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    L’Algérie réduit fortement ses importations de véhicules en 2016

    L’Algérie réduit fortement ses importations de véhicules en 2016. Le contingent des véhicules a été fixé à 152 000 unités sur l’année 2016, rapporte l’agence officielle*APS, citant un membre du Comité de suivi de délivrance des licences d’importation. En 2015, l’Algérie avait importé près de 300 000 véhicules contre 439 637 unités en 2014.Ce contingent concerne les véhicules automobiles pour le transport de dix personnes ou plus (chauffeur inclus), les véhicules de tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus pour le transport des personnes (y compris les voitures de type «*break*» et les voitures de course) et les véhicules automobiles pour le transport de marchandises.Les contingents quantitatifs des licences d’importation du ciment et de l’acier rond à béton ont été fixés pour l’année 2016 ont été également fixés, selon la même source.Concernant le contingent quantitatif du ciment portland gris, il a été fixé à 1,5 million de tonnes, précise la même source.Quant à l’acier rond à béton (comportant des indentations bourrelets, creux ou reliefs obtenus au cours du laminage ou ayant subi une torsion après laminage), son contingent a été fixé à 2 millions de tonnes.Selon la même source, tout opérateur économique, personne physique ou morale, remplissant les conditions conformes à la législation et à la réglementation en vigueur, peut introduire une demande de licence d’importation d’un produit ou d’une marchandise.L’avis d’ouverture des contingents est à compter du 14 janvier jusqu’au 3 février 2016.L’opérateur doit déposer le formulaire dûment renseigné, à télécharger sur le site web du ministère du Commerce, auprès de la direction du commerce de wilaya territorialement compétente.Cette demande doit être accompagnée d’une copie du registre du commerce, une facture pro-forma indiquant le produit, la qualité, la valeur et l’origine du produit, un extrait de rôle, une attestation de mise à jour avec la Cnas ou la Casnos et un questionnaire d’identification de l’opérateur économique à renseigner.Cette liste peut éventuellement être élargie à d’autres produits et marchandises.

    Sujet fusionné.
    Dernière modification par zadhand ; 15/01/2016 à 18h59.
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    Re : La Société Algérienne de Fabrication des Véhicules (Safav)

    La voiture SAIPA made in Algérie pour début 2017*

    Le salon de l'automobile d'Alger accueille les modèles de la marque SAIPA exposés dans le stand de Cima Motors, ces même véhicules sortiront bientôt des chaines de fabrication de l'usine SAIPA Algérie basées dans la wilaya de Setif.Annoncé en décembre 2015, le projet industriel du Groupe Tahkout dans le secteur automobile en partenariat avec le constructeur Iranien SAÏPA est en phase de réalisation, l'usine sera opérationnelle dès janvier 2017, date de sortie de la première voiture Iranienne de marque SAIPA.A l'occasion de la participation de CIMA Motors au salon de l'automobile d'Alger, M. Bilel Tahkout, Vice Président, s'est exprimé sur le projet industriel de montage automobile initié par le Groupe Tahkout, en partenariat avec le constructeur Iranien SAIPA."L'usine SAIPA Algérie est en construction dans la wilaya de Setif et nous prévoyons la sortie du premier modèle des chaines de montage, en janvier 2017, le total annuel sera de 20 000 unités. Cinq véhicules touristiques et un utilitaire "pick-up" seront lancés en début d'année prochaine grâce aux six chaines de montage qui seront opérationnelles, le tout avec un taux d'intégration de 47%", dira M. Bilel Tahkout.Au sujet du taux d'intégration annoncé, M. Tahkout explique que les 47% seront atteints dès le début de l'activité grâce à la partie sous-traitance qui prend forme aujourd'hui au même rythme que l'usine de fabrication automobiles. "nous prévoyons de lancer cinq unités de production de pièces et accessoires, cela nous permettra d'alimenter notre usine de production de voitures de quelques équipements à l'instar des kits de garniture, pare-brise, gentes, sièges, radiateurs...Nous serons même appelé à alimenter le marché dans le cas ou la demande se fera ressentir".Le projet automobile du Groupe Tahkout est réparti à hauteur de 75% pour le groupe Algérien et 25% pour SAIPA. Cette alliance selon M. Tahkout permettra à son entreprise de profiter, pleinement de l'expertise du constructeur Iranien, à la fois en termes d'ingénierie et de process de production automobile, mais aussi en terme de formations assurées pour le personnel de l'usine.Il est utile de signaler que le projet dans sa globalité est financé à fond propre par le Groupe Tahkout à hauteur de 300 millions de dollars. En termes d'emplois, pas moins de 1 400 postes seront crées.*





