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    Re : Industrie autumobile en Algerie

    LA SOUS-TRAITANCE DANS L'INDUSTRIE AUTOMOBILE EN ALGÉRIE
    Un marché de 1,64 milliard de dollars.

    P170228-19.jpg

    Un cahier des charges est en voie d'élaboration pour être validé dans 15 jours.
    La sous-traitance est un marché florissant de 1,64 milliard de dollars qui est singulièrement dépourvu de cahier des charges. Le ministre chargé du secteur, Abdessalem Bouchouareb, en a parlé samedi dernier lors de sa visite de travail et d'inspection au M'zab. Il a déclaré à ce propos que «l'Algérie, qui a imposé un cahier des charges pour l'importation de véhicules, va instaurer un cahier des charges pour l'importation de pièces de rechange». Il a précisé que «le texte est actuellement en élaboration au niveau du ministère. Il passera dans une semaine à 15 jours en Conseil du gouvernement pour validation».
    Pour le ministre de l'Industrie et des Mines, l'instauration d'un cahier des charges pour l'importation de pièces de rechange est «urgent», ce qui lui fait dire que «les pièces de rechange dont on ignore la provenance sont à l'origine des accidents de la route qui coûtent excessivement cher au Trésor public».
    Cette problématique du cahier des charges a été relevée par différents intervenants qui s'exprimaient lors de la conférence de presse d'hier tenue in situ au salon. Le retard a été accusé dans l'élaboration du cahier des charges qui va réguler cette activité qui déterminera les critères d'exercice dans cette filière.
    Concernant l'émergence du réseau de sous-traitance, Mme Khodja estime qu'«on a l'impression qu'ils mettent la charrue avant les boeufs». On parle de taux d'intégration, de besoins en sous-traitance, mais le cahier des charges n'est pas prêt, s'est exclamé un gérant de société de fabrication de composants pour batteries qui assistait à la conférence. Des intervenants ont informé qu'une «mouture de cahier des charges sera déposée dans 10 jours auprès du gouvernement».
    Cette option des pouvoirs publics vient, si besoin est, conforter les équipementiers qui souhaitent rejoindre le marché prometteur des pièces de rechange en saisissant cette opportunité de le faire et en respectant la réglementation. Il est important de souligner qu'avec les nouvelles mesures d'incitation à l'investissement et l'émergence des différents projets issus des partenariats, le besoin en sous-traitance a connu un envol important. «Il appartient aux équipementiers d'acquérir la crédibilité qui déterminera cet essor», a affirmé Nabil Boumezrag, commissaire de la 11ème édition du salon «Equip auto Algeria 2017».
    Lors de cette conférence de presse faite en marge du Salon, Brahim Mellouk, expert en industrie mécanique et automobile, a abondé dans ce sens en relevant l'existence de pas moins de 113 sous-traitants sur le marché, dont 63 sont opérationnels. «Il s'agit notamment de produits de carrosserie, de câblage, de métallisation, de batteries...», a précisé Mellouk. Il a ajouté que la sous-traitance ne se limite pas uniquement à l'industrie automobile, mais nous comptons «plusieurs projets dans la fabrication de moissonneuses-batteuses (Sidi Bel Abbès), de tracteurs, d'engins de travaux publics (Constantine), d'engins de compactage et de moteurs diesel, pour lesquels 17 projets de sous-traitance ont été identifiés. Ces projets concernent la production de pièces plastiques, de faisceaux électriques et de tableaux de bord, et des vitrages».
    Guillaume Josselin, P-DG de Renault-Algérie, a indiqué pour sa part que l'entreprise qu'il dirige ambitionne de lancer essentiellement «des projets qui vont se river à nos points de maintenance et entretien - Motrio». Les offres qui seront proposées par ces projets seront adaptées aux besoins du marché dans ce sens; ce qui nous intéresse, c'est d'avoir des sous-traitants, pour plusieurs marques. Il dira que Renault-Algérie «travaille avec quatre sous-traitants actuellement et réalise un taux d'intégration de l'ordre de 30%, avec comme objectif un taux de 40%». Sur un autre registre, le P-DG de Renault-Algérie a souligné que «ce n'est pas Renault-Algérie qui n'a pas respecté le quota de production, c'est la demande qui est en augmentation continue et qui nous amène actuellement à produire un véhicule pour trois clients».
    La responsable du département financier, de l'AC2A, Mme Lamia Khodja, a axé de son côté son intervention sur le développement de l'industrie automobile et le rôle de la sous-traitance. Selon elle, «l'Algérie a enregistré un recul dans l'importation de véhicules de l'ordre de 72% entre 2013 et 2017, nous espérons voir ce quota atteindre les 270 000 à l'horizon 2021 dont 250 000 seront produits localement, c'est vous dire l'importance des besoins en sous-traitance» qui attendent le secteur.
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    Re : Industrie autumobile en Algerie

    RÉDUCTION DES IMPORTATIONS DE VÉHICULES
    Le quota oscillera entre 40.000 et 50.000 unités.

