Re : La Société Algérienne de Fabrication des Véhicules (Safav)
La voiture SAIPA made in Algérie pour début 2017*
Le salon de l'automobile d'Alger accueille les modèles de la marque SAIPA exposés dans le stand de Cima Motors, ces même véhicules sortiront bientôt des chaines de fabrication de l'usine SAIPA Algérie basées dans la wilaya de Setif.Annoncé en décembre 2015, le projet industriel du Groupe Tahkout dans le secteur automobile en partenariat avec le constructeur Iranien SAÏPA est en phase de réalisation, l'usine sera opérationnelle dès janvier 2017, date de sortie de la première voiture Iranienne de marque SAIPA.A l'occasion de la participation de CIMA Motors au salon de l'automobile d'Alger, M. Bilel Tahkout, Vice Président, s'est exprimé sur le projet industriel de montage automobile initié par le Groupe Tahkout, en partenariat avec le constructeur Iranien SAIPA."L'usine SAIPA Algérie est en construction dans la wilaya de Setif et nous prévoyons la sortie du premier modèle des chaines de montage, en janvier 2017, le total annuel sera de 20 000 unités. Cinq véhicules touristiques et un utilitaire "pick-up" seront lancés en début d'année prochaine grâce aux six chaines de montage qui seront opérationnelles, le tout avec un taux d'intégration de 47%", dira M. Bilel Tahkout.Au sujet du taux d'intégration annoncé, M. Tahkout explique que les 47% seront atteints dès le début de l'activité grâce à la partie sous-traitance qui prend forme aujourd'hui au même rythme que l'usine de fabrication automobiles. "nous prévoyons de lancer cinq unités de production de pièces et accessoires, cela nous permettra d'alimenter notre usine de production de voitures de quelques équipements à l'instar des kits de garniture, pare-brise, gentes, sièges, radiateurs...Nous serons même appelé à alimenter le marché dans le cas ou la demande se fera ressentir".Le projet automobile du Groupe Tahkout est réparti à hauteur de 75% pour le groupe Algérien et 25% pour SAIPA. Cette alliance selon M. Tahkout permettra à son entreprise de profiter, pleinement de l'expertise du constructeur Iranien, à la fois en termes d'ingénierie et de process de production automobile, mais aussi en terme de formations assurées pour le personnel de l'usine.Il est utile de signaler que le projet dans sa globalité est financé à fond propre par le Groupe Tahkout à hauteur de 300 millions de dollars. En termes d'emplois, pas moins de 1 400 postes seront crées.*
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Le directeur du commerce extérieur limogé à cause des licences d’importation
A la une/Actualité_Licences d’importation
le 21.03.16 | 13h16
Le directeur du commerce extérieur limogé à cause des licences d’importation
Selon nos informations, « son limogeage est lié à la gestion du dossier des licences d’importation ».
Pièce jointe 22408
Le directeur du commerce extérieur, au niveau du ministère du Commerce, Lyes Ferroukhi,
a été relevé de ses fonctions.Selon nos informations, « son limogeage est lié à la gestion du dossier
des licences d’importation ».L’intérim est assuré actuellement par Said Djellab,
directeur des accords commerciaux.La même source a indiqué, en outre, que le ministre du Commerce,
Bakhti Belaïb, a demandé à être remplacé pour des raisons de santé.
Nos tentatives de joindre le ministère du Commerce se sont avérées vaines.
Farouk Djouadi
Le projet de l’usine Volkswagen officiellement validé
Citation:
Envoyé par
zadhand
A LA UNE/ACTUALITE_Industrie Automobile
08 Janvier 2016
Volkswagen produira des véhicules en Algérie en 2017
C’est officiel ! Volkswagen construira son usine de fabrication automobile
à Relizane. L’usine sera implantée sur un terrain de 150 ha et sera opérationnelle en 2017.
