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Le RCT aura une nouvelle chance pour décrocher le Brennus
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Plus frais que le Racing (16-6), Toulon disputera une troisième finale de rang du championnat. Le RCT demeure même en course pour le doublé Top 14-H Cup.
Top 14 : Toulon de nouveau aux portes du doublé
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La joie des joueurs de Toulon après leur qualification pour la finale du Top 14 en battant le Racing Metro.
RUGBY - Le RCT s’est qualifié vendredi pour la finale du Top14 en éliminant le Racing Metro (16-6) en demi-finale…
Les saisons passent mais Toulon ne change pas. Pour la troisième fois d’affilée, le RCT a décroché son ticket pour la finale du Top 14 en battant vendredi à Lille le Racing Metro (16-6).
Comme la saison dernière, les Sudistes sont aux portes d’un doublé historique.
Samedi prochain, les hommes de Bernard Laporte iront à Cardiff pour disputer la finale de la H Cup face aux Anglais de Saracens avant d’aller le 31 mai au Stade de France pour tenter de remporter le Bouclier de Brennus face à Castres ou Montpellier qui s’affrontent ce samedi dans l’autre demi-finale.
Mourad Boudjellal reste prudent
Deux perspectives excitantes à condition de bien les négocier comme l’explique Mourad Boudjellal. «Si tu vois la plus belle femme du monde et que tu ne fais que la voir, ça va.
On est juste qualifié pour les finales des deux championnats les plus durs au monde.
Quand tu te qualifies pour une finale, t’es heureux, quand tu la perds, t’es beaucoup plus malheureux», lâche le président du RCT qui veut effacer les fantômes du passé.
Un doublé raté la saison dernière
Car la saison dernière, Toulon avait déjà failli réussir le doublé.
Mais après son sacre européen, le club s’était incliné en finale du Top 14 face à Castres. «On avait cru qu’en rentrant au Stade de France, on allait faire notre numéro et défoncer Castres mais pas du tout.
L’an dernier, on était rassasié avec la Coupe d’Europe mais cette année on meurt de faim», assure Boudjellal.
Le RCT a désormais quinze jours pour se remplir le ventre et écrire la plus belle page de son histoire.
OP 14DEMI-FINALES
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Poussé par Montpellier en prolongation, Castres s'est imposé à l'expérience (22-19), samedi en demi-finales, à Lille. Le CO s'offre ainsi des retrouvailles en finale du Championnat avec Toulon, qu'il avait battu l'an dernier.
Donc Toulon contre Castres en finale !!!! super
Castres écoeure Montpellier
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Castres a une nouvelle fois dominé Montpellier ! Après des succès en barrage en 2012 et 2013, c'est cette fois en demi-finales que les Castrais ont dominé les Héraultais (22-19, a.p.). Un duel qui s'est décidé pendant la prolongation sur un drop de Baï (22-19, a.p.).
Si ce n'est pas une bête noire, ça y ressemble franchement. Deuxième de la saison régulière, Montpellier a buté sur Castres pour la troisième fois de rang en phases finales, samedi, au Stade Pierre-Mauroy de Lille (22-19).
Après deux revers en barrages en 2012 et 2013, c'est cette fois en demi-finales que le MHR a rendu les armes.
Battus deux fois cette saison par le CO, les Héraultais ont cette fois tenu jusqu'à la prolongation, sans pour autant venir à bout d'une équipe qui a trouvé la recette pour les faire déjouer.
Cette équipe castraise offre du coup à Toulon une revanche de la finale de l'an passé, et va désormais tout faire pour tenter de réécrire la belle histoire de 2013, et ainsi signer un incroyable doublé.
Pour s'offrir le droit de rêver, le CO a toutefois dû serrer les dents, et aurait pu amèrement regretter son manque de réalisme.
Globalement dominateurs en première période face à une équipe de Montpellier un poil inhibée, les coéquipiers de Rory Kockott ont laissé filer deux occasions d'essai en bout de ligne, le premier après un ballon mal maîtrisé par Caballero (3e), le deuxième sur un joli sauvetage de Bérard sur Evans (40e).
