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    Post Nomination d’une déléguée nationale

    Droits et protection des enfants
    le 11.06.16 | 10h00

    Pièce jointe 23658

    Maltraitance
    La maltraitance à l’encontre des enfants

    Pièce jointe 22460


    Nomination d’une déléguée nationale


    Malgré les traités et conventions signés et le travail que fait le
    mouvement associatif, nombre d’enfants algériens restent lésés
    dans leurs droits.
    Des cas d’enlèvement, de maltraitance, d’abus
    sexuel et moral et même de mariage précoce sont déplorés dans
    plusieurs régions du pays. Selon la loi n°15-12 relative à la protection
    de l’enfant, adoptée en 2015, il a été procédé à l’installation d’une
    déléguée nationale à la protection de l’enfance. Rattachée directement
    au Premier ministère, Meriem Cherfi a été installée jeudi et présidera
    l’Organe national de protection et de promotion de l’enfance. Mme Cherfi
    aura pour principale mission de promouvoir les droits souvent méconnus
    des enfants. Elle devra également visiter les services chargés de la
    protection de l’enfance et émettre toute proposition susceptible d’améliorer
    leur fonctionnement ou leur organisation.
    Parmi ses missions aussi, transmettre
    toutes les dénonciations qui peuvent revêtir une qualification pénale au
    ministre de la Justice qui saisit le procureur général compétent pour la mise
    en mouvement de l’action publique le cas échéant. Mme Cherfi peut être
    saisie par tout enfant, représentant légal ou personne physique ou morale
    sur toute atteinte aux droits des enfants. Elle devra transmettre ces
    dénonciations aux services du milieu ouvert compétent pour enquête et prise
    de mesures adéquates, conformément aux modalités prévues par la loi.
    Cette même loi protège les personnes qui ont dénoncé des agissements
    suspects portant atteinte aux droits de l’enfant. Elles sont aussi dégagées
    de toute responsabilité administrative, civile ou pénale même si les enquêtes
    n’aboutissent à aucun résultat.En tant que déléguée nationale, Mme Cherfi
    devra apporter sa contribution à l’élaboration des rapports relatifs aux droits
    de l’enfant que l’Algérie est sommée de présenter aux institutions internationales
    et régionales. En plus, elle devra présenter au président de la République un
    rapport annuel sur la situation des enfants et de leurs droits ainsi que l’état
    d’exécution de la convention sur ces droits. Le contenu de ce document sera
    rendu public trois mois après cette notification. Afin de faciliter la tâche de
    Mme Cherfi, la loi oblige toutes les autorités compétentes, administrations et
    institutions publiques à lui fournir informations et renseignements dont elle
    aurait besoin dans son travail. Avec l’installation de cette déléguée nationale,
    l’Algérie aura franchi un grand pas dans sa démarche vers la protection de l’enfance.
    Asma Bersali
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    Post 7880 cas sont consignés dans le rapport 2015 de la cncppdh

    Droits et protection des enfants
    Par Amar INGRACHEN
    Mardi 14 Juin 2016 00:00




    Pièce jointe 23658

    Maltraitance
    La maltraitance à l’encontre des enfants

    Pièce jointe 22460


    7880 CAS SONT CONSIGNÉS DANS LE RAPPORT 2015 DE LA CNCPPDH
    La violence contre les enfants sévit toujours

    Le rapport de la commission dirigée par Ksentini est médiocre et utile. Il relève les points positifs de la loi de protection de l'enfant, mais les chiffres inhérents aux enfants victimes de violence font toujours peur.