    P170301-21.jpg

    La facture d'importation des véhicules de tourisme s'est établie à 1,292 milliard de dollars en 2016 contre 2,038 milliards de dollars en 2015.
    Le contingent quantitatif des importations de véhicule fixé par le gouvernement pour l'année 2017 à 98 374 unités dans le cadre des licences d'importation pourrait être réduit de moitié, d'après les déclarations de Abdelmadjid Tebboune ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville également ministre du Commerce par intérim.
    Selon ce dernier, les importations de véhicules devraient osciller entre 40.000 et 50.000 unités, et ce, après l'entrée en production de différents ateliers de montage de voitures de plusieurs marques dont Renault, Hunday, Iveco, Volkswagen: «Il est probable que le nombre de voitures à importer en 2017 varierait entre 40.000 et 50.000 voitures», a-t-il déclaré.
    Cette décision devrait être prise lors de la prochaine réunion qui sera présidée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, pour réduire la facture des importations de véhicules, mais aussi d'autres produits soumis aux licences d'importation au titre de l'exercice 2017.
    La facture d'importation des véhicules de tourisme s'est établie à 1,292 milliard de dollars en 2016 contre 2,038 milliards de dollars en 2015, soit une baisse de 36,61%, selon un bilan des douanes.
    Quant aux véhicules de transport de personnes et de marchandises (classés en biens d'équipement), leur facture d'importation s'est chiffrée à 782,36 millions de dollars contre 1,5 milliard de dollars en 2015, en recul de 48%.
    Concernant les parties et accessoires des véhicules automobiles classés en biens de consommation non alimentaires, à l'instar des véhicules de tourisme, leur facture d'importation a atteint 393,96 millions de dollars contre 394,86 millions de dollars en 2015, soit une légère baisse de 0,23%.
    Parallèlement à l'octroi des licences d'importation, attribuées en mai dernier à 40 concessionnaires sur 80 postulants, le gouvernement a exigé des concessionnaires d'engager des investissements dans le secteur des véhicules et les filières industrielles annexes et ne pas se contenter seulement des importations.
    L'implantation des unités de montage et de fabrication de véhicules en Algérie permettra à la fois de booster le marché de l'emploi et de participer au remplissage des caisses de l'Etat à travers l'impôt. Se contenter seulement de l'importation des produits finis n'apporte aucune valeur à l'économie nationale à la recherche de diversifications. Enfin, l'Algérie compte rompre avec cette politique des importations de produits inutiles. Elle juge aujourd'hui urgent de multiplier les initiatives pour le renforcement et la modernisation du tissu industriel national, et d'attirer les leaders du marché mondial de l'automobile pour investir en Algérie et de participer à la relance de la machine économique nationale en panne. Pour remédier à cette situation, les pouvoirs publics ont procédé à la limitation des importations aux produits non fabriqués en Algérie et fixent de nouvelles conditions permettant la relance, la protection de la production nationale et la consommation nationale, deux facteurs importants pour la croissance économique.
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    Re : Industrie autumobile en Algerie

    PEUGEOT, VOLKSWAGEN, HYUNDAI...
    Bouchouareb intransigeant.

