Sellal annule le projet de cimenterie à Oued Taga
Sellal annule le projet de cimenterie à Oued Taga
le 12.07.16|14h36
Le projet de réalisation de la cimenterie à Oued Taga a été annulé par une
décision du premier ministre confortée par une décision du wali de Batna.
Une décision qui a transformé la colère des habitants de la commune
en une liesse incommensurable dans la soirée du lundi.
A peine l'information confirmée par la délégation reçue au bureau du wali, tard dans
l’après-midi du lundi, quelque 300 voitures se sont mises à sillonner les différentes
bourgades de la commune klaxonnant et tirant des salves de baroud pour annoncer
la nouvelle.Les citoyens ne se sont pas fait attendre et de manière spontanée ont
convergé vers le centre-ville pour fêter à leur manière cette victoire qui vient couronner
leur lutte entamée voilà 2 ans pour barrer le chemin au projet. "Nous nous apprêtons à
organiser un grand festin", nous a-t-on dit, "mais auparavant, nous allons organiser un
volontariat pour nettoyer la commune et orienter cette mobilisation citoyenne vers une
mobilisation autour de l'environnement", a-t-on précisé.Cette expérience démontre on ne
peut mieux qu’il est possible de faire preuve de maturité et ce, tant du côté des autorités
que de celui des citoyens. La décision d'annuler la réalisation du projet est donc une victoire
de l'environnement et ceci nous enseigne qu'il est préférable à l'avenir de faire participer les
citoyens au développement de leur commune.
Lounes Gribissa
NB:
Conflit autour d’un projet de cimenterie à Oued Taga (Batna)
L'Etat n'a pas de problèmes avec la presse
L'Etat n'a pas de problèmes avec la presse
Sellal
le 14.07.16|15h02
Le premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé jeudi à Oum El Bouaghi,
que l'Etat n'avait aucun problème avec la presse, soulignant qu'il "n'y a
aucun journaliste emprisonné à cause de ses opinions".
"Nous n'avons aucun problème avec la presse. Les journalistes sont libres,
mais ils sont tenus de respecter l'éthique et les institutions de l'Etat", a-t-il
déclaré à l'occasion de la visite qu'il effectue dans la wilaya d'Oum El Bouaghi.
Il ajouté que "nous n'emprisonnons aucun journaliste en raison de ses opinions,
mais la diffamation, l'injure, l'insulte et l'atteinte à la dignité des personnes et
des familles ne fait pas partie de nos traditions".
M. Sellal a, dans ce cadre, appelé l'élite algérienne à contribuer à "la promotion
des valeurs de la société et à corriger situation par le recours aux bonnes méthodes", estimant que le problème "est d'ordre moral et civilisationnel en premier lieu".
Il a, par ailleurs, salué la qualité des résultats obtenus dans l'examen du baccalauréat cette année, notamment dans la filière des mathématiques.
APS
Restrictions à l’importation
Restrictions à l’importation
Un nouveau tour de vis
le 04.09.16 | 10h00
Une liste de 1700 à 2000 produits interdits à l’importation pourrait bientôt voir le jour.
Le Premier ministre s’est engagé à maintenir les réserves de change au-dessus du seuil critique
de 100 milliards de dollars en 2019, lors de sa récente visite, mercredi dernier, dans la wilaya de Saïda.
Les nouvelles restrictions à l’importation seraient l’une des pistes suggérées pour faire
face à la contraction spectaculaire des réserves de change.
Le gouvernement Sellal travaille très sérieusement sur de nouvelles restrictions
à l’importation. Une liste de 1700 à 2000 produits interdits à l’importation
pourrait bientôt voir le jour, selon une source proche de l’administration des
finances. Plus clairement, c’est la communauté bancaire qui sera chargée de
l’interdiction de la domiciliation bancaire pour l’importation des produits figurant
sur la «blacklist». Dans la foulée, une étude d’impact sur la balance des paiements
et, plus sommairement, sur les filières industrielles a été lancée pour en évaluer
les avantages et les conséquences que cette initiative pourrait avoir sur les
réserves de change. Plusieurs ministères concourent à l’élaboration de cette liste
noire, selon nos sources. Cette liste noire est une nouvelle tentative de tordre le
cou aux importateurs et parer, par la même, à un effondrement plus spectaculaire
des réserves de change, le seul élément sur lequel le pays peut fonder sa solvabilité.
Selon les derniers documents comptables publiés par la Banque d’Algérie, les
réserves de change se sont fortement contractées, s’établissant à 144,13 milliards
de dollars à fin décembre 2015 contre 159,03 milliards de dollars à fin juin 2015
et 178,94 milliards de dollars à fin décembre 2014.Mathématiquement, il en ressort
une perte sèche de 34,81 milliards de dollars entre fin 2014 et fin 2015. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait indiqué que les réserves de change du pays (or non compris) se sont établies à 136,9 milliards de dinars à juin 2016. Lors de sa récente
visite, mercredi, dans la wilaya de Saïda, le Premier ministre s’est engagé à maintenir
les réserves de change au-dessus du seuil critique des 100 milliards de dollars en
2019. Les nouvelles restrictions à l’importation seraient l’une des pistes suggérées
pour faire face à la contraction spectaculaire des réserves de change, chutant de
193,27 à fin juin 2014 à 136,9 à fin juin 2016. L’Algérie a ainsi perdu plus de 56
milliards de dollars sur ses réserves de change en un laps de temps de deux années,
sous l’effet combiné d’une chute considérable des cours pétroliers et des exportations d’hydrocarbures ainsi que de la hausse fulgurante des importations.La liste des 1700
à 2000 produits qui seront interdits à l’importation, sur laquelle travaille le gouvernement, répond à l’objectif d’endiguer l’élan que prenait le niveau des importations.