L’information a été confirmée hier par la responsable de la communication de Sovac, Rosa Mensouri, contactée par nos soins. Elle confirme en effet l’avancement de ce projet déjà déposé auprès du ministère de l’Industrie, en expliquant que «les discussions sur la nature de l’investissement ont été lancé depuis une année».
L’usine du constructeur allemand produira 100 000 véhicules par an. Les détails du projet, affirme-t-on, par ailleurs, qui est d’un investissement de plus de 170 millions d’euros, seront dévoilés lors de la visite du Premier ministre Abdelmalek Sellal à Berlin prévue ce lundi. C’est justement, affirme-t-on encore, l’un des dossiers phares qui seront discutés à Berlin.
C’est la Polo classique, la Skoda Octavia et le pick-up Amarok qui seront produits.
Eventuellement et sur le moyen terme, selon la responsable de communication de Sovac, le constructeur allemand procédera à la fabrication de pièces de rechange en Algérie avec d’autres projets. D’autres sources affirment qu’une partie de la production sera destinée à l’exportation. Il y a quelques jours, lors du forum d’El Moudjahid à Alger, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, avait annoncé que «le groupe Volkswagen devrait également avoir son usine en Algérie».
Nouveau DG de Sovac
Patrice Franke, l’actuel directeur général de Audi-Algérie a été nommé, hier,
directeur général de Sovac Algérie, affirme le communiqué de Sovac rendu public hier.
Le nouveau directeur est chargé de nouvelles missions à Sovac Importation puisqu’il aura
à mettre en place une véritable structure NSC (National Sales Company) en collaboration
avec Volkswagen Group, et ce, dans l’objectif de mettre en
œuvre les stratégies et les objectifs spécifiques à chaque marque.
Nassima Oulebsir
A la une/Actualité_Groupe SOVAC
le 10.04.16 | 10h00
Le projet de l’usine Volkswagen officiellement validé
Le projet d’usine Volkswagen, en partenariat avec le groupe Sovac, connaît une avancée
appréciable. Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb,
a officiellement validé le projet d’implantation de cette usine en Algérie.
Une délégation du groupe Sovac conduite par son PDG, Mourad Oulmi, a été reçue hier
par M. Bouchouareb, afin de s’enquérir de l’avancement des négociations au sein de
la commission mixte chargée du suivi du projet de production de véhicules par le groupe Sovac.
Une commission qui a été créée, pour rappel, le 8 mars dernier lors d’une visite qu’a effectuée
une forte délégation du constructeur allemand au ministère de l’Industrie, pour entamer ces négociations.
M. Bouchouareb a, lors de la rencontre d’hier, confirmé le choix de la wilaya de Relizane pour abriter
le projet Sovac. Ceci, dans la perspective de la prochaine visite d’une délégation du groupe Volkswagen
pour la finalisation du dossier. Et vu l’importance du projet – le groupe Volkswagen s’est engagé à
produire plusieurs modèles dès la première année, selon un communiqué du groupe Sovac,
le ministre de l’Industrie a promis de suivre l’avancement du projet jusqu’à la sortie de
la première Volkswagen «made in Algeria», au premier semestre de l’année 2017.
Selon la même source, M. Bouchouareb a également assuré la levée de toutes les contraintes
administratives qui risquent de retarder l’avancement du projet.
«Cette nouvelle rencontre nous a permis de bien avancer. Nous sommes rassurés que les négociations
évoluent vite et que nous allons atteindre l’objectif que nous nous sommes assigné, à savoir présenter
la première voiture Volkswagen au prochain Salon de l’automobile d’Alger», a déclaré M. Oulmi,
président-directeur général du groupe Sovac.Le groupe Sovac a obtenu officiellement un terrain de
150 hectares dans la wilaya de Relizane pour implanter son usine, qui produira 100 000 véhicules/an
pour un investissement de plus de 170 millions d’euros. Selon son représentant local, le groupe Volkswagen
compte produire la Polo classique, la Skoda Octavia et le pick-up Amarok pour les marchés local
et international. Le constructeur allemand compte même procéder, à moyen terme, à la fabrication
de pièces de rechange en Algérie dans le cadre d’autres projets.Rabah Beldjenna
1 pièce(s) jointe(s)
