Après plusieurs années de progression consécutive, le piratage des contenus audiovisuels a infléchi sa croissance en 2018, rapporte Médiamétrie.



Un tournant que la société de mesure d’audience explique principalement par le développement des offres légales de vidéos répondant aux attentes du public – à l’exception du sport, de plus en plus touché par le piratage.

Ainsi, en janvier 2018, seuls 16% des consommateurs de vidéos visionnaient leurs programmes exclusivement sur des sites légaux ; en revanche, ils étaient 35% en décembre, privilégiant ainsi ces solutions aux offres illégales.

Toujours selon Médiamétrie, l’année dernière, la France comptait en moyenne 15,4 millions de « pirates » par mois, soit 1 internaute sur 4. Ces internautes se sont connectés au moins une fois à un site dédié à la contrefaçon audiovisuelle sur ordinateur, tablette ou smartphone
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