    Dernière modification par malouki ; 21/03/2016 à 15h10.
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    Re : Industrie Auto (Importations,Licences,Concessionnaires,Immatricul ..;Cartes gris

    L'INDUSTRIE AUTOMOBILE ET LA LEVÉE D'INTERDICTION D'IMPORTATION DES VÉHICULES D'OCCASION

    Une mort programmée?




    Cette libéralisation étonnante est vue par nombre d'observateurs comme un lâchage en règle de l'industrie nationale de l'automobile naissante.
    11 ans après leur interdiction, les véhicules d'occasion vont être de nouveau autorisés à l'importation. «Le gouvernement a décidé, dans le cadre du projet de loi de finances 2017, de lever l'interdiction de l'importation des véhicules d'occasion», a déclaré, hier, le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb lors de son passage au Forum du quotidien public El Moudjahid.
    Un décision surprenante qui ne semble pas tenir compte de l'intérêt de l'industrie automobile naissante. Et pour cause, pareille décision est de nature à faire exploser le compteur des importations de ce type de voitures. Il est aussi attendu à ce que le pays d'origine de ces véhicules soit la France. Sachant le «faible» qu'ont les consommateurs algériens pour les marques de l'Hexagone, on peut aisément imaginer la partie qui va tirer un grand profit du retour des véhicules d'occasion sur le marché algérien. Et comme la filière est parfaitement organisée en France, il est clair que par cette décision de lever l'interdiction d'importation de voitures âgées de moins de trois ans, l'Algérie participera très sérieusement au sauvetage de l'industrie française aux dépens de celle qu'elle tente de mettre en place en Algérie. Connaissant les tendances lourdes de la consommation algérienne d'automobiles, on peut avancer sans trop de risque de se tromper que l'industrie mécanique nationale sera rudement concurrencée sur son propre marché. Si aujourd'hui la Symbol se vend bien, il n'en sera pas de même en 2017 où les Algériens lui préféreront la Clio française Made in France. Cette annonce du ministre met en difficulté un autre projet, du constructeur Hyundaï, dont la production devrait démarrer en novembre prochain. Ainsi, après un investissement lourd, le partenaire algérien de la marque sud-coréenne, prend le risque d'une concurrence déloyale et impossible à vaincre, compte tenu de la spécificité du marché et de l'abandon du soutien de l'Etat. Cette libéralisation étonnante est vue par nombre d'observateurs comme un lâchage en règle de l'industrie nationale de l'automobile qui, pourtant, commence à bourgeonner.
    N'ayant pas de réponses par rapport à cet aspect des choses, le ministre s'accroche, dans son intervention, au volet strictement commercial. «On va lever cette interdiction et élaborer un cahier des charges bien précis qui permet de ne pas importer des véhicules représentant des dangers à la circulation. C'est-à-dire que nous allons autoriser l'importation de ces véhicules sous conditions», affirme-t-il, sans trop convaincre. En effet, cahier des charges ou pas, lorsqu'on crée les conditions d'une concurrence déloyale, rien n'y changera. Bakhti Belaïb note: «L'essentiel pour nous est que ce soit un marché transparent où l'acheteur a des garanties suffisantes.» Mais cela se fera sur le dos de la production nationale, dont on pensait le volume autour de 200.000 véhicules à l'horizon 2019, dans le cas où tous les projets programmés trouvent une concrétisation dans les délais raisonnables.
    De fait, un certain nombre d'interrogations s'impose: est-ce le moment pour ré-instaurer cette mesure alors que le pays se noie dans une crise financière sans précédent? En attendant le cahier des charges, avec quel argent seront financées ces voitures françaises? Qui sont ces Algériens qui se permettront de financer en euros un achat de voiture. Ce ne sont certainement pas ceux de la classe moyenne qui, en application de la législation n'auront droit qu'à 1000 euros à chaque voyage et 130 euros d'allocation devises par an. On se demande donc d'où cet argent va provenir...?
    Le ministre qui évacue ce genre de «problèmes», défend la décision, arguant qu'elle constitue un moyen de mettre fin à la surfacturation pratiquée par les concessionnaires! Avec quelle logique a-t-il fait cette analyse?
    On se le demande du fait que les autorités n'ont pas réussi à contrôler l'importation de véhicules neufs avec des prix fixes, comment le feront-ils avec des voitures d'occasion dont les prix sont libres...?
    Ne tournons pas autour du pot. C'est une mise à mort de l'industrie automobile que l'on tente de mettre en place. Pour la remplacer par une filière d'importation totalement contrôlée par l'informel, comme cela était le cas avant l'interdiction d'importer les véhicules d'occasion. Il semble que le lobby des concessionnaires qui a été fortement ébranlé par l'introduction des licences d'importation ait laissé la place vide, vite occupée par un autre lobby, peut-être plus dangereux. N'est-ce pas les mêmes individus qui se reconvertissent? l'avenir nous le dira.




