Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Facebook veut proposer plus de jeux dans Messenger
La messagerie teste actuellement la nouvelle plateforme Instant Games qui devrait être focalisée sur les parties multijoueurs. L’éditeur de Candy Crush King.com est déjà sur les rangs.
Les jeux vidéo sont-ils la nouvelle arme de Facebook Messenger pour fidéliser ses utilisateurs ? Les responsables de la messagerie reconnaissent en tous cas expérimenter en ce moment la plateforme Instant Games, comme le rapporte le site TechCrunch. Elle devrait être axée sur les jeux multijoueurs. Un premier essai a été repéré en Nouvelle-Zélande avec la mise à disposition dans Messenger du jeu de carte Shuffle Cats du célèbre éditeur de Candy Crush King.com.
Facebook Messenger revendique aujourd’hui plus d’un milliard d’utilisateurs dans le monde. Mais la concurrence est rude avec un public d’adolescents et de jeunes adultes davantage attiré par Snapchat ou Whatsapp. Alors, le service lance en permanence de nouvelles fonctionnalités pour engager ses abonnés. Basket, foot, échecs, on pouvait déjà trouver des mini-jeux sur Facebook Messenger depuis cette année, le service s’étant ouvert depuis peu aux développeurs tiers.
Du multijoueur asynchrone
L’intérêt d’Instant Games serait avant tout de pouvoir réaliser des parties multijoueurs asynchrones permettant de se mesurer contre ses amis sans forcément que tous soient connectés au même moment. Facebook pourrait lancer un kit de développement dès le mois prochain mais l’on ne connaît pas encore le modèle économique et l'on ignore si les éditeurs seront autorisés à pratiquer des achats intégrés. Big Viking Games, qui édite Galatron VS ou encore Fish World, serait aussi sur les rangs.
Rappelons que les efforts de Facebook pour se positionner sur le créneau des jeux vidéo se sont soldés par plusieurs échecs dont le plus retentissant fut le projet Spartan en 2011. Cette semaine, la société est revenue à la charge avec Facebook Gameroom, un client de jeu sur PC. C’est une application qui centralise les jeux disponibles sur le réseau social. Essentiellement des free-to-play.
Avec Instant Games, Messenger creuserait encore davantage le sillon de ces petits jeux accessibles à tous, pratiques et faciles à expérimenter durant de courtes pauses dans la journée et .. rendant les internautes captifs de sa plateforme.
By Amélie Charnay
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Facebook va bien proposer des offres d'emploi
Facebook cherche à se diversifier et à faire de sa plateforme un portail depuis lequel les utilisateurs pourraient accéder à toutes les fonctionnalités du Web. C'est ainsi que le réseau proposera prochainement des offres d'emploi.
Facebook cherche à rassembler toujours plus d'utilisateurs, mais également à les faire rester sur ses services. Et pour ce faire, il faut parfois tenter de remplacer d'autres plateformes populaires. Après avoir misé sur la photo et la vidéo pour concurrencer d'autres réseaux sociaux et même une "place de marché en ligne" pour concurrencer les sites de vente entre particuliers, c'est au tour de l'emploi de devenir le nouvel atout de Facebook.
Le réseau de Mark Zuckerberg s'en prend ainsi directement à LinkedIn, la plateforme spécialisée dans la recherche d'emploi rachetée par Microsoft au milieu de cette année.
Avec 1,79 milliard de membres actifs, Facebook pourrait ainsi se présenter comme le médiateur idéal entre les entreprises présentes sur son réseau et les utilisateurs à la recherche d'un emploi.
Facebook teste ainsi depuis quelques jours une nouvelle fonctionnalité déployée uniquement aux USA pour l'instant qui permet aux entreprises de publier des offres d'emploi sur leurs propres pages de profil. Les entreprises à la recherche de personnel pourront également payer Facebook pour une mise en valeur de leurs offres. TechCrunch a d'ailleurs pu repérer le lien en question, renvoyant vers la fonctionnalité Jobs.
Du côté des utilisateurs, les offres s'afficheront dans le flux d'actualité des entreprises qu'ils suivent, et il suffira de cliquer sur le lien pour postuler. Pour Facebook, il s'agira également de tenter de récupérer plus d'informations sur ses utilisateurs, et d'en assurer la véracité puisque lors du dépôt de candidature, ce sont les informations renseignées dans les profils qui seront transmises à l'entreprise.
