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Robin Van Persie gravement blessé à l'oeil

Le 06/11/2016 à 21:56:00
Mis à jour le 06/11/2016 à 22:08:27

Robin van Persie, l'attaquant de Fenerbahçe, a été grièvement blessé
à l'oeil dimanche en Championnat.

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Auteur de l'ouverture du score lors de la victoire contre
l'Akhisar Belediyespor (3-1), Robin van Persie a dû quitter le terrain
prématurément, grièvement blessé à l'oeil gauche. Touché lors d'un contact
avec un défenseur, l'attaquant néerlandais est sorti sur civière avec un énorme pansement
sur son oeil touché. Certaines rumeurs allaient même jusqu'à affirmer
que l'ancien joueur de MU et d'Arsenal allait même en perdre l'usage.

Steven Gerrard prend sa retraite
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Steven Gerrard a annoncé qu'il prenait sa retraite sportive. Après un dernier passage aux Los Angeles Galaxy, l'ancienne légende de Liverpool raccroche les crampons à 36 ans et 710 matches avec les Reds, avec qui il a remporté la légendaire finale de Ligue des Champions 2005.
L'ancien capitaine de Liverpool et de l'équipe d'Angleterre Steven Gerrard, qui évoluait dernièrement avec le Los Angeles Galaxy, le club de Jelle Van Damme dans le championnat nord-américain (MLS), a annoncé jeudi qu'il prenait sa retraite sportive à l'âge de 36 ans.
"Après de récentes spéculations dans les médias concernant mon avenir, je peux confirmer ma retraite de joueur de football professionnel", écrit Gerrard dans un communiqué.
Gerrard avait déjà annoncé il y a dix jours qu'il ne prolongerait pas son contrat à Los Angeles, où il était arrivé en janvier 2015. Avant de tenter l'aventure américaine, Steven Gerrard, international à 114 reprises avec les 'Three Lions', avait passé toute sa carrière à Liverpool, remportant deux FA Cup, trois Coupes de la Ligue, une Coupe de l'UEFA et une Ligue des champions sous la vareuse liverpuldienne.
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Steven Gerrard, à jamais capitaine de l'armée rouge
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il ne marchera jamais seul. Steven Gerrard, qui vient de prendre sa retraite à 36 ans, restera pour toujours le capitaine légendaire de Liverpool, au dévouement exceptionnel sur le terrain et à son club, avec en point d'orgue la renversante finale de la Ligue des champions 2005. "Après de récentes spéculations dans les médias concernant mon avenir, je peux confirmer ma retraite de joueur de football professionnel", a écrit Gerrard dans un communiqué.
Parti de Liverpool au printemps 2015 pour le Los Angeles Galaxy, il était revenu l'hiver dernier sur les bords de la Mersey afin de s'entraîner avant le début de la nouvelle saison du championnat nord-américain (MLS).
Hormis cet épilogue américain, c'est l'histoire d'une fidélité rare à un club, dans la lignée des Baresi, Maldini, Giggs, Scholes, Puyol, Xavi, Totti: Gerrard a joué 17 saisons chez les Reds (1998-2015), dont il est le seul à figurer à la fois dans le top 5 des joueurs les plus assidus (710 matches) et dans celui des meilleurs buteurs (186 réalisations).
Son histoire se confond avec celle d'un club à part, un mythe du football, entre glorieux palmarès et public illustre, au rythme du fameux "You'll never walk alone" (vous ne marcherez jamais seuls).
Car "Stevie G", né à Whiston, dans la banlieue de Liverpool, est arrivé à huit ans au club, juste après le drame de Hillsborough en 1989 qui avait emporté son cousin de 10 ans, présent parmi les 96 victimes piétinées dans une tribune du stade de Sheffield.
Milieu complet
Gerrard, c'est aussi le plus long capitanat du club, pendant douze ans, un rôle dans lequel il s'est pleinement investi. Luis Suarez, attaquant génial aux multiples frasques disciplinaires lors de son séjour anglais (2011-2014), doit beaucoup à ce capitaine accessible: "Quand il crie, c'est parce que ce qu'il dit est vrai. Il m'a beaucoup aidé dans ma carrière".
A jamais capitaine ? En octobre 2015, soit après son départ, Gerrard envoyait un SMS de félicitations à Mamadou Sakho qui, en l'absence des deux premiers capitaines, enfilait le brassard du club pour la première fois.
Grand capitaine, et grand joueur; milieu de terrain, et milieu tout terrain: parangon du joueur "box to box" (de surface à surface) par sa générosité, ce gendre idéal, aux coupes de cheveux sages, a évolué partout, récupérateur, relayeur, meneur, attaquant de soutien, voire ailier ou latéral. Il marque beaucoup de la tête, de sa frappe lourde, voire en renard, et sait autant éclairer le jeu que hacher celui de l'adversaire.
"C'est l'un des rares joueurs qui a une superbe technique, qui est doué avec la balle mais qui y mélange des qualités de combat", l'a loué Zinédine Zidane, un grand admirateur. "Steven Gerrard est certainement mon plus cher ennemi, celui qui a fait de moi un meilleur entraîneur", lui a même rendu hommage Jose Mourinho, qui a plusieurs fois échoué à l'enrôler à Chelsea.
Le come-back contre Milan
Et si l'emblématique N.8 est entré dans les coeurs de l'armée rouge, c'est moins pour son triplé contre Everton (3-0), dans le derby de la Mersey en 2012, que pour l'incroyable soirée d'Istanbul, ce 25 mai 2005. Il restera comme le grand homme d'une des finales les plus mémorables de la Ligue des champions.
Liverpool est mené 3-0 à la mi-temps par l'AC Milan. Gerrard force le "come-back" en réduisant le score à 3-1 de la tête puis en obtenant le penalty qui permet aux Reds d'égaliser à 3-3, avant de l'emporter aux tirs au but. "La meilleure soirée de ma vie", dira le Ballon de Bronze 2005, qui permet à son club de renouer avec la compétition reine en remportant sa cinquième C1 (après 1977, 1978, 1981, 1984).
Gerrard avait déjà participé à la folle année 2001, lorsque Liverpool avait réalisé un rare quintuplé en raflant toutes les coupes possibles: Coupe de la Ligue anglaise, Coupe d'Angleterre, Coupe de l'UEFA, Supercoupe d'Europe et Community Shield. Des coupes beaucoup, mais le championnat, jamais.
En 2014, le titre se profilait pour la première fois depuis 1990 quand, de manière symbolique, sa glissade contre Chelsea à trois journées de la fin offrait un but au rival londonien et provoquait la perte irrémédiable du titre.
Autre gros point noir: une carrière internationale à 114 sélections (21 buts) et six phases finales (3 Mondiaux, 3 Euros) mais très frustrante: sans la moindre demi-finale. Lors de ses adieux à Anfield Road en mai 2015, il s'était dit "dévasté à l'idée de ne plus jouer devant ces supporters". Il en est désormais le capitaine éternel.
https://youtu.be/IDN0_AntXfc