Les nouvelles mesures ont porté leurs fruits
LES NOUVELLES MESURES ONT PORTÉ LEURS FRUITS
http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg
IMPORTATIONS DE VÉHICULES
25 juin 2016 | 19:20
S. T.
La facture d’importation des véhicules a reculé à près de 555 millions
de dollars (usd) durant les 5 premiers mois de 2016 contre 1,72 milliard
usd durant la même période de 2015, soit une baisse de 1,165 milliard
usd (-68%).Quant aux quantités importées, elles ont chuté de 75% avec
35 925 véhicules importés entre début janvier et fin mai 2016, contre
144 060 unités sur les cinq premiers mois de 2015, soit une réduction de
108 135 véhicules, selon les données provisoires du Centre national des
statistiques des douanes (CNIS). Par concessionnaire, les baisses ont
oscillé entre 2% et 98% et elles ont été plus sensibles chez ceux des
marques asiatiques.Pour rappel, les licences d’importation des véhicules
ont été attribuées, en mai dernier, à 40 concessionnaires sur 80 postulants.
Fixé initialement à 152 000 unités pour l’année 2016, le contingent quantitatif
d’importation des véhicules a été réduit à 83 000 unités.Le contingent des véhicules concerne ceux destinés au transport de dix personnes ou plus (chauffeur inclus),
les véhicules de tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus
pour le transport des personnes (y compris les voitures de type « break » et
les voitures de course) ainsi que les véhicules dédiés au transport de marchandises.
Les engins tels que les camions et tracteurs, que certains professionnels importent
pour le fonctionnement de leur entreprise, ne sont pas concernés par le dispositif
des licences. Selon les prévisions du ministère du Commerce, la facture d’importation
des véhicules ne dépassera pas 1 milliard usd en 2016, contre 3,14 milliards usd
(265 523 véhicules) en 2015 et 5,7 milliards de dollars en 2014 (417 913 unités).
« Nous avons fait l’effort de réduction car il fallait rationaliser nos importations et
ne plus importer de véhicules pour les stocker.Nous importerons essentiellement
les véhicules dont les acheteurs sont déjà connus (à travers les commandes faites
par ces derniers) », avait déclaré récemment le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb. Parallèlement à l’octroi des licences, le gouvernement a exigé des concessionnaires d’engager des investissements dans le secteur des véhicules et dont un cahier des charges a été élaboré par le ministère de l’Industrie et des Mines.Lors de sa visite,
jeudi dernier à Tiaret, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait rappelé l’obligation
de tous les concessionnaires automobiles d’investir localement, en avisant que,
sans quoi, la licence d’importation leur sera retirée en 2017.Dans le sillage de la chute
des prix du pétrole, le gouvernement a décidé de plafonner certaines importations à
travers la mise en œuvre du régime des licences d’importation. Jusqu’à présent, les produits concernés sont les véhicules, le ciment portland gris, le rond à béton
et certains produits agricoles.
Dacia Sandero Stepway Extrême
Automobile/Renault Production Algérie lance la Sandero Stepway «made in bladi»
http://www.maghreb-sat.com/forum/att...chargement.png
samedi, 25 juin 2016 07:09
Écrit par Meriem Kaci
Renault Production Algérie va bientôt lancer sur le marché son deuxième modèle de véhiculé fabriqué dans notre pays. Après la Symbol, RPA va mettre à la disposition des clients la nouvelle «Dacia Sandero Stepway Extrême». Ce modèle «made in bladi» sera bientôt commercialisé par le réseau Renault Algérie et les commandes, indique un communiqué du constructeur, peuvent être effectuées dès le début du mois de juillet prochain. C’est donc une bonne nouvelle pour le constructeur et pour l’industrie automobile naissante dans notre pays. Il s’agit d’un indicateur que la dynamique recherchée par la marque et par le gouvernement, qui cherche à créer par l’encouragement de la production un effet de contrebalance à l’importation, est en train de s’installer progressivement.