By GNT
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Facebook veut diffusé de la publicité avec l'Apple TV et Roku
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Facebook en partenariat avec A+E Network et Tubi TV va commencer à difuser des campagnes publicitaires à travers les matoss Apple TV et Roku .Pour le moment ni Facebook et ses partenaires n'ont donné de détails sur la taille et l'apparence des formats publicitaires qu'ils imposeront aux possesseurs de boîtiers Apple TV et Roku et les tests de diffusion doivent débuter cette semaine aux Etats-Unis .
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Bien que ces boitiers OTT soient connectés à Facebook la plateforme publicitaire réseau social ciblera les utilisateurs en se basant sur leur adresse IP .
Aucune publicité pour cibler les utilisateurs d'Apple TV et Roku n'est encore commercialisée par Facebook . Ce sont des publicités de son propre réseau et pour des organisations à but non lucratif qui seront utilisées pendant la période de test . Si Facebook décidait de lancer des campagnes publicitaires au terme de ces expérimentations les utilisateurs d'Apple TV et de Roku pourraient ne pas du tout apprécier que le réseau social géant s'invite dans leur téléviseur avec un ciblage très approximatif .
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Prisma vous permettra d’appliquer des filtres artistiques sur les Live Facebook.
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S’il n’y avait pas eu Pokémon Go, Prisma aurait sans aucun doute été l’application de l’été, cette année. L’application Russe permet aujourd’hui de transformer les photos et les vidéos en œuvres d’art, en utilisant une intelligence artificielle qui permet d’imiter un style défini.
A ce jour, l’application a déjà été téléchargée plus de 70 millions de fois sur iOS ainsi que sur Android. Et maintenant, vous avez une autre bonne raison d’installer celle-ci sur votre smartphone.
En effet, Prisma lance une fonctionnalité de son application qui permettra aux internautes de publier des Live Facebook sur lesquels ses filtres sont appliqués. Afin de proposer cette fonctionnalité, Prisma se base sur la Live API lancée par Facebook il y a quelques mois, qui permet aux créateurs de logiciels ou d’équipements audiovisuels d’intégrer la diffusion en direct dans leurs produits.
La mauvaise nouvelle, c’est que pour le moment, cette fonctionnalité n’est compatible qu’avec les iPhone 6S et iPhone 7. Cité par The Verge, un responsable de l’application explique que ces restrictions sont dues au traitement en direct qui requiert des ressources importantes sur les mobiles.
Facebook et Google ne sont pas loin
En tout cas, après que Prisma ait lancé son application, basé sur un logiciel open-source appelé DeeArt et sur une technique appelée « transfert de style », les géants du web se sont de plus en plus intéressés à ce genre de technologie. Comme nous l’évoquions dans un précédent article, Google et Facebook ont déjà révélé qu’ils travaillent sur des fonctionnalités similaires. D’ailleurs, Facebook devrait prochainement lancer une fonctionnalité native à la Prisma sur son réseau social, aux Etats-Unis.
Mais face à ces concurrents, Prisma affiche sa confiance. Pour le PDG Alexey Moiseenkov, cela prouve que ses filtres sont populaires. Et il se dit « heureux que des géants des nouvelles technologies s’intéressent au transfert de style ». « Nous ne sommes pas inquiet et nous n’avons pas peur. Nous essayons simplement de nous améliorer chaque jour », ajoute-t-il.
Pour ce qui est du modèle économique, Prisma compte sur des filtres sponsorisés pour monétiser son application. Comme le rapporte The Verge, l’entreprise a déjà travaillé avec Gett, un concurrent d’Uber. Et elle entend aussi créer des filtres sponsorisés pour les Facebook Live.
By PresseCitron
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Flash, le nouveau Snapchat de Facebook pour les pays émergents
Facebook a une nouvelle application à la Snapchat pour les marchés émergents.
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Facebook n’en a toujours pas assez de courir après Snapchat. Alors qu’il propose déjà quelques fonctionnalités apparemment inspirées de l’application d’Evan Spiegel sur celles de Facebook, Instagram et Messenger, le numéro un des réseaux sociaux vient de lancer un nouveau service appelé Flash dont le fonctionnement rappelle également celui de Snachat.
