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    Post Escroquerie (manœuvre frauduleuse,faux documents,physique ou morale ,mensonge...)

    A LA UNE/ACTUALITÉ_Se déclarant victime d une escroquerie
    le 19.04.16 | 10h00


    La famille du défunt Salah Boubnider interpelle le Président

    Alors que la veuve de Salah Boubnider accuse l’ancien compagnon du défunt, le commandant Azzedine,
    d’«escroquerie» et interpelle le Président pour «faire appliquer les décisions de justice», l’avocat de ce dernier
    récuse tous les faits reprochés à son client et promet «d’honorer» le remboursement des fonds objet du litige.

    La veuve de l’ancien officier de l’ALN, Salah Boubnider, et ses enfants ont interpellé, hier, le président de
    la République, en tant que premier magistrat, lui demandant de faire respecter la loi et à mettre un terme
    aux manœuvres de celui qui se revendique, à tort, être sous sa protection pour intimider et bloquer l’exécution
    d’un jugement définitif.
    Les signataires de cette lettre sont revenus sur les circonstances de cette affaire,
    en déclarant «Victimes d’une escroquerie qui nous a ruinés, mes fils et moi avons déposé, le 14 octobre 2013,
    une plainte au parquet de Chéraga contre Zerari Rabah, alias commandant Azzedine, son gendre Hadjouti Hamza
    et sa fille, Chellali Fifi, pour ‘‘escroquerie’’, ‘‘faux et usage de faux’’ et ‘‘émission de chèques sans provision’’.

    Jugée en première instance (...), l’affaire a connu son épilogue le 31 mai 2015 devant la cour d’appel de Tipasa,
    qui a rendu deux décisions : sur le plan pénal, elle a condamné à 2 ans de prison ferme Zerari Rabah et
    son gendre Hadjouti Hamza, et à 6 mois de prison ferme Challali Fifi, pour ‘‘escroquerie’’, ‘‘faux et usage de faux’’
    et ‘‘émission de chèques sans provision’’», tout en ordonnant la restitution des sommes extorquées aux victimes.

    Selon les signataires, durant la procédure, les mis en cause «ont organisé leur insolvabilité en transférant,
    selon l’enquête, leur argent en France pour empêcher l’exécution du jugement, et au mois d’août 2015,
    Me Farouk Ksentini, en sa qualité de président de la Commission nationale consultative de promotion et
    de protection des droits de l’homme (CNCPPDH), a pris contact avec nous et avec d’autres victimes partie civile.

    Devant témoins, il nous a tenu le discours suivant : ‘‘Le commandant Azzedine a vendu un immeuble, il va
    indemniser toutes les personnes qui se sont constituées partie civile.’’ Pointant l’index vers le ciel,
    Me Farouk Ksentini continue : ‘‘J’ai été chargé par de très hautes personnalités de l’Etat de régler ce problème,
    je viens d’ouvrir un compte client le 5 octobre, je remettrai moi-même les chèques aux victimes.’’ Il dira même à
    l’un de mes enfants : ‘‘Dites à Madame Boubnider que je suis le garant du recouvrement de ses biens spoliés’’.»

    Mme Boubnider et ses enfants précisent que trois mois plus tard, leur avocat a entamé une procédure de contrainte
    par corps contre Hadjouti Hamza près le tribunal de Koléa, dont relève la localité de Htatba, «résidence officielle
    du condamné, même s’il habite chez son beau-père à Club des Pins. Le président du tribunal fixe la contrainte
    par corps à trois années d’emprisonnement afin de l’obliger à régler sa quote-part des indemnisations décidées par
    la cour de Tipasa».
    Informé de cette procédure, Me Ksentini, notent les signataires, «s’est présenté devant
    le procureur de Koléa pour bloquer la procédure. Devant le magistrat, il s’est porté garant d’une solution à l’amiable,
    en s’engageant à remettre lui-même les chèques à la partie civile le 17 janvier 2016 (…). Malgré le rendez-vous fixé
    au 5 octobre pour le règlement définitif du problème, Me Farouk Ksentini nous a renvoyés au mois de novembre 2015,
    puis décembre, puis au 17 janvier 2016 ! Mais toujours sans résultat.

    En mars dernier, il s’est engagé plus concrètement, toujours devant témoins, en affirmant : ‘‘La vente de l’immeuble
    du commandant Azzedine a été conclue, l’acheteur étant une entreprise publique et au vu de la somme importante
    représentant le prix de l’immeuble, cela a demandé un peu de temps, mais le gouverneur de la Banque d’Algérie
    m’a assuré que l’argent entrera sur le compte client le 6 avril 2016. Le 7 avril, vous aurez vos chèques’’.
    Mais 10 mois après, l’exécution du jugement est toujours bloquée».

    Les signataires du communiqué s’interrogent «sur le mobile des manœuvres dilatoires» de Me Ksentini,
    «qui n’a pas hésité, en sa qualité de président de la CNCPPDH, à impliquer ‘‘de très hautes personnalités de l’Etat’’,
    pour bloquer l’exécution d’une décision de justice».
    Ils qualifient cette situation d’«impasse», avant d’interpeller
    le Président, en tant que premier magistrat du pays, garant de l’indépendance de la justice et du
    bon fonctionnement des institutions.
    Contacté hier, Me Farouk Ksentini nie avoir exercé une quelconque pression
    pour bloquer la procédure, comme le prétend la famille Boubnider. Il persiste à affirmer qu’il a été mandaté pour payer
    les mis en cause avec lesquels il est arrivé à un arrangement à l’amiable pour leur restituer les sommes réclamées.
    «L’argent existe, mais sa remise est une question de temps.
    S’ils ne veulent pas le récupérer à l’amiable,
    ils ont des voies pour forcer le paiement. Moi, je ne suis qu’un avocat qui tente de trouver une solution à l’amiable.
    Je n’ai aucun intérêt dans cette affaire et je ne peux influer sur la justice, pour la bloquer. La volonté de payer a été
    clairement exprimée, il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Il faut attendre que les revenus du bien vendu soient disponibles,
    pour pouvoir payer», a déclaré Me Ksentini.