Renault Algérie Production ne précise pas combien d’exemplaires il va produire de la Sandero Stepway, mais il semble que cela sera fixé en fonction de la demande. Sur ce point, le nouveau modèle, comme le premier, devrait trouver très vite ses acheteurs. Avant la sortie prochaine de la Sandero Stepway de l’usine de Oued Tlélat, et en 2015 plus précisément, la marque Renault Dacia a détenu 16%. Depuis son introduction sur le marché algérien en 2005, la marque a commercialisé 7 modèles, à savoir Solenza, Logan, Logan Van, Logan MCV, Duster et Sandero. La marque a multiplié ses ventes par 10 en 10 ans pour atteindre un volume de 251 000 véhicules à la fin de l’année écoulée. Fabriqué en Algérie, le modèle Sandero Steway exempte, par ailleurs, les acheteurs de TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) et les exonère aussi de TVN (Taxe sur les véhicules neufs). Eligible au crédit à la consommation, les clients peuvent également recourir au crédit à la consommation au titre qu’il s’agit d’un véhiculé fabriqué localement. En termes d’attractivité, le Sandero Stepway décliné en plusieurs couleurs affiche tous
les atouts et l’équipement d’un véhicule moderne une tablette tactile munie du guidage GPS,écran tactile accoudoir, volant en cuir et radar de stationnement arrière,
sans compter le design général très «in» du véhicule.
Industrie automobile en Algérie-Les jeux sont-ils faits ?
Industrie automobile en Algérie
Les jeux sont-ils faits ?
20 Juillet 2016
Les dernières déclarations du ministre de l’Industrie concernant le secteur
de l’automobile, rappelant l’obligation qui est désormais faite aux
concessionnaires de se lancer impérativement dans l’industrialisation,
sonnent comme un glas pour une bonne partie de ces intervenants.
Mais cette menace directe et plusieurs fois réitérée par les voix
autorisées du gouvernement apporte plus de confusion que de clarté, tant
souhaitée. Si les premiers éléments de cette démarche et contenus dans
le cahier de charges réglementant l’activité automobile dans notre pays ne
limitaient pas les champs d’investissement à un domaine plutôt qu’à un autre,
assemblage de véhicule, pièce de rechange ou autres accessoires,
les dernières affirmations du premier responsable du secteur dressent en
revanche un balisage où seule la sous-traitance dans le domaine de la pièce
de rechange serait l’ultime voie de salut pour ceux qui veulent perdurer dans
la profession.Une source généralement bien informée soutient en outre que
les grandes lignes d’une industrie mécanique en Algérie ont été préalablement
arrêtées et que seuls quelques constructeurs ont eu la bénédiction des
responsables du secteur et verront les projets de leurs partenaires locaux
aboutir et constituer, à terme, la gamme de modèles proposés aux clients
algériens. On évoque les marques Renault, Hyundai pour l’utilitaire à Batna
et le léger à Tiaret, Seat, Volkswagen, Peugeot et Mercedes. Si cette
information se confirme, que deviendraient alors les nombreux projets
annoncés ici et là par les concessionnaires et dont certains étaient dans
des phases de préparation bien avancées et domiciliés dans plusieurs régions
du pays ? C’est le cas notamment de Fiat, Saipa, Iveco, JAC, Hino,
Renault Trucks... Est-ce à dire que la liste des prétendants à cette
activité a été définitivement clôturée et que les autres devront s’orienter vers
les autres secteurs de la sous-traitance ? Va-t-on vers un cloisonnement
de l’industrie automobile en Algérie et sa limitation à une brochette d’heureux
lauréats ? Des questions se posent aussi sur les facilitations exceptionnelles
accordées à certains opérateurs dont les projets aboutissent rapidement, et
sur les retards enregistrés dans le traitement de la multitude d’autres dossiers
qui attendent le feu vert du ministère de l’Industrie depuis des mois. Dans
une récente déclaration, Abdesselem Bouchouareb en a recensé une dizaine.