    SOURCE


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    Re : Industrie Auto (Importations,Licences,Concessionnaires,Immatricul ..;Cartes gris

    Importation de véhicules : le quota des concessionnaires revu à la hausse


    Le gouvernement a revu à la hausse les quotas d’importations de véhicules des concessionnaires automobiles. Le contingent des véhicules importés a été porté à 98.374 unités en 2016, répartis sur les 40 concessionnaires ayant bénéficié de licences d’importation, rapporte l’agence officielle, citant le ministère du Commerce.Un total de 225 licences d’importation de véhicules, de ciment et de rond à béton a été attribué par la commission interministérielle chargée de délivrance de ces documents au titre de l’année 2016, a appris mercredi l’APS auprès de responsables du ministère du Commerce.Pour rappel, le contingent initial d’importation des véhicules avait été fixé à 152.000 unités pour l’année 2016 avant d’être réduit à 83.000 unités pour une valeur de moins d’un milliard de dollars. Puis, il a été augmenté de 15.374 unités en réponse aux recours introduits par des opérateurs, selon la même source.Le contingent quantitatif concerne les véhicules automobiles pour le transport de dix personnes ou plus (chauffeur inclus), les véhicules de tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus pour le transport des personnes (y compris les voitures de type « break » et les voitures de course) et les véhicules automobiles pour le transport de marchandises.En 2015, l’Algérie a importé 265.523 véhicules pour une valeur 3,14 milliards de dollars contre 417.913 unités en 2014 d’une valeur de 5,7 milliards de dollars.Avec le nouveau contingent, le nombre des véhicules importés a diminué de 63% en 2016 comparativement à 2015.Concernant le ciment portland gris, 93 licences d’importation ont été attribuées pour un contingent de 2,75 millions de tonnes sur l’année 2016 alors qu’il avait été fixé initialement à 1,5 million de tonnes.Quant au rond à béton, 92 licences d’importation ont été délivrées pour un contingent de 2,6 millions de tonnes alors que le contingent avait été fixé à 2 millions de tonnes.
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    Re : Industrie Auto (Importations,Licences,Concessionnaires,Immatricul ..;Cartes gris

