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    Post Etablissement Hospitalier Universitaire

    A LA UNE/ACTUALITE_(EHU d’Oran)
    11 Août 2015|14h58

    L’enquête ouverte depuis, hier lundi suite à la découverte,
    le jour même du corps sans vie d’un sexagénaire dans un ascenseur du service
    des consultations de l’établissement hospitalier universitaire 1er Novembre (EHU d’Oran)
    vient de livrer ses secrets.


    Pièce jointe 18015
    EHU1 d’Oran.jpg


    Il s’agit d’un crime. La victime a été découverte selon des sources sécuritaires par un employé du service
    lequel a aussitôt donné l’alerte. Des équipes de la police judiciaire appuyées par les éléments
    du laboratoire scientifique se sont déplacés sur les lieux où ils évacué le cadavre vers la morgue.
    Le rapport du médecin légiste est formel et précise qu’il s’agit d’un crime.

    Les services de la police ont précisé, hier, que la victime présentait des troubles mentaux et était recherchée
    depuis plusieurs jours par ses proches dans la commune de Bousfer.
    Les recherches sont lancées pour identifier le ou les auteurs de ce crime.

    F.A


    Dernière modification par zadhand ; 20/06/2016 à 21h24.
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    Post Les professionnels réclament le gel de la décision

    Les professionnels réclament le gel de la décision



    Instruction de Mise fin au poste de chef de service à 182 professeurs hospitalo-universitaires
    le 20.06.16 | 10h00

    La note signée par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Santé
    signifie donc un départ du poste de responsabilité à partir
    du 23 septembre, mais sans quitter le service.



    La déchéance des professeurs hospitalo-universitaires de la chefferie de
    service édictée par une note interministérielle parvenue jeudi dernier aux doyens
    des facultés de médecine et aux directions générales des hôpitaux divise la corporation.
    La note, signée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
    scientifique et celui de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, signifie
    donc un départ du poste de responsabilité à partir du 23 septembre mais sans quitter le service.

    Elle propose également le maintien de certains d’entre eux jusqu’à l’âge de 67 ans au poste
    de chef de service, mais cela est laissé à l’appréciation du directeur de l’hôpital et du doyen de
    la faculté, lesquels doivent présenter un rapport justifiant les impératifs en matière de santé et
    d’enseignement supérieur pouvant permettre le maintien jusqu’à cet âge-là.

    S’agit-il réellement d’un départ à la retraite ou simplement d’une déchéance d’un poste de
    responsabilité en attendant de fixer définitivement l’âge de départ à la retraite ? Cette décision
    effectivement ambiguë s’applique exclusivement aux enseignants-chercheurs hospitalo-universitaires,
    puisque les autres spécialistes (mathématiques, physique, etc.) sont maintenus à leurs postes alors
    qu’ils relèvent du même statut. Une situation que d’aucuns qualifient de cacophonie qui risque d’avoir
    un impact négatif sur le fonctionnement des services médicaux, de recherche et de soins.

    Si le Syndicat national des enseignants-chercheurs hospitalo-universitaires (Snechu) se félicite de
    cette décision tout en défendant le droit de progression et de promotion des jeunes professeurs,
    la plupart des syndiqués crient au scandale en parlant de sanction du 4e degré en se référant au
    statut de la Fonction publique, qui signifie rétrogradation. «Quelle faute grave ont donc commis les
    professeurs chefs de service âgés de 65 ans ayant acquis leur titre par concours hospitalo-universitaire
    et non par décision administrative pour les punir au point de les rétrograder, les faisant passer du statut
    de chef d’école à celui d’élève exécutant et surtout pour quel intérêt ?» souligne le collectif des
    hospitalo-universitaires, d’autant que la pension de retraite «injustement fixée à 55% du salaire»
    n’est pas encore réglée.
    A ce titre, le Snechu demande le gel de cette note interministérielle pour
    permettre un dialogue social avec l’ensemble des partenaires concernés. Le collectif propose la mise
    en place d’une commission officielle relative au statut du professeur et du professeur chef de service au
    titre de cadre de la nation : «Elle se pencherait de même sur l’amélioration du statut et la progression
    hiérarchique des maîtres assistants et maîtres de conférences A et B et elle définira la retraite des
    hospitalo-universitaires dans son âge d’application ainsi que les conditions matérielles qui l’entourent.»