    Salima Tlemçani
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    Post Six ans de prison requis contre un « guérisseur »

    A la une/Actualité_Oran-Cabinet illégal
    le 09.05.16|18h26

    Six ans de prison requis contre un « guérisseur »

    Le tribunal correctionnel d’Oran a requis une peine de six ans de prison à l’encontre
    d'un détenteur d’un cabinet illégal de "médecine spirituelle" à Oran, pour escroquerie
    et atteinte à la pudeur. L’accusé qui prétendait guérir par des potions des maladies
    psychiques avait ouvert un cabinet à Oran. Le père d’une jeune fille de 20 ans souffrant
    de troubles psychiques, ayant suivi un spot publicitaire sur ce présumé charlatan sur
    une chaine de télévision, l'a contacté et pris rendez-vous.

    Intriguées la jeune fille et sa soeur qui l'a accompagnée ont raconté, les circonstances de
    la consultation leur paraissant indécente, à leur mère qui, à son tour avisa le père qui déposa
    une plainte auprès des services de la 6ème sûreté urbaine.

    Les policiers ont aussitôt ouvert une enquête, qui a dévoilé que le cabinet a été agréé par
    les services du commerce et de la santé sans s'assurer du statut juridique du propriétaire qui
    détenait une carte d’artisan comme herboriste enregistrée auprès de la chambre d’artisanat
    et des métiers.
    Les enquêteurs ont également observé une affluence sur le cabinet de ce présume
    guérisseur. Arrêté en octobre dernier, il a nié, lors d'une première audience en présence de
    la plaignante, les accusations portées contre lui.

    L'enquête a permis de découvrir dans son cabinet plusieurs potions suspectes vendues jusqu'à
    100.000 DA l'une. Le prix de la consultation est fixé 20.000 DA, a-t-on indiqué.


    Le verdict dans cette affaire sera prononcé lundi prochain.
    APS
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    Post 10 ans fermes pour Salah Moulay et 2 de ses complices

    10 ans fermes pour Salah Moulay et 2 de ses complices



    BOUIRA
    le 16-06-2016 10:00

    Le tribunal de Sour El-Ghozlane (sud de Bouira) a condamné, hier,
    l’ex-gérant de la Sarl El Waâd Sadek, Salah Moulay, ainsi que deux
    de ses complices, Laâmara Azzedine et Ziani Farid, à dix ans de
    réclusion criminelle. Le reste des accusés, au nombre de trente,
    a bénéficié de la relaxe, a-t-on constaté sur place. Lors de l’énoncée
    du verdict, la salle d’audience, laquelle était pleine à craquer,
    a carrément exulté de joie. “Justice ! Justice !”, “Salah, j’espère que
    tu vas payer auprès du bon Dieu !”... étaient quelques-unes des
    réactions des victimes de Salah Moulay. Ce dernier ainsi que ses
    acolytes étaient têtes baissées, le visage blême et sont restés de
    marbre lorsque le juge a prononcé le verdict. Pour rappel, le 26 mai
    dernier, le représentant du ministère public avait dans son réquisitoire
    chargé Salah Moulay ainsi que ses deux complices. “Ces personnes
    ont abusé de la confiance de leurs clients. Elles se sont rendues
    coupables d’escroquerie à grande échelle ayant conduit à la ruine de
    milliers de victimes. Ce sont des faits avérés”, avait-il asséné. Les faits
    de cette affaire remontent, faut-il le rappeler, à “l’âge d’or” de la
    Sarl El Waâd Sadek, où son gérant avait réussi à tromper son monde
    et escroquer des milliers de personnes en leur promettant un gain facile
    et des bénéfices record. Des propriétaires terriens, aveuglés par l’“empire”
    illusoire d’El Waâd Sadek, avaient cédé des centaines d’hectares au prix fort,
    mais sans jamais voir la couleur de leur argent.
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    Post Des iPhones importés illégalement interceptés à l’aéroport d’Alger

    Des iPhones importés illégalement interceptés
    à l’aéroport d’Alger

    12 octobre 2016


    Un nouveau scandale secoue l’Aéroport international Houari Boumediene.
    En effet, deux cartons remplis de téléphones mobiles de marque ‘’iPhone’’,
    pesant 100 Kg, ont tenté d’échapper au contrôle des services de police.

    Cette importation ‘’illégale’’ a failli réussir grâce à la complicité de certains
    douaniers et agents de la compagnie aérienne nationale Air Algérie.Néanmoins,
    la vigilance des agents de la sûreté nationale ont avorté cette opération.
    Les
    malfaiteurs ont essayé de faire entrer ces Smartphones, en présentant des
    documents ‘’falsifiés’’, faisant croire aux policiers et douaniers que ces iPhones
    étaient adressés à l’ambassadeur de Liban en Algérie, rapporte « Echourouk news ».
    Cette opération qui remonte à Novembre 2015, n’a pas seulement échoué, mais
    presque un an après les malfaiteurs et leurs complices des services de Douanes et
    d’Air Algérie ont été condamnés.
    Mais cette condamnation servira-t-elle de leçon ? Certainement pas ! puisque des affaires similaires ont été enregistrées auparavant…
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