    le gouvernement réduit les quotas pour 2017

    Ils seront fixés à 55 000 unités réparties entre 12 concessionnaires

    Quid de l’impact d’une telle mesure sur l’activité des concessionnaires qui ne seraient pas prêts à lancer une industrie dans le montage automobile ?
    Le gouvernement vient de décider, encore une fois, de réduire le quota des véhicules neufs à importer pour l’exercice de l’année 2017. Fixé à un contingent de 98 374 unités pour l’année 2016, soit une valeur de 1 milliard de dollars US, ce quota sera, désormais, réduit à près de 55 000 unités. Ce contingent quantitatif concerne les véhicules automobiles pour le transport de dix personnes ou plus (chauffeur inclus), les véhicules de tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus pour le transport des personnes (y compris les voitures de type break et les voitures de course) et les véhicules automobiles pour le transport de marchandises.
    La Commission nationale d’attribution des licences d’importation, essentiellement composée des ministères du Commerce, des Finances, de l’Industrie et des Mines, justifie cette mesure restrictive par le fait qu’une douzaine de constructeurs produiraient en 2017 des quotas suffisants en Algérie pour répondre aux besoins du marché. Aussi, cette décision intervient après que le gouvernement eut fixé au 31 décembre prochain la date butoir aux concessionnaires pour investir dans l’industrie automobile. Bien mieux, le gouvernement compte réduire de moitié la facture d’importation en devises des véhicules neufs pour encourager la production nationale et pousser les concessionnaires à créer des emplois à travers le créneau de la sous-traitance pour atteindre un taux d’intégration de près de 45% à l’horizon 2020. Quid de l’impact d’une telle mesure sur l’activité des concessionnaires qui ne seraient pas prêts à lancer une industrie dans le montage automobile ? Il faut savoir que la Commission nationale d’attribution des licences d’importation a déjà réduit le champ d’activité à
    40 concessionnaires, dont 12 seulement ont vu leurs projets industriels validés par le ministère de l’Industrie et des Mines. Autrement dit, ce sont 28 opérateurs qui seront soumis au retrait de l’agrément, un sésame sans lequel aucun concessionnaire ne pourrait prétendre aux licences d’importation. Cette nouvelle réduction des quotas fera, sans aucun doute, l’effet d’un coup de massue sur un total global de 68 concessionnaires appelés à passer une année blanche en 2017 et, par ricochet, menace des dizaines de milliers d’emplois dans ce secteur qui bat de l’aile. Du coup, aucun relèvement du contingent ne sera opéré pour les quotas attendus pour l’année 2017. D’autant que le ministère du Commerce a prolongé le délai de validité des licences au 31 décembre prochain pour mettre les concessionnaires devant le fait accompli.

    On ignore si les opérateurs et l’Association des concessionnaires et industriels de l’automobile algériens (ACI2A) ont été associés à cette mesure restrictive, mais aux dernières nouvelles, la proposition de ladite commission a été retenue par le gouvernement. Une chose est sûre, cette décision influera sur les prix du véhicule neuf qui connaît déjà une flambée vertigineuse et les quelques concessionnaires qui bénéficieront des licences et des quotas connaîtront une forte pression de la clientèle avide d’acquérir un moyen de locomotion et de travail.
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    Re : Industrie Auto (Importations,Licences,Concessionnaires,Immatricul ..;Cartes gris

    un numéro d’immatriculation national unique dès 2017

    La carte d’immatriculation électronique (Carte grise électronique) qui entrera en vigueur en 2017, comportera un numéro d’immatriculation national unique et une puce contenant toutes les informations relatives au véhicule, a indiqué, jeudi à Alger, le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Nourredine Bedoui.
    Répondant à la question orale d’un membre du Conseil de la nation sur la suppression de l’indicatif de la wilaya sur les plaques d’immatriculation, M. Bedoui a précisé que « la carte d’immatriculation électronique qui entrera en vigueur durant le premier trimestre 2017 comporte un numéro d’immatriculation national unique, similaire à celui de la carte d’identité nationale ».
    Le numéro d’immatriculation est attribué dès la première année de mise en circulation du véhicule, et « ne changera pas », même en cas de vente du véhicule à une personne résidant dans une autre wilaya, a-t-il ajouté.
    Il a révélé que cette immatriculation « comprend six chiffres et lettres unifiés sans aucune relation avec les informations personnelles du propriétaire du véhicule ou de son lieu de résidence », c’est-à-dire que « le code de wilaya sera supprimé ». Il a précisé que cette carte électronique « est composée également d’une puce renfermant des fonctionnalités liées au contrôle du véhicule, aux assurances et à la consommation du carburant ».
    Le ministre a mis l’accent sur « les étapes importantes » franchies par son département dans le domaine de la e-administration, ajoutant que ces cartes « seront confectionnées localement en partenariat entre les secteurs public et privé ».
    M. Bedoui a affirmé, que les lois élaborées ne doivent pas obéir à des considérations de régions, d’ethnie ou de sexes, rappelant que la Constitution met en avant « la primauté de la loi ».
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    Re : Industrie Auto (Importations,Licences,Concessionnaires,Immatricul ..;Cartes gris