    Le collectif estime qu’il reviendra aux institutions de retenir ou de rappeler, dans le cadre de l’intérêt public
    supérieur, les praticiens qui, au titre de l’excellence, pourraient servir dans les soins de haut niveau,
    la recherche et la formation. Pour l’ex-président du Snechu, le professeur Djidjli, le départ à la retraite
    doit être fixé définitivement pour tous les universitaires puis la chefferie de service viendra par la suite et
    cela dans le respect des droits. «On ne peut pas partir à la retraite sans avoir réglé le problème de
    la pension de retraite fixée à 55% du salaire alors que nous cotisons 80%», relève-t-il. Et de rappeler que
    s’il y a lieu de maintenir certains chefs de service en poste, des dispositions doivent être mises place
    au préalable.
    En attendant le mois septembre, l’administration accélère la cadence pour organiser le
    concours d’accès au grade de professeur en juillet, soit durant les vacances universitaires, et celui de
    la chefferie de service avant la fin de l’année 2016. Une course contre la montre qui obéirait, selon certaines
    indiscrétions, à la promotion d’amis(es) et proches.

    Djamila Kourta
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    Post 400 nouveaux cas de cancer à l’EHU 1er Novembre au premier semestre 2016

    400 nouveaux cas de cancer à l’EHU 1er Novembre au premier semestre 2016

    EHU/Oran
    30/07/2016 - 17:48

    Quelque 400 nouveaux cas de cancer ont été enregistrés au premier semestre 2016 à
    l’Etablissement hospitalo-universitaire du 1er Novembre d’Oran, rapporte l’APS
    ce samedi le chef de service d’oncologie à l’EHU, Pr Mohamed Yamouni.



    «Le cap de 800 cas sera fort probablement dépassé à la fin de cette année»,
    a-t-il prévu, rappelant que son service avait enregistré 750 nouveaux cas de
    cancer en 2015.
    Les statistiques de 2015 indiquent que le cancer du sein,
    avec 228 cas, vient en tête parmi les cinq cancers à forte prévalence en Algérie,
    suivi du cancer colo-rectal (73), celui du poumon (66), du pancréas (42) et de
    l’estomac (36).
    L’hôpital du jour d’oncologie à l’EHU d’Oran, ouvert en 2012 et ce
    nouveau service inauguré en juillet 2016, connaissent une forte affluence de
    malades de la région ouest, a signalé le président du comité national pédagogique d’oncologie et doyen d’oncologie en Algérie, Pr Diilali El Ouafi.
    Les malades affluent
    à l’établissement de différentes wilayas de l’Ouest du pays, a-t-il noté, ajoutant que
    depuis quelques années il a été procédé à une décentralisation de la prise en charge
    de cette maladie avec l’ouverture de services d’oncologie dans différentes wilayas et
    même dans des daïras, telles que Maghnia, Ghazaouet, Sebdou, Sig, Mecheria,
    Ain Sefra, Frenda, Sougueur, Beni Saf et Ain Turck.
    L’ouverture de ces services dans différentes daïras de l’Ouest permet de désengorger les grands établissements
    hospitaliers tout en épargnant aux malades de longs déplacements.
    D'Autres services seront ouverts au fur et à mesure dans d’autres daïras dans les années à venir, a-t-on annoncé, soulignant que les structures existantes ne sont pas suffisantes.
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    Post Une femme décède suite à l’inhalation de la fumée à Oran

    Une femme décède suite à l’inhalation de la fumée à Oran

    Grillade de la tête de mouton
    le 13.09.16 | 18h46

    Une mère de famille est décédée aujourd’hui, à Oran, suite à l’inhalation de la fumée
    lors de la traditionnelle grillade de la tête du mouton et des pattes (Bouzlouf).



    Selon la cellule de communication du centre hospitalo-universitaire
    d’Oran «la défunte souffrait de l’asthme. Malgré son admission
    au service des urgences, la victime est décédée suite à la
    complication de son état ».
    Elle qui souffrait d’asthme, son
    état s’est effectivement rapidement aggravé, et le pire est arrivé.

    Nayla Hammoud
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