Baï envoie Castres en finale
Entre-temps, seul Claassen a su faire valoir sa puissance, après une mêlée à 5m (3-13, 31e). Problème, la défense castraise va craquer dans la foulée, après une percée d'Oliver, bien suivi par Ranger (10-13, 33e).
Du coup, les deux équipes sont au coude-à-coude à la pause, et le deuxième acte offre peu d'envolées, mais un duel de buteurs entre Kockott et Trinh-Duc. Le premier frappe deux fois (44e, 66e), le second trois (54e, 57e, 64e), et voilà les deux équipes à égalité pour le dernier quart d'heure.
Quinze dernières minutes tendues, où les deux équipes s'appliquent à ne pas faire de faute.
Du coup, et après une ultime tentative de drop manquée par Talès, le public lillois s'offre 20 minutes de rab.
Une prolongation que le CO va prendre par le bon bout, avec une première occasion chaude manquée par Lamerat (83e), puis un drop venu de nulle part de Baï à la sirène (90e).
Un coup de chausson salvateur, puisque les Castrais ne seront plus rejoints, et ce malgré une pénalité concédée dans leurs 22, que le MHR choisira de jouer en touche (93e). Un choix non-payant, qui envoie directement
Rugby. CO: les supporters l'ont méritée
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«30 heures de bus, en route pour le Bouclier» affichait le petit millier de supporters castrais sur une banderole dans la tribune sud du stade Pierre-Mauroy hier à Lille. «On l'a méritée notre victoire», lâche Carlos, 42 ans, aux anges. Car si les joueurs du Castres olympique ont obtenu leur deuxième finale d'affilée au bout d'un match à rallonge, les supporters l'ont gagnée aussi au bout d'un déplacement sans fin. «C'était horrible, la galère, on a fait nuit blanche, mais on est là», racontait avant la rencontre ce père de famille marqué par le voyage en débarquant avec ses enfants des bus partis à 1h du matin de la sous-préfecture tarnaise. C'est au compte-gouttes, dispersés et peu nombreux que les supporters des deux camps sont arrivés. Mais pas question de sombrer dans l'ambiance tristounette de ce stade où quelques buvettes se battent en duel. «Tu as vu la banda, on dirait qu'elle a pris du Prozac», lâche ce supporter sud-tarnais. «On a l'impression que les gens vont à un concert de musique classique», continue un autre. Alors les Castrais prennent les choses en main et font monter l'ambiance eux-mêmes. À coup de grosses caisses et de «Ici c'est Pierre-Antoine». Et contrairement à la veille, pour la première demi-finale, on commence à percevoir l'esprit des phases finales de rugby. Et cela se sent dans le stade dès le coup d'envoi.
Castres est «happy»
Même s'ils agitent des drapeaux de la même couleur, les supporters montpelliérains et castrais se répondent en chantant à chaque temps fort de leurs équipes respectives dans ce stade baigné de soleil et aux accents du sud. Les olas font plusieurs fois le tour du stade. Mais au coup de sifflet final, c'est bien les Castrais, et uniquement les Castrais, pourtant moins nombreux que les Héraultais, qu'on entendait. «On est en finale» ! Les joueurs s'enlacent sur le terrain, les supporters exultent. «Une petite pensée aux Castrais place Soult», lâche Serge Milhas, l'entraîneur castrais au speaker du micro. Pendant ce temps-là, les joueurs font un tour d'honneur sur le tube de Pharrell Williams. Et oui Castres est «happy» ! Et pour les supporters venus en bus, qui devaient repartir quelques dizaines de minutes après la fin de la rencontre, le retour s'annonce tout aussi long mais moins fatigant avec l'euphorie de la victoire.
