Ordinateur portable : lequel acheter ?

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 09h54

Nos collègues et voisins de chez Tom’s Guide ont récemment publié un guide d’achat dédié aux ordinateurs portables.
Modèles à moins de 500 euros, ordinateurs portables polyvalents,ultrabooks ou bien modèles destinés aux joueurs : il y en a pour tous les goûts, et toutes les bourses…

Tom' H

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h35

1. Les conseils indispensables pour choisir votre ordinateur portable

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Si la tablette est l’élément à la mode, digne compagnon complémentaire du smartphone, l’ordinateur traditionnel reste une machine utile, voire indispensable. Sous Windows, c’est encore l’appareil qui dispose de la plus large logithèque.

Seul inconvénient de ce type de machine : le choix est pléthorique. Comment s’y retrouver dans toutes ces références ? entre le disque dur, la mémoire vive, le processeur, l’écran et autres composants, on peut parfois regretter de ne pas avoir pris une option informatique dans ses études. Pour éviter les écueils et orienter le consommateur vers le choix qui le satisfera, voici donc un état du marché décrivant les différences de chaque catégorie d’ordinateurs portables, ainsi qu’une sélection de PCpour chacune d’entre elles.
Glossaire

Processeur : S’il est communément appelé processeur, cette pièce maîtresse de l’ordinateur est en fait un microprocesseur, dénomination pour un processeur dont les composants ont pu tous être placé sur un seul circuit intégré. C’est l’élément central en informatique. Dans un PC, c’est lui qui gère les instructions et exécute les programmes. Actuellement, Intel et AMD sont les deux fondeurs majoritaires sur le marché grand public. Les processeurs Intel ont sont les plus plébiscités notamment dans leurs dernières versions Sandy Bridge et aujourd’hui Ivy Bridge.

Gorilla Glass : Les constructeurs d’ordinateurs portables annoncent de plus en plus des modèles équipés d’écrans tactiles. Certes, pour accéder à cette fonctionnalité, il faut acheter un PC milieu ou haut de gamme. Pour protéger l’écran des assauts répétés des doigts sur sa surface, il est équipé d’une dalle en verre Gorilla Glass. Produite par la société Corning, elle apporte une grande résistance à l’écran, mais est aussi une source importante de reflets, bien que Corning ait un peu amélioré ce point sur la version 2 du Gorilla Glass.

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Mémoire vive : La mémoire vive (RAM, pour Random Access Memory) travaille en étroite collaboration avec le microprocesseur (CPU, pour Central Processing Unit). C’est dans ses barrettes que sont temporairement stockées les données traitées par le CPU. La capacité de la RAM est exprimée en octets. Plus la quantité est importante et plus elle pourra stocker d’informations envoyées par le microprocesseur. En 2012, le type de RAM dynamique utilisé par les PC est nommé DDR3, troisième génération de la DDR, nouvelle mémoire apparue en 2003 et plus rapide que son aînée, la SDRAM.

SSD : SSD signifie Solid State Drive. Il s’agit d’un support de stockage au même titre qu’un disque dur. La différence qu’il entretient avec celui-ci est qu’il n’utilise aucun composant mécanique. Tout se passe dans des puces de mémoire flash, similaires à celles contenues dans les clés USB et autres cartes mémoires. Plus rapide, il est aussi silencieux et compact.

Carte graphique : Le premier objectif d’une carte graphique est de transmettre les données d’affichage de l’ordinateur à l’écran. Travaillant en étroite collaboration avec le processeur, elle est aussi le composant qui va soulager ce dernier dans les lourds calculs d’affichage 3D et de décompression de fichiers vidéo.

USB 2.0/3.0 : L’USB est une norme de transfert de données. Il fait le lien entre un ordinateur et des périphériques externes. Peuvent être branchés sur un port USB un clavier, une imprimante ou un support de stockage externe. Actuellement, l’USB 3.0 est en train de prendre le relai de la version 2.0 depuis 2010. Plus rapide, elle est capable de fournir une vitesse théorique de 625 Mo par seconde contre 60 Mo/s pour l’USB 2.0. En pratique, cela se traduit par la copie d’un film de 700 Mo en moins de deux secondes, pour peu que le périphérique de stockage attaché supporte un tel débit et qu’il soit compatible USB 3.0.