    Le rapport de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'homme se perd dans des chiffres et des analyses qui se mêlent dans une anarchie presque artistique. En effet, le travail de synthèse qui échoit à tout rédacteur d'un rapport n'a nullement été fait. Les informations sont livrées en lots fragmentés et dans une démarche tellement incohérente que le rapport est, par endroit, carrément illisible. Ainsi, séparant les statistiques de la gendarmerie et de la Dgsn sur la violence à l'encontre des mineurs, le rapport relève, à la page 75, que «durant l'année 2015, 2111 victimes âgées de moins de 18 ans ont été enregistrées à travers le territoire national, ce qui représente une diminution de 23% par rapport à l'année 2014», en soulignant que la majorité des cas se rapporte à des infractions liées aux coups et blessures volontaires et attentats à la pudeur. Quelques pages plus loin, précisément les pages 81 et 82, le rapport dit ceci: «Le bilan de l'année 2015 a enregistré 5769 enfants victimes dont 2066 filles. Par nature d'actes, on relève les enfants victimes de coups et blessures volontaires avec 3542 enfants, suivi des abus sexuels avec 1536 enfants, de mauvais traitement 565 enfants, d'enlèvement 84 et d'homicide volontaire 20 enfants et, enfin, les victimes de coups et blessures ayant entraîné la mort de 16 enfants». Ces deux statistiques, dont la première est de la Gendarmerie nationale et la deuxième de la Dgsn, n'ont pas été synthétisées, ce qui rend le rapport difficile à lire, voire illisible. Ceci dit, les chiffres donnés qui font état de 7 880 enfants victimes de violence durant l'année 2015, dont 38 sont morts, doivent être soulignés même si ce nombre est relativement en baisse par rapport à l'année 2014. La nouvelle loi de protection de l'enfant peut contribuer à mettre fin à la violence qui cible l'enfance, notamment à travers les sanctions qu'elle prévoit.
    Le bilan de 2016 sera édifiant dans ce sens.La nouvelle loi sur la protection de
    l'enfant, qui est intervenue dans un contexte marqué par les multiples assassinats et rapts dont ont été victimes des enfants, «constitue un acquis certain pour l'enfant du fait qu'elle repose sur des principes qui jettent les bases d'une stratégie sur la protection de l'enfance dont la famille est considérée comme l'environnement naturel et propice». L'article 3 de cette loi, salué par plusieurs acteurs de la société civile, stipule, notamment, que «chaque enfant jouit, sans aucune discrimination basée sur la couleur, le sexe, la langue, l'opinion, le handicap ou de toute autre forme de discrimination, de tous les droits prévus par la Convention des droits de l'Enfant et les autres conventions internationales ratifiées en la matière ainsi que de ceux prévus par la législation nationale, notamment les droits à la vie, au nom, à la nationalité, à une famille, à la protection sanitaire, à l'égalité, à l'éducation, à l'enseignement, à la culture, au loisir et au respect de sa vie privée», relève le rapport. Le même article 3 cite également «l'enfant surdoué» auquel la loi accorde «une protection spéciale de l'Etat pour le développement de ses dons».
    Le document rappelle également les sanctions prévues par la loi contre les agressions et violences à l'encontre des enfants, notamment les peines d'emprisonnement qui vont jusqu'à trois ans et les amendes qui peuvent atteindre, dans certains cas, les 300.000 DA.
    Le rapport de la Cncppdh a néanmoins relevé plusieurs incohérences et points faibles dans la loi de protection de l'enfant de juillet 2015. Il a entre autres souligné le fait que cette loi soit élaborée sans concertation avec les acteurs de la société civile
    qui oeuvrent pour la protection de l'enfance.Le même rapport a également relevé que
    cette loi «n'a pas pris en charge de nombreux volets d'importance certaine, tels que la situation des enfants nés sous X, les enfants handicapés, le travail des enfants, les enfants en rapport avec la toxicomanie et la cybercriminalité, etc». De plus, la non-mise en place du plan d'alerte-enlevèment des enfants après l'avoir maintes fois évoqué dans le sillage des enlèvements et autres kidnappings enregistrés durant les années 2012, 2013 et 2014, a également été relevé par la Commission nationale dirigée par Farouk Ksentini. Des contradictions liées à l'âge de discernement de l'enfant dans différents articles de la loi ont également été signalées comme étant une incohérence qu'il convient de corriger.

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    Post Organe National de la Protection et de la Promotion de l’Enfance

    La loi sur la protection de l’enfant bloquée par la bureaucratie

    Le texte a été publié il y a une année

    le 06.08.16 | 10h00

    Pièce jointe 23658

    Maltraitance
    La maltraitance à l’encontre des enfants

    Pièce jointe 22460

    La loi relative à la protection de l’enfant a bouclé une année.

    Publié au Journal officiel le 19 juillet 2015, le texte prévoit des mesures pour
    la protection et la promotion des droits de l’enfant en matière sociale et
    judiciaire. Deux chapitres un consacré à la protection sociale de l’enfance,
    l’autre à la protection judiciaire sont prévus dans le texte.
    Des règles relatives
    aux enfants délinquants sont aussi largement mentionnées par la loi. Une
    déléguée, nommée par décret du Président et placée sous l’autorité du Premier
    ministre, a été installée en juin dernier pour faire appliquer les dispositions
    prévues pour protéger l’enfant.Il est regrettable de constater que l’adoption du
    texte de loi, dont certaines dispositions ont été amendées après examen au
    Parlement, n’a pas permis de faire face efficacement à tous les cas d’enlèvement,
    de maltraitance et d’abus.
    Abderrahmane Arar, président du Réseau algérien pour
    la défense des droits de l’enfant Nada, reconnaît que loi de 2015 est «un acquis»,
    mais regrette la bureaucratie qui bloque son application effective. «La loi prévoit 12 mesures pour la protection sociale de l’enfant. Les tribunaux sont instruits pour les appliquer. Une déléguée a même été installée en juin dernier. Mais sur le terrain,
    nous constatons que les lourdeurs administratives bloquent l’application efficace du
    texte», s’indigne M. Arar.