JE SUIS HEUREUX DE VOUS ANNONCER SANS GRANDE SURPRISE LOL QUE MA PETITE VILLE DU TARN REMONTE SUR LA CAPITALE POUR DEFENDRE SON TITRE DE CHAMPION DE TOP 14
NOUS AVONS CHAVIRER DE BONHEUR AU COUP DE SIFLET FINAL
VIVE LE CO
DANS 15 JOURS DES LARMES DE JOIES OU DE TRISTESSE COULERONT DE NOS JOUES MAIS AVEC CETTE FIERTE D'ETRE ENCORE LA DE FACON HISTORIQUE
BENAT81
J'ai bien peur pour Castre que Toulon ne laissera pas passer le Brenus deux fois d'affiler. Qui plus est avec la tripotée de joueurs qui arrêtent leur carrière apres ces deux finales.
Que le meilleur gagne. En espérant voir un peu plus de jeu que pendant les demis.
Biz
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Top 14
Finale Top 14, Toulon-Castres - Pendant ce temps-là, le CO récupère
Alors que Toulon prépare sa finale de Coupe d'Europe samedi, à Castres, joueurs et encadrement profitent de leur semaine sans match avant la finale du Top 14 pour récupérer, à peine perturbés par le vent d'Autan qui secoue le Tarn.
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Acclamé au Millennium et auteur d'un match complet, Wilkinson a quitté le rugby européen en grande pompe.
Reste au RCT à offrir un doublé à la légende.
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Wilkinson : « La récompense d'une saison longue »
Capitaine du RC Toulon champion d'Europe pour la deuxième fois consécutive, Jonny Wilkinson est revenu en conférence de presse sur cette victoire, sur le chemin parcouru par le RCT depuis quatre ans alors que lui va mettre un terme à sa carrière en fin de saison.
Jonny Wilkinson, durant cette finale, Toulon a semblé contrôler les Saracens. Qu’en pensez-vous ?
C’est un peu difficile... On n’est jamais en contrôle dans des matchs comme ça et, avant le match, on savait très bien que ça allait être quelque chose de très difficile, de compliqué pour nous face à une équipe comme les Saracens, avec une défense aussi forte qu’intense.
Mais, là, l’apport individuel de chaque joueur a été magnifique. C’était incroyable pour moi de voir les joueurs travailler comme ça, ensemble. Ils ne s’arrêtaient jamais de travailler, de se relever, de donner un peu plus. Pour cette équipe, c’est la récompense d’une saison longue, qui n’a pas toujours été facile, avec des moments compliqués mais aussi des bons moments.
Ce soir (samedi), c’est une expérience qu’on va garder en nous pour un bon moment.
Toulon conserve le titre européen, c’est une première et c’est toujours important. Et ce titre est une confirmation de la réussite de Toulon. Lequel des deux a été le plus difficile à décrocher, celui qui a demandé le plus de travail, de sang, de peine ?
Je crois que le chemin parcouru inclut les deux. Le premier titre, la saison dernière, est une partie du titre de ce soir (samedi). Le premier est peut-être le plus difficile car, il y a quatre ans, on était en quarts de finale même si on était bien placés à la mi-temps. C’est une question de croyance, de confiance. On ne peut pas se dire un matin « On va trouver la confiance », ça vient avec l’expérience, les moments difficiles et les bons moments, les bonnes victoires et les défaites difficiles. On a dû trouver ça et, pendant les trois dernières années, toutes les finales au Stade de France nous ont données confiance en notre capacité d’aller jusqu’au bout
. Et là, heureusement, on a trouvé le petit plus d’énergie pour l’emporter. Et grâce à cela, on a pris conscience qu’on pouvait le faire et pourquoi pas. Ce soir, cela nous a bien servi mais ça ne nous donne aucune énergie supplémentaire pour la finale du Top 14 la semaine prochaine.
Il faut qu’on recommence à zéro et on sait bien que ce qui nous attend est grand.
Cette victoire vous apporte une deuxième H Cup consécutive...
Au début de la saison, avant le premier match de la Coupe d’Europe, c’est possible d’apercevoir l’effort qu’il faut déployer pour sortir des poules.
C’est pour ça que je dis qu’on est parfois chanceux. On est plus légers quand on sort des poules avant les quarts de finale et les demi-finales. C’est un voyage très long, très difficile. Il n’y a jamais des moments de bonheur, il faut le soutien de tout le monde.