En attendant, les véhicules se font rares, les délais de livraison s’étirent en
longueur et les prix poursuivent leur envolée.
B. Bellil
Véhicules-Chute de plus de 67% des importations au 1er semestre 2016
Chute de plus de 67% des importations au 1er semestre 2016
Véhicules
le 24.07.16|13h23
La facture d'importation des véhicules a reculé à 691 millions de
dollars (usd) durant le 1er semestre 2016 contre 2,13 milliards usd
durant la même période de 2015, soit une baisse de l'ordre de
1,44 milliard usd (-67,53%), a appris dimanche l'APS auprès des Douanes.
Quant aux quantités importées, elles ont chuté de 73,63% avec 47.484
véhicules importés entre début janvier et fin juin 2016, contre 180.082 unités
au 1er semestre 2015, soit 132.598 véhicules de moins, précise le Centre
national des statistiques des Douanes (CNIS). Concernant les parties et
accessoires des véhicules automobiles, la facture d'importation a été de
198,1 millions usd contre 201,15 millions usd (-1,52%), précise la même source.
Pour rappel, les licences d'importation des véhicules ont été attribuées, en mai
dernier, à 40 concessionnaires sur 80 postulants. Fixé initialement à 152.000
unités pour l'année 2016, le contingent quantitatif d'importation des véhicules a
été finalement réduit à 83.000 unités. Le contingent des véhicules concerne ceux
destinés au transport de dix personnes ou plus (chauffeur inclus), les véhicules de
tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus pour le transport
des personnes (y compris les voitures de type "break" et les voitures de course)
et les véhicules dédiés au transport de marchandises.Les engins tels que les
camions et tracteurs que certains professionnels importent pour le fonctionnement
de leur entreprise ne sont pas concernés par le dispositif des licences. Selon les
prévisions du ministère du Commerce, la facture d'importation des véhicules ne
dépassera pas un (1) milliard usd en 2016, contre 3,14 milliards usd (265.523
véhicules) en 2015 et 5,7 milliards de dollars en 2014 (417.913 unités).
Parallèlement à l'octroi des licences, le gouvernement a exigé des concessionnaires d'engager des investissements dans le secteur des véhicules et les filières industrielles annexes. Lors d'une visite en juin dernier à Tiaret, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait rappelé l'obligation de tous les concessionnaires automobiles d'investir localement, sans quoi la licence d'importation leur sera retirée en 2017. Dans le sillage de la chute
des prix de pétrole, le gouvernement a décidé de plafonner certaines importations à
travers la mise en £uvre du régime des licences d'importation. Jusqu'à présent, les
produits concernés sont les véhicules, le ciment portland gris, le rond à béton et
certains produits agricoles.
Véhicules
Etat des importations par les principaux concessionnaires
Concessionnaires Nombre (mm $) Renault Algérie 15.026 (39.240) 40 (349)
Peugeot Algérie 9.119 (20.188) 90 (240)
Sovac Algérie 5.714 (15.890) 81 (230)
Kia Motors Alg 3.301 (11.472) 28 (120)
Nissan Motors Alg 2.277 (4.777) 43 (55)
GM Trade 2.005 (22.127) 56 (220)
Elsecom 1.758 (6.752) 22 (81)
Toyota Algérie 1.084 (7.621) 22 (147)
Hyundai Motors 877 (19.929) 10 (175)
Foton 538 (228) 7 (3)
Ival 523 (419) 21 (16)
Cima 438 (1.112) 5 (15)
Saida 387 (3.241) 5 (39)
Emin Auto 324 (5.493) 5 (70)
GBR Auto 220 (758) 1 (5)
KIV 202 (905) 3 (12)
GMS 151 (2.661) 7 (57)
FAW Motors 140 (432) 1 (2)
Famoval 136 (473) 1 (3)
VEDIS 120 (291) 1 (2)
Falcon Motors 92 (1.394) 2 (28)
MidiNegoce 62 (333) 1 (7)
Burgan 35 (6.342) 0,35 (34)
Jamal 22 (1.055) 0,36 (11)
Prox4 20 (390) 0,13 (0,41)
Diamal 17 (1.260) 0,43 (16)
S/Total 44.588 (174.783) 553 (1.937)
Total général 47.484 (180.082) 691 (2.129)
APS
Chute de 68% de la valeur des importations
Chute de 68% de la valeur des importations
Automobile
le 27.08.16 | 13h47
La facture d'importation des véhicules a reculé à 768 millions de dollars (usd) durant les
sept premiers mois de 2016 contre 2,4 milliards (mds) usd durant la même période de 2015,
soit une baisse de 1,63 mds usd (-68%), a appris l'APS auprès des Douanes.