Thunderbolt : Issu des laboratoires d’Intel, le Thunderbolt est une technologie qui tend à faire de l’ombre à l’USB 3.0. Côté débit, il affiche 1,25 Go par seconde, en théorie. C’est deux fois plus que son concurrent. De plus, comme voulu par son concepteur, il s’agit d’une norme pensée pour rassembler toutes les connectiques actuelles. Un seul câble pour faire passer de l’Ethernet, de l’USB, du HDMI ou encore du mini DisplayPort.

Sorties vidéo : Plusieurs sorties vidéo coexistent en 2012. On en dénombre quatre : VGA, DVI, HDMI et DisplayPort. Toutes servent à relier un ordinateur à un écran. De cette liste, le VGA est la seule connectique à transmettre un signal analogique. Le DVI a remplacé le VGA en transmettant un signal numérique. En simplifiant, le HDMI un signal équivalent au DVI en plus d’un signal audio. Enfin, le DisplayPort est une alternative au DVI sans droit ni licence et qui ne coûte donc que l’assemblage aux constructeurs. Il est courant de retrouver ces connectiques en versions mini dans les ordinateurs portables. Le mini DisplayPort est compatible avec le Thunderbolt et peut donc greffer un écran à une chaîne de périphériques.

Les meilleurs prix des produits de ce comparatif

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h35

2. PC à moins de 500 euros

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L’entrée de gamme des ordinateurs portables se situe sous la barre des 500 euros. À ce tarif, il ne faut pas s’attendre à des merveilles. L’ordinateur convoité à si bas prix ne pourra pas faire fonctionner correctement les dernières productions vidéoludiques. Par contre, il se révèlera être un compagnon idéal pour surfer sur Internet, faire de la bureautique ou encore regarder des films et écouter de la musique, somme toute les usages les plus répandus à l’heure actuelle.
Conception

C’est le gros point noir des ordinateurs d’entrée de gamme. Afin de réduire les coûts, les constructeurs ne portent pas autant d’attention à la conception et aux finitions d’un ordinateur à 500 euros qu’à un modèle à 1000 euros. Les plastiques sont légions et parfois mal assemblés. Aussi faut-il être vigilant sur ce point. Tester les charnières de l’écran, la vérification de la qualité du clavier et son confort de frappe sont des tests essentiels à réaliser en magasin.
Encombrement

Vendues à bas prix, ces machines d’entrée de gamme ne sont pas non plus des modèles de finesse et de légèreté. Depuis que les Netbooks ont disparu, ou presque, on ne trouve plus quasiment que des modèles de 15,6 pouces sur le marché des PC low-cost. Plus performants que des netbooks, certes, ils sont beaucoup moins nomades. À noter qu’il existe quelques 11,6” et 13,3” sur ce secteur.
Processeur

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C’est le coeur de l’ordinateur donc son composant le plus important. S’il est trop lent, cela se fera ressentir par des ralentissements lors de l’utilisation de l’ordinateur. Bien entendu, moins l’enveloppe de départ est épaisse et moins le processeur sera puissant. Il est tout de même possible de s’en sortir si l’on s’oriente vers les modèles les plus sûrs.

Si vous le pouvez, oubliez tout de suite les Celeron, Pentium et processeurs AMD. Actuellement, il est préférable de privilégier lesCore i3 dans ce niveau de prix. Il est même parfois possible de trouver des Core i5 pour moins de 500 euros.

La dernière génération de ces processeur Core iX d’Intel est basée sur une architecture Ivy Bridge qui se reconnaît au nom du processeur : Core iX 3XXX. Encore vaillante la seconde génération de Core iX, Sandy Bridge (Core iX 2XXX), peut même valoir le coup comparé aux autres processeurs qui équipent les PC low-cost. Si l’on doit faire une graduation dans le choix du processeur : Intel Atom, AMD, AMD C, AMD E1, AMD E2, Celeron, Pentium, AMD A4 et AMD A6.
Mémoire vive

La quantité de mémoire vive installée dans un ordinateur portable n’est plus un souci. Si l’on exclut les Netbooks, elle ne varie plus et reste au minimum à 4 Go. C’est ce que l’on trouve même sur des ordinateurs à 350 euros. En dessous, ce serait trop peu pour être dans de bonnes conditions d’utilisation.
Disque dur

