Page 3 sur 6 PremièrePremière 12345 ... DernièreDernière
Affichage des résultats 21 à 30 sur 52
  1. #21
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    152

    Post Mystérieuse disparition d’une jeune fille à Guelma

    A la une Actualité_Disparition
    le 19.11.15 | 14h51

    Mystérieuse disparition d’une jeune fille à Guelma

    La famille Gribou de Belkheir, commune située à quelques encablures
    à l’est du chef lieu de la wilaya de Guelma, est sous le choc
    depuis la mystérieuse disparition de leur fille Chaïma.

    Gribou Chaïma, disparue depuis le 05 novembre.jpg

    « La disparation de ma fille remonte au jeudi 05 novembre en cours »,
    a déclaré, hier, à El Watan le père de cette jeune fille et d’ajouter
    « Malade, elle est sortie du domicile familiale vers 9 heures du matin
    pour faire une injection à la polyclinique du quartier.
    Mais elle n’a plus donné signe de vie.

    Selon des témoins oculaires, une personne l’a frappé au visage.
    Elle a perdu connaissance ce qui a facilité d’engouffrer ma fille
    dans un véhicule pour une destination inconnue ».
    Et de conclure : « Depuis cette date nous vivons au rythme des fausses alertes moribondes ».

    A titre informatif, la jeune Chaïma lors de son « kidnapping » portait une djellaba marron,
    un foulard noir et une paire de ballerines, tient à signaler le père.

    Pour ce qui est de l’enquête, un avis de recherche a été bien évidemment lancé
    par la sûreté de daïra de Belkheir, mais reste à ce jour infructueux.

    Karim Dadci
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  2. # ADS
    Ich'har Circuit publicitaire
    Date d'inscription
    Toujours
    Messages
    Plusieurs
     
  3. #22
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    152

    Post Tentative d’enlèvement d’une fillette à Bouira

    A la une Actualité_ Tentative d’enlèvement
    24 Novembre 2015|15h02
    Tentative d’enlèvement d’une fillette à Bouira

    Une fillette âgée de 5 ans, solarisée à l’école primaire Ben Badis,
    a été victime, hier lundi, d’une tentative d’enlèvement, à la commune
    de Raouraoua, à 35km à l’ouest du chef-lieu de wilaya de Bouira,
    avons-nous appris de sources locales.

    Les faits se sont produits vers 11h, à proximité du l’école primaire
    quand à la sortie des classes, des individus dont deux femmes,
    à bord d’un véhicule touristique ont tenté d’emmener en force la fille.

    Ses cris ont prévenu des passants qui sont intervenus,
    obligeant les kidnappeurs à abandonner la victime.

    Contacté par Elwatan.com, le père de la victime, qui se trouvait en
    compagnie de sa fille au siège de la brigade de gendarmerie de Raouraoua,
    dans le cadre de l’enquête, a confirmé, que deux femmes figurent parmi
    cette bande de criminels. « C’est grâce à l’intervention de quelques jeunes
    de passage que ces criminels ont relâché ma fille », dira-t-il.

    Les services de sécurité ont enclenché une enquête pour l’arrestation
    des auteurs de cette tentative de kidnapping, fort heureusement déjouée.

    Amar Fedjkhi
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  4. #23
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    152

    Post Les auteurs présumés d’un viol sur une mineure arrêtés à Biskra

    A la une Actualité_Enlèvement
    le 07.12.15 | 18h23

    Les auteurs présumés d’un viol sur une mineure arrêtés à Biskra

    Six (6) individus impliqués dans l’enlèvement et le viol d’une jeune fille
    de moins de 18 ans ont été arrêtés lundi à Biskra,
    ont indiqué les services de la sûreté de wilaya.

    La jeune fille, résidant à Biskra, avait disparu dimanche (hier), conduisant
    sa mère, inquiète du retard de sa fille dont le téléphone était éteint,
    à alerter les services de police qui ont réussi, après enquête, à retrouver
    la victime et à appréhender ses ravisseurs présumés, a-t-on indiqué de même source.