Cependant, Flash a une petite particularité : il a été conçu pour les marchés émergents. Et pour le moment, il n’est disponible qu’au Brésil. Qualifiée de « clone de Snapchat » par des médias technos américains comme Recode et Android Authority, cette nouvelle application a cependant le mérite de fonctionner mieux dans les pays comme l’Inde ou le Brésil.
Dans ceux-ci, les internautes utilisent le plus souvent des mobiles d’entrée de gamme ou moyen de gamme. Et les connexions ne sont pas toujours aussi rapides que ceux qu’on a en Europe ou en Amérique du Nord.
Flash ne pèse pas plus de 25 MB, ce qui représente le tiers du poids de Snapchat. Et selon ReCode, son fonctionnement a été pensé pour les connexions faibles.
Donc, en substance, Facebook essaie de devancer Snapchat dans les pays émergents, où il n’a pas encore une très forte audience chez les jeunes. Et par ailleurs, Flash rejoint les autres applications développées par Facebook pour ces pays-là, à savoir Facebook Lite et Messenger Lite.
D’autre part, il est à noter que ce n’est pas la première fois que Facebook lance une application similaire à Snapchat. En 2014, le numéro un des réseaux sociaux a lancé Slongshot, une application qui ressemblait vraiment à Snapchat et qui était disponible sur iOS ainsi que sur Android. Mais n’ayant pas eu le succès escompté, Slingshot a été retiré des stores d’application cette année.
By PresseCitron
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Facebook lance Flash, une copie presque conforme de Snapchat
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Puisque concurrencer Snapchat sur le marché nord-américain est vain, Facebook a décidé de lancer sa nouvelle appli dans les pays émergents.
Cela fait un moment déjà que Facebook copie les fonctions de Snapchat pour ses propres produits. Il y a quelques jours, on apprenait que WhatsApp testait une nouvelle fonction rappelant singulièrement les Stories. En ce début novembre 2016, la firme de Menlo Park va plus loin, révèle Recode, en proposant tout simplement un clone de l’appli de partage de photos et de vidéos. Son nom: Flash.
Après avoir tenté (et raté) l’expérience par deux fois, avec Poke en 2012 et Slingshot en 2014, Facebook renouvelle l’expérience mais cette fois avec une différence de taille: cette appli a été conçue spécifiquement pour les pays émergents où le Wi-Fi se fait rare et où la connectivité est plus faible que dans les pays développés. D’où l’argument clé de Facebook pour pousser sa nouvelle appli: son tout petit poids. Flash pèse moins de 25 Mo, soit le tiers de ce que représente la version Android de Snapchat.
http://img.bfmtv.com/c/800/400/966/9...b6ad075d6.jpegCapture Recode -La stratégie de Facebook est claire. Puisque la firme de Menlo Park ne peut pas battre Snapchat sur le marché nord-américain où l’appli compte 60 millions d’utilisateurs quotidiens actifs, elle change de cible. Elle a d’abord tenté d’acheter Snow, un clone asiatique de Snapchat. N’ayant pas réussi cette opération, elle lance sa propre appli "allégée" et espère que celle-ci plaira suffisamment aux habitants des pays émergents pour qu'elle remplace l'originale dans le coeur des utilisateurs.
Il y a six ans, 60% des utilisateurs actifs de Facebook vivaient aux Etats-Unis, au Canada et en Europe. Désormais, seul un tiers vit dans cette zone. Les pays émergents sont donc devenus une zone à ne surtout pas négliger pour Facebook et probablement la seule désormais où le réseau social va pouvoir accroître son nombre d’utilisateurs. Flash n'est d'ailleurs pas la première offensive de Facebook sur ces marchés: la firme y a déjà lancé Facebook Lite et Messenger Lite.
Flash a été lancé cette semaine au Brésil. L'appli arrivera ensuite sur d’autres marchés assure Facebook sans encore indiquer lesquels, mais on peut raisonnablement penser qu'elle sera rapidement disponible en Inde et en Indonésie.
Facebook interrompt la collecte de données des utilisateurs de WhatsApp en Grande-Bretagne
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Menacé de représailles judiciaires, le groupe américain a accepté de cesser temporairement le partage de données entre le réseau social et l'appli de messagerie.
On ne badine pas avec la protection des données en Grande-Bretagne. Le Information Commissioner’s Office (ICO), l’équivalent britannique de la Cnil, a annoncé que Facebook acceptait de suspendre le partage de données entre le réseau social et l’appli WhatsApp.
