Affichage des résultats 1 à 3 sur 3

Vue hybride

Message précédent Message précédent   Message suivant Message suivant
  1. #1
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    166

    Post Les Diplômés Algériens

    A la une Actualité_Suite à un accord signé entre les deux gouvernements
    27 octobre 2015 | 12:09

    LES DIPLÔMÉS ALGÉRIENS AUTORISÉS À TRAVAILLER EN FRANCE

    LES DIPLÔMÉS ALGÉRIENS AUTORISÉS À TRAVAILLER EN FRANCE.jpg

    Les diplômés des universités algériennes seront désormais autorisés à travailler en France, suite à un accord conclu lundi par les membres de la Comité mixte économique qui accorde aussi le droit aux diplômés français de travailler en Algérie. C’est ce qui advient d’une série d’accords inédits signés au cours des travaux de la troisième session du Comité mixte économique
    algéro-français (Comefa) qui se sont achevés à Paris.

    L’accord intergouvernemental, intitulé « Accord sur la mobilité des jeunes diplômés algériens et français », permet aux diplômés algériens d’accéder en France à des postes de travail comme il accorde la possibilité aux cadres français de travailler en Algérie. Les détails de cet accord seront publiés dans le Journal officiel des deux pays. Il s’agit d’une nouveauté dans les relations Algéro-françaises qui ne manquera pas de susciter l’intérêt des diplômés algériens. Jusqu’à l’heure, les diplômés de médecine en Algérie qui, souvent, trouvent des débouchés en France font face au lancinant problème d’équivalence.
    Co-présidée par les ministres algérien et français des Affaires étrangères,
    Ramtane Lamamra et Laurent Fabius.
    Dernière modification par zadhand ; 27/10/2015 à 22h30. Motif: Les Diplômés Algériens
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. #2
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    166

    Post Etudiants algériens en France

    A la une/Actualité_Etudiants algériens en France
    le 26.03.16 | 16h02

    LES DIPLÔMÉS ALGÉRIENS AUTORISÉS À TRAVAILLER EN FRANCE.jpg

    Quand la précarité mène au suicide


    l'Association Addra tire la sonnette d’alarme.jpg

    Le nombre d’étudiants algériens en France ne cesse d’augmenter. Ils sont actuellement plus de 26 000
    à poursuivre leurs études dans les différentes universités françaises. Mais qu’en est-il réellement du quotidien
    de ces jeunes diplômés, partis à la recherche du savoir, ou d’une vie meilleure ?
    L’Association des Algériens des deux rives et leurs amis (Addra) s’est penchée sur la question en menant
    une enquête qui a couvert un échantillon de 320 étudiants. L’enquête révèle une réalité amère.
    « Des centaines étudiants n’arrivent pas à subvenir à leurs besoins alimentaires alors que d’autres se trouvent
    contraints à vivre dans la rue », résume Yougourthen Ayad, président de l’association Addra, lors d’une conférence
    de presse organisée, aujourd’hui samedi, au siège de Laddh à Alger.
    L’Association, dit-il, a recensé une dizaine de cas de suicide parmi la communauté estudiantine algérienne en France,
    durant l’année 2015.Le suicide est le résultat final de la précarité que vivent certains de ces étudiants confrontés à
    des obstacles administratifs. Les accords conclus entre les Etats français et Algériens font que les étudiants algériens
    ont besoin d’une autorisation de travail contrairement aux étudiants issus d’autres pays qui trouvent plus de facilités
    à accéder aux marchés de travail.Il est expliqué, dans le rapport, que la législation française sur le travail autorise les étudiants,
    étrangers à exercer une activité rémunérée de 964 heures. L’étudiant Algérien, quant à lui, a droit seulement à 822 heures.
    Et en plus, il doit obtenir une autorisation auprès de la direction départementale du travail.
    Le rapport souligne que l’hébergement reste l’un des « soucis majeurs » des étudiants algériens qui « doivent faire preuve
    d’un sens accru de la débrouillardise pour s’en sortir ! Certains en viennent même à dormir dans les transports publics,
    dans des centres d’hébergement d’urgence et parfois dehors ! ».
    Campus France au banc des accusés
    Les étudiants algériens se trouvent « perdus » dans les rouages des administrations françaises, à chaque fois qu’ils ont besoin
    de renouveler leurs titres de séjour. Selon l’enquête, Campus France, structure chargée de sélectionner les étudiants éligibles à
    un visa d’études en France, est aussi responsable de cette situation : « l’une des missions qui incombe à cet organisme est de
    « fournir les informations nécessaires pour les différentes démarches à entreprendre auprès de différentes institutions
    en France (couverture médicale, démarche auprès de la préfecture, logement…), or, dans les faits, les étudiants ne sont informés
    de ces procédures qu’une fois arrivés en France et à travers des circuits d’information non officiels ».
    Les rédacteurs du rapport estiment que « Campus France n’encadre pas suffisamment les étudiants (…) et se contente de jouer
    le rôle d’une passerelle avec les universités, ce qui ne justifie nullement les tarifs appliqués (8000 DA ndlr) ».
    L'Association Addra a appelé les pouvoirs publics algériens à mettre en place une structure d’accueil des étudiants et à « renforcer
    les accords de coopération avec la France », pour mettre fin à cette « situation alarmante ».
    Farouk Djouadi

    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  3. #3
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 317 fois
    Pouvoir de réputation
    166

    Post Titulaires de DEUA

    Titulaires de DEUA

    Le décret 14-266 ne sera pas appliqué dans l’immédiat
    le 09.08.16 | 10h00

    Le décret présidentiel fixant la grille indiciaire des traitements et le régime de rémunération des fonctionnaires, classant les titulaires du diplôme d’études universitaires appliquées (DEUA) ne sera pas appliqué dans l’immédiat.

    Dans une réponse écrite à une question du député Lakhdar Benkhellaf,
    le ministre des Travaux publics et des Transports a affirmé qu’aucune
    administration ne peut appliquer dans l’immédiat l’article 1 du décret
    n°14-266 modifiant et complétant le décret présidentiel
    n°07-304 de septembre 2007 classant les DEUA dans la catégorie 11.
    Selon Boudjemaâ Talaï, pour appliquer le décret, il faudra deux conditions
    amender le décret exécutif 8-04 portant statut particulier des
    fonctionnaires appartenant aux corps communs, aux institutions
    et administrations publiques, «actuellement en discussion au niveau
    du secrétariat général du gouvernement», et réviser les décrets des
    statuts particuliers des secteurs concernés.
    Malgré l’adoption du décret
    fixant la grille indiciaire des titulaires de DEUA, depuis deux ans quelque
    200 000 diplômés ne bénéficient pas des mêmes avantages que
    les autres universitaires. Les titulaires ont protesté durant plusieurs
    années pour réclamer la reconnaissance de leurs diplômes (bac+3).

    Dans un premier temps, le ministère de l’Enseignement supérieur a
    rejeté la responsabilité sur la Fonction publique. Des années après,
    les titulaires de DEUA ont eu droit à un classement ;
    le 28 septembre 2014, le décret présidentiel n°14-266 modifiant
    et complétant le décret présidentiel n°07-304 de septembre 2007
    fixant la grille indiciaire des traitements et le régime de rémunération
    des fonctionnaires a été adopté. Mais, à ce jour, ce texte n’est pas
    appliqué et les diplômés recrutés dans la Fonction publique attendent
    de bénéficier des mêmes avantages que leurs collègues.

    Nadir Iddir


    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •