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Discussion: Google

  1. #11
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    Re : Google

    Google en passe de lancer son propre bouquet de chaînes payantes dès février ?




    A en croire le site TheStreet, le géant américain aurait signé un accord final avec CBS (depuis octobre), Disney, le conglomérat Viacom et 21st Century Fox dans l’optique d’un lancement dès février de son propre bouquet de chaînes payantes : « Google Unplugged ». Time Warner serait lui, au stade des négociations avec Google concernant les droits de diffusion de sa chaîne premium HBO.
    Ce service de diffusion vidéo serait exploité par le service YouTube de Google et rejoindrait un nombre croissant d’offres de VOD et son abonnement mensuel s’élèverait à environ 40 dollars.
    Du côté de Youtube, un porte-parole aurait déclaré : « La société ne fera aucun commentaire s’agissant de rumeurs et de spéculations ».
    Initialement, la présentation de ce service de diffusion vidéo était programmée lors du CES 2017 à Las Vegas mais des « retards technologiques non précisés et la nécessité de finaliser les contrats » ont repoussés l’échéance au mois prochain, affirme une source proche d’Alphabet.
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  2. #12
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    Re : Google

    Google favorise-t-il les publicités pour ses terminaux dans son moteur ?




    Google est sous le coup en Europe d'une enquête des autorités. La firme est soupçonnée de favoriser ses propres services en ligne en abusant de sa position dominante dans la recherche. D'autres activités du géant sont examinées de près, dont Android.

    Le régulateur pourrait ainsi s'intéresser un peu plus encore aux pratiques de Google dans la publicité et aux résultats d'une enquête du Wall Street Journal. Google monétise son moteur grâce à l'affichage de publicités. Mais la firme est également acheteuse de ses propres services publicitaires.

    Le marketing très ou trop fort pour place ses pubs ?

    Mais bénéficie-t-elle lors des enchères de faveurs au détriment des autres annonceurs ? C'est la question que pose l'étude du WSJ. Le quotidien a testé 25.000 requêtes en lien avec des produits vendus par Google, comme "enceintes", "montres" et "téléphones".

    Outre ses smartphones Pixel, Google commercialise notamment les thermostats de Nest ou une enceinte connectée concurrente d'Echo, Home. Objectif : observer comme les publicités relatives aux produits promus par la firme de Mountain View ou ses filiales apparaissaient sur le moteur de recherche.

    Et visiblement, Google place très bien ses produits. Selon le WSJ, plus de 9 fois sur 10, ceux-ci ou ceux des filiales d'Alphabet se classent de manière optimale au-dessus des résultats de recherche. Dans 43% des cas, les deux principaux emplacements publicitaires revenaient à des produits affiliés au géant.

    Pour le WSJ, il pourrait s'agir d'un conflit d'intérêts. A condition que la forte mise en valeur de ses publicités soit le fait d'un traitement de faveur. Google est en droit, comme d'autres clients, d'acheter des espaces publicitaires. Toutefois, les règles doivent être les mêmes.

    Google explique que sa présence dans les enchères n'affecte en rien le système. Une porte-parole assure à Fortune que son programme de marketing a été "consciemment et soigneusement conçu" afin de ne pas avoir d'impact sur les autres annonceurs.

    Le WSJ n'est manifestement pas convaincu. Le journal constate que peu après avoir partagé ses conclusions avec Google, le 15 décembre, nombre des publicités relatives à ses produits avaient disparu.

    Une nouvelle étude menée une semaine plus tard confirmait un changement très significatif puisque les publicités Google ou Nest ne figuraient plus en première place que dans moins de 20% des recherches.
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  3. #13
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    Re : Google

    Google veut mettre son intelligence artificielle dans les Raspberry Pi




    Les ingénieurs de Google veulent rendre disponibles des briques de leurs outils de machine learning et d’intelligence artificielle à la communauté des makers utilisant le minuscule ordinateur.

    Le Raspberry Pi confirme son rang de carte incontournable : après les Microsoft, Amazon ou Facebook, Google veut se faire une place au cœurs des solutions logicielles du nano ordinateur le plus célèbre du monde. Le blog officiel de la fondation Raspberry Piannonce que Google a ouvert un long questionnaire à destination de la communauté des makers travaillant avec la petite carte d'origine britannique.


    Le premier objectif affiché est de proposer assez rapidement des briques d’intelligence artificielle et de machine learning capables de fonctionner avec le modeste processeur embarqué par les Raspberry Pi. Google semble dans les starting blocks puisqu’il demande aux makers, dans ce questionnaire, quels sont les projets sur lesquels ils pensent avancer dans les 6 mois qui arrivent.