Cet accord est une victoire pour la commissaire à l’information, Elizabeth Denham, qui a lancé une enquête sur ce partage de données il y a quelques mois déjà. Fin août, Facebook intégrait dans une mise à jour de l’appli de messagerie la possibilité de récupérer les données des utilisateurs de WhatsApp, notamment leurs numéros de téléphone, à des fins publicitaires. Les internautes ont protesté et les Cnil européennes ont indiqué qu’elles allaient scruter ces changements à la loupe.
"Les modifications effectuées par WhatsApp et Facebook vont affecter un grand nombre de personnes. Certains peuvent considérer que cela leur offrira un meilleur service, d’autres s’inquiéter du manque de contrôle. Notre rôle est de faire la lumière sur ce genre de choses, de nous assurer que les entreprises sont transparentes avec le grand public sur la façon dont elles partagent leurs données privées, et de protéger les consommateurs en nous assurant que la loi est respectée", avait à l’époque déclaré la responsable britannique.
Facebook estime agir en conformité avec la loi
"Je ne pense pas que les utilisateurs aient reçu suffisamment d’explications de la part de Facebook sur ce qu’il allait faire de ces données, a-t-elle déclaré en ce début novembre dans un communiqué. Et je ne pense pas non plus que WhatsApp ait reçu l’accord de ses utilisateurs pour partager leurs données." Pour la responsable, ceux-ci devraient aussi avoir la possibilité de contrôler la façon dont leurs données sont utilisées en permanence, et pas seulement pendant 30 jours.
Elle a donc intimé l'ordre au groupe américain de cesser ses pratiques... sous peine d'entamer des poursuites.
"Nous avons rappelé la loi à Facebook et nous sommes heureux de voir qu’ils ont accepté d’interrompre la collecte de données d’utilisateurs britanniques pour un usage publicitaire ou pour améliorer leurs produits", a ajouté la responsable.
Ce à quoi la firme de Menlo Park a tout de même tenu à répondre qu’elle estimait que ses conditions d’utilisation mises à jour en août étaient conformes à la loi et suivaient les règles de la Cnil britannique. Et d’ajouter qu’elle restait disponible pour répondre aux questions des organismes de protection des données.
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Election de Donald Trump : Facebook veut faire plus pour lutter contre les fausses infos
Mark Zuckerberg a pris la parole pour évoquer le rôle du réseau social dans l'élection de Donald Trump.
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Comment expliquer la victoire de Donald Trump ? Depuis une semaine, les instituts de sondages, les spécialistes, les médias, tous sont pointés du doigt pour leur rôle dans la victoire d'un président dont la campagne a été marquée par des attaques sans précédent contre les minorités. Et la question du rôle de Facebook a également été posée. Pendant toute la campagne, les utilisateurs ont pu partager des contenus erronés, qui peuvent ensuite être assimilés comme véridiques par leurs proches. Certains médias n'ont donc pas hésité à pointer du doigt le laxisme du réseau social face au partage de contenus clairement faux et partisans publiés dans le but de nuire à un candidat.
"Les gens s'interrogent sur notre responsabilité"
Après avoir éludé le problème, Mark Zuckerberg a finalement pris la parole sur Facebook hier pour évoquer ces fausses infos. "Les gens s'interrogent sur notre responsabilité dans la lutte contre la propagation des fausses infos. C'est une question très importante et il est primordial pour moi de faire les choses bien", commence le créateur du réseau social, affirmant que "99% du contenu que les gens voient sur Facebook est authentique" et qu'une "toute petite proportion des contenus publiés est fausse".
Assurant que ces fausses infos ne sont pas limitées à un candidat plus qu'à un autre, Mark Zuckerberg estime donc "très peu probable" qu'ils aient joué un rôle dans la campagne. Malgré tout, il soutient qu'il ne veut "aucune fausse info sur Facebook". "Notre but est de montrer aux gens les contenus qu'ils estiment les plus pertinents, et les gens veulent des informations exactes. Nous avons déjà commencé à travailler sur la possibilité de signaler des contenus faux, et nous continuerons à y travailler", promet-il, notant toutefois que la pente est glissante.