    Meftah: mise en service en 2017 de l'unité de montage de véhicules industriels de marques Renault Trucks et Volvo



    La mise en service de l'unité de montage de véhicules industriels de marques Renault Trucks et Volvo dans le cadre d’un partenariat euro-algérien est prévue fin 2017 à Meftah (à l’est de Blida), a-t-on appris mercredi des chargés du projet.
    La cérémonie de pose symbolique de la première pierre de réalisation de ce projet d’investissement basé à Meftah, premier du genre à l’échelle maghrebine, a eu lieu en présence de l’ambassadeur de France en Algérie, Bernard Emié, de l’ambassadrice du royaume de Suède en Algérie, Marie-Claire Sward-Capra et du wali de Blida, Abdelkader Bouazghi.

    Selon le partenaire algérien du projet, Abdenour Souakri, l’unité, qui sera réalisée en deux (2) étapes, va produire à son entrée en production "2000 camions/an, avant de voir sa capacité portée à 5000 unités en 2019".
    Lors de la cérémonie de pose de la première pierre de ce projet, le wali Abdelkader Bouazghi a estimé que ce partenariat est "le fruit des bonnes relations unissant l’Algérie à la France et au royaume de Suède", ajoutant qu’il s’agit-là "d’un aperçu de ce qui est enregistré sur la scène économique nationale, suite aux facilitations décidées par l’Etat pour accompagner toutes les initiatives susceptibles de promouvoir l’économie algérienne".
    A son tour, l’ambassadeur de France en Algérie a loué ce partenariat, exprimant son souhait de voir d’autres projets similaires se concrétiser à l’avenir.
    Selon M. Souakri, le projet, qui s’étendra sur une surface de 24.000m2, est le fruit d’une joint-venture conclue entre le groupe industriel algérien BSF Souakri et la firme française Renault Trucks SAS.
    Un partenariat, dont il est escompté, a-t-il ajouté, de "consolider la présence des marques Renault Trucks et Volvo sur le marché algérien".

    Une fois opérationnelle, cette unité de montage de véhicules lourds permettra la création de 500 emplois, dont 200 directs, selon le même responsable, qui a assuré que cette main d’£uvre sera "à 100 % algérienne" et bénéficiera d’une "formation au diapason des technologies exploitées dans le domaine".
    "Les camions Renault Trucks et Volvo qui seront fabriqués en Algérie seront de la même qualité des modèles similaires produits en France, et seront vendus à des prix concurrentiels", a-t-il soutenu, ajoutant qu’"une fois les besoins du marché national couverts, l’unité va s’orienter vers l’exportation".
    Pour sa part, le président de Renault Trucks SAS, Bruno Blin, a souligné l’intérêt de ce partenariat qu'il qualifie "d'important" et que "nous oeuvreront à développer".
    Il a, en outre, affirmé que "les technologies de production exploitées en France seront les mêmes que celles prévues à l’utilisation dans l’usine de Meftah", assurant également le besoin du marché algérien pour ce type de véhicules, vu que "la majeure partie des transports de marchandises, à l’échelle nationale se fait par voie terrestre".
    Selon les chargés du projet, "Renault Trucks est la première marque de véhicules lourds présente en Algérie, avec un taux de 30 % des véhicules industriels de plus de 16 tonnes".
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    Re : Industrie Auto (Importations,Licences,Concessionnaires,Immatricul ..;Cartes gris

    Les véhicules immatriculés en 2015 soumis au contrôle technique en 2017



    Les propriétaires de véhicules particuliers immatriculés en 2015 sont tenus de les présenter à compter de janvier 2017 au contrôle technique au niveau des agences de contrôle agréées, a indiqué dimanche l'Etablissement national de contrôle technique (ENACTA) dans un communiqué.
    Ce contrôle technique périodique et obligatoire se fait selon la date d'immatriculation portée sur la carte grise. A titre d'exemple, le véhicule immatriculé en janvier 2015 doit être soumis au contrôle en janvier 2017, alors que celui immatriculé en février 2015 doit être présenté au contrôle en février 2017 et ainsi de suite.
    Selon l'ENACTA, sur les 459 agences de contrôle agréées, 343 sont opérationnelles et disposent de 543 lignes pour le traitement de ces véhicules sur un total de 802 lignes installées et implantées à travers l'ensemble des wilayas du pays.
    Les contrevenants à ces dispositions, prévient l'ENACTA, "s'exposeront aux sanctions prévues par la législation et la réglementation en vigueur".
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    Re : Industrie Auto (Importations,Licences,Concessionnaires,Immatricul ..;Cartes gris

