Société Générale Algérie (SGA)

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Société Générale Algérie (SGA)

Société Générale Algérie
Le réseau se densifie
le 28.06.16 | 10h00 Réagissez

Disposant désormais d’un réseau de 87 agences, Société générale
Algérie vient d’ouvrir sa 4e agence dans la wilaya de Constantine.
C’est suite à un agrément délivré par la Banque d’Algérie, en date
du 14 juin 2016, que cette nouvelle ouverture s’est faite, la quatrième
agence dans la wilaya Constantine, renforçant le dispositif commercial
déjà déployé dans cette grande wilaya. L’ouverture de cette nouvelle
agence s’inscrit dans le cadre de la politique de proximité et de
satisfaction client de la Société générale Algérie. «Première banque privée
en Algérie en termes de réseau d’agences, soit 87 réparties
sur le territoire national, Société générale Algérie démontre, à travers
cette démarche, sa volonté de se rapprocher de ses clients afin
de mieux les servir, un positionnement qui rappelle l’engagement de
la banque à soutenir et à accompagner le développement à travers
un canal de distribution doté de ressources humaines compétentes
et de moyens modernes», lit-on dans un communiqué diffusé
par SGA. Sa nouvelle agence, située à Unité voisinage n°7
Nouvelle ville Constantine, a ouvert ses portes dimanche dernier.
Elle propose aux particuliers, aux professions libérales et aux entreprises
de la région une gamme très étendue de produits bancaires.

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L’investissement en ligne de mire

Société générale Algérie
le 14.07.16|10h00

La banque privée Société Générale Algérie (SGA) oriente désormais
ses activités davantage vers le financement de l’entreprise et de
l’investissement que vers le commerce extérieur, ont assuré hier ses
responsables, lors d’une conférence de presse à Alger.
«Cela fait déjà plus de trois ans que nous avons commencé à réorienter
nos activités vers les crédits aux entreprises et aux particuliers, ce qui fait
que notre chiffre d’affaires n’est pas du tout dépendant des commissions
sur le commerce extérieur», a ainsi affirmé le directeur commercial de la
banque, Matthieu Vacarie. Affichant un produit net bancaire (PNB) en
croissance de 14% et un résultat net de plus de 4,4 milliards de dinars au
titre de l’exercice écoulé, SGA, précise de son côté son premier responsable,
Eric Wormser, a vu s’améliorer ses performances en 2015 particulièrement à
la faveur d’une croissance de près de 32% de son activité crédit. Aussi, a-t-il
affirmé, la part du commerce extérieur dans le PNB de la banque ne cesse de
reculer ces quelques dernières années, ne pesant désormais que quelque 12%,
contre 15% en 2014 et 20% en 2013. Parallèlement à l’évolution des crédits aux entreprises, ajoute Eric Wormser, les financements au profit des particuliers suivent également une courbe ascendante, notamment les crédits immobiliers, dont la part
dans le portefeuille global des engagements de la banque a grimpé à quelque 2,5%, notamment suite à la baisse opérée sur les taux d’intérêt.S’agissant des crédits à la consommation, relancés depuis début février dernier pour l’acquisition de biens
produits localement, le même responsable affirme que ce segment commence à
«bien redémarrer», la SGA ayant déjà eu, selon lui, à traiter pas moins de 1000
demandes de crédit pour un montant global de 400 millions de dinars. L’essentiel
de ces dossiers, a-t-il précisé, porte sur des demandes de financement de l’acquisition
de biens électroménagers et de meubles, tandis que la part des demandes de crédit automobile n’a été que d’environ 15%. Sur un autre registre, les responsables de SGA
ont également indiqué que leur banque s’est fortement impliquée dans l’opération d’emprunt obligataire lancée en avril dernier par l’Etat, en y souscrivant déjà à hauteur
de 2 milliards de dinars au total, dont la moitié pour le propre compte de la SGA et
l’autre à travers sa clientèle. La banque, qui prévoit d’y souscrire à nouveau pour un milliard de dinars supplémentaire, a par ailleurs enregistré, selon son secrétaire général, Mohamed Arabi, «5 à 6 opérations importantes de dépôts de fonds» dans le cadre
du dispositif dit de mise en conformité fiscale, destiné notamment à bancariser
l’argent de l’informel.

Akli Rezouali