Les grands débuts en pro
C’est en novembre 1998 que Steven Gerrard effectue ses grands débuts avec Liverpool. Remplaçant, l’ancien capitaine des Reds a fini par entrer en jeu contre Blackburn dans un match où Liverpool a fini par s’imposer 2-0.
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Son premier but avec les Reds
Il a fallu attendre un an pour voir Steven Gerrard marquer son premier but avec Liverpool. Le 5 décembre 1999, l’ancien capitaine des Reds marquera dans la victoire des siens contre Sheffield Wednesday (4-1) à Anfied.
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Sa première sélection
C’est le 31 mai 2000 que Steven Gerrard fête sa première sélection avec l’Angleterre. A Wembley, Gerrard était titulaire dans un match contre l’Ukraine, remporté 2-0. Des performances qui lui ont permis d’être appelé dans le groupe anglais pour l’Euro 2000. Il a marqué son premier but en 2001 contre l’Allemagne (victoire 5-1).
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Un match fou à Dortmund
2001 : Quatre ans avec la finale historique en Ligue des champions, Liverpool s’en offrait une première contre Alavès en Coupe UEFA. Titulaire, Steven Gerrard a permis de doubler la mise pour les Reds dans un match complètement fou. Après prolongation, Liverpool s’est imposé (5-4) pour offrir à Gerrard son premier titre en carrière.
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Le miracle d’Istanbul
2005 : Tout les amateurs de football connaissent ce match. A Istanbul, Liverpool affronte le Milan AC en finale de la Ligue des champions. Un choc qui tourne court puisqu’à la mi-temps les Milanais menaient 3-0. Mais les Reds ont réalisé l’un des plus grands exploits du football moderne en remontant le score à 3-3. Steven Gerrard et ses coéquipiers sont même allés jusqu’au bout en remportant le titre aux tirs au but (3-3, 3-2). Buteur dans ce match, le capitaine des Reds n’aura pas eu la possibilité de tirer son tir au but. A son plus grand plaisir.
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La glissade qui coûte le titre
2014 : Cette image restera dans l’histoire. Alors que Liverpool est proche de remportait un premier titre depuis 1990, les Reds vont être surpris par Chelsea (2-0). Un moment cruel pour Gerrard qui est fautif sur le premier but. Sur une passe de Mamadou Sakho, le capitaine des Reds a subitement glissé ce qui a permis à Demba Ba d’aller ouvrir le score. Un mois plus tard, Manchester City est sacré champion d’Angleterre tandis que Liverpool doit se contenter de la deuxième place.
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La dernière à Anfield
Alors que le titre était hors d’atteinte, Steven Gerrard a fêté sa dernière à Anfield le 16 mai 2015 contre Crystal Palace. Une défaite (1-3) a gâché la fête mais l’essentiel était ailleurs. Tout le stade d’Anfield a rendu un dernier hommage vibrant à son capitaine historique. Une dernière que Gerrard n’est pas prêt d’oublier.
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Son dernier match avec Liverpool
C’est à Stoke que Steven Gerrard a joué son dernier match avec Liverpool, le 24 mai 2015. Une dernière gâchée par une déculottée qu’ont reçu les Reds. Face à une équipe de Stoke galvanisée, Liverpool s’est incliné (6-1) et si le capitaine emblématique a marqué, cela reste une sortie loin d’être digne de son standing…