Et même si on fait des choses parfaites, on n’est jamais assuré de gagner. C’est très spécial d’être ici, d’en gagner deux.
Mais, avec l’équipe qu’il reste à Toulon, on ne commence pas la saison en confiance mais si on joue bien, on peut sortir de la phase de poules et si on fait ça il faut tout donner en quarts de finale, demi-finale et finale pour se donner la possibilité d’aller au bout.
Mais donner le maximum, ce n’est pas facile.
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Soulevé en héros, la Coupe d'Europe serrée au bout de ses doigts et brandie au public, le sourire sur les lèvres et les étincelles d'un feu d'artifice dans son dos... L'image restera longtemps gravée. Jonny, "Wilko", Sir Jonny a tiré sa révérence sur la scène européenne avec un titre et une standing ovation offerte par le Millennium Stadium de Cardiff. Jonny Wilkinson peut donc ajouter une ligne supplémentaire (encore une!) à son palmarès, celle de champion d'Europe 2013-14 avec Toulon.
Comme un symbole, l'ouvreur anglais du RCT met un terme à une carrière époustouflante par une fin de saison toute aussi
Ce samedi encore, Sir Jonny n'a pas failli à sa réputation, avec 100% de réussite au pied et 13 points à lui seul. Une performance qui ne fait qu'assoir davantage un record personnel, celui du meilleur marqueur de points en H Cup cette saison. Alors que depuis la saison passée, le numéro 10 de légende n'a manqué qu'une seule de ses 26 tentatives au pied lors des phases finales de H Cup (5 matchs).C'était donc les avant-derniers frissons pour Jonny. Le clap de fin se jouera la semaine prochaine, au Stade de France face à Castres. Wilkinson pourrait ajouter le titre de champion de France à un palmarès qui donne déjà le tournis. Nul doute que ses coéquipiers voudront offrir à la légende, une finale en apothéose.
Rugby :La Rochelle retrouve le Top 14
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La Rochelle a remporté ce dimanche la finale de Pro D2 contre Agen (31-22), disputée au stade Chaban-Delmas de Bordeaux. Les Rochelais accompagneront Lyon en Top 14 la saison prochaine, 3 ans après avoir quitté l'élite.
Les Agenais, pourtant favoris de cette rencontre, sont passés à côté de leur début de match. Dominés en mêlée et dans le jeu, ils ont été menés 31-3 en début de seconde période après avoir encaissé trois essais.
Agen a réagi et tenté de renverser la situation. Les joueurs de Mathieu Blin ont à leur tour inscrit trois essais, pour finalement échouer à 9 points de leur adversaire.
Agen, relégué la saison passée, jouera donc au moins un an de plus en deuxième division.
Vainqueurs d’Agen (31-22) dimanche en finale d’accession, les Maritimes évolueront l’an prochain en Top 14.
En essayant de ne pas y faire un simple aller-retour comme en 2010-2011.
Trois ans d’attente. La Rochelle va retrouver le Top 14 après trois saisons dans l’antichambre de l’élite, grâce à sa victoire contre Agen (31-22) dans une finale d'accession de Pro D2 aux deux visages, dimanche au stade Chaban-Delmas de Bordeaux. C’est la deuxième fois que le Stade Rochelais remporte une finale d’accession, après celle de 2010 décrochée face à Lyon (32-26). Ultra dominateurs dimanche pendant 45 minutes (31-3), les Maritimes se sont fait peur par la suite, subissant un sérieux sursaut d'Agenais qui ont échoué à neuf points d'éventuelles prolongations.
Battus deux fois en saison régulière par les hommes de Philippe Sella, les Rochelais n'ont nourri aucun complexe pour ses retrouvailles, sûrs de leur force, et notamment de leur conquête qui avaient concassé la Section Paloise le week-end dernier en demi-finales.
Trois essais des Maritimes
Pendant un peu plus d'une mi-temps, l'équipe du président Vincent Merling a récité un rugby plaisant, dynamique, puissant, inscrivant trois essais à des Agenais sans solution et défaillant comme rarement en touche. Mis sur orbite par un essai de Cler (10e) sur le premier temps fort du match, les hommes de Collazo ont fait preuve d'une belle maîtrise pour corser l'addition avant la pause par un essai de pénalité (21-3, 40e), conséquence d'une grosse domination sur quatre mêlées successives.
