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ironman
10/02/2017, 20h49
Chrome sera désormais aussi rapide que Firefox et Microsoft Edge.

Chrome va bientôt charger les pages web bien plus rapidement, grâce à un nouveau mode de gestion des feuilles de style CSS.



Chrome améliore petit à petit sa vitesse de chargement des pages. Récemment, les équipes de Chrome et de Firefox ont collaboré avec Facebook pour améliorer le temps de rechargement d’une page web. Les pages se chargeaient alors 28 % plus rapidement qu’auparavant. Dans quelques mois, Chrome utilisera un nouveau mode de rendu pour les feuilles de style CSS qui permettent de mettre en forme dynamiquement les sites web. La méthode, décrite par Jake Archibald (développeur sur le projet Chrome) sur son blog apporte quelques explications.

Chrome copie Edge et Firefox
Pour accélérer le chargement des pages web, Chrome va utiliser la même méthode que le navigateur Edge de Microsoft, qui s’approche de celle utilisée par le navigateur Firefox de Mozilla. Avant d’expliquer la méthode, rappelons brièvement qu’une page web est constituée de code HTML, le fond, et de code CSS, la forme. Actuellement, Chrome attend de charger totalement les codes HTML et CSS avant d’afficher la page. Edge et Firefox peuvent charger le code CSS en plusieurs fois, afin de pouvoir afficher la page de manière progressive.


Un chargement bien plus rapide
L’apport pour l’internaute est immense, puisqu’il ne reste pas devant une page blanche pendant quelques secondes : le contenu s’affiche petit à petit, lui donnant une sensation de vitesse supérieure, et lui permettant de découvrir les premiers éléments plus rapidement.

La bonne nouvelle, c’est que la méthode de rendu des feuilles de style CSS de Chrome va être calquée sur celle de Microsoft Edge dans les prochains mois. Dans un premier temps, c’est la version Canary de Chrome qui sera concernée, une version expérimentale du navigateur.

ironman
16/03/2017, 14h47
Chrome 57 : l’autonomie de nos appareils va augmenter.

Chrome 57 est disponible. Au-delà de nombreuses failles corrigées, la nouvelle version de Chrome apporte quelques modifications au fonctionnement des onglets et leur consommation d’énergie.

Une meilleure autonomie
Pour beaucoup d’entre nous, Chrome est le plus grand fardeau pour nos batteries d’ordinateurs portables. Comme vous pouvez l’imaginer, cela est dû en partie au système de gestion d’onglets de Chrome. Contrôler la consommation de chaque onglet n’est pas nouveau, mais Chrome introduit un fonctionnement plus strict : les ressources allouées à chaque onglet seront limitées, tandis que la gestion des onglets en arrière-plan a été améliorée. Le mécanisme prend en compte les besoins en ressources : si vous lancez une vidéo en streaming, une téléconférence (WebSockets ou WebRTC) ou un jeu, Chrome ne limitera pas les ressources de ces onglets.

Les Progressive Web Apps (PWA) apparaissent comme des apps natives
Chrome 57 apporte également quelques modifications sur Android : c’est le cas des Progressive Web Apps (PWA). Pour rappel, ce sont des applications web qui doivent fonctionner (en théorie) comme des applications natives classiques. Désormais, une PWA apparaîtra dans la liste des applis installées dans le système, ce qui rend un peu plus floue la frontière entre applications natives et Web. Ces apps Web apparaissent dans les paramètres Android et peuvent être gérées comme n’importe quelle application.