    Google semble ratisser large quant aux projets, le questionnaire abordant un grand nombre de sujets, de l’internet des objets (IoT) en passant par la robotique, les technologies de reconnaissance de voix/texte/visage/sentiments en passant par la domotique, les drones ou les projets visant à palier des handicaps. Puisque le monde du Raspberry Pi est en effervescence, Google délaisse les cannes à pêche au profit d’un grand chalut ! Selon la fondation Raspberry Pi, Google serait prêt à mettre à disposition ses puissants outils de navigation ou d’analyse prédictive. Charge à la communauté de les implémenter dans leurs projets quand ils seront disponibles.
    Raspberry Pi, le chouchou des géants du net

    Facebook a mis à disposition du code pour transformer un Raspberry Pi en chatbot, Amazon a ouvert un dépôt logiciel GitHub pour déployer son intelligence artificielle Alexa quand Microsoft est allé jusqu’à développer une version de Windows 10 dédiée à l’IoT : tous les géants du net développent ou portent des logiciels pour la petite carte de bidouilleurs.
    Une approche judicieuse puisque les développeurs qui implémentent ces solutions sont soit des professeurs, soit de futurs étudiants qui pousseront les technologies à leur tour. Espérons que ces offensives douces ne pervertissent pas, à terme, l’esprit d’ouverture et open-source de ce qui est, à la base, un projet d’ordinateur à bas coût à visée éducative.

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  4. #14
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    Re : Google

    Google et Facebook lancent leurs dispositifs anti « intox » en France.

    Les deux géants américains annoncent simultanément deux initiatives anti « fake news » avant la présidentielle.

    Après avoir perturbé le processus électoral américain, les fake news sont devenues l'ennemi public numéro 1. A l'approche des élections en France, deux géants d'Internet mettent en place coup sur coup des dispositifs pour lutter contre la désinformation.
    Google, à travers Google News Lab (sa division pour les médias) et First Draft (un réseau de médias) annoncent ce lundi le lancement de CrossCheck, un outil de vérification collaboratif pour limiter la diffusion d'informations trompeuses ou fallacieuses. Il doit commencer à fonctionner à la fin du mois (le 27 précisément), et jusqu'à l'élection présidentielle.
    « C'est la première fois que l'on expérimente une telle initiative sur un temps aussi long, souligne Jenni Sargent, directrice générale de First Draft News. Si ça marche bien, on espère que ça continuera.» Seize rédactions sont parties prenantes du projet (dont l'AFP, « Les Echos », « Le Monde », « France Télévisions », ou encore « La Provence » etc.), ainsi que plusieurs sociétés de technologie.
    Concrètement, le grand public pourra signaler des contenus douteux vus sur Internet, les réseaux sociaux etc. ou poser des questions via une plate-forme spécialisée, afin que les partenaires de CrossCheck puissent mener l'enquête et répondre aux demandes directement sur la plateforme. Certains médias pourront aussi publier des articles sur leurs propres canaux. Enfin, CrossCheck travaillera également avec des étudiants en journalisme.
    Pictogramme de signalement et articles correctifs

    Facebook est partenaire de ce projet et va notamment donner accès à CrowdTangle, un outils qui permet de détecter les informations ayant, par exemple, le plus de résonnance sur les réseaux sociaux. En parallèle, la firme de Mark Zuckerberg a également développé son propre outil de fact-checking . Après les Etats-Unis il y a quelques semaines puis l'Allemagne, le réseau social lance ce dispositif ce lundi en France, avec 8 rédactions partenaires.
    Le principe ? Lorsque les internautes tombent sur une information suspecte, ils le signalent à une plate-forme, à laquelle ont accès les médias. Ces derniers peuvent alors la vérifier. Si deux s'aperçoivent qu'il s'agit d'une fausse information, celle-ci est signalée ainsi par un pictogramme et un lien vers un article correctif sera éventuellement proposé. « Parallèlement, les sites diffusant des fausses informations auront une visibilité réduite », ajoute Edouard Braud, directeur des partenariats médias chez Facebook. Et une information « contestée » ne pourra bénéficier de publicité.
    Ces deux initiatives reposent donc à la fois sur les internautes et le bon vouloir des médias. En attendant de voir si elles portent leurs fruits, plusieurs médias français ont récemment renforcé leurs propres dispositifs de fact-checking (Les décodeurs au « Monde » et la nouvelle extension Decodex pour repérer les sites parodiques ou mensongers, Desintox à « Libération » ou Le vrai-faux aux « Echos »).