    L’arrestation a été opérée dans une maison abandonnée où les ravisseurs présumés
    avaient emmené de force la jeune fille avant de lui faire subir des sévices sexuels
    confirmés par un médecin légiste, a-t-on indiqué. Cependant que la victime
    a pu regagner son domicile, les six individus ont été présentés devant le tribunal
    de la ville qui a ordonné la mise sous mandat de dépôt de 5 d’entre eux
    et signifié un citation directe à comparaître au 6ème, selon la même source.

    Cette affaire n’a pas manqué de susciter une vive inquiétude à Tolga où
    un écolier de 6 ans répondant au nom de Mouataz Telli, élève de première année
    primaire à l’école Choukri-Mohamed de cette ville située à 36 km à l’ouest de Biskra
    n’a plus donné signe de vie depuis lundi en milieu de journée.

    Le petit Mouataz n’est pas rentré à son domicile après la fin des cours à 10 h 30
    comme il le fait chaque jour, a indiqué à l’APS le père de l’enfant,
    Mabrouk Telli, en proie à une indicible angoisse.

    Cette disparition, signalée aux services de sécurité, a suscité beaucoup d’émotion
    et de solidarité dans les rangs des habitants de la ville de Tolga où
    des centaines de personnes, échaudés par le viol d’une jeune fille de Biskra,
    participent aux recherches avec l’espoir de retrouver
    le petit écolier sain et sauf, a-t-on constaté vers 17 h 30.

    APS
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  5. #24
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    152

    Post Le petit Mouataz retrouvé sain et sauf

    A la une Actualité_Biskra
    le 09.12.15 | 17h21

    Le petit Mouataz retrouvé sain et sauf

    Le petit Mouataz Telli, retrouvé sain et sauf il y a deux jours près de
    la gare routière de Tolga, a été séquestré durant une partie de la journée
    de lundi par un couple dans un appartement, a indiqué mercredi
    le procureur de la République près le tribunal de Tolga (Biskra).

    L’enfant âgé de 6 ans, résidant à Tolga, était séquestré par ce couple qui
    avait exigé de sa famille le paiement d’une rançon de 20 millions de dinars
    contre sa libération, menaçant de le tuer en cas de refus,
    a précisé le procureur de la République dans un point de presse.

    Il a expliqué que le resserrement de l’étau autour du couple au moyen,
    notamment, du blocage des issues de la ville, a contraint les ravisseurs
    à relâcher le petit Mouataz, lundi soir vers 18 heures
    près de la gare routière où il a été retrouvé.

    Exploitant les informations fournies par l’enfant en présence de son tuteur
    légal, en l’occurrence son père, un mandat a été établi pour la perquisition
    du domicile où l’écolier avait été séquestré, permettant l’arrestation,
    "en présence du procureur" des deux auteurs présumés,
    a également indiqué le conférencier.

    Les services de la police judiciaire poursuivent l’enquête pour déterminer
    les tenants et aboutissants de cette affaire, a encore fait savoir le procureur
    de la République, avant de révéler que la femme du couple en question
    est "une proche" de la famille de Mouataz.

    Il a également rappelé que l’article 293 bis du code pénal prévoit que
    quiconque, par violence, fraude ou tout autre moyen, enlève une personne
    mineure pour demander une rançon,
    est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

    APS
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  6. #25
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    152

    Post Assassinat du petit Miloud

    A la une/Actualité_L’affaire n’est pas classée
    le 15.01.16|10h00

    Assassinat du petit Miloud

    Retrouvé sans vie quatre jours après son kidnapping, Miloud, 14 ans,
    avait été séquestré par ses ravisseurs à quelques mètres seulement de chez lui.
    Sa famille dénonce le laisser-aller des autorités, qu’elle accuse
    de ne pas en avoir fait assez pour retrouver son enfant.