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L’eldorado américain
Adieu Liverpool, bonjour Los Angeles. Après 17 ans passés chez les Reds, Steven Gerrard quitte son pays natal et rejoint les Etats-Unis chez les Los Angeles Galaxy. S’il n’a pas remporté le moindre titre, Gerrard a joué 39 rencontres pour 5 buts inscrits.
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La fin d’une carrière longue de 18 ans
Après 18 ans de carrière, Steven Gerrard a mis un terme à sa carrière. L’ancien Red restera l’une légendes du football anglais avec 710 matches (186 buts) avec Liverpool et 114 sélections (21 buts) avec l’Angleterre.
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Week-end de vérité avant la trêve !

Samedi 10 Decembre 2016

Tranquille en Espagne, Angleterre et Allemagne
derbies en Italie et Portugal, choc en France

Week-end plutôt tranquille en Espagne, en Allemagne
et en Angleterre, derbies en Italie et au Portugal et choc en France.
Les six ligues majeures du football européen entament la seconde
semaine du mois sous le signe de la confirmation.
D’abord, en Liga, où le Real Madrid et le Barça sauront trouver les
ressources nécessaires pour affronter et s’imposer devant respectivement
le Deportivo La Corogne et Osasuna. Idem, en Premier League anglaise
où le trio de tête Chelsea-Arsenal-Liverpool se frottera à des adversaires
à sa convenance (West Bromwich, Stoke et West Ham) alors que City se
rend chez le champion sortant Leicester, en mauvaise posture depuis le
début de saison. En Bundesliga, le leader-surprise Leipzig aura la tâche
facile devant Ingolstadt au moment où le choc Schalke-Leverkusen domine
les autres confrontations de cette 14e journée. En Italie, c’est le
derby Torino-Juventus qui tient en haleine les puristes, aussi rivés sur
le choc des poursuivants AS Rome-Milan, alors qu’au Portugal, Benfica-Sporting Lisbonne n’est absolument pas à manquer. Le bouquet de ce week-end européen est constitué par le duel PSG-OGC Nice, en Ligue 1 française, à savoir le puissant champion sortant face à l’actuel (surprenant) leader du championnat. Un choc qui pourrait profiter à l’AS Monaco qui se
déplace à Bordeaux.