    La loi sur les alertes en stand-by
    L’émoi et la colère provoqués par la disparition et l’assassinat d’enfants en 2013
    avaient conduit l’Etat à légiférer sur les questions liées à l’enfance le code pénal a
    été amendé en 2014 et un texte a été adopté l’année suivante pour protéger les
    enfants après la ratification par l’Algérie de conventions internationales.
    «Le code pénal amendé en 2014 prévoit des mesures dans les cas d’enlèvement,
    de violence et de mendicité. L’application effective réelle de toutes ces dispositions permettra la réduction des cas d’agressions», estime M. Arar.
    Le président du
    réseau Nada est partisan de l’application de la peine de mort, comme prévu dans
    le code pénal en 2014. «La société civile réclame la levée du gel de l’application de
    la peine de mort dans les cas d’enlèvement d’enfant, comme prévu dans
    l’amendement de 2014», signale-t-il. Il réclame par ailleurs l’élargissement du
    signalement à la population alors qu’il est actuellement réservé aux seuls services
    de sécurité. «La loi sur le signalement et l’alerte est toujours bloquée au niveau du ministère de la Justice. En Occident, l’alerte d’un enlèvement est diffusée dès la
    révélation du cas. Il faut libérer le texte et permettre l’implication de toute la société», relève-t-il, tout en se prononçant pour «un combat en amont» responsabilisant toute
    la société afin de lutter contre la délinquance impliquant les enfants.


    Où est la déléguée à l’enfance ?

    Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a procédé en juin dernier à l’installation
    de Meriem Cherfi, déléguée nationale, présidente de l’
    organe national de la protection
    et de la promotion de l’enfance
    . Cet organe, placé auprès du Premier ministre,
    a pour mission de veiller à la protection et la promotion des droits de l’enfant en
    matière sociale et judiciaire.
    Nommé par décret présidentiel, le délégué a pour mission
    de visiter les services chargés de la protection de l’enfance et d’émettre toute proposition susceptible d’améliorer leur fonctionnement ou leur organisation. Il est saisi par tout
    enfant, son représentant légal ou toute personne physique ou morale, des dénonciations relatives aux atteintes aux droits de l’enfant. Ce délégué transmet les dénonciations
    au service du milieu ouvert compétent pour enquête et prise de mesures adéquates, conformément aux modalités prévues par la loi. Il transmet les dénonciations qui peuvent revêtir une qualification pénale au ministre de la Justice et garde des Sceaux, qui saisit
    le procureur général compétent pour la mise en mouvement de l’action publique le cas échéant.
    Un rapport annuel sur la situation des droits de l’enfant et l’état d’exécution
    de la convention sur les droits de l’enfant fera l’objet de publication et de vulgarisation
    dans les trois mois qui suivent cette notification. A ce jour, rien n’a filtré sur le travail
    de la déléguée. Des experts regrettent que son travail soit «bureaucratisé», notamment lorsqu’il lui est fait obligation de transmettre les dénonciations au ministre de la Justice
    au lieu du procureur compétent territorialement. «Il est trop tôt pour se prononcer sur l’activité de la déléguée», estime Abderrahmane Arar, président du réseau Nada.

    N. Iddir
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    Post L'UE et l'Unicef élargissent leur partenariat visant à protéger les enfants

    L'UE et l'Unicef élargissent leur partenariat visant à protéger les enfants

    Droits de l'enfant
    le 08.08.16 | 14h54

    Pièce jointe 23658

    Maltraitance
    La maltraitance à l’encontre des enfants

    Pièce jointe 22460

    L’Union européenne (UE) et l'Unicef ont annoncé, lundi, avoir décidé d’élargi leur
    "important" partenariat visant à protéger les enfants contre la violence et mieux
    intégrer les enfants handicapés dans la société.


    Depuis 2011, l'UE et l'Unicef travaillent sur ces thématiques avec les
    pays en voie d'adhésion à l'UE, tels que l'Albanie, la Bosnie-Herzégovine,
    la Serbie et la Turquie. Ce partenariat va désormais inclure le Kosovo,
    le Monténégro et l'ancienne République yougoslave de Macédoine.