    Miloud, 14 ans.jpg

    «Aucune autorité n’a bougé le petit doigt pour retrouver mon frère Miloud, qui pourtant était séquestré à quelques mètres de notre bâtiment, et ce, pendant quatre jours.» Mohamed Chaïbi, 25 ans, les traits marqués et le dos déjà courbé, ne parvient pas à se remettre de l’impensable. Son petit frère, Miloud, kidnappé le 26 décembre dernier,a été violé et tué par ses ravisseurs.
    Son corps sans vie a été retrouvé quatre jours plus tard dans un sac de semoule, jeté au milieu des ordures. Mohamed est toujours sous le choc. «J’étais comme son père. Je l’adorais et je continue à l’aimer malgré son absence. Je n’arrive pas à croire qu’il n’est plus de ce monde.» Ben Badis, à 45 km au sud-ouest de Sidi Bel Abbès, n’est ni une ville ni un village. C’est une daïra de 40 000 habitants où règnent la misère et la saleté au milieu de bâtiments en ruine.
    Du drame, les habitants ne s’en sont toujours pas remis. Youcef, photographe, natif de la région, avoue qu’ici, les gens «se croyaient à l’abri des kidnappings d’enfants». «Il a fallu que cela nous arrive pour que nous puissions réellement prendre conscience de l’horreur du phénomène. Nous avons l’habitude d’entendre ce genre d’histoire arriver ailleurs,
    mais nous n’avions jamais pensé que cela puisse arriver chez nous.»

    Calvaire
    Au quatrième étage d’un immeuble précaire au centre de la daïra, vit la famille de Miloud. Dans leur appartement, seule une banquette et des matelas posés par terre meublent le salon. Trois garçons et une fille. Mohamed raconte son calvaire et dénonce la bureaucratie des administrations locales dont sa famille a été victime. «Je suis allé le soir même signaler la disparition de Miloud à la police qui m’a demandé de revenir le lendemain muni de son extrait de naissance et de sa photo.
    Ce que j’ai fait. Le lendemain, le policier qui m’a accueilli a exigé la présence de mon père, alors que la veille personne ne me l’avait demandé, raconte-t-il. Je suis revenu le soir et là, le policier qui était de garde m’a envoyé balader. J’ai donc décidé d’aller me plaindre, au troisième jour de sa disparition, auprès du procureur de la République qui n’a pas accepté de me recevoir. Je ne vous cache pas que sa réaction m’a mis dans tous mes états, car je ne comprenais pas comment ils pouvaient tous rester insensibles à notre requête.» Pendant ce temps, Miloud vivait l’enfer, enfermé dans une boutique du marché.
    Ce marché ouvert 1998 a, depuis, été occupé par «des gens de l’extérieur», comme on dit ici pour qualifier ceux qui ne sont pas de la région. Les trois frères qui auraient participé à sa séquestration font partie de ces nouveaux arrivants. Mais c’est ce lieu malfamé, dont les habitants réclament la fermeture depuis longtemps, que la police aurait dû fouiller en priorité, si les recherches avaient été lancées à temps. «En trois jours, aucun avis de recherche n’a été lancé.
    Je me suis disputé avec les agents de la cour qui ne voulaient même pas que ma mère rencontre le procureur. Ce dernier a instruit la police de m’interpeller pour ‘‘outrage à corps constitué’’ ! J’ai failli me faire embarquer. Heureusement que les administrateurs de la cour sont intervenus pour leur expliquer notre histoire. Mais aucune recherche n’a été entamée. Résultat : mon frère a été assassiné le lendemain, au quatrième jour de sa détention, alors qu’il se trouvait à seulement quelques mètres de chez nous.»
    Mandat de dépôt
    Mohamed ne sait plus quoi faire pour consoler sa mère. «Miloud a décroché un tableau d’honneur au dernier trimestre de l’année dernière», raconte-t-elle avant de fondre en larmes. Son fils, en 2e année au CEM, était «doux et ne posait de problème à personne». Son père, Cheikh, 57 ans, menuisier au chômage, révèle que Miloud l’aidait beaucoup dans son travail. Les yeux cernés, brisé par l’émotion, il a du mal à trouver ses mots et se sent responsable de la situation financière de sa famille.
    «Il a appris le métier à l’âge de 5 ans.