    P170313-25.jpg

    Il a rappelé que les facilités fiscales seront liées à l'amélioration du taux d'intégration.
    Parlant du dossier des industries mécaniques, lors de son passage hier sur les ondes de la Radio nationale Chaîne III, le ministre de l'Industrie et des Mines Abdessalem Bouchouareb a indiqué que le gouvernement s'opposera à tout projet qui n'est pas viable et qui ne donne pas de garantie à travers «un pacte technologique signé avec le constructeur pour réaliser un taux d'intégration minimum de 40% sur 5 ans». C'est donc une condition sine qua non pour tout constructeur automobile voulant s'installer sur le marché algérien.
    «Hyundai vient de démarrer, mais nous l'observons. Si on ne voit pas qu'il y a une amélioration dans le taux d'intégration, le contrat sera rompu», a insisté le ministre ajoutant que le même principe sera appliqué pour Volkswagen. «Pour garder sa part du marché, le constructeur a intérêt à monter en cadence vers le niveau de 40% du taux d'intégration. Cela ne concerne pas uniquement l'industrie automobile», a-t-il souligné. Evoquant le projet Peugeot, le ministre de l'Industrie et des Mines a affirmé que «les discussions continuent entre les différentes parties. Dès que les positions se rejoignent, nous l'annoncerons. Mais pour l'instant, on n'est pas encore dans ce cas». Les facilités fiscales seront, selon lui, liées à l'amélioration du taux d'intégration. Par ailleurs, Abdessalem Bouchouareb a indiqué que l'Etat n'octroiera plus d'avantages pour les secteurs des briqueteries, des cimenteries, des transports et des minoteries. Lors de son intervention, le ministre a indiqué qu'une liste négative a été établie en décembre dernier par le gouvernement. «Dans le cadre du décret d'application de la nouvelle loi sur l'investissement, 110 segments d'activités sont inscrits sur cette liste», a-t-il indiqué. Bouchouareb a expliqué que l'établissement de la liste négative concerne «les secteurs saturés». «Quand un secteur est saturé, il est inscrit sur cette liste, il ne bénéficiera, de ce fait, plus des avantages et des aides de l'Etat», cependant «celui qui veut investir dans un secteur saturé est libre de le faire», ajoute-t-il.
    Il a en outre expliqué qu'il est important de rationaliser les dépenses de l'Etat d'autant plus que la ressource est devenue rare dans ces secteurs, «la dépense fiscale doit être orientée vers des segments utiles pour l'économie nationale», a-t-il souligné. Par ailleurs, le ministre a assuré que l'investissement en Algérie est loin d'être en déclin et qu'il est au contraire en constante croissance, notamment depuis 2015. Pour étayer ses dires, Abdessalem Bouchouareb a soulevé qu'au cours de l'année 2016, «7780 projets d'investissements ont été concrétisés, ce qui représente en valeur une croissance de 19% et en emploi de 15% par rapport à l'année dernière». Selon le ministre, «on n'a jamais eu autant d'investissements en Algérie». «C'est la première fois où l'on note une augmentation de prélèvement de l'impôt sur les bénéfices des sociétés IBS qui est à plus de 24% au cours de l'année 2016». Le ministre a également relevé «une augmentation de la création des entreprises qui a atteint 6% en 2016». Abdessalem Bouchouareb a révélé que «la valeur financière de tous ces investissements s'élève à 5 milliards de dollars». Il a affirmé que «l'Algérie sera autosuffisante en fil à machine et en rond à béton d'ici fin 2017, et ce, après l'entrée en production des usines sidérurgiques en avril et mai prochains.
    D'autre part, le ministre a affirmé que le secteur de l'industrie a connu un taux de croissance qui s'élève à 3,6%. Il a souligné dans ce sens que, parmi les projets qui participeront à la politique d'import substitution figure «la filière du textile qui jusque-là était complètement effondrée, et qui connaît aujourd'hui une croissance de 11%». «Un grand projet industriel avec un partenaire turc, va entrer en activité en juin prochain», ajoute-t-il encore. Il dira que, «cette année connaîtra toutes nos politiques de promotion de l'investissement initiées en 2015 et 2016», précisant que «pour ce projet, des contrats d'exportation de deux milliards de dinars sont inscrits». En ce qui concerne la politique de l'import substitution, qui a pour but d'alléger la pression sur le budget de l'Etat. «Tous ceux qui s'inscrivent dans cette politique jouissent de différents avantages et d'accompagnement», a affirmé le ministre. Il a dans ce contexte cité l'exemple des pièces de rechange automobiles, faisant savoir qu'un texte de loi est en préparation pour l'encadrement de ces pièces. «Nous encourageons les concessionnaires automobiles qui importent des pièces de rechange à se substituer pour les fabriquer pour le marché algérien, mais aussi pour l'exportation», a-t-il précisé. Rappelant que l'Etat dépense plus d'un milliard de dollars en pièces d'importation.
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    Re : Industrie autumobile en Algerie

    Soupçons de tricherie chez l’usine Hyundai de Tiaret.

    Inaugurée il y a plusieurs mois et en un temps record, l’usine de montage des véhicules Hyundai de Tiaret fait polémique.