Aucun ordinateur d’entrée de gamme n’est équipé de SSD. De facto, le seul choix du support de stockage se cantonne à la capacité du disque dur. 320 Go, 500 Go, 750 Go ou 1000 Go, c’est à chacun d’opter pour la solution la plus adéquate. Attention, il ne faut pas oublier que si un constructeur équipe son ordinateur d’un large espace de stockage, il a sans doute rogné sur les coûts sur un autre composant ou sur la finition. Enfin, quel qu’il soit le disque dur fonctionnera à 5400 tours par minute sur un PC à moins de 500 euros.
Ecran

Les constructeurs peuvent être moins regardants sur l’écran lors de la conception d’un PC portable d’entrée de gamme. Quelle que soit la diagonale, il faut jeter un coup d’oeil sur la définition de la dalle. Exprimée en pixels, c’est elle qui détermine la précision de l’affichage. En général, elle est de 1366 x 768 pixels sur de tels ordinateurs. Plus la diagonale est grande et plus la définition doit être importante pour conserver un bon confort d’utilisation. Ainsi, un 17,3 pouces sera mieux en 1600 x 900 pixels.
Carte graphique

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Dans un PC d’entrée de gamme, la carte graphique est généralement intégrée au processeur. Allant de pair avec ce dernier, elle suffit à l’affichage et à quelques jeux peu gourmands ou assez anciens. Le meilleur modèle en la matière est la HD4000 embarquée dans les processeurs Ivy Bridge d’Intel. La HD3000 (Intel Sandy Bridge) est 35% moins performante.

À côté de ces processeurs graphiques intégrés, on trouve des cartes dédiées. Plus performantes, elles sont issues de deux grandes marques : AMD et Nvidia. Si AMD se débrouille très bien sur les modèles de PC de bureau, le fondeur est ici dépassé par Nvidia et ses GeForce GT6XXM. Les processeurs AMD étant moins performants que ceux d’Intel, il est conseillé d’opter pour un combiné Intel/Nvidia qui s’avèrera plus solide.
Autonomie

L’avantage d’un ordinateur portable est, comme son nom l’indique, de pouvoir être utilisé en déplacement. Pour cela, il est équipé d’une batterie dont dépend son autonomie. Pour que cette dernière soit la plus importante possible, il faut considérer quelques points :

- La consommation du processeur (son TDP) indiquée sur la fiche de son fondeur. Plus elle est basse et plus l’autonomie sera bonne.
- Le nombre de cellules comprises dans la batterie. Plus il y en a, mieux c’est, au détriment du poids de l’ensemble.
- Une carte graphique dédiée fait chuter l’autonomie lorsqu’elle est en fonction.

Néanmoins, même en considérant tous ces points, n’espérez pas dépasser trois heures d’autonomie effective avec un PC d’entrée de gamme.

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h41

3. Sélection de PC à moins de 500 euros

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Dell Inspiron 15R

Réputé pour son souci de la finition, Dell offre avec l’Inspiron 15R une machine correcte qui saura satisfaire le double usage multimédia/bureautique. Son Core i3 cadencé à 2,4 GHz n’est pas des plus puissants, mais fait son travail. Il est couplé à 4 Go de mémoire vive et un disque dur de 500 Go. Comme beaucoup de PC d’entrée de gamme, ce 15,6 pouces (1366 x 768 pixels) souffre d’un poids trop élevé : 2,74 kg. A 479 euros, il s’agit pourtant d’une ordinateur honorable.

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Acer Aspire V5

499 euros tout rond. C’est le prix de cet Aspire V5-571G. Il est pourvu d’un processeur Core i3 de seconde génération cadencé à 1,5 GHz. Son TDP faible lui octroie une bonne autonomie. Sa partie graphique ne se limite pas au GPU intégré d’Intel puisqu’elle est comblée par une GeForce GT620M de Nvidia qui autorise le jeu avec modération sur sa dalle de 15,6 pouces (1366 x 768 pixels). Son épaisseur est sa force puisqu’elle ne dépasse pas les 23 millimètres, ce qui le met à la porte des Ultrabooks de peu sur cette caractéristique.