M. B.

Espagne (15e journée)
Zidane peut boucler la boucle
Pour son dernier match du Championnat d'Espagne en 2016, Zinédine Zidane
va revivre ses grands débuts l'entraîneur français du Real Madrid
défie aujourd’hui La Corogne, adversaire de sa première en janvier, avec
l'ambition de porter à 35 rencontres d'affilée, le record d'invincibilité du club.
Un record dans les valises du Real ?
Cette 15e journée marque l'ultime sortie en Liga de l'année civile pour
le Real, qui va s'envoler pour le Mondial des clubs au Japon (8-18
décembre) et disputera ultérieurement la 16e journée prévue le week-end
du 18 décembre. A l'heure de faire les valises, le bilan est faste pour
Zidane : victorieux de la Ligue des champions en mai, puis de la
Supercoupe d'Europe en août, le jeune technicien (44 ans) enchaîne les
succès. Son équipe est solidement en tête de la Liga (1er, 34 pts), tout
en étant qualifiée pour les huitièmes de C1 et de la Coupe du Roi. Et
elle vient d'égaler mercredi contre Dortmund (2-2) la meilleure série
d'invincibilité de l'histoire du club avec un 34e match consécutif sans
défaite, soit aussi bien que l'entraîneur néerlandais Leo Beenhakker
(1988-1989). «Ce n'est pas important pour moi de marquer l'histoire», a
néanmoins souligné Zidane mercredi. «C'est important de continuer à
travailler et à faire ce que l'on fait, de continuer notre bonne
période.» Lors de ses grands débuts sur le banc merengue, le 9 janvier
dernier, Zidane avait commencé par une victoire 5-0 face aux Galiciens.
Il espère sans doute récidiver samedi à Santiago-Bernabeu même si les
révélations du «Football Leaks» cette semaine peuvent avoir troublé
l'atmosphère. Pour le Real, le contexte pourrait ainsi ne pas être
anodin alors que s'égrènent depuis lundi les noms de plusieurs joueurs
et entraîneurs du passé (Jose Mourinho, Xabi Alonso, Angel Di Maria,
Ricardo Carvalho) et du présent (Luka Modric, Fabio Coentrao, Pepe)
visés par le scandale, dont celui de sa plus grande star Cristiano
Ronaldo, accusé d'avoir dissimulé au fisc 150 M d’euros.
Le Barça voit plus loin
Pour le FC Barcelone (2e, 28 pts), le match nul 1-1 concédé in
extremis samedi dernier dans le clasico face au Real n'a pas permis de
réduire l'écart avec le leader madrilène, qui est toujours de 6 points.
Mais le calendrier tronqué de l'équipe merengue peut permettre à son
rival blaugrana de finir l'année à trois longueurs. Cela implique de
s'imposer aujourd’hui à Pampelune contre la lanterne rouge Osasuna, puis
le 18 décembre au Camp Nou dans le derby contre l'Espanyol. Même si le
Barça reste sur trois nuls consécutifs en Liga, la large victoire 4-0
mardi dans un match sans enjeu contre Mönchengladbach en C1 a
redonné le sourire. Reste à confirmer ce sursaut cet après-midi, et sans Neymar, suspendu. Par bonheur pour l'entraîneur Luis Enrique, le capitaine et maître à jouer Andres Iniesta est revenu de blessure pour redonner du
souffle au jeu catalan. «Le plus important est que l'équipe continue à
croire en ce qu'elle fait», a souligné Iniesta. «Nous serons en lice
pour tous les titres en fin de saison, j'en suis convaincu.» Au passage,
la star Lionel Messi et son compère Luis Suarez, neuf buts chacun en
Liga, peuvent viser ce week-end la place de «pichichi», occupée par
Cristiano Ronaldo (10 buts).
Rude voyage pour l'Atletico
Légèrement décroché de la course au titre, l'Atletico Madrid (4e, 25
pts) aborde un choc décisif pour les places européennes: l'équipe de
Diego Simeone se déplace lundi à Villarreal (5e, 23 pts) dans un match
qualifié de «finale» par le milieu madrilène Koke. Alors que Séville
(3e, 27 pts) affronte dimanche le Celta Vigo pour se maintenir sur le
podium, l'Atletico ne peut plus se permettre d'abandonner des points en
route. Antoine Griezmann parviendra-t-il enfin à stopper sa mauvaise
série ? L'attaquant français, six buts inscrits en Liga, reste sur sept
journées d'affilée sans marquer... Lundi, à l'heure d'affronter
Villarreal, «Grizi» sera en tout cas fixé pour le Ballon d'Or 2016
puisque le podium du prestigieux trophée sera dévoilé au même moment.