"Nous devons procéder avec une extrême prudence. Identifier la 'vérité' est compliqué", poursuit-il en effet, distinguant certains "hoax" qui peuvent être complètement faux d'une part, et une quantité bien plus importante d'articles dont "l'idée de base est exacte mais les détails sont erronés". Mark Zuckerberg, qui profite de l'occasion pour vanter les mérites de Facebook dans l'aide à l'inscription sur les listes électorales de 2 millions d'Américains, conclut qu'il faut être "très prudent" quand on se place "en tant qu'arbitre de la vérité".
Quand Facebook fait virtuellement mourir 2 millions d'utilisateurs bien vivants
En raison d'un bug, près de deux millions d'utilisateurs du réseau social dont son fondateur Mark Zuckerberg, ont découvert en fin de semaine leur décès sur leur profil Facebook.
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"Une terrible erreur". C'est en ces termes que le groupe américain Facebook a qualifié vendredi le bug survenu le jour-même sur son réseau social. En fin de semaine et selon une estimation des médias américains, près de deux millions d'utilisateurs, dont le fondateur du groupe, Mark Zuckerberg, ont découvert leur décès sur leur profil.
Comme le rapporte l'AFP, le bug s'est traduit sur les comptes Facebook des utilisateurs par une petite fleur et le message "En souvenir de" précédant leur nom. En temps normal, ces éléments signalent les comptes de commémoration des utilisateurs décédés lorsque leurs proches en ont fait la demande. "Selon notre règlement, si Facebook est informé du décès d'une personne, nous transformons son compte en compte de commémoration", a expliqué un porte-parole de Facebook à l'AFP. Il faut notamment pour cela présenter une preuve du décès de l'utilisateur.
Excuses de Facebook
Problème, le bug de vendredi a transformé des comptes d'utilisateurs bien vivants en comptes de commémoration. "Nous espérons que ceux qui aiment Mark trouveront du réconfort en voyant ce que d'autres partagent" en hommage à sa vie, a-t-il par exemple été écrit un temps sur le profil de Mark Zuckerberg vendredi.
"Pendant un bref moment aujourd'hui (vendredi, ndlr), un message destiné aux comptes de commémoration a été posté par erreur sur d'autres comptes", a expliqué Facebook. "C'est une terrible erreur que nous avons désormais résolue", a ajouté l'entreprise américaine. Facebook a par ailleurs présenté ses excuses et assuré avoir travaillé aussi vite que possible pour corriger le bug.
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Facebook teste les discussions publiques sur Messenger
Rooms, ou l’équivalent des groupes Facebook pour la messagerie, fait ses débuts sur l’application Messenger.
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Au mois de septembre, le site TechCrunch avait découvert en fouillant dans le code de l’application Messenger que le numéro un des réseaux sociaux développait une fonctionnalité appelée Rooms dont le fonctionnement ressemble plus ou moins à celui des groupes Facebook.
En effet, contrairement aux conversations de groupes sur Messenger, qui sont généralement des conversations entre amis ou du moins entre des gens qui se connaissent, les Rooms sont des conversations publiques.
Plusieurs options sont proposées à ceux qui veulent ouvrir des Rooms. Mais la forme la plus ouverte permet de créer des discussions dont le contenu est visible par tout le monde et que n’importe qui sur Messenger peut rejoindre.
Cependant, il existe également des formes plus restreintes, comme les Rooms privés dont le contenu n’est visible que par les membres qui ont été approuvés par un administrateur.
En tout cas, l’idée est de regrouper dans ces conversations des personnes qui ne se connaissent pas forcément, mais qui partagent les mêmes centres d’intérêt.
Chaque Room sur Messenger est associé à un lien et si quelqu’un veut inviter d’autres personnes à rejoindre, il suffit de partager ce lien.
La fonctionnalité Rooms n’est encore disponible que dans deux pays
Pour le moment, la fonctionnalité Rooms n’est disponible qu’en Australie et au Canada. Facebook teste probablement d’abord celle-ci dans ces deux pays anglophones avant de lancer la fonctionnalité aux Etats-Unis, puis dans le reste du monde.
Sinon, si les Rooms de Messenger vous rappellent quelque chose, c’est normal. En effet, Facebook a déjà lancé une application séparée également appelée « Rooms » qui permettait à peu près de faire la même chose. Mais plus tard, le numéro un des réseaux sociaux a décidé de la retirer des boutiques d’application.