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  5. #15
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    Re : Google

    Musique : Google regroupe ses forces


    Google et sa filiale YouTube vont-ils enfin attaquer franco le marché du streaming de musique ? Peut-être, si l'on en croit « The Verge ». Apparemment, les équipes de YouTube Music et de Google Play Music auraient été rassemblées dans une seule unité. Pour l'instant, rien ne va changer pour l'utilisateur. Il y aura toujours une appli YouTube Music et une autre Google Play Music - auxquelles on avait accès en souscrivant à YouTube Red, un autre service musical de Google, payant cette fois. Mais tous ces services pourraient être fusionnés. Le marché du streaming est en train de se structurer.
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  6. #16
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    Re : Google

    Google propose la réalité virtuelle directement depuis son navigateur Chrome.

    La VR directement sur le web, c’est une possibilité qui pourrait très bientôt devenir une réalité.

    La réalité virtuelle se démocratise très doucement grâce aux casques VR sur smartphones, ordinateurs et consoles de salon. En décembre dernier Google avait déployé à petite échelle une version bêta de Chrome avec WebVR. Aujourd’hui, Google pense à rendre accessible cette technologie directement sur le Web grâce à la nouvelle mise à jour de Chrome qui comporte le WebVR.

    La réalité virtuelle plus facilement accessible
    WebVR progresse, le navigateur Chrome va enfin recevoir toutes les données relatives à la position et orientation du contrôleur ou smartphone. Suite à la sortie des casques et accessoires, l’heure est à la création des contenus. WebVR permet aux entreprises et créateurs de contenu de directement développer et distribuer leurs applications aux consommateurs sans passer par une boutique d’applications et sans restriction quant au modèle de casque utilisé. En effet, les développeurs n’auraient plus à créer plusieurs versions de leur contenu pour les différents casques.

    De premiers contenus sont d’ores et déjà promus par Google comme le documentaire interactif Bear 71, la filmothèque Within ou encore la collection de mondes VR interactifs WebVR Lab.

    Les partenaires actuels et à venir
    Pour l’instant, Google a développé sa technologie avec plusieurs éditeurs tels que Facebook Oculus et Mozilla Firefox. Microsoft travaille en ce moment pour Hololens sur le support de WebVR pour le navigateur Edge. Il ne manque plus qu’à patienter pour voir ce que présentera HTC Vive et Samsung Gear VR. Le Cardboard devrait, lui, bientôt être compatible dans les mois à venir. Chrome supporte pour l’instant le casque Daydream View qui, rappelons-le, fonctionne actuellement à l’aide d’un smartphone.
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  7. #17
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    Re : Google

    Gracias por toda la informacion

  8. #18
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    Re : Google

    Google est soupçonné de pratiques anticoncurrentielles contre Samsung

    google-959059_1920-1000x667.jpg

    En Corée du Sud, Google est soupçonné d’avoir empêché Samsung de développer son propre système d’exploitation pour remplacer Android.



    Google a-t-il empêché Samsung de développer son propre OS mobile ? C’est la question que se pose actuellement la KFTC, l’organisme sud-coréen qui veille au respect de la concurrence dans le pays. « Nous sommes en train de vérifier si Google a biaisé la concurrence dans le marché des systèmes d’exploitation », a expliqué un responsable de l’enquête cité par The Korea Times.

    Pour rappel, les deux entreprises ont signé le Mobile Application Distribution Agreement (MADA) qui oblige à disposer d’un terminal Android pour pouvoir y préconfigurer Google comme moteur de recherche par défaut et préinstaller la suite d’applications Google dessus.


    Elles ont également conclu le fameux accord anti-fragmentation qui interdit aux partenaires de la firme de Mountain View de développer leurs propres OS en intégrant les applications de Google (Play Store, Google Maps, etc.). Or, la KFTC affirme avoir découvert un élément suspicieux laissant entendre que le géant du web outrepassait ses droits, obstruant ainsi ceux de Samsung.

    Google Corée du Sud a réagi à cela en affirmant qu’Android « est une plateforme open source. Tout le monde peut utiliser Android sans Google ». La preuve, avec l’existence de l’interface MIUI développée par Xiaomi, basée sur Android, mais très différente d’AOSP, ce qui l’empêche de proposer les application natives de Google.

    Une deuxième affaire refait surface
    En outre, l’autorité de régulation coréenne veut également déterrer une affaire de 2013, où Google avait été blanchi des accusations des deux plus grands moteurs de recherche nationaux : Naver et Daum. À l’époque, ces deux concurrents accusaient l’Américain d’avoir violé la loi antitrust et d’avoir affecté leurs parts de marché… En vain.

    Sauf que, sous prétexte que la situation du marché a évolué et « à la demande de certains législateurs, la KFTC étudie s’il est possible de rouvrir l’enquête », explique la source du Korea Times.