    Parfois, il s’endormait dans l’atelier et je le portais jusqu’à la maison», témoigne-t-il. Les quatre présumés ravisseurs ont été interpellés par la police et placés sous mandat de dépôt le lendemain. L’un d’eux, M. M., 25 ans, habite à moins de 300 mètres des Chaïbi. Les trois autres, des frères, dont l’âge varie entre 21 et 25 ans, sont originaires, selon les habitants, de Sidi Ali Boussidi, ex-Bermati, une daïra voisine de Ben Badis. Miloud a été retrouvé les mains liées aux pieds, devant un magasin à 200 mètres de chez lui. Il avait disparu après être sorti vers 17h.
    Quand à 20h, il n’est pas rentré, ils ont tout de suite pensé à un kidnapping. Selon les témoignages recueillis sur place, l’objectif des ravisseurs était «de réduire le volume du sac dans lequel ils ont placé leur victime pour éviter d’attirer l’attention des passagers». Un agent de la commune qui était sur place témoigne : «C’est le propriétaire d’un magasin qui a signalé le corps. Il avait aperçu le sac un jour plus tôt mais à aucun moment il n’avait pensé que c’était la dépouille de l’enfant. Je pense que les ravisseurs voulaient tromper les éboueurs et espéraient que ces derniers le récupéreraient et le jetteraient à la décharge publique.»
    Encore plus choquant : selon les habitants de Ben Badis, le jeune M. M. a «participé à toutes les manifestations organisées pendant les quatre jours de séquestration de l’enfant». Il a même «réclamé aux côtés des autres que justice soit rendue à la famille de la victime» et a poussé le culot jusqu’à assister à l’enterrement de Miloud,
    où il a «jeté quelques pelles de terre sur le corps de l’enfant». Selon les mêmes personnes, «M. M. a non seulement violé le petit Miloud, mais a aussi acheté la corde et la couverture avec lesquelles il a étranglé sa victime !»

    Honte
    Cheikh, le père de Miloud, affirme qu’il ne nourrit aucune haine contre la famille du bourreau, dont il connaît le père. «C’est une famille pauvre tout comme la nôtre. Je n’en veux aucunement à sa famille. Son père a d’ailleurs quitté la région. Ses proches m’ont dit qu’il ne pouvait pas supporter la honte», explique-t-il. Dans la famille de Miloud,
    seul Mohamed «bricole» pour subvenir aux besoins de ses parents.

    Les voisins racontent que le jour de la découverte du corps de Miloud, sa famille n’avait même pas l’électricité pour pouvoir accueillir les gens. Mohamed ne pouvait plus payer les dizaines de factures entassées sous son matelas qu’il étend à la cuisine pour dormir. Miloud, lui, occupe le couloir près du salon. «Il a fallu qu’on cotise dans le quartier pour qu’on leur paye la facture. C’est terrible ce que vit cette famille», avoue Habib Addel, militant associatif à Ben Badis.
    Comme pour essayer de comprendre l’incompréhensible, en ville, les discussions reviennent sans cesse sur les raisons qui ont poussé à de telles horreurs. «Le manque d’éducation» ou «le manque de foi et d’application des préceptes de la religion». Mais l’oncle aîné de Miloud, lui, pense que le problème est d’ordre politique. «J’accuse le système politique qui a failli à ses missions, lance-t-il avec colère. Les seize ans du règne de Bouteflika ont mené à la clochardisation et à la division du peuple. Le pouvoir politique aime bien nous voir nous entretuer au moment où il dilapide l’argent du peuple. Nous voulons un Etat
    qui respecte ses citoyens et qui les valorise et non le contraire.»

    Tests ADN
    La famille de Miloud a reçu mercredi dernier les camarades de leur enfant qui ont tenu à lui rendre un dernier hommage. Son père, Cheikh, espère tout simplement que la justice «se montre juste» et que les responsables soient punis. Un agent de la commune et militant qui s’est mobilisé auprès de la famille raconte avoir «perdu son travail» : selon lui, le maire lui aurait reproché le fait qu’il ait dénoncé son «immobilisme» devant les caméras.
    Quant à Mohamed, il demande «l’ouverture d’une enquête par une commission des droits de l’homme indépendante et souhaite que le ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui, fasse de même». Selon la famille, les tests d’ADN effectués ont révélé la présence de trois autres personnes qui auraient participé aussi au viol de l’enfant.