Salon de l'automobile d'Alger. 2016 Quant aux quantités importées, elles ont chuté de 73,74% avec 53.356
véhicules importés entre début janvier et fin juillet 2016, contre 203.174
unités durant la même période en 2015, soit 149.818 véhicules de moins,
précise le Centre national des statistiques des Douanes (CNIS).
Concernant les parties et accessoires des véhicules automobiles, la facture
d'importation a été de 229,92 millions usd contre 239,48 millions usd (-4%),
précise la même source. Pour rappel, les licences d'importation des véhicules
ont été attribuées, en mai dernier, à 40 concessionnaires sur 80 postulants.
Fixé initialement à 152.000 unités pour l'année 2016, le contingent quantitatif
d'importation des véhicules a été finalement réduit à 83.000 unités.Le contingent
des véhicules concerne ceux destinés au transport de dix personnes ou plus
(chauffeur inclus), les véhicules de tourisme et autres véhicules automobiles principalement conçus pour le transport des personnes (y compris les voitures
de type "break" et les voitures de course) et les véhicules dédiés au transport
de marchandises.Les engins tels que les camions et tracteurs que certains
professionnels importent pour le fonctionnement de leur entreprise ne sont pas
concernés par le dispositif des licences. Selon les prévisions du ministère du
Commerce, la facture d'importation des véhicules ne dépassera pas un (1)
milliard usd en 2016, contre 3,14 milliards usd (265.523 véhicules) en 2015 et
5,7 milliards de dollars en 2014 (417.913 unités).Parallèlement à l'octroi des
licences, le gouvernement a exigé des concessionnaires d'engager des
investissements dans le secteur des véhicules et les filières industrielles
annexes. Lors d'une visite en juin dernier à Tiaret, le Premier ministre,
Abdelmalek Sellal, avait rappelé l'obligation de tous les concessionnaires
automobiles d'investir localement, sans quoi la licence d'importation leur sera
retirée en 2017.Dans le sillage de la chute des prix de pétrole, le gouvernement
a décidé de plafonner certaines importations à travers la mise en oeuvre du
régime des licences d'importation. Jusqu'à présent, les produits concernés sont
les véhicules, le ciment portland gris, le rond à béton et certains produits agricoles.
APS
Essai de la Dacia Sandero Stepway «Made in Bladi»
Essai de la Dacia Sandero Stepway «Made in Bladi»
Belle et rassurante
le 01.09.16 | 10h00
Pour sa commercialisation, Renault s’appuie sur des tarifs compétitifs. La version essence est facturée
à 1 499 000 DA et la version Diesel est proposée à 1 659 000 DA.
La voiture paraît solide et bien campée sur ses roues
Renault Algérie annonce le lancement de la commercialisation de la très
attendue Dacia Sandero Stepway Extrême «made in Bladi» assemblée à
Oran. Qu’en est-il de la qualité de cette voiture ? Nous l’avons essayé sur
les routes reliant Oran et Tlemcen. De prime abord, le comportement routier
se révèle excellent : un équilibre sain et une adhérence remarquable rassurent
le conducteur.Notre modèle d’essai est simple d’aspect mais bien proportionné.