Round-up européen

Espagne (15e journée)
Joué hier
Malaga-Grenade
Samedi 10 décembre
Osasuna Pampelune-FC Barcelone (13h)
Real Sociedad-Valence (16h15)
Las Palmas-Leganes (18h30)
Real Madrid-Deportivo La Corogne (20h45)
Dimanche 11 décembre
Eibar-Alaves (12h)
Celta Vigo-Séville FC (16h15)
Espanyol Barcelone-Sporting Gijon (18h30)
Betis Séville-Athletic Bilbao (20h45)
Lundi 12 décembre (20h45)
Villarreal-Atletico Madrid

Angleterre (15e journée)
Samedi 10 décembre (16h)
Watford-Everton (13h30)
Arsenal-Stoke
Burnley-Bournemouth
Hull-Crystal Palace
Swansea-Sunderland
Leicester-Manchester City (18h30)
Dimanche 11 décembre
Chelsea-West Bromwich (13h)
Manchester United-Tottenham (15h15)
Southampton-Middlesbrough (15h15)
Liverpool-West Ham (17h30)

Italie (16e journée)
Samedi 10 décembre
Crotone-Pescara (18h)
Sampdoria Gênes-Lazio Rome (20h45)
Dimanche 11 décembre (15h)
Cagliari-Naples (12h30)
Atalanta Bergame-Udinese
Bologne-Empoli
Palerme-Chievo Vérone
Torino-Juventus Turin
Inter Milan-Genoa (20h45)
Lundi 12 décembre
Fiorentina-Sassuolo (19h)
AS Rome-AC Milan (21h)

Allemagne (14e journée)
Joué hier
Francfort-Hoffenheim
Samedi 10 décembre (15h30)
Hambourg-Augsbourg
Bayern-Wolfsburg
Cologne-Dortmund
Ingolstadt-Leipzig
Fribourg-Darmstadt
Berlin-Brême (18h30)
Dimanche 11 décembre
Mönchengladbach-Mayence (15h30)
Schalke-Leverkusen (17h30)

France (17e journée)
Joué hier
Dijon-Marseille
Samedi 10 décembre (20h)
Bordeaux-Monaco (17h)
Lille-Montpellier
Toulouse-Lorient
Nancy-Angers
Bastia-Metz
Nantes-Caen
Dimanche 11 décembre
Lyon-Rennes (15h)
Saint-Etienne-Guingamp (17h)
Paris SG-Nice (20h45)

Portugal (13e journée)
Joué hier
Vitoria Setubal-Estoril
Samedi 10 décembre
Belenenses-Maritimo (12h45)
Chaves-Moreirense (19h15)
Boavista-Vitoria Guimaraes (21h30)
Dimanche 11 décembre
Feirense-FC Porto (17h)
Nacional Madeira-Tondela (17h)
Benfica-Sporting Lisbonne (19h)
Sporting Braga-Paços Ferreira (21h15)
Lundi 12 décembre (21h)
Arouca-Rio Ave

Mercato d’hiver-Europe Ajustements et temps calme au programme

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Samedi 24 Décembre 2016

Les clubs anglais pourraient procéder à quelques ajustements pendant le mercato, notamment en défense, alors que dans les autres grands championnats, le marché des transferts s'annonce calme cet hiver, sauf pour l'international allemand Julian Draxler, pressenti au Paris SG.

Allemagne : L'attaquant américain Julian Green, 21 ans, a lui déjà finalisé son transfert. Formé au Bayern, il a signé jusqu'en 2019 avec Stuttgart, actuel troisième de la deuxième division allemande. Le club munichois devrait pour sa part se montrer plutôt sage, tout comme le Borussia Dortmund, très actif cet été. Selon le magazine allemand Kicker, le Hertha Berlin, actuel troisième de la Bundesliga, songerait pour sa part à se renforcer en faisant venir le Japonais Hiroshi Kiyotake, 27 ans. Sous contrat avec Séville, il n'a quasiment pas joué cette saison.