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Packard Bell EasyNote TV44

À la limite des 500 euros, le Packard Bell TV44-HC-120FR est un choix judicieux. Équipé d’un processeur Intel Core i5cadencé à 2,5 GHz épaulé par 4 Go de mémoire vive et un disque dur de 500 Go, il est apte à jouer sur tous les tableaux. De plus, il adopte les services d’une carte graphique dédiée, laGeForce GT620M de Nvidia, ce qui ne gâche rien et permet aux joueurs occasionnels de s’adonner dans la limite du raisonnable à leurs jeux favoris - et peu gourmands - sur un écran de 15,6 pouces (1366 x 768 pixels). Considéré comme étant la sous-marque d’Acer, Packard Bell livre ici une pièce bien construite dont la finition en aurait à apprendre à plus d’un. Seule contrepartie de taille, son poids. A 2,6 kg la bête, c’est un peu lourd.
Acheter le Dell Inspiron 15R au meilleur prix
Acheter le Packard Bell EasyNote TV44 au meilleur prix

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h41

3. Sélection de PC à moins de 500 euros

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Dell Inspiron 15R

Réputé pour son souci de la finition, Dell offre avec l’Inspiron 15R une machine correcte qui saura satisfaire le double usage multimédia/bureautique. Son Core i3 cadencé à 2,4 GHz n’est pas des plus puissants, mais fait son travail. Il est couplé à 4 Go de mémoire vive et un disque dur de 500 Go. Comme beaucoup de PC d’entrée de gamme, ce 15,6 pouces (1366 x 768 pixels) souffre d’un poids trop élevé : 2,74 kg. A 479 euros, il s’agit pourtant d’une ordinateur honorable.

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Acer Aspire V5

499 euros tout rond. C’est le prix de cet Aspire V5-571G. Il est pourvu d’un processeur Core i3 de seconde génération cadencé à 1,5 GHz. Son TDP faible lui octroie une bonne autonomie. Sa partie graphique ne se limite pas au GPU intégré d’Intel puisqu’elle est comblée par une GeForce GT620M de Nvidia qui autorise le jeu avec modération sur sa dalle de 15,6 pouces (1366 x 768 pixels). Son épaisseur est sa force puisqu’elle ne dépasse pas les 23 millimètres, ce qui le met à la porte des Ultrabooks de peu sur cette caractéristique.

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Packard Bell EasyNote TV44

À la limite des 500 euros, le Packard Bell TV44-HC-120FR est un choix judicieux. Équipé d’un processeur Intel Core i5cadencé à 2,5 GHz épaulé par 4 Go de mémoire vive et un disque dur de 500 Go, il est apte à jouer sur tous les tableaux. De plus, il adopte les services d’une carte graphique dédiée, laGeForce GT620M de Nvidia, ce qui ne gâche rien et permet aux joueurs occasionnels de s’adonner dans la limite du raisonnable à leurs jeux favoris - et peu gourmands - sur un écran de 15,6 pouces (1366 x 768 pixels). Considéré comme étant la sous-marque d’Acer, Packard Bell livre ici une pièce bien construite dont la finition en aurait à apprendre à plus d’un. Seule contrepartie de taille, son poids. A 2,6 kg la bête, c’est un peu lourd.
Acheter le Dell Inspiron 15R au meilleur prix
Acheter le Packard Bell EasyNote TV44 au meilleur prix

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h42

4. PC polyvalent

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Voilà l’ordinateur familial qui sait tout faire ou presque. Équipé d’une configuration correcte et disposant d’une finition assez soignée, il compose la catégorie la plus vendue actuellement. En effet, selon une étude GFK publiée en août 2012, le prix moyen d’un PC se situerait aux alentours de 550 euros. Coincée entre 500 et 800 euros, cette catégorie offre un large panel d’ordinateurs portables et un choix intéressant.
Processeur

En passant la barre des 500 euros, on franchit un cap permettant de passer à des processeurs plus puissants. Il devient possible de trouver des Core i5 et même quelques Core i7. Ce sont les modèles plébiscités dans cette catégorie et aussi les plus indiqués. Quitte à dépenser plus de 500 euros, autant s’orienter vers un composant plus performant que le Core i3 et surtout de dernière génération, soit en architecture Ivy Bridge dont la nomenclature est la suivante : Core iX 3XXX. À l’instar des PC à moins de 500 euros, les processeurs AMD ne sont toujours pas en honneur de sainteté. Suite aux tests réalisés par nos confrères de Hardware.fr, on peut affirmer que passer à côté des AMD A8 et A10 ne vous sera pas reproché.
Mémoire vive