    Meziane Abane
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  7. #26
    Date d'inscription
    septembre 2013
    Messages
    762
    Thanks
    33
    Total, Thanks 1 661 fois
    Pouvoir de réputation
    130

    Enfant égorgé à El Hamiz. Les témoignages des parents et des citoyens

    Mohamed Ben Omar n’a que 7 ans, il jouait devant sa maison en compagnie de ses amis quand un jeune délinquant de sa commune El Hamiz l’a égorgé. Le drame a jeté l’émoi parmi la population de ce quartier populaire d’Alger. Selon le quotidien d’information arabophone El Bilad, l’assassin, un voisin de la victime est un chauffeur de poids lourds qui a tué avec un sang froid inouï le gamin. Les caméras de surveillance, placées à l’entrée de la maison de la victime, ont tout filmé. Le papa de Mohamed, qui a été enterré hier au cimetière d’El Alia, à Alger, a raconté avoir assisté à la scène et vivait l’horreur pendant les toutes dernières minutes de l’existence de son enfant. Encore une fois, ce crime relance le débat sur le manque de protection de l’enfance en Algérie et la nécessité d’adopter de sérieuses mesures de lutte contre la violence et le crime.


    Sujet fusionné.
    Dernière modification par zadhand ; 15/02/2016 à 21h54.
    Atlas HD-200Se - Boot F400 Soft F402_1
    STARSAT SR 2000 HD HYPER V 2.46
    SAMSAT 80 HD
    TV LED 55" SAMSUNG.TV LED 42" SAMSUNG
    PC SAMSUNG 17" i7
    TABLETTE SAMSUNG 10.1"
    SMARTPHONE SAMSUNG GALAXY S5
    SMARTPHONE SAMSUNG GALAXY S20 FE 5G

  8. #27
    Date d'inscription
    mars 2014
    Localisation
    algerie
    Messages
    7 003
    Thanks
    3
    Total, Thanks 13 189 fois
    Pouvoir de réputation
    132

    Re : Enfant égorgé à El Hamiz. Les témoignages des parents et des citoyens

    Citation Envoyé par malouki Voir le message
    Mohamed Ben Omar n’a que 7 ans, il jouait devant sa maison en compagnie de ses amis quand un jeune délinquant de sa commune El Hamiz l’a égorgé. Le drame a jeté l’émoi parmi la population de ce quartier populaire d’Alger. Selon le quotidien d’information arabophone El Bilad, l’assassin, un voisin de la victime est un chauffeur de poids lourds qui a tué avec un sang froid inouï le gamin. Les caméras de surveillance, placées à l’entrée de la maison de la victime, ont tout filmé. Le papa de Mohamed, qui a été enterré hier au cimetière d’El Alia, à Alger, a raconté avoir assisté à la scène et vivait l’horreur pendant les toutes dernières minutes de l’existence de son enfant. Encore une fois, ce crime relance le débat sur le manque de protection de l’enfance en Algérie et la nécessité d’adopter de sérieuses mesures de lutte contre la violence et le crime.
    allah yehfedna el djami3

    Sujet fusionné.
    Dernière modification par zadhand ; 15/02/2016 à 21h56.
    demo geant 2500 hd new__demo T 800 tiger full hd__vu+__dreambox


  9. #28
    Date d'inscription
    septembre 2013
    Messages
    762
    Thanks
    33
    Total, Thanks 1 661 fois
    Pouvoir de réputation
    130

    Re : Disparition_Tentative d’enlèvement,Kidnapping,meurtre....