Quand Bobo, après une percée de l'insaisissable Gourdon, a franchi une troisième fois la ligne adverse (42e), on était tout proche du naufrage du SUA.
Courage agenais
Pourtant, au courage, pour l'honneur, avec l'apport de leur banc, des forces retrouvées et surtout des ballons à utiliser, les Agenais ont semé le doute chez des Rochelais un peu moins fringants physiquement en marquant trois essais par Lamoulie (49e), Ludik (58e) et Ratu (72e), oubliant au passage quelques coups qui auraient pu rendre cette finale encore plus enlevée.
Les Rochelais retrouvaient leurs esprits dans une fin de match irrespirable dont ils conservaient le gain pour le plus grand bonheur de leurs supporters.
6 victoires il y a trois ans
L’an prochain, les Maritimes tenteront d’éviter de faire un simple aller-retour en Top 14 comme en 2010-2011. A l’époque, ils avaient terminé 13es avec un bilan famélique de 6 victoires, 1 nul pour… 19 défaites. Le Stade Rochelais était alors 13 points derrière Brive, 13e et premier club non-relégué.
Bourgoin-Jallieu avait terminé dernier (2 victoires, 24 défaites), avec 5 points retirés au classement à cause d'un déficit prévisionnel de 1,5 M€.
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Toulon: Laporte ouvre son staff à Wilkinson
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C'est à bras ouverts que Bernard Laporte s'affirme prêt aujourd'hui à accueillir au sein du staff du Rugby Club Toulonnais le futur retraité Jonny Wilkinson.
Le manager des champions d'Europe l'a souligné dans le Daily Telegraph en marge de la préparation de la finale de la H Cup face aux Saracens ce samedi, à Cardiff. "Jonny a exprimé son désir de rejoindre le staff, parce qu'il ne souhaite pas finir de manière trop brutale", déclare l'ancien sélectionneur de l'équipe de France. "C'est une bonne chose pour tout le monde, pour lui comme pour nous, parce qu'il peut nous apporter beaucoup. Il conseillera les joueurs sur leurs qualités techniques, tant sur le jeu à la main que sur le jeu au pied."
Une perspective qui ne serait pas incompatible, dit-on, avec l'autre possibilité de voir Wilkinson rejoindre de manière ponctuelle au cours de la saison la sélection anglaise en préparation pour la prochaine Coupe du monde et dont le sélectionneur, Stuart Lancaster, a également ouvert la porte au champion du monde 2003.
En attendant, sur la Rade, on tient déjà pour acquise cette reconversion au sein du staff toulonnais, à l'image d'un Jean-Charles Orioli. "Bien sûr que c'est une bonne nouvelle. C'est la preuve qu'on devient un grand club et qu'on arrive à garder nos anciens joueurs avec nous.
Jonny a encore beaucoup à apporter, surtout aux jeunes joueurs."
Toulon: Dans un cercle très fermé
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Premier club français de l'histoire du rugby à conserver la Coupe d'Europe, le Rugby Club Toulonnais, vainqueur de la finale de la H Cup samedi, à Cardiff (23-6), un an après la première conquête du trophée face à Clermont, réalise une performance sur laquelle le Stade Toulousain ou Brive avaient échoué par le passé. Le club du président Mourad Boudjellal, qui rejoint les Anglais de Leicester (2001, 2002) et plus près de nous les Irlandais du Leinster (2011, 2012), intègre du même coup le cercle très fermé des formations ayant inscrit leur nom au palmarès de la compétition à plusieurs reprises.
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Les champions d'Europe plusieurs fois titrés 4 titres : Stade Toulousain (1996, 2003, 2005, 2010) 3 titres : Leinster (2009, 2011, 2012) 2 titres : Munster (2006, 2008), Leicester (2001, 2002), Wasps (2004, 2007) et Toulon (2013, 2014