Cette nouvelle version de Chrome comporte de très nombreux changements qui ne touchent pas seulement les performances. Par exemple, sur la version iOS une option « lire plus tard » est apparue dans les menus, option que l’on trouvait déjà sur Safari Mobile. Bref, Chrome 57 devrait s’installer en tâche de fond sur votre PC, tandis qu’il faut l’installer sur le Play Store (Android) ou l’App Store (iOS) sur mobile.

ironman
01/12/2017, 22h07
Chrome va bientôt bloquer les antivirus qui le font planter
Sur Windows, les éditeurs tiers sont priés de ne plus injecter de code dans le processus de Chrome, mais d’utiliser les techniques d’interaction proposés par Google.
Le compte à rebours est lancé. Google donne un an aux éditeurs tiers pour revoir la manière dont leurs produits interagissent avec la version Windows de Chrome. D’après une note de blog (https://blog.chromium.org/2017/11/reducing-chrome-crashes-caused-by-third.html), certains logiciels – et notamment les antivirus – injectent du code dans les processus de Chrome pour ajouter des fonctionnalités (filtrage, analyse, modification de pages Web à la volée…). Sur Windows, l’une des techniques classiques d’injection de code est le chargement de fichiers DLL.


Mais quand cette injection est mal faite, elle peut faire planter le logiciel hôte ou introduire des failles de sécurité. Selon Google, le taux de plantage de Chrome est 15 % plus grand chez les utilisateurs qui ont des logiciels tiers injectant du code. Pour éviter cette déconvenue, Google a décidé de bloquer dorénavant cette pratique. A partir d’avril 2018, les utilisateurs de Chrome 66 victimes d’un tel plantage vont systématiquement recevoir une alerte leur indiquant quel est le logiciel tiers responsable du crash logiciel et comment le mettre à jour ou le supprimer.
Les logiciels de Microsoft sont exemptésA partir de juillet 2018, Chrome 68 va bloquer toutes les injections de code, sauf si celle-ci empêche Chrome de démarrer. Dans ce cas, une alerte s’affichera sommant l’utilisateur de désinstaller le logiciel tiers en question. En janvier 2019, Chrome 72 ne laissera (presque) plus rien passer. Toutes les injections de code seront bloquées, et tant pis si le navigateur ne fonctionne plus.
Google fera toutefois une exception pour les logiciels Microsoft, les logiciels d’accessibilité et les méthodes de saisie (pour les caractères complexe type chinois, coréen, japonais…). Ces produits seront les seuls à pouvoir procéder à l’injection de code.
Tous les autres devront à l’avenir utiliser les méthodes d’interaction proposés par Google, à savoir les extensions Chrome ou l’interface de programmation Native Messaging. Certes, les éditeurs vont devoir se retrousser un peu les manches, mais au final tout le monde sera gagnant.

ironman
07/12/2017, 19h48
Google Chrome 63 est désormais disponible pour Windows, macOS et Linux.

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L’éditeur vient de publier officiellement les versions pour les trois principaux OS de "bureau". Elles comportent de nouvelles fonctions pour rendre le navigateur encore plus sûr.


Google vient de publier la version 63 de son navigateur, d’abord sur Android, puis sur Windows, macOS et Linux. Cette nouvelle mouture mise sur la sécurité avec l’arrivée de la version 1.3 du protocole de sécurité TLS (Transport Layer Security) pour Gmail et surtout l’isolation des sites. Ainsi, le rendu de chaque site s’effectue dans un processus séparé, moyennant une augmentation de la consommation mémoire entre 10 et 20%.

Cette fonction accroît la sécurité du navigateur mais concerne surtout les entreprises car elle s’active par des règles définies par l’administrateur et visibles par la commande chrome://policy dans le navigateur. Elle peut être cependant testée en lançant Chrome en ligne de commande, suivi par le paramètre --site-per-process.

Les administrateurs ont également plus de contrôle sur les extensions du navigateur. Ils peuvent en interdire certaines et désormais restreindre l’accès à certains composants, par exemple le micro ou la webcam. D'autres fonctions de sécurité sont prévues dans les versions suivantes, par exemple pour éviter le plantage du navigateur à cause de l'antivirus.