La voiture paraît solide et assez bien campée sur ses roues. Le confort de
suspension n’appelle pas non plus la critique. Sur le long trajet, que ce soit sur
la RN2 ou sur l’autoroute, la Sandero s’en est plutôt bien tirée. Citadine
économique, ce n’est pas au détriment de ses prestations.Très homogène et
bien agréable à conduire. Sa tenue de route efficace est due à son bon châssis
et à sa suspension honnête. Cette citadine surélevée vient de s’offrir une mise
à jour elle a soigné son allure avec des lignes fluides et athlétiques. Pour la
couleur, le client a le choix entre six teintes (noir nacré, gris platine, rouge de feu,
brun tourmaline, bleu cosmos ou bleu azurite).Voiture fiable et bon marché, ce
modèle assemblé à Oran, qui offre un meilleur confort par rapport à la version
importée, s’est davantage enrichi en équipements. A l’intérieur, grâce à ses flancs verticaux, la Sandero est confortable. L’ensemble est assez bien présenté lignes agréables, touches de laque ou de chrome… le bouton de mise en route du régulateur/limiteur de vitesse est situé sur la console alors que les réglages du
même système sont situés sur le volant. Le conducteur a droit à un intéressant équipement, avec notamment un accoudoir central, la climatisation,le verrouillage centralisé, les vitres électriques et un levier de vitesse chromé.Outre de nouvelles commandes ergonomiques, il y a de multiples rangements dont un porte-gobelets.
La Stepway Extrême est dotée d’une technologie toujours utile : outre le GPS, un
système Media Nav Evolution écran 7’’ et bluetooth vous laissent mains libres pour téléphoner. Un port USB permet de connecter votre smartphone. Un ordinateur de
bord est doté d’un système tactile.D'Autres équipements consistent en un radar de
recul, des airbags frontaux et latéraux, climatisation, condamnation des portes en
roulant, direction assistée, projecteurs antibrouillard, des rétroviseurs électriques et
un siège réglable en hauteur tout comme d’ailleurs le volant en cuir. Sous le capot,
la Dacia Sandero Stepway Extrême est dotée d’une nouvelle motorisation.
La version diesel est équipée d’un bloc moteur 1.5 dCI de 85 ch., alors que la
motorisation essence se décline en 1.6 MPI 80 ch.Pour sa commercialisation,
Renault s’appuie sur des tarifs compétitifs. La version essence est facturée à
1 499 000 DA, soit un prix de lancement 20% moins cher que la version similaire
importée. La version Diesel est proposée à 1 659 000 DA, soit 40% moins cher
que le modèle importé. Quid du délai de livraison ? «Les premiers clients seront immédiatement livrés.Par la suite, tout dépendra du flux des commandes et de la production», répond Guillaume Josselin, directeur général de Renault Algérie qui s’exprimait lors de l’inauguration de la succursale de la marque au losange à Oran.
Eligible au crédit à la consommation, Dacia Sandero Stepway est garantie 3 ans
ou durant les 100 000 premiers kilomètres. La première révision est gratuite au
sein du réseau Renault. Avec de tels arguments, la reine du low cost,
la Dacia Sandero, veut confirmer sa suprématie sur ses concurrentes.
Renault inaugure une succursale à Oran
Renault Algérie a inauguré, dimanche dernier, une nouvelle succursale commerciale
à Oran. C’est la troisième du genre pour Renault Algérie qui compte 70 points de
vente dont 3 succursales à travers l’Algérie. La nouvelle succursale s’étale sur
3500 m2, dans la zone des showrooms d’El Kerma. L’infrastructure compte un
showroom, un magasin dédié à la pièce de rechange (1500 références) et des
ateliers de maintenance. Une navette assurant le transport vers la ville d’Oran est
mise à la disposition des clients du service maintenance.
Rédaction d’Oran