    Que ce soit dans le secteur du mobile ou dans le cadre de ses nombreuses autres activités, Google a désormais l’habitude de ce genre d’accusations. En Russie, notamment ou encore sur le Vieux Continent, où la Commission européenne l’accuse d’abus de position dominante.
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  9. #19
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    Re : Google

    Téléchargement illégal : un million de sites web sont désormais menacés de suppression

    Et si c’était le début de la fin du téléchargement illégal ? Dans son dernier rapport de transparence, Google annonce que pas moins d’un millions de sites web pirates font aujourd’hui l’objet d’une demande de suppression de contenus pour atteinte présumée aux droits d’auteur. Parmi ces sites, on retrouve notamment 4shared.com, rapidgator.net et uploaded.net.




    Un million de sites web pirates dans le collimateur des ayant-droits

    La fermeture de Zone Téléchargement en novembre dernier avait fait couler beaucoup d’encore laissant 105 millions d’internautes orphelins avant de faire son grand retour comme c’est souvent le cas avec les sites pirates. Toujours est-il que les ayants droits ne lâchent pas l’affaire. Comme nous l’apprend aujourd’hui Google, un million de sites web sont actuellement visés par une demande de suppression de contenus.
    Si toutes ces demandes n’aboutissent pas toujours, le taux de suppression par Google est néanmoins de 91%. En outre, dans les 9% restants, on retrouve déjà 137 millions d’URL dupliquées et seulement 57,5 millions de véritables refus. Le moteur de recherche a d’ailleurs déjà supprimé 2,13 milliards de liens pirates entre mars 2011 et février 2017.





    On constate, en tout cas que le nombre de demandes de suppression de contenus a considérablement augmenté entre fin 2015 et 2016 avec un pic au second semestre 2016 puis une légère rechute en janvier 2017. 4shared.com détient actuellement la palme des demandes de suppressions d’url suivi de mp3toys.xyz et rapidgator.net.


    On notera tout de même que si les ayants droits résistent, les sites de téléchargement illégal aussi. A la mi-décembre KickAss Torrents réapparaissait sur la toile quelques mois après sa suppression, suite à l’arrestation de son fondateur. Idem pour The Pirate Bay bloqué en décembre 2014 suite à une intervention de la police avant de faire son grand retour quelques mois plus tard. La semaine dernière, il était néanmoins rendu inaccessible pour certains suite à un blocage émanant de son opérateur de transit Cogent.
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    Re : Google

    Google publie une faille encore active de Windows.

    Les deux géants de la Silicon Valley, Microsoft et Google (Alphabet), ont depuis longtemps des relations assez tendues concernant la sécurité informatique. L'information publiée par Google et son équipe d'experts en sécurité ne risque pas de calmer les tensions : une faille « zero-day », découverte dans l'OS de la firme de Redmond, a été publiée par le groupe de Mountain View... Et cette faille est encore active.

    Une faille présente dans les OS les plus récents de Microsoft

    La faille permet, selon le Google Project Zero qui l'a découverte, de prendre le contrôle d'un ordinateur et d'accéder à sa mémoire interne. Pour ce faire, les pirates n'ont qu'à piéger un fichier EMF (Ehanced MetaFile) qui peut se trouver dans des documents Office, par exemple. La découverte de la faille date un peu : elle a été notifiée à Microsoft en mars 2016.

    A l'époque, Microsoft avait réagi, mais son correctif semble ne pas suffire, puisque la faille a été à nouveau identifiée par le même groupe de chercheurs en novembre 2016. Google a, à ce moment-là, prévenu une nouvelle fois Microsoft, espérant sans doute que le groupe de Redmond finisse de combler cette faille de sécurité. Il n'en a été rien.

    La faille concerne, selon Google, tous les OS de Microsoft, depuis Vista Service Pack 2 à ce jour.

    Google donne trois mois aux éditeurs pour publier un correctif

    La question reste de savoir si un correctif aurait dû être publié lors du Patch Tuesday, qui a été retardé pour des problèmes divers, notamment de téléchargement, et qui devait être publié ce mois de février 2017. Microsoft aurait alors été dans les temps selon les principes de Google.

    Maintenant que la faille a été publiée sur Internet, Microsoft n'aura pas d'autre choix que de réagir. Mais entre les deux entreprises, les tensions montent : Google applique à Microsoft ce qu'il applique à tous les éditeurs : le groupe notifie une faille et donne trois mois (moins dans certains cas très graves) pour publier un patch correctif. Passé ce délai, le groupe de Mountain View révèle tous les détails, afin de contraindre les éditeurs à réagir au plus vite.

    Une décision qui ne plaît guère à Microsoft, qui a vivement critiqué la décision de publier les détails de la faille. Il y a toutefois fort à parier que le groupe de Redmond publie son correctif dans son prochain Patch Tuesday donnant, au final, raison à Google.
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