abdallah Zekri, citant des chiffres du ministère de l'Intérieur, 21 actions (tirs, grenades lancées...) et 33 menaces (lettres, insultes, etc.) ont été comptabilisées depuis mercredi. Ce décompte ne concerne pas Paris et sa petite couronne, et ne comprend pas le début d'incendie survenu dimanche soir sur le site de la mosquée en construction de Poitiers, a précisé le responsable musulman.
"Je suis scandalisé par cette montée de l'islamophobie alors que nous avons marché hier (dimanche) dans le calme et la sérénité, tous côte à côte, dans la diversité des manifestants, et que nous avons clairement condamné le terrorisme", a-t-il ajouté. Selon lui, de tels chiffres en seulement cinq jours constituent "du jamais-vu". De fait, les dernières données disponibles, basées sur les plaintes effectivement recensées par la police ou la gendarmerie, faisaient état d'un total de 110 actes (actions et menaces) pour les neuf premiers mois de 2014, en baisse par rapport à la même période de 2013 (158).
"Il faut renforcer la surveillance" des lieux de culte musulman, des sites internet et des réseaux sociaux, "contre la haine et la vengeance qui s'exercent actuellement", a souligné Abdallah Zekri. "Même la Grande Mosquée de Paris (GMP), symbole de l'islam en France, ne fait pas l'objet d'une garde particulière", a déploré ce conseiller du recteur de la GMP. "Il y a eu ces derniers jours, et ce n'est pas nouveau, des lieux de culte, des mosquées, qui ont subi des dégradations, même des tirs de balles. Et nous nous préoccupons de cela, et le ministre de l'Intérieur l'a déjà assuré, nous faisons en sorte de protéger également ces lieux de culte", a déclaré le Premier ministre Manuel Valls à la sortie de l'audience solennelle de la Cour de cassation. "Tous les citoyens de notre pays doivent avoir la protection de l'État, des forces de l'ordre, n'en doutez pas un seul instant", a-t-il ajouté.
AFP / LE POINT.FR