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Pour un ordinateur homogène, 4 Go de mémoire vive (RAM) sont conseillés. Dans cette catégorie, les constructeurs mettent mêmejusqu’à 8 Go dans certaines machines. C’est un petit plus qui est appréciable pour le montage audiovisuel, le traitement photo et le multitâche, trois usages qui réclament beaucoup de RAM. Sachez néanmoins qu’il est possible d’ajouter des barrettes de mémoire ou de les changer si aucun emplacement n’est disponible. Enfin, il est aussi bon de rappeler qu’un ordinateur fonctionnant sous une version 32 bits de Windows ne pourra gérer plus de 3,5 Go. Si lors de l’achat le PC en contient moins, il faudra réinstaller Windows en 64 bits pour profiter du surplus de mémoire vive.
Ecran

La donne ne change pas par rapport à l’entrée de gamme si ce n’est que la gamme de prix est plus propice aux écrans de meilleure qualité. Malheureusement, mis à part le rendu visuel observé, il est impossible de tester un écran en magasin. L’idéal est de se reporter aux tests effectués par les sites spécialisés le cas échéant. Les diagonales phares sont le 15,6” et le 17,3”. La définition stagne le plus souvent à 1366 x 768 pixels, ce qui n’est pas très glorieux pour des PC de milieu de gamme. Seul les17,3 pouces ont droit à du 1600 x 900 pixels.
Les premiers Ultrabooks

Apparus en 2011 à des tarifs supérieurs ou égaux à 1000 euros, les Ultrabooks tendent à se démocratiser. On en trouve désormais dans le milieu de gamme avec des prix débutant aux alentours de 700 euros. C’est une bonne affaire pour les consommateurs en quête d’un appareil ultranomade performant.
Espace disque

Dans le milieu de gamme, les disques durs atteignent communément 750 Go ou 1000 Go. C’est une caractéristique qui dépend de l’appréciation de chacun. Les quelques Ultrabooks qui s’y glissent font apparaître le SSD, sa rapidité et son espace limité. Une alternative existe : la solution hybride. Mise en place par Acer dans son Aspire S3, elle couple un SSD de petite capacité à un disque dur. Le système et les applications profitent ainsi des avantages du SSD alors que l’espace de stockage est garanti par la présence du disque dur.
Carte graphique

Zoom

Le nombre de cartes graphiques dédiées augmente sensiblement dans cette catégorie. Pas beaucoup plus performante que dans l’entrée de gamme, elles sont suffisantes pour décoder des films en haute définition et se détendre avec un jeu sans pousser les options graphiques dans leurs retranchements. On conseillera d’opter pour une GeForce GT630M, GT635M ou GT640M pour des performances optimales sur une machine de milieu de gamme.
Autonomie

L’autonomie dépend toujours des mêmes critères : le nombre de cellules contenues dans la batterie, l’utilisation d’une carte graphique dédiée et la consommation du processeur (TDP). Bien entendu, plus le processeur est puissant et plus ce TDP sera élevé entraînant une baisse de l’autonomie lorsqu’il fonctionne à pleine puissance.

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h43

4. PC polyvalent

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Voilà l’ordinateur familial qui sait tout faire ou presque. Équipé d’une configuration correcte et disposant d’une finition assez soignée, il compose la catégorie la plus vendue actuellement. En effet, selon une étude GFK publiée en août 2012, le prix moyen d’un PC se situerait aux alentours de 550 euros. Coincée entre 500 et 800 euros, cette catégorie offre un large panel d’ordinateurs portables et un choix intéressant.
Processeur