By PresseCitron
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Avec son nouveau rachat, Facebook s'approche un peu plus des médias
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Facebook a acquis CrowdTangle, une start-up spécialisée dans le suivi des contenus faisant le buzz sur les réseaux sociaux. Ses services sont utilisés notamment par de grands médias comme la BBC ou RTL Group.
Facebook renforce son éventail d'outils proposés aux éditeurs de presse. Après la mise à disposition des médias du format Instant Articles, le réseau social met la main sur Crowdtangle, une start-up créée en 2011 qui revendique parmi ses clients des sites d'informations en ligne comme Buzzfeed ou Vox, des médias internationaux comme la BBC britannique, le luxembourgeois RTL Group et le suisse Ringier (éditeur du journal Le Temps), ou encore des organisations comme Greenpeace et l'Unicef.
Sa plateforme internet permet de repérer des actualités qui émergent soudainement ou des contenus qui deviennent viraux sur des services en ligne comme Facebook et sa filiale Instagram, mais aussi ses concurrents YouTube (Google) ou Twitter.
A l'issue de la transaction, dont les modalités financières ne sont pas divulguées, CrowdTangle restera gérée par ses dirigeants actuels.
Crowdtangle propose aux médias de suivre la propagation de leurs contenus
Dans un message confirmant la nouvelle sur son propre site internet, CrowdTangle affirme que "des centaines de rédactions et des milliers de journalistes utilisent l'outil (qu'elle propose) chaque jour".
CrowdTangle propose aussi des outils permettant aux médias de suivre la propagation de leurs propres contenus, de repérer des actualités dans des domaines particulier grâce à des mots clés, ou encore d'identifier les internautes ayant le plus d'influence sur les réseaux et ce qu'ils y disent.
Facebook promet d'investir pour développer et améliorer la plateforme, mais aussi de maintenir sa compatibilité avec des services rivaux comme Twitter ou YouTube.
Pourquoi les fausses informations ne vont pas disparaître de Facebook
Pour lutter contre les articles mensongers, Facebook revoit la sélection de ses annonceurs. Mais cela ne les empêchera pas de se multiplier sur les fils d’actualité.
Dès les premières heures qui ont suivi l’élection de Donald Trump, Facebook et Google trouvaient une place sur le banc des accusés. Les deux géants auraient une part de responsabilité dans l’incapacité des médias à avoir senti l’émergence du candidat républicain. Ils sont également accusés d’avoir propagé de fausses informations à de nombreuses reprises. Les deux entreprises viennent d’annoncer de nouvelles mesures pour lutter contre le phénomène. Google va interdire aux sites mensongers d’utiliser ses services publicitaires. Facebook a décidé de suivre le même chemin. Des décisions que les deux concurrents n’avaient pas voulu prendre auparavant et à l’efficacité très limitée.
Une ligne éditoriale à la carte
Mois après mois, Mark Zuckerberg campe sur sa position: Facebook n’est pas un média. Pourtant, son modèle économique est comparable à celui de la plupart d’entre eux. Pour lui faire gagner de l’argent, le lecteur/utilisateur doit rester le plus longtemps possible sur ses pages. Mais là où un journal, un site d’information ou une chaîne de TV choisissent une ligne éditoriale, Facebook maximise ses revenus en s’adaptant à chacun de ses utilisateurs.
Il y a les photos du chat de votre cousine, celle de votre meilleur ami en Australie, mais également toutes ces informations qui sont susceptibles de vous intéresser. Dans les faits, vous ne voyez qu’une petite partie de tout ce que publient vos amis et les pages que vous suivez. Ce tri est le fond de commerce de Facebook, qui doit sélectionner ce qui captivera le plus. Pour cette raison, les soutiens de Clinton - largement majoritaires parmi les grands médias américains - n’ont pas vu émerger le succès de Trump.
Mais "ces bulles" ne sont pas le seul effet secondaire de la politique de Facebook. Pour l’entreprise, ce n’est pas toujours la vérité qui paye le plus. Fin octobre, le site Buzzfeed publiait une analyse de 1000 publications de six pages Facebook engagées pour Clinton et Trump. Plus les informations étaient erronées, plus le nombre de partages et de commentaires était important.