    Aussi, dès cette année, l’ONG Forum européen des personnes
    handicapées (EDF) va rejoindre le partenariat.
    "Nous croyons que ce
    partenariat peut faire une réelle différence dans la vie des enfants dans
    la région", a déclaré Johannes Hahn, commissaire européen à
    l’élargissement et à la politique européenne de voisinage, relevant que
    l’UE compte sur l’expertise et les connaissances de l'UNICEF et EDF pour
    influencer les politiques qui ont un impact sur les enfants victimes de
    violence et les enfants handicapés.
    Il convient, selon lui, de tendre la main à
    la société civile et aux organisations actives dans le domaine de la protection
    des enfants. D’où, a-t-il indiqué, une grande partie du financement sera
    consacré à l’appui des petites organisations de la société civile dans le but
    de parvenir à un "véritable changement et une amélioration durable de la vie
    quotidienne des enfants". D’après la Commission européenne, ce nouveau
    partenariat contribuera également à améliorer la coordination des réponses multisectorielles à la violence contre les enfants.
    A cet effet, les professionnels du secteur devront avoir de meilleures données,
    des outils innovants et de nouveaux mécanismes pour prévenir ou lutter contre
    la violence, l'abus et la négligence, mais aussi pour réduire le gap social entre
    les enfants avec et sans handicap.

    APS
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    Post Enfance en danger

    Enfance en danger
    Violences sociales
    le 13.10.16 | 10h00

    Pièce jointe 23658

    Maltraitance
    La maltraitance à l’encontre des enfants

    Pièce jointe 22460

    En quelques semaines, trois faits divers d’une extrême violence
    ont choquél’opinion. Après avoir pris connaissance de la
    série de kidnappings d’enfants,voilà que les Algériens découvrent
    des infanticides. D’abord à Constantine,où une maman, trentenaire,
    a tué ses deux enfants de manière brutale. Puis,à Hadjout, dans
    la wilaya de Tipasa, où une jeune maman s’est jetée du balcon,
    lundi dernier, avec ses deux bébés dans les bras. Les trois sont morts.

    A Constantine, une mère de 34 ans, a mis fin à
    la vie de ses deux enfants âgés de 4 ans et 15 mois.
    En proie à une dépression aiguë, elle aurait
    développé une relation de rejet envers sa progéniture.
    Elle est suivie dans un hôpital psychiatrique pendant
    que les deux enfants sont gardés par leur tante
    paternelle qui vit avec son père. C’est justement à
    cause du décès de ce grand-père, selon des témoignages,
    que les enfants ont été gardés, durant la semaine de
    deuil, par leur maman.
    Et c’est à ce moment-là que
    l’irréparable s’est produit. Admise de nouveau à
    l’hôpital, elle y succombera, quelques jours plus tard,
    suite à une crise cardiaque. A Hadjout, la maman s’est défenestrée avec ses deux enfants âgés de 15 et 33 mois.
    Comme la dame de Constantine, la jeune maman de Hadjout consultait un spécialiste pour des soins psychiatriques
    depuis des années. Selon notre correspondant, qui cite
    le mari de la défunte, la dame a cessé de se soigner
    depuis que son frère, qui l’accompagnait à l’hôpital,
    est décédé il y a de cela deux ans.
    Si les 4 enfants
    sont morts, Yacine, âgé de 9 ans, est indemne.Cet enfant, retrouvé il y a près d’un mois, grièvement blessé dans
    une localité de Tissemsilt, est, selon des médias, une
    victime de ses proches pour… les besoins d’une opération
    de charlatanisme. Sommes-nous pour autant devant un «phénomène», comme le qualifie Mostefa Khiati, président
    de la Fondation nationale pour la promotion de la santé
    et le développement de la recherche (Forem) ?

    «Des faits divers»
    Nadia Aït Zaï, présidente du Centre d’information sur
    les droits de l’enfant et de la femme (Ciddef), a un autre
    avis sur la question. «Ce ne sont que des faits divers»,
    a-t-elle indiqué. Pour elle, «dans les cas présents, nous
    ne pouvons absolument pas prévoir le moment du passage à l’acte». Plus que cela, l’avocate estime que «seul le
    médecin traitant peut dire si la femme en question est
    dans l’incapacité de garder l’enfant». «On ne peut pas
    parler ici d’un acte intentionnel puisque les deux dames étaient suivies.
    C’est à l’entourage familial de faire
    attention et de constater s’il y a démence ou pas»,dira-t
    -elle. Contrairement à Mostefa Khiati, dont l’association s’occupe entre autres de la défense des enfants, Nadia
    Aït Zaï estime qu’il n’y a pas de vide juridique en la
    matière. Mais, «seul le juge» qui s’appuie sur l’avis
    médical «peut retirer la garde d’un enfant à la maman et
    la confier à une personne proche». Ces «faits divers»
    d’un nouveau genre s’ajoutent à d’autres phénomènes qui
    peuvent déstabiliser des familles entières. Un fait qui
    donne à réfléchir aux autorités.
    Ali Boukhlef


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