En passant la barre des 500 euros, on franchit un cap permettant de passer à des processeurs plus puissants. Il devient possible de trouver des Core i5 et même quelques Core i7. Ce sont les modèles plébiscités dans cette catégorie et aussi les plus indiqués. Quitte à dépenser plus de 500 euros, autant s’orienter vers un composant plus performant que le Core i3 et surtout de dernière génération, soit en architecture Ivy Bridge dont la nomenclature est la suivante : Core iX 3XXX. À l’instar des PC à moins de 500 euros, les processeurs AMD ne sont toujours pas en honneur de sainteté. Suite aux tests réalisés par nos confrères de Hardware.fr, on peut affirmer que passer à côté des AMD A8 et A10 ne vous sera pas reproché.
Mémoire vive

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Pour un ordinateur homogène, 4 Go de mémoire vive (RAM) sont conseillés. Dans cette catégorie, les constructeurs mettent mêmejusqu’à 8 Go dans certaines machines. C’est un petit plus qui est appréciable pour le montage audiovisuel, le traitement photo et le multitâche, trois usages qui réclament beaucoup de RAM. Sachez néanmoins qu’il est possible d’ajouter des barrettes de mémoire ou de les changer si aucun emplacement n’est disponible. Enfin, il est aussi bon de rappeler qu’un ordinateur fonctionnant sous une version 32 bits de Windows ne pourra gérer plus de 3,5 Go. Si lors de l’achat le PC en contient moins, il faudra réinstaller Windows en 64 bits pour profiter du surplus de mémoire vive.
Ecran

La donne ne change pas par rapport à l’entrée de gamme si ce n’est que la gamme de prix est plus propice aux écrans de meilleure qualité. Malheureusement, mis à part le rendu visuel observé, il est impossible de tester un écran en magasin. L’idéal est de se reporter aux tests effectués par les sites spécialisés le cas échéant. Les diagonales phares sont le 15,6” et le 17,3”. La définition stagne le plus souvent à 1366 x 768 pixels, ce qui n’est pas très glorieux pour des PC de milieu de gamme. Seul les17,3 pouces ont droit à du 1600 x 900 pixels.
Les premiers Ultrabooks

Apparus en 2011 à des tarifs supérieurs ou égaux à 1000 euros, les Ultrabooks tendent à se démocratiser. On en trouve désormais dans le milieu de gamme avec des prix débutant aux alentours de 700 euros. C’est une bonne affaire pour les consommateurs en quête d’un appareil ultranomade performant.
Espace disque

Dans le milieu de gamme, les disques durs atteignent communément 750 Go ou 1000 Go. C’est une caractéristique qui dépend de l’appréciation de chacun. Les quelques Ultrabooks qui s’y glissent font apparaître le SSD, sa rapidité et son espace limité. Une alternative existe : la solution hybride. Mise en place par Acer dans son Aspire S3, elle couple un SSD de petite capacité à un disque dur. Le système et les applications profitent ainsi des avantages du SSD alors que l’espace de stockage est garanti par la présence du disque dur.
Carte graphique

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Le nombre de cartes graphiques dédiées augmente sensiblement dans cette catégorie. Pas beaucoup plus performante que dans l’entrée de gamme, elles sont suffisantes pour décoder des films en haute définition et se détendre avec un jeu sans pousser les options graphiques dans leurs retranchements. On conseillera d’opter pour une GeForce GT630M, GT635M ou GT640M pour des performances optimales sur une machine de milieu de gamme.
Autonomie

L’autonomie dépend toujours des mêmes critères : le nombre de cellules contenues dans la batterie, l’utilisation d’une carte graphique dédiée et la consommation du processeur (TDP). Bien entendu, plus le processeur est puissant et plus ce TDP sera élevé entraînant une baisse de l’autonomie lorsqu’il fonctionne à pleine puissance.

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h45

5. Sélection de PC polyvalents

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Asus S56CM

En optant pour cet Asus, le consommateur pénètre dans l’universUltrabook. Ici, c’est un Core i7 à basse consommation qui lui est proposé. Le 3517U est nativement cadencé à 1,9 GHz ce qui lui permet de briguer une bonne autonomie et peut aller jusqu’à 3 GHz en mode Turbo. Son châssis est fin avec 21 mm mesurés. Malgré cette donnée, il s’autorise un graveur de DVD. Autre atout : son écran est mat. Adieu les reflets, donc. Par contre, il reste en1366 x 768 pixels. Ajoutons qu’Asus a placé une GeForce GT635M dans son appareil, faisant de lui une machine de jeu ou de traitement d’image plus avancée qu’avec la HD4000 d’Intel. Enfin, le S56CM s’offre une solution de stockage hybride avec SSD de 24 Go et disque dur de 750 Go.