Angleterre : Comment améliorer une équipe qui reste sur onze victoires ? Chelsea pourrait chercher à se renforcer en défense, même si la piste Bonucci est maintenant close après sa prolongation à la Juventus. Antonio Conte envisage aussi des doublures pour Douglas Costa et NGolo Kanté. A Manchester United, José Mourinho est en quête de défenseurs. Avec l'Ivoirien Eric Bailly à la CAN et un Darmian peu convaincant à droite, le Portugais chercherait à recruter à Benfica le Suédois Victor Lindelof et le latéral portugais Nelson Semedo. Bastian Schweinsteiger devrait enfin partir, tandis que Marouane Fellaini et Memphis Depay ne seront pas retenus en cas d'offres sérieuses. La défense de Liverpool va mal, mais Jürgen Klopp devrait surtout chercher un remplaçant au milieu offensif sénégalais Sadio Mané, en partance pour la CAN-2017. Les yeux se tournent vers Gabigol (Inter) même si le technicien allemand pourrait aussi miser sur le retour en forme de Sturridge. Sakho, en conflit avec le club, va quitter les «Reds».

Espagne : La trêve ne devrait pas être trop agitée en Espagne. Galvanisé par la trajectoire victorieuse de son entraîneur Zinédine Zidane, le Real Madrid ne semble pas prévoir de renfort cet hiver, mais pourrait laisser partir le Colombien James Rodriguez. En outre, le Real a été interdit de recrutement cet hiver en raison d'infractions dans les transferts de mineurs, mais une récente décision du TAS l'a autorisé à faire son marché à partir de l'été prochain, au lieu d'août 2018. L'Atletico, de son côté, a également subi une sanction d'interdiction de recrutement de la part de la Fifa. Mais comme le club, qui a aussi fait appel devant le TAS, n'a pas demandé de mesure suspensive, il a commencé à purger la peine et ne pourra pas recruter cet hiver. Enfin, le Barça ne devrait modifier son effectif qu'à la marge. La presse catalane évoque la nécessité d'un renfort au poste de latéral droit pour épauler Sergi Roberto, ancien milieu reconverti. On évoque notamment le profil du vétéran croate Darijo Srna (34 ans, Shakhtar Donetsk) ou du jeune Portugais Joao Cancelo (22 ans, Valence).

France : Le Paris SG a frappé le premier coup du début du mercato, qui débute en France le 1er janvier. Selon plusieurs médias, il est en effet sur le point d'attirer le champion du monde allemand Julian Draxler, qui étalait son mal-être à Wolfsburg. Le club de la capitale devrait encore s'activer pour faire oublier un recrutement raté cet hiver (Jesé est transparent, Hatem Ben Arfa peu performant, Grzegorz Krychowiak ne répond pas aux attentes), et recherche notamment une doublure à Edinson Cavani en pointe. Pour le champion d'automne Nice et son dauphin Monaco, le premier objectif sera de ne pas s'affaiblir jusqu'à la clôture du mercato, le 31 janvier à 23h59. Les performances impressionnantes de Tiémoué Bakayoko en sentinelle à Monaco auraient notamment attiré l'attention de Chelsea et de l'entraîneur de Manchester United José Mourinho. Côté niçois, la star italienne Mario Balotelli aurait des contacts en Angleterre. Enfin, l'Olympique de Marseille va connaître son premier mercato depuis son rachat par l'homme d'affaires américain Frank McCourt. Avec quelles ambitions ? Il a d'ores et déjà prévenu que «c'est un peu plus difficile d'avoir exactement le type de joueurs qu'on veut au club» lors du mercato d'hiver, et les récents bons résultats olympiens rendent moins pressant le besoin de se renforcer.

Italie : Il ne faut pas attendre énormément du mercato en Italie, où la plupart des clubs ne roulent pas sur l'or. La Juventus Turin, leader, ne cherche qu'un milieu de terrain, le départ de Paul Pogba n'ayant pas réellement été compensé par l'arrivée de Miralem Pjanic. Le nom du Belge Axel Witsel (Zenit) est celui qui revient le plus souvent. Avec le départ à la CAN de l'Egyptien Mohamed Salah, l'AS Rome pourrait prendre un attaquant. Le Français de Sassuolo Grégoire Defrel est une piste, comme l'Argentin de l'Atalanta Bergame «Papu» Gomez. Du côté de Naples, de la Lazio Rome et de l'AC Milan, le mercato devrait être très tranquille. L'entraîneur napolitain Maurizio Sarri a encore déclaré la semaine dernière que «rien ne (l)'ennuie plus dans le football que le mercato». L'Inter Milan et ses riches propriétaires chinois inspirent en revanche les spécialistes du mercato. Mais le club est loin au classement, déjà pénalisé par les sanctions de l'UEFA liées au fair-play financier et l'entraîneur Stefano Pioli a déclaré qu'il avait trop de joueurs. Les départs, définitifs ou en prêt, de Kondogbia, Jovetic, Gabigol ou Banega, sont en revanche possibles voire probables

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Guardiola "Manchester City ne peut pas être comparé
avec Liverpool et Manchester United"

30 déc. 2016 21:19:51

Pep Guardiola a refusé de comparer Manchester City
à des clubs historiques comme Liverpool et Manchester United.