    Les pirates de retour en ALGERIE*
    Enlèvement de jeunes filles/ Un phénomène alarmant
    Le phénomène de kidnapping des jeunes filles prend une ampleur inquiétante en Algérie. A Boumerdes, une jeune fille a été libérée des mains de ses ravisseurs suite à la mise hors d’état de nuire d’une bande de malfaiteurs composée de quatre individus âgés de 26 à 31 ans.*Selon le chargé de la communication à la sûreté de wilaya, la jeune fille a pu être libérée suite à une plainte déposée par une personne qui s’est dit victime d’une agression à l’arme blanche aux environs de 3 heures du matin, à l’entrée est de la ville de Boumerdes. Cette personne, qui était en compagnie de la jeune fille, a été délestée de son véhicule par le groupe ayant kidnappé son accompagnatrice.La personne en question a affirmé, en outre, avoir reçu un appel téléphonique de la part des ravisseurs, exigeant une rançon de 500.000 DA en contrepartie de la libération de la jeune fille.Contactés par la victime, les éléments de la sûreté de wilaya ont engagé des investigations ayant permis l’identification de l’un des membres du réseau, se faisant appeler El Adrari. Le mis en cause a avoué son déli at a dénoncé ses complices. Suite à quoi, une descente de la police a été effectuée au niveau de leur cache. La jeune fille, particulièrement chanceuses, a été libérée. Les criminels, tous des récidivistes, ont été arrêtés, selon la même source.Ce n’est pas le premier incident du genre. En novembre dernier, à Mohammedia, à Alger, une jeune fille de 19 ans a été retrouvée par les éléments de l’ordre après avoir été kidnappé par trois individus dont deux repris de justice. Les gendarmes ont arrêté les auteurs présumés à bord du véhicule signalé et libéré la victime dans la commune d’Hammam Melouane.À Tlemcen, en décembre dernier, une bande de sept malfaiteurs a enlevé une jeune femme de 28 ans dans une station de bus. Les délinquants ont été neutralisés par les éléments de l’ordre deux heures après le kidnapping grâce à l’appel d’un citoyen.Le phénomène de l’enlèvement devient, à la lumière de ces faits, un fléau face auquel la société civile, les associations et l’État doivent se mobiliser pour trouver une stratégie de lutte efficace.
    Atlas HD-200Se - Boot F400 Soft F402_1
    STARSAT SR 2000 HD HYPER V 2.46
    SAMSAT 80 HD
    TV LED 55" SAMSUNG.TV LED 42" SAMSUNG
    PC SAMSUNG 17" i7
    TABLETTE SAMSUNG 10.1"
    SMARTPHONE SAMSUNG GALAXY S5
    SMARTPHONE SAMSUNG GALAXY S20 FE 5G

  10. #29
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    152

    Post La fillette enlevée à Ouled Mimoun retrouvée

    A la une/Actualité_Enlèvement à Tlemcen
    le 19.03.16 | 16h56


    La fillette enlevée à Ouled Mimoun retrouvée

    La fillette enlevée de son domicile à hai Graba dans la localité d’Ouled Mimoun,
    mercredi passé, par une bande munie d’armes blanches, a été retrouvée, ce vendredi, aux environs de 15 h,
    par les éléments de la PJ d’Ouled Mimoun, à proximité d’une mosquée à Ben Badis, dans la wilaya de Sidi Bel Abbes.
    Suite aux révélations spontanées de la petite fille qui a raconté que c’était sa mère qui l’avait déposée
    auprès de la mosquée, les enquêteurs soupçonne un coup monté de la maman.
    A noter que les personnes interpellées auparavant et suspectées d’être
    à l’origine de cet enlèvement ont été libérées.
    OEB
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

  11. #30
    Date d'inscription
    novembre 2012
    Messages
    12 943
    Thanks
    0
    Total, Thanks 15 310 fois
    Pouvoir de réputation
    152

    Post Badreddine,13 ans, disparu depuis 22 jours

    A LA UNE_Disparition
    le 20.05.16|10h00
    Badreddine,13 ans, disparu depuis 22 jours

    Badreddine, 13 ans, écolier à Aïn Bessam (Bouira),
    n’a pas donné signe de vie depuis 22 jours.
    Sa famille ignore s’il a disparu ou a été kidnappé.