    Suzuki s’installe: L’indsutrie automobile en Algérie prend son envol

    L’industrie automobile en Algérie commence peu à peu à prendre son envol. Après Renault, Hyundai et Volkswagen, c’est au tour du géant Japonais Suzuki de venir installer une usine de montage dans la wilaya de Saida dès le mois de mars prochain.

    C’est le wali de Saida, Djelloul Boukarbila qui a fait l’annonce hier en précisant que l’usine qui sera concrétisée par le groupe Tahkout, sera implantée dans la zone industrielle de Saida, basée au site de l’ex-Prométal. Neuf ingénieurs étrangers ont déjà lancé, la semaine dernière, les travaux de terrassement du terrain où sera réalisée l’usine. Il est prévu le montage de deux modèles de véhicules touristiques, à savoir la Suzuki Alto et la Swift durant le premier trimestre de l’année en cours.

    Lors de la rencontre avec le wali, les initiateurs du projet se sont engagés à produire 15.000 véhicules par an dans une première étape. Ce chiffre atteindra les 100.000 véhicules/an dans un délai de cinq ans. Outre le montage de ce type de véhicules touristiques, il est prévu également la fabrication sur ce site de moteurs et de boites à vitesse de ces modèles. Le projet devra générer, dans une première étape, 400 emplois au profit des jeunes de la région.

    Durant ces dernières années, différentes marques d’automobiles mondiales ont implanté leurs usines de montage dans le pays. On constate un engouement de la part des constructeurs automobiles pour la création d’unités de production en Algérie. La venue de Renault, semble avoir ouvert la voie aux autres marques et changé leurs attitudes vis-à-vis du marché Algérien.

    Hyundai s’est également doté de son usine à Tiaret, où le premier véhicule est sorti le 29 octobre dernier. L’usine produira dans une première phase pas moins de 30.000 véhicules/an pour élever sa capacité à 100.000 unités par an en 5 ans. Ce projet vise un taux d’intégration atteignant les 40% dans les cinq années qui suivront la mise en production de l’usine.

    Un autre géant mondial est également installé en Algérie, à Relizane plus exactement. En l’occurrence Volkswagen. Une délégation du groupe Volkswagen a en effet signé en novembre 2016 un protocole d’accord pour la réalisation d’une usine de fabrication de véhicules en Algérie. Le groupe Sovac, représentant officiel de Volkswagen en Algérie, a entamé en septembre dernier les travaux de construction de l’usine de Relizane. La première voiture sortira avant la fin du premier semestre 2017. Selon Sovac, la nouvelle usine nécessitera un investissement de 170 millions d’euros. Elle aura une capacité de 10 000 unités par an dès le lancement de la production et de 100 000 unités à l’horizon 2022.

    En attendant Peugeot, Toyota et BMW

    Pour sa part, la marque Peugeot, qui occupe une place confortable dans le marché Algérien n’a pas encore réussi à mettre son pied en Algérie. L’engagement du constructeur Français qui devait commencer à produire 3 types de véhicules dès 2017 a été émaillé par des divergences sur les objectifs en matière de taux d’intégration, ce qui a conduit au report de l’implantation. Mais selon des rapports médiatiques, les négociations avancent bien et un accord devrait été conclu prochainement.

    Un autre géant mondial voudrait également avoir son usine de montage dans le pays. Il s’agit de Toyota, qui d’aprèsl’ambassadeur du Japon, voudrait implanter sa filiale Hino Motors, spécialisée dans la construction des camions et des bus.