Des fonctions expérimentales plus faciles à gérer

Côté interface, Google a amélioré la présentation de la page des fonctions expérimentales, accessible en tapant la commande chrome://flags dans la barre d'adresse. L’affichage est plus clair, avec une zone de recherche en haut de la page, ainsi qu’un bouton pour rétablir les valeurs par défaut.

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L’éditeur a également ajouté un raccourci pour voir le certificat d’un site. Il suffit de cliquer sur la petite icône de cadenas située à gauche de l’adresse du site, puis de choisir Certificat dans la liste déroulante.

Enfin, la version 63 de Chrome apporte son lot de correctifs. L’éditeur annonce la correction de 37 failles de sécurité et octroie des récompenses comprises entre 500 et 10 500 dollars aux chercheurs extérieurs qui ont contribué à leur découverte.

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ironman
20/12/2017, 17h51
Chrome bloquera les pubs intrusives à partir du 15 février 2018.

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Google va appliquer les règles définies par le consortium « Coalition for Better Ads » et bannir les bandeaux flashy ainsi que les fenêtres pop-up criardes que tous les internautes détestent.
Chose promise, chose due. En juin dernier, Google avait annoncé qu’il allait bientôt intégrer un bloqueur de publicités dans son navigateur Chrome. L’éditeur vient maintenant de confirmer cette décision et donne une date butoir: le 15 février 2018. A compter de là, seules les publicités jugées non intrusives pourront s’afficher dans le navigateur le plus populaire du web. Finies les pop-up criardes, la vidéo-réclame en autoplay, les gros placards flashy, les affichages interstitiels, etc. Même les agences de pub du géant du web – telles que DoubleClick – devront s’y conformer.

Cette stratégie découle en fait de l’adhésion de Google au consortium « Coalition for Better Ads » qui regroupe des annonceurs, des médias, des sociétés high-tech et qui définit les nouvelles règles pour faire de la publicité en ligne respectueuse des internautes. Le but est de revenir à des pratiques professionnelles plus saines et, surtout, d’empêcher que les internautes soient totalement lassés par la pub et finissent par la bloquer entièrement. Ce que Google, qui vit de la réclame, ne peut pas se permettre. Ci-dessous, les pubs jugées intrusives par le consortium.

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En tant qu’utilisateur, il n’y a pas grand-chose à faire sauf attendre la version 64 de Chrome, qui doit sortir d’ici à fin janvier et dans laquelle le bloqueur de pub devrait être activé de manière automatique. Les éditeurs de sites web, en revanche, ont du pain sur la planche. Ils ont intérêt à vérifier que leurs publicités sont conformes au nouveau standard. A ce titre, Google propose un outil baptisé Ad Experience Report qui leur permet d’auditer leurs pages.

Parmi les membres de « Coalition for Better Ads » figurent également Facebook, Criteo, Microsoft, Teads et Publicis. Le consortium compte mettre en place un registre de sites sur lesquels l’application des bonnes pratiques publicitaires aura été certifiée.

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ironman
09/02/2018, 17h41
Google Chrome : tous les sites HTTP seront marqués non sécurisés.

À partir du mois de juillet prochain, le navigateur Google Chrome signalera tous les sites HTTP comme non sécurisés.

Voilà qui est loin d'être une surprise. Avec le navigateur Google Chrome, toutes les pages HTTP seront bientôt estampillées non sécurisées avec un badge dans la barre d'adresse. La mesure prendra effet à partir de juillet 2018 avec la publication de Chrome 68.
En mode de navigation privée, tout site en HTTP était déjà pointé du doigt. Dans le cadre d'une navigation normale, cela concerne actuellement les sites en HTTP lors d'une saisie de données dans un formulaire.

Il paraissait clair que Google avait l'intention d'étendre cette mesure à tous les sites HTTP sans distinction. Du reste, il devrait en être de même avec Firefox.

" La nouvelle interface de Chrome aidera les utilisateurs à comprendre que tous les sites HTTP ne sont pas sécurisés, et continuera à faire évoluer le Web vers HTTPS par défaut ", écrit Emily Schechter, responsable produit Chrome Security.