    En Algérie, aucune semaine ne passe sans qu’une disparition ou un enlèvement
    d’enfants ne soient signalés dans l’une des régions du territoire national.
    Le dernier cas est celui de Badreddine Lamouri, 13 ans, un écolier originaire de
    Aïn Bessam, à 20 km à l’est de Bouira, porté disparu depuis le 30 avril dernier.
    En ville, ses portraits sont sur tous les murs et toutes les voitures.
    Son père, Mohamed, 45 ans, rencontré dans la maison des grands-parents au
    centre-ville, reste sceptique, car la famille n’est, pour l’instant, sur aucune piste.
    «Nous ignorons s’il s’agit d’un kidnapping ou d’une disparition», dit amèrement
    Mohamed. Au salon comme sur le balcon de la maison des parents de Mohamed,
    deux banderoles sont brandies, sur lesquelles on peut lire : «Reviens Badreddine.
    Nous t’attendons tous avec impatience.» Les Lamouri, des vendeurs de chaussures,
    ne se quittent plus depuis 22 jours.Ici, Mohamed, ses frères, leurs enfants et
    la grand-mère Fatima, 67 ans, sont quotidiennement réunis pour avoir les dernières
    nouvelles. «Mon fils est un brillant élève. Il a eu 14 de moyenne lors du dernier trimestre.
    Je gagne assez bien ma vie. Il ne manquait de rien», avoue Mohamed, qui ne quitte pas
    des yeux les photos de son enfant Badreddine. Fatima, la grand-mère, témoigne
    «Il a dormi dans ma chambre. Il m’a demandé de le réveiller à 7h15, car il avait cour ce jour-là.»
    Casquette
    C’était un samedi, jour qui coïncidait avec la finale de la coupe d’Algérie, qui a vu le club préféré
    de Badreddine, le MCA, battre le NA Hussein Dey au stade du 5 Juillet, à Alger.
    Vêtu d’un survêtement rouge et noir, Badreddine quitte la maison, comme chaque samedi,
    vers l’institut des langues, à 600 m de chez lui, où il avait un cours d’une heure de
    langue anglaise. Il était 8h. «Son enseignant n’est arrivé qu’une demi-heure plus tard»,
    raconte Mohamed. Pendant ce temps, les élèves l’attendaient sur le quai.
    Selon Mohamed, qui reprend les déclarations d’un des camarades de son fils, Badreddine
    «avait dit à ses camarades qu’il allait s’acheter quelque chose à manger». Le même élève
    avoue l’avoir aperçu, quelques minutes plus tard, sur la place du centre-ville, à 10 mètres de
    l’institut, en compagnie d’un jeune qui avait, selon ses descriptions, «17 ans, portant une
    chaîne, une gourmette et une casquette rouge et bleue». «Les élèves ne le connaissent pas.
    Même les services de la police n’ont pas réussi à dresser son portrait, témoigne le père.
    Le cours a eu lieu, mais sans Badreddine qui a été porté absent.» Un autre témoignage livré
    par le propriétaire d’une pizzeria non loin du magasin de l’oncle de Badreddine brouille
    les pistes construites jusque-là par sa famille. Son père explique que Badreddine avait
    l’habitude de s’y rendre chaque samedi après son cours pour aider son oncle en premier lieu
    et déjeuner avec lui avant d’entamer ses cours de l’après-midi à la maison de jeunes
    (juste en face du magasin de l’oncle).
    Pizzeria
    «Le propriétaire de la pizzeria nous a avoué qu’il l’avait aperçu avec deux autres enfants.
    Son témoignage n’est pas assez fort, car les vêtements de mon fils décrits par la personne
    en question ne correspondent pas à ceux portés ce jour-là par Badreddine», assure Mohamed.
    Puis, un troisième témoignage. Selon la famille, Badreddine aurait joint par téléphone,
    à deux reprises, son cousin Raïd, 15 ans, élève dans le même CEM que Badreddine.
    Dans un premier temps, pour lui demander de le «rejoindre au cours d’anglais», puis, vers
    10h, pour l’inviter à «l’accompagner au stade du 5 Juillet afin d’assister à la finale de
    la coupe d’Algérie». Selon son père, son téléphone était éteint définitivement vers 10h05,
    et Raïd était la dernière personne à avoir parlé avec lui. Il est 18h et aucun signe de Badreddine.
    «Mon fils rentre toujours tôt», assure Mohamed. Ce n’est qu’après cette heure que la famille