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Acer Timeline M5

Autre Ultrabook de cette sélection milieu de gamme, le Timeline M5 est le modèle de jeu/multimédia d’Acer dans cette catégorie. Concurrent de l’Asus S56CM, il dispose d’une configuration inférieure avec un processeur Core i5 cadencé à 1,4 GHz. Son stockage est assuré par un SSD de 20 Go et un disque dur de 500 Go. Pour sa partie graphique, le M5 prend le modèle supérieur de Nvidia, la GeForce GT640M. On notera ses finitions de bonne facture, et son autonomie correcte pour un Ultrabook, environ 5 heures.

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LDLC Saturne MB1

Voici le petit extra du milieu de gamme. Proposé à 789 euros, le Saturne MB1-I5-8-H7 est un ordinateur puissant enfermé dans un châssis de 11,6 pouces. Un ultraportable pour jouer, ainsi est-il défini par LDLC.« Jouez partout, tout le temps, où et quand vous voulez ! » Pour ce faire, on lui a injecté un Core i5 cadencé à 2,5 GHz, 8 Go de mémoire vive, un disque dur de 500 Go et surtout une GeForce GT650M 2 Go, un grand plus pour le joueur amateur ou féru de montage vidéo. Tout ça coûte bien moins de 800 euros, mais il y a par contre un bémol. L’ordinateur est livré sans système d’exploitation. Il faut donc ajouter cela à la note : 50 euros pourWindows 8 Pro.

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h46

6. Les Ultrabooks

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Présenté par Intel en 2011, l’Ultrabook est un concept qui allie la polyvalence d’un ordinateur portable à la mobilité d’une tablette. Fin, performant, autonome et rapide, voilà le Credo de ce type de machine qui sévit désormais depuis un an sur le marché du PC portable.
Encombrement et conception

Pour bénéficier de l’appellation Ultrabook, les constructeurs doivent respecter un cahier des charges édicté par Intel. Et cela commence par le design de la machine. Si la diagonale de l’écran est inférieur à 14 pouces, son épaisseur ne doit pas dépasser 18 millimètres. Si elle est supérieure ou égale à 14 pouces, elle peut aller jusqu’à 21 millimètres. Au-delà, ce n’est plus un Ultrabook au sens d’Intel. Le poids n’est pas réglementé par Intel. Néanmoins, les fabricants le contiennent aux alentours de 1 kg ou 1,5 kg pour un modèle de 13,3 pouces, la taille favorisée par l’Ultrabook. Pour ce faire, on a droit à des matériaux « luxueux » tels que le carbone ou l’aluminium. Certains « trichent » en employant un alliage de plastique et de métal pour alléger leurs Ultrabooks. L’effet est réussi.
Processeur

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Lorsque l’on parle d’Ultrabook, sa configuration est la partie la plus rapide à aborder. Avec pour père Intel, il n’a droit d’être équipé que d’un processeur du même fondeur. Dès lors, on se retrouve face à une pléthore de Core i3, i5 et i7. Débutée en 2011, la production des Ultrabooks mêle donc dans ses rangs des processeurs Sandy Bridge (seconde génération de Core iX) et Ivy Bridge (troisième génération de Core iX).
Mémoire vive

Elle est au moins de 4 Go et peut atteindre 16 Go sur certains modèles comme les EliteBook de HP. Attention, contrairement aux ordinateurs portables classiques, la mémoire est le plus souvent soudée à la carte mère sur un Ultrabook. De facto, il est impossible d’en ajouter ultérieurement, à moins de jouer du fer à souder, ce qui n’est pas recommandé. Il faut donc prendre ce point en considération lors de l’achat.
Stockage

L’Ultrabook doit être rapide et donc démarrer en une poignée de secondes. Pour remplir cette condition, les constructeurs n’ont eu d’autre choix que d’utiliser des SSD, beaucoup plus véloces que les disques durs. En prime, ils sont silencieux et compacts. Seul souci, leur capacité de stockage. Au-delà de 256 Go, le coût répercuté sur la facture est énorme, empêchant de vendre l’Ultrabook à bon prix. Pour franchir cet obstacle, on a vu apparaître des solutions hybrides embarquant un SSD de faible capacité et un disque dur classique offrant plusieurs centaines de gigaoctets. Cette solution est la plus satisfaisante. À noter que quelques constructeurs se sont même aventurés à proposer des solutions hybrides à base d’un SSD de 128 Go et d’un disque dur de 750 Go, comme Gigabyte et son U2442.
Autonomie