Cette évolution effrénée de la facture des importations a été en partie à l’origine de
la contraction des réserves de change. Les déficits record de ces deux dernières
années en sont un autre facteur. Le gouvernement Sellal doit ainsi jouer sur plusieurs variables afin que le niveau des réserves de change puisse être maintenu au-dessus
de 100 milliards de dollars. A la condition que les cours du brut remontent la pente,
un facteur qui échappe totalement au contrôle, voire aux prévisions de l’Exécutif.
Dans une récente analyse de Raouf Boucekkine et Nour Meddahi publiée par
El Watan, les deux professeurs d’économie ont suggéré à l’Exécutif de freiner les importations et de préserver les réserves de change.Pour ce faire, les deux
économistes ont appelé à établir des contingentements tarifaires pour ne pas épuiser
les réserves de change et pour protéger la production nationale. Il est question
également de différencier la TVA sur des produits importés en augmentant la taxe à l’importation sur les produits de luxe ou inessentiels à l’économie nationale et à
la société pour protéger la production nationale et ralentir la consommation d’énergie. Toutefois, certains économistes craignent que cette nouvelle initiative du gouvernement, attendue pour 2017, qui vient s’ajouter aux instructions de 2015 adressées à la communauté bancaire, génère des tensions inflationnistes et des pénuries.
Ali Titouche
Sellal à La Havane pour une visite officielle de trois jours
Sellal à La Havane pour une visite officielle de trois jours
le 12.10.16 | 17h55
Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, est arrivé mercredi à La Havane (Cuba)
pour une visite officielle de trois jours, à l'invitation du premier vice-président
du Conseil d'Etat et du Conseil des ministres de la République de Cuba,
Miguel Diaz-Canel Bermudez.
Le Premier ministre est accompagné, lors de cette visite, par le ministre d'Etat,
ministres des Affaires étrangères et de la Coopération internationale,
Ramtane Lamamra et du ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme
hospitalière, Abdelmalek Boudiaf. Lors de cette visite "destinée à consolider
davantage les relations traditionnelles d'amitié entretenues par les deux pays,
le Premier ministre et son hôte examineront l'état des relations bilatérales dans
les différents domaines de coopération sur les plans aussi bien politique
qu'économique et social". La rencontre constituera, par ailleurs, une opportunité,
pour les deux parties, "de procéder à un échange de vues sur toutes les questions
d'intérêt commun ayant trait à l'actualité internationale et régionale".
APS
Re : Le Chef de Gouvernement
Réduction de la masse salariale en janvier
Le gouvernement compte réduire la masse salariale de la fonction publique, à travers le départ à la retraite de 11.000 employés sans être remplacés et le gel de la formation au niveau de nombre de secteurs, excepté la Sante et la Justice.
Ce qui entraîne par conséquent une économie de 6.000 milliards de centimes.
Selon le PLF présenté au parlement, après approbation du conseil des ministres, l’enveloppe de la masse salariale de la fonction publique sera diminuée de 60 milliards de dinars (6.000 milliards de centimes). En effet, elle ne devrait dépasser les 2172.5 milliards de dinars lors du prochain exercice, contre 2232.5 milliards de dinars pour l’exercice actuel (2016).
Quoique la masse salariale de la FP, dont 1.6 million d’employés sont affiliés, s’empare la part de lion du budget de gestion estimée à 48%, les déclarations des représentants du gouvernement, dont le chef de l’Exécutif, Abdelmalek Sellal, sur les sureffectifs de la fonction publique commencent à se traduire sur le terrain.
En vérité, hormis les secteurs d’éducation et de la santé, les autres départements n’organiseront pas de concours de recrutement sachant que les prévisions du gouvernement fassent état de 11.338 départs en retraite.
En outre, l’Exécutif décide de geler les programmes de formation auxquels d’importants budgets sont alloués, dont les secteurs de la Justice et de la Santé étant donné d’importants chantiers étaient initiés d’où la nécessité à l’expérience étrangères.
Outre le gel des concours de recrutement, le gouvernement optera pour la hausse de la durée de service requise dans la promotion interne.
Algerie 360
Re : Le Chef de Gouvernement
Les législatives prévues le jeudi 27 avril 2017
https://www.algerie1.com/media/sourc...ee_algerie.jpg
Les prochaines élections législatives se tiendront jeudi 27 avril 2017, selon une information rapportée mercredi par Ennahar, qui cite «une source officielle.»La décision «d’avancer» la date des législatives, selon la même source, serait liée à la proximité du mois de Ramadhan, les autorités souhaitant clore tout le processus, à savoir l’élection, l’installation de la nouvelle assemblée avant le mois sacré de façon à, permettre aux nouveaux élus de participer aux débats en séances nocturnes, après le Ftour.Cette huitième mandature, depuis l’instauration du pluralisme parlementaire, va s’inscrire dans la nouvelle constitution, qui prévoit notamment, une session unique, en plus d’un certain nombre de droits pour l’opposition