    décide de signaler sa disparition auprès de la sûreté de la daïra de Aïn Bessam.
    Depuis, toute la région est mobilisée afin de le retrouver, en vain. «Nous avons cherché à
    Aïn Bessam, dans tous les garages et les magasins fermés, dans les wilayas limitrophes,
    comme M’sila et même à Alger. Ses photos sont placardées partout à Bab El Oued, mais nous
    n’avons toujours aucun signe à ce jour», explique Ali, l’oncle de Badreddine. Le 5 mai, jour de
    la célébration de la victoire du Mouloudia à Alger par les supporters et les joueurs, beaucoup
    d’habitants de Aïn Bessam ont fait le déplacement dans l’espoir de le retrouver dans la capitale, en vain.
    En ville, tout le monde interpelle Mohamed pour s’informer. A l’affût du moindre indice, Mohamed a
    tout le temps le regard fixé sur les portraits de son fils qu’il voit partout. Impossible pour lui d’éviter
    le regard innocent de Badreddine. Pas loin de la gare routière, Mohamed rencontre Bessaâd,
    un retraité du secteur de l’enseignement. En septembre 2003, le fils de cet ancien enseignant
    avait fugué de peur de montrer son bulletin de notes à son père.La famille croyait l’avoir perdu,
    car il n’est revenu que 12 jours plus tard. «Mon fils est allé voir un match de football à Sétif,
    pris des photos à Aïn El Fouara, puis je ne sais pas pourquoi il avait choisi de s’installer à M’sila.
    Nous avons vraiment perdu espoir, car on pensait qu’il était dehors en plein hiver, se souvient
    l’enseignant. Un jour, quelqu’un m’a appelé de M’sila et m’a informé que mon fils se trouvait en toute
    sécurité chez lui. Je l’ai enfin récupéré, et depuis nos deux familles sont devenues proches.
    D’ailleurs, on se rend visite mutuellement.»
    Badro
    A la maison, Fatima dit «perdre ses repères». Pour elle, «l’ambiance n’est plus la même».
    Son père précise que Badreddine «n’a jamais voyagé tout seul». «Comment pouvait-il alors avoir
    l’idée d’aller au stade ?» s’interroge-t-il. «Badreddine ne peut pas penser à la fugue, affirme
    la grand-mère. Il n’avait pas d’argent sur lui.» A la maison, ses frères et sœurs, tous réunis,
    âgés de 1 à 10 ans, crient le nom de «Badro».Dans cette ambiance tendue, la mère de Badreddine
    reste, elle, discrète. Encore sous le choc, elle se contente de dire qu’elle garde encore «l’espoir de
    le voir revenir et animer la maison comme il le faisait avant». «Seul Dieu sait où il est.
    Nous demandons sa clémence et son aide», espère-t-elle. Jointe par téléphone, la chargée de
    communication de la sûreté de wilaya de Bouira confie à El Watan Week-end que «la sûreté de
    la daïra de Aïn Bessam, ainsi que le pôle judiciaire de la wilaya travaillent conjointement afin de
    faire la lumière sur cette affaire». La famille garde espoir : «Cet événement a bouleversé nos vies.
    Nous n’arrivons plus à travailler. Nous sommes perdus.»

    Annaba : Kidnapping et viol d’un enfant vendredi dernier

    Les ravisseurs de l’enfant de 7 ans, kidnappé dans la nuit du vendredi dernier au quartier
    de la Colonne au centre-ville de Annaba, ont été placés sous mandat de dépôt par le juge
    d’instruction, le lendemain de l’incident.Connus pour être des dealers et d’une mauvaise réputation,
    ces derniers, qui ont procédé au kidnapping, au ligotage puis au viol de cet enfant, avant qu’ils ne
    soient arrêtés par les services de la police, seront poursuivis pour «kidnapping, séquestration et
    viol collectif d’un enfant».Il s’agit de 4 frères, dont trois ont été interpellés. Le quatrième,
    lui, reste encore en fuite, selon les services de sécurité de Annaba.

    Meziane Abane
    Atlas-HD-200 B102 B118
    Icone I-5000

    ZsFa

Page 3 sur 6 PremièrePremière 12345 ... DernièreDernière

Règles de messages

  • Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
  • Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
  • Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
  • Vous ne pouvez pas modifier vos messages
  •