Pour respecter les règles d’Intel, un Ultrabook est censé offrir au minimum cinq heures d’autonomie à son utilisateur, huit heures étant préférées. En réalité, même les processeurs basse consommations qu’utilisent les marques ne permettent pas d’atteindre la valeur haute en activité. Les machines respectent ces données si elles restent allumées, mais non utilisées. En usage intensif, nous n’avons jamais dépassé les trois heures d’autonomie, soit entre trois et cinq heures dans un usage normal.
Carte graphique

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Afin d’économiser de l’espace dans la machine et de proposer des machines à prix avantageux, les constructeurs se sont arrêtés à la solution tout-en-un d’Intel qui intègre ses HD3000 et HD4000 dans ses processeurs. Néanmoins, depuis quelques mois, on voit arriver quelques Ultrabooks pourvus de cartes graphiques plus performantes telles que des GeForce GT640M, Radeon HD 8550M et même une GT650M sur l’Asus U500. Par contre, une carte graphique dédiée fait rapidement grimper la note. Comptez un ticket d’entrée de 1600 dollars pour le U500.
Tactile/transformable

Apparus il y a quelques semaines, les Ultrabooks tactiles et transformables font écho à la sortie de Windows 8. La dernière version du système d’exploitation de Microsoft faisant la part belle au toucher avec Modern UI, le marché s’est mis à niveau pour l’accueillir comme il se doit. De nombreuses machines ont donc pris le parti d’être soit simplement tactiles soit de complètement se transformer en tablette. Taichi, U920t, Yoga ou encore XPS 12 sont autant de modèles que l’on peut utiliser sur un bureau en PC ou depuis son canapé en tablette. Suite à nos tests, ce concept intéressant se révèle ne pas être encore abouti, l’ordinateur transformé en tablette ne permettant pas d’offrir la même prise en main qu’une tablette classique.

**~~**SIDALI55**~~** · 25/12/2012, 10h54

7. Sélection d'Ultrabooks

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Acer Aspire S3

Premier modèle d’Ultrabook sorti après l’annonce d’Intel, le S3 a été aussi une bonne surprise dans sa première version. Il revient ici avec une évolution de sa configuration qui a été mise à jour en Ivy Bridge avec un Core i5 basse consommation. Arborant une finition en aluminium brossé, il ne pèse que 1,36 kg pour une diagonale de 13,3 pouces et une épaisseur maximale de 17,5 mm. Côté autonomie, Acer annonce 6 heures. Le stockage est assuré par un SSD seul de 128 Go.

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Asus Zenbook Prime UX31A

Évolution de l’UX31E, voici une version plus agressive par ses performances. Sous une coque effilée en aluminium à la finition impeccable, on découvre un Core i7 basse consommation cadencé à 1,9 GHz (3 GHz en mode Turbo), un SSD de 256 Go, 4 Go de RAM et enfin un écran de 13,3 pouces Full HD (1920 x 1080 pixels). L’ensemble ne dépasse pas 1,3 kg pour 18 mm d’épaisseur. Le contrat Ultrabook semble rempli avec en plus une autonomie supérieure à 6 heures.

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Samsung Série 9

Plébiscité lors de sa sortie, le Série 9 n’est pas un Ultrabookpour Samsung. Pourtant, Intel le considère bien comme tel. Une fois cette histoire de cavalier seul écartée, on se retrouve face à la machine la plus fine du marché. 1,3 millimètre, c’est une belle prouesse pour ce 13,3 pouces. De base, il est architecturé autour d’un Core i5 Ivy Bridge basse consommation cadencé à 1,7 GHz. A cela, il faut ajouter 4 Go de mémoire vive, un SSD de 128 Go et voici un Ultrabook de 1,16 kg à un peu plus de 1100 euros.Samsung annonce une autonomie de 7 heures pour ce portable.

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