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Troisième de Premier League avec trente neuf points en dix-huit
journées, Manchester City compte sept points de retard sur Chelsea
, leader et un seul sur Liverpool avant d'affronter les Reds ce samedi.
Si les Sky Blues sont devenus l'un des clubs majeurs en Angleterre
ces dernières saisons, ils ne font pas figure de club historique comme
l'a rappelé Pep Guardiola en conférence de presse. "Bien sûr,
Manchester City ne peut pas être comparé à ce que Liverpool et
Manchester United ont fait au cours des 30 ou 40 dernières années.
Il faut aller étape par étape. C'est la meilleure façon d'aller mieux. Ce qui
se passe dans le passé reste dans le passé. Manchester City est un club historique,
mais un nouveau club en termes de grands objectifs", a confié Pep Guardiola.

Pièce jointe 27118

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PSG TRANSFERTS : MORATA DANS LE VISEUR DE PARIS ?

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Le Paris Saint-Germain cherche activement un attaquant pour la saison à venir. Suite au départ d'Ibrahimovic, Cavani va récupérer la place d'attaquant de pointe mais Unai Emery aimerait, en plus de l'arrivée de Ben Arfa, recruter un véritable attaquant. Si l'option Jesé semble toujours d'actualité, un autre Merengue lui plaît beaucoup: Alvaro Morata !Selon Sport, le PSG se serait directement renseigné auprès du Real Madrid afin de connaître sa situation exacte et éventuellement entamer des discussions à son sujet. Pour l'heure Zidane a d'ores et déjà annoncé vouloir le conserver cette saison mais il semblerait que son président, Florentino Perez, soit moins emballé par cette perspective... D'où l'intérêt du PSG qui devra néanmoins casser sa tirelire pour un joueur récupéré 30 millions par les Madrilènes.D’après les dernières informations du Corriere dello Sport, le PSG ciblerait l’attaquant du Real Madrid, Alvaro Morata.C’est la rumeur du jour du côté de la presse transalpine. L’attaquant espagnol du Real Madrid, Alvaro Morata, intéresserait le Paris Saint-Germain. À la recherche d’un attaquant central pour épauler Edinson Cavani, le PSG aurait jeté son dévolu sur l’international espagnol. Cantonné au poste de doublure de Karim Benzema, l’avant-centre madrilène commencerait à avoir des envies d’ailleurs. Malgré tous les espoirs portés sur l’attaquant espagnol formé à la « Fabrica » du Real Madrid, Alvaro Morata n’a disputé que 12 rencontres de Liga (dont 6 entrées en jeu) et commencerait à s’agacer de son rôle de remplaçant.Selon les informations du Corriere dello Sport, l’Espagnol ne serait pas contre un départ dès cet hiver. Pas sûr en revanche que le Real Madrid laisse filer sa pépite, sachant que le club merengue est interdit de recrutement pendant cette période hivernale. En plus de ça, si Alvaro Morata rejoint le club de la capitale cet hiver, il ne pourra pas disputer la Ligue des Champions avec le PSG. À moins que la direction parisienne ne vise en réalité un transfert pour la période estivale. Mais l’Espagnol est-il réellement intéressé par PSG ou l’avant-centre madrilène veut-il simplement mettre la pression sur son entraîneur et sa direction ? On devrait en savoir davantage dans les semaines à venir.

Louis Van Gaal prend sa retraite

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Le mythique entraîneur Louis van Gaal, 65 ans, a annoncé sa retraite pour "raisons familiales", mardi au quotidien néerlandais De Telegraaf, après plus de trente ans passés comme technicien dans le milieu du football.