    Par ailleurs, il semblerait que le fameux constructeur Allemand BMW, est sur le point d’installer son usine de montage de véhicules en Algérie. Dans le cadre d’un partenariat avec l’entreprise Luxury Motor Works, une joint-venture entre le groupe Mehri (51%) et Abu Dhabi Motors (49%). La marque allemande de voitures haut-de-gamme est en négociation avancée et pourrait signer le contrat « dans les tout prochains jours ».

    Si on additionne les prévisions de production de ces différentes usines, le chiffre atteindra les 500.000 véhicules d’ici la fin de la décennie.

    Ainsi, si les projets BMW et Toyota venaient à se concrétiser, cela donnera un sacré élan à l’industrie automobile dans le pays.

    Lamine Reda
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    L'Algérie un nouvel eldorado.

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    L'Algérie, en sa qualité de pays africain pivot, va devenir une interface «incontournable» entre l'Europe et l'Afrique.
    L'Algérie sera-t-elle le nouvel eldorado des entreprises européennes, françaises en particulier, qui activent dans le secteur de l'industrie de l'automobile? Pour les investisseurs français, l'Algérie demeure un véritable champ d'exploration pour d'éventuels projets d'investissements et de partenariats avec les chefs d'entreprise Algérie. Les participants à la rencontre «L'Algérie de demain» organisée, hier, à Paris par l'Institut de prospective économique du monde méditerranéen (Ipemed), estiment que l'Algérie, en sa qualité de pays africain pivot, va devenir une interface «incontournable» entre l'Europe et l'Afrique, soutenant que l'Afrique du Nord, et précisément l'Algérie, sera une grande zone industrielle pour l'Europe, notamment dans la construction automobile.
    Pour le président de l'Ipemed Jean-Louis Guigou, «l'Algérie est un très grand pays en transformation et la France doit miser sur ce pays. C'est une intime conviction», a insisté Jean-Louis Guigou. Selon ce dernier, l'objectif de cette rencontre est de construire l'avenir entre la France et l'Algérie, et c'est dans cette optique que les deux parties travaillent pour identifier sur le terrain des «forces à l'oeuvre» et d'aider l'Algérie qui sera, selon lui, «un très grand pays en Afrique du Nord».
    Dans son intervention, il a argumenté ses propos par le fait que l'Algérie, en sa qualité de pays africain pivot, va devenir une interface «incontournable» entre l'Europe et l'Afrique, soutenant que l'Afrique du Nord, et précisément l'Algérie, sera une grande zone industrielle pour l'Europe, notamment dans la construction automobile.
    Le président de l'Ipemed, estime que l'Algérie qui a entamé une phase nouvelle dans la diversification de son économie, est une occasion qui s'offre aux investisseurs européens qui veulent compacter leurs valeurs,mais aussi pour le rôle «stratégique» que va jouer l'Algérie dans les années à venir en Afrique avec la transsaharienne, un axe routier liant Alger à Lagos, relevant un atout majeur supplémentaire qui est la diaspora algérienne. Pour sa part, Jean-Louis Guigou responsable à la coopération industrielle et technologique franco-algérienne, a souligné l'intérêt des entreprises françaises à travailler avec l'Algérie. Il a évoqué, dans ce sens, les besoins «considérables» et «finançables» en Algérie dans un grand ensemble de domaines, allant de l'agro-alimentaire, de l'industrie au numérique visant l'objectif d'une économie décentralisée et déconcentrée.
    L'économiste Alexandre Kateb, membre de la Task Force, conseiller du Premier ministre Abdelmalek Sellal, a indiqué que l'Algérie recèle un «réservoir de compétences» et une prise de conscience de ce potentiel. «Il y a en Algérie une nouvelle génération d'entrepreneurs qui a soif d'intégrer les technologies et le savoir-faire dans une dynamique concrète de coopération entre l'Algérie et la France», a-t-il relevé.
    Pour Boualem Aliouat, représentant du président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), l'économie algérienne, présente des atouts très «incitatifs» en faveur du développement de la coopération entre les deux pays, préconisant cependant de mettre en place un organisme algéro-français des affaires.
    Pour ce dernier, l'Algérie veut «s'engager dans des relations partenariales gagnant-gagnant durables, fondées sur l'excellence et des stratégies de co-développement, y compris à l'international».
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