    Alors que des interrogations existaient dès le départ sur la célérité avec laquelle cette installation a été réalisée, aucune image ni photographie des installations n’ont filtré. Il a fallu attendre la diffusion de photographies sur les réseaux sociaux pour se rendre compte que le projet n’est pas loin d’être une vraie chimère.
    Des internautes partagent depuis quelques jours des photographies montrant des voitures de marque Hyundai totalement montées, à l’exception des pneus, entassées dans des containers. Ces voitures seraient acheminées vers les hangars de TMC (Tahkout Motors Company) situés à Tiaret. Cela suffit à beaucoup pour crier au scandale. Des personnalités, des journalistes et de simples citoyens expriment leur étonnement, voire leur effarement devant ce que certains ont considéré comme une «tricherie».
    Cela choque d’autant plus que la société a signé des accords avec des banques publiques pour le financement de l’acquisition des voitures de marque Hyundai «assemblées localement».
    L’économiste Ferhat Aït Ali, qui avait déjà lancé la polémique sur les investissements américains dans le sud du pays, a fait la comparaison avec ce que fait le constructeur français Renault, qui dispose d’une chaîne d’assemblage. En réponse à l’affirmation de Mahiedine Tahkout qui a expliqué dans un communiqué que son entreprise fait du montage SKD, l’expert se fait pédagogue. «Le SKD, en anglais Semi Knocked Down, soit en français semi-démonté, ce qui revient non pas à fabriquer sur place, mais à exporter vers le lieu d’assemblage un kit, fait de composants à moitié démontés ou à moitié montés, comme par exemple des moteurs entiers, des boîtes à vitesse entières et des fusées avec tout un ensemble de traction, ainsi que des essieux avec les roues montées et des portes équipées, pour des coques aménagées», explique-t-il.
    La polémique ne s’estompe pourtant pas. Plusieurs sites internet sont revenus sur l’affaire. Le mis en cause, Mahieddine Tahkout, a commencé par donner des explications techniques avant d’accuser, dans une déclaration au site Algérie Focus, des constructeurs européens d’être derrière cette polémique. Une version qu’il répétera dans un entretien téléphonique. «Certains sont jaloux de voir un Algérien réussir», dit-il encore.
    Contacté par El Watan, Mahieddine Tahkout ne nie pas l’authenticité des photographies partagées sur les réseaux sociaux. Il tente de minimiser leur portée. «On ne voit pas grand-chose sur les images», dit-il avant d’estimer que «les photos ne montrent que des essieux».
    Selon lui, les véhicules, qui répondent aux normes du constructeur sud-coréen, viennent en kits. «Nous assemblons 50 à 60 kits, selon les modèles», affirme-t-il avant de préciser que «ce sont les Sud-coréens» qui gèrent l’usine. «Pensez-vous que Hyundai se permettrait une telle tricherie ?» interroge encore l’homme d’affaires. Il indique avoir porté plainte.


    En tout cas, cette polémique relance une nouvelle fois le débat sur la floraison des chaînes de montage de véhicules installées en Algérie.




    Usine Tahkout : Le gouvernement va envoyer une équipe d'inspection.

    Le comité interministériel chargé de définir le quota d'importation des véhicules au titre de l'année 2017 ne s'est pas encore réuni et aucune décision, donc, n'a encore été prise, a affirmé dimanche à Alger le ministre de l'Industrie et des mines, M. Abdeslam Bouchouareb.


    "La décision n'a pas été prise jusqu'à maintenant pour la simple raison que le comité ne s'est pas réuni par rapport aux licences d'importation des véhicules", a déclaré le ministre à la presse en marge de la Journée d'étude sur la numérisation de la radiodiffusion de la télévision et de la radio. A ce propos, il a rappelé que les licences d'importation des véhicules relevaient d'"une décision d'un comité présidé par le Premier ministre", tout en ajoutant qu'une réunion de ce comité va se tenir prochainement.
    Interrogé également sur les informations circulant sur les réseaux sociaux et rapportées par des médias selon lesquelles l'usine de montage des véhicules Hyundai (Tiaret) de la société Tahkout manufacturing company (TMC) livrerait des véhicules qui n'ont pas été assemblés en Algérie, M. Bouchouareb a fait savoir que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, va dépêcher une inspection mixte comprenant l'Inspection général des finances, l'Inspection générale des douanes et l'inspection générale de l'industrie ainsi que les représentants de l'Enacta (Etablissement national de contrôle technique automobile), qui vont se déplacer ces jours-ci sur le site (de l'usine), et on verra ce qu'il y a lieu de faire".

    Dans ce sens, il a également relevé que "TMC a signé un engagement et un cahier des charges, et la première inspection a donné un résultat positif". Le ministre a avisé avoir signalé, il y a quelques semaines, que "ceux qui s'inscrivent dans l'activité de montage des véhicules seront observés et les conséquences seront tirées au cas où il y aurait des défaillances.
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