Depuis son licenciement précipité de Manchester United l'année dernière, l'homme "a reçu des dizaines d'offres lucratives, dont un contrat de trois ans pour 50 millions d'euros, vraisemblablement en Chine, d'après le journal. "Je pouvais y aller aussi, mais je suis toujours là", a remarqué le technicien néerlandais réputé dur et intransigeant. "Tant de choses se sont passées dans ma famille et il est temps d'y faire face." Il faisait allusion au drame familial qu'il a connu après le décès inattendu de l'époux de l'une de ses filles.
Bien qu'il ait conduit les Reds Devils l'année dernière à leur douzième victoire en Coupe d'Angleterre, la première pour le club depuis la retraite de Sir Alex Ferguson en 2013, Van Gaal a été démis de ses fonctions par Manchester United en mai, une année avant la fin de son contrat. Il disait alors envisager de prendre un autre poste de manager. "J'ai assuré à l'époque que j'arrêterais, j'ai ensuite intelligemment changé en congé sabbatique, mais maintenant, je ne crois pas que je retournerai au métier d'entraîneur a-t-il précisé au Telegraaf, alors qu'il recevait lundi soir à La Haye un prix saluant l'ensemble de sa carrière.
MU ÉTAIT UN CHALLENGE

"Je voulais déjà arrêter après la Coupe du monde" au Brésil en 2014, où les Pays-Bas, qu'il dirigeait, avaient terminé troisièmes derrière l'Argentine et l'Allemagne. "Mais tout à coup, l'Angleterre s'est manifestée. Et c'était quand même un pays magnifique qui n'était pas encore sur mon CV", a-t-il ajouté.
Remporter la Cup avec "MU" était "la plus grande performance" de sa carrière, a assuré celui au long passé de technicien avec l'Ajax Amsterdam, le FC Barcelone et le Bayern Munich notamment. Et comme pour justifier son choix de tirer un trait définitivement sur sa carrière, Louis Van Gaal estime avoir fait le tour de ce qui est possible. "...Regardez tous les pays où j'ai travaillé, regardez le niveau des clubs que j'ai coaché, il n'y a plus rien qui reste à faire...".

Les joueurs les plus chers au monde: Mahrez dans le Top 20 avec 67,8 millions d'euros

L'international algérien de Leicester Ryad Mahrez occupe la 17e place au classement des joueurs les plus chers au monde publié lundi par l'Observatoire du football "CIES" dans sa lettre hebdomadaire et dominé par le Brésilien Neymar devant son coéquipier Messi.
La valeur de transfert du meilleur joueur africain 2016 est estimée à l'heure actuelle à 67,8 millions euros, selon la même source.
Mahrez (25 ans) dont le contrat avec Leicester court jusqu'en 2020 avait largement contribué à la consécration historique des Foxes la saison dernière.
Le joueur algérien devance des joueurs à l'image du Mexicain Alexis Sanchez (Arsenal), l'Allemand Toni Kroos (Real Madrid), le Polonais Robert Lewandowski (Bayern Munich) ou encore le Gabonais Pierre -Emerick Aubameyang (30e).
Le joueur du big-5 dont la valeur de transfert est à l'heure actuelle la plus élevée est Neymar: 246.8 M €. L'attaquant de Barcelone devance nettement son co-équipier Lionel Messi (170.5 M €, le transfuge de Manchester United Paul Pogba (155.3 M €), ainsi qu'un autre Français: Antoine Griezmann (150.4 M €).
Dix joueurs ont une valeur estimée qui dépasse les 100 M €.
Les montants record par poste ont été mesurés pour Jan Oblak parmi les gardiens (59.8 M €), Raphaël Varane parmi les défenseurs centraux (64 M €), Héctor Bellerin parmi les latéraux (70.3 M €), Paul Pogba parmi les milieux centraux (155.3 M €), Dele Alli parmi les milieux offensifs (110.5 M €) et Neymar parmi les attaquants (246.8 M €).
Les données présentées dans la Lettre hebdomadaire n° 172 ont été calculées à travers l'algorithme exclusivement mis en place par l'équipe de recherche de l'Observatoire du football CIES.
Depuis 2012, l'Observatoire du football CIES a développé une approche scientifique pour estimer la valeur de transfert des joueurs de football professionnels. Le modèle statistique par le biais duquel les justes prix sont calculés comprend de nombreuses variables sur les performances (minutes, buts, etc.) et caractéristiques (âge, contrat, etc.) des joueurs, ainsi que des indicateurs tant sur les clubs d'emploi que sur les potentiels recruteurs.