Des millions d’électeurs concernés
Toujours selon le site américain, le nombre d’articles concernés est loin d’être résiduel. Des mensonges ont été retrouvés dans 38% des articles pro-Trump et dans 19% des articles pro-Clinton. Au total, les six grandes pages analysées cumulent environ 15 millions de fans. Certaines d’entre elles - comme Occupy Democrats ou Right Wing News - ont un succès comparable à celles de médias “traditionnels” comme le Washington Post. Une partie importante des électeurs est donc concernée.
Google a également manqué de rigueur dans la sélection de ses sources. Concernant les chiffres du vote populaire américain, remporté par Hillary Clinton, le moteur de recherche renvoyait vers un blog annonçant l’inverse. L’information erronée vient du site ultra-conservateur USA Supreme. Google a par la suite reconnu son erreur.
Les restrictions de l’utilisation des services publicitaires de Google et Facebook envers les sites peu scrupuleux n’arrivent donc qu’après de longs mois d’intox. Elles devraient permettre de lutter contre certains sites dont l’unique but est de générer des revenus grâce à la publication de fausses informations.
Mais pourquoi avoir attendu si longtemps? Chez Facebook, tous les salariés ne partagent pas l’avis de leur patron. Toujours selon le site Buzzfeed, des dizaines d’entre eux se sont discrètement regroupés pour établir une liste de recommandations. Interrogé anonymement, l’un des employés admet que l’idée selon laquelle les fausses actualités publiées sur Facebook aient pu influencer l’élection “n’est pas folle”, faisant écho aux propos de Zuckerberg. Il regrette par ailleurs l’inaction du fondateur du réseau social.
Des étudiants corrigent le problème en 36 heures
Une léthargie d’autant plus étonnante que les outils techniques existent. Le site Gizmodo rapporte que les développements permettant d’éviter l’apparition de contenus mensongers sur nos fils d’actualité avaient été entamés au printemps - un travail similaire a été réalisé par quatre étudiantsde l’Université de Princeton en 36 heures.
Mais lors de leurs travaux, les équipes de Facebook ont constaté que les publications ancrées à droite étaient davantage concernées que celles de gauche. De peur de heurter ses utilisateurs conservateurs, Facebook aurait finalement décidé de ne pas déployer la mise à jour.
Pourtant, c’est bien au niveau du fil d’actualité que les sites malhonnêtes sont susceptibles de faire le plus de dégâts. C’est principalement par ce biais que s’informe une majorité des Américains, comme des Français. Pour le moment, rien n’a été annoncé à ce niveau. Facebook ne manque d’ingénieurs talentueux. Mais avec les multiples accusations de censure qui se succèdent, la boîte de Pandore est peut-être un peu trop grosse.
Re : Facebook:Astuces,trucs et infos
Facebook lance GameRoom et vise Steam
C’est lors de la conférence Unity que Facebook a annoncé son nouveau service, et pas des moindres : GameRoom. Les jeux et le social en même temps.
Lorsque l’on parle de jeux sur ordinateur, on pense évidemment à la plateforme Steam, ou encore à GoG ou Origin. Maintenant, il faudra y inclure aussi Facebook et son nouveau service GameRoom.
Retour vers l’ordinateur
Facebook Gameroom se présente sous la forme d’un client destiné aux PC tournant sous Windows 7, 8, 8.1 et 10. Il n’est pas précisé, pour le moment, si les plateformes MacOS et Linux seront de la partie ultérieurement.
facebook-gameroom-2Ensuite, une fois dans le client, on retrouve une classification par catégories des différents jeux. Alors n’espérez pas de grosses productions dans le style Battlefield 1 ou Call of Duty, mais des jeux dits « casual » dont la gestion ou les parties ne prennent que quelques minutes à chaque fois.
Bien sûr, tous les jeux présents dans GameRoom sont aussi jouables sur Facebook et sont liés à votre compte du réseau social.
Le lien entre Unity et Facebook, et la raison de la présentation de GameRoom durant la conférence du moteur de jeu, est que la plateforme Unity permet aux développeurs d’exporter leurs jeux directement pour ordinateurs, pour mobiles, pour le Web et pour Facebook. Et c’est cette dernière option qui est logiquement gérée par GameRoom.
Pour profiter de cette nouvelle plateforme de jeux, rendez-vous sur la page dédiée à la nouvelle plateforme de jeux de Facebook.
By NumeRique.fr