Une déclaration qui rappelle le but recherché par l'initiative et autorité de certification Let's Encrypt. D'après Google, plus de 68 % du trafic Chrome sur Android et Windows se fait via HTTPS, et plus de 78 % sur ChromeOS et macOS.

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samyr
09/02/2018, 19h14
Bonjour

On m'avait dit que c'est un des meilleurs navigateurs, !! perso je tourne avec Firefox et des fois avec Chrome, je m'en suis servi tout à l'heure et il me parait bien rapide en ce moment
j'ai pas trop l’habitude de ce navigateur, peut être qu'un jour je m'y ferais

en effet la version 66 est là

ironman
15/02/2018, 16h08
Google active le bloqueur de publicités de Chrome.

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Google compte sur les propriétaires de sites Web pour faire preuve de retenue dans l’affichage de publicité et vient d’activer un bloqueur pour celles qui ne répondent pas à certains critères.
Google l’avait annoncé en juin : son navigateur Chrome s’attaque au publicités intrusives. Pour cela, il vient d'activer son bloqueur de publicité qui empêche l’affichage des messages publicitaires qui ne respectent pas les standards Better Ads. Ces standards sont issus des recherches de la Coalition for Better Ads, un groupe d’éditeur qui comprend entre autres Facebook, Google, Microsoft, ainsi que des agences de publicités.

L’objectif est de lutter contre la tendance actuelle des publicités envahissantes sur les sites Web, qui ralentissent le chargement des pages et frustrent l’utilisateur. Les standards résultent de sondages auprès de plus de 40 000 internautes en Amérique du Nord et en Europe. Les site Web sont évalués selon ces standards et leurs propriétaires peuvent eux-mêmes vérifier si leur site répond aux critères en utilisant la Search Console de Google. En cas de non respect des standard, le propriétaire du site reçoit une notification de Google et dispose de 30 jours pour corriger le tir avant que le blocage des publicités ne soit activé.


https://www.youtube.com/watch?v=VrVuryo39Zc

Chrome va donc bloquer les publicités qui ne respectent pas les standards Better Ads, par exemple des vidéos qui se lancent automatiquement avec du son, des fenêtres qui surgissent ou occupent toute la largeur de l’écran, voire l’écran entier, ou des comptes à rebours avant de donner accès à la page. Comme le montre l’image ci-dessous, quatre catégories sont retenues pour les ordinateurs et huit catégories pour les appareils mobiles, dont l’écran peut être plus rapidement envahi.

30032

Lors du chargement d’une page Web, le bloqueur de Chrome vérifie d’abord si la page appartient à un site qui n’est pas conforme aux standards Better Ads. Dans ce cas, il analyse les requêtes réseau de la page, par exemple celles chargeant du JavaScript ou des images, et les compare à des modèles issus entre autres de la célèbre liste EasyList utilisée par de nombreux bloqueurs de publicité. Si une correspondance est trouvée, la requête est alors bloquée et un message prévient l’utilisateur que des publicités ont été bloquées, avec la possibilité de les autoriser.

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L’approche de Google n’est donc pas globale, mais s’effectue site par site, ce qui peut poser un problème pour ceux qui n’ont pas été encore été référencés. Google n’indique pas si dans ce cas le bloqueur sera actif ou non. Quoi qu’il en soit, l’objectif n’est pas de bloquer toutes les publicités, mais seulement celles qui gênent la navigation de l’utilisateur, en espérant que les propriétaires fassent eux-mêmes le ménage dans leurs sites Web.

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ironman
28/02/2018, 16h29
Bientôt, Chrome OS de Google pourra exécuter des applications Linux.

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Grâce au projet Crostini, le système d’exploitation de Google pourra lancer de manière native « des machines virtuelles Linux ». Cette fonctionnalité devrait être disponible dès avril prochain.

A l’instar de Windows 10, qui intègre un sous-système Linux depuis octobre 2017, Chrome OS pourra lui aussi bientôt exécuter des applications Linux. Mais en mieux. Contrairement au système de Microsoft, qui n’accepte que des logiciels en ligne de commande, celui de Google pourra également accueillir des applications avec interface graphique.


Cette nouvelle fonctionnalité est en cours de développement, comme l’a remarqué le site Chrome Unboxed. Celui-ci a détecté dans les dernières évolutions de Chromium l’ajout de « Crostini », un projet qui permet de faire « tourner des machines virtuelles Linux sur Chrome OS ».

Cette nouvelle fonctionnalité devrait arriver avec la version Chrome OS 66, prévue pour avril 2017. Dans l’un des fichiers du système, il est en effet indiqué « supported on Chrome OS 66 ». On peut donc supposer que Google fera une annonce officielle du projet Crostini à l’occasion de Google I/O, qui se tiendra quelques semaines suivantes.

Crostini est un Crouton amélioré

Le nom « Crostini » - qui désigne une tranche de pain grillé garnie de mozzarella, de jambon ou de légumes - n’est pas un fait du hasard. Il fait référence au projet open source « Crouton », qui permet justement de faire tourner un système Linux sur Chrome OS, un « hack » fortement apprécié par les développeurs et autres fans de logiciels libres. Le problème, c’est que cette manipulation nécessite de mettre Chrome OS en mode développeur, ce qui abaisse son niveau de sécurité. C’est dommage, car c’est justement l’un des gros points forts de cette plate-forme.


Avec Crostini, on obtient le meilleur des deux mondes : on peut lancer des applications Linux tout en préservant la sécurité globale du système. Crostini devrait donc se révéler bien plus savoureux que Crouton. Cette nouveauté devrait beaucoup plaire aux développeurs et fan de logiciels libres, une frange de la population que Google cherche visiblement à attirer.

Reste à savoir quelles seront les modalités de cette intégration. Toutes les applications Linux pourront-elles être exécutées sur Chrome OS ? Ou seront-elles triées sur le volet par Google ? Au-delà des applications, pourra-t-on exécuter des systèmes Linux entier ? Il faudra probablement attendre la conférence Google I/O pour le savoir.

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ironman
10/04/2018, 16h53
Dans sa version 67, Google Chrome s'adapte enfin aux écrans tactiles.

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Pour préparer l’arrivée des tablettes Chrome OS, Google donne enfin accès à une version optimisée de son navigateur pour les ordinateurs à écran tactile.
Loin devant ses concurrents, Google Chrome est le navigateur le plus populaire du marché. Mise à jour après mise à jour, l’application s’enrichit de fonctionnalités et creuse l’écart avec ses rivaux. Avec la version 67, actuellement en phase « Canary », Chrome va combler un de ses défauts majeur : l’absence d’interface dédiée aux écrans tactiles. Dans les réglages, il est possible d’agrandir les éléments de design pour les rendre plus faciles à gérer d'une pression des doigts.

Les tablettes Chrome OS arrivent
Disponible sur Windows, le nouveau design tactile n’arrive pas par hasard. En mai, la première tablette Chrome OS sera commercialisée. Développée par Acer, la Chromebook Tab 10 mise sur le système d’exploitation de Google pour attaquer les iPad et séduire le marché de l’éducation. Problème pour Google : si Chrome est parfaitement adapté au tactile sur iOS et Android, ce n’était pour l'instant pas le cas sur le Desktop. La version 67 de Google Chrome devrait donc arriver pile à temps pour ne pas nuire à l’expérience des premiers acheteurs de la tablette. Aujourd’hui, Chrome est en version 65.

Si vous êtes propriétaire d’un ordinateur tactile ou d'une tablette Windows 10 et utilisateur de Chrome, il est possible de griller la file d'attente en installant une version de test du nouveau navigateur de Google. À vous de choisir entre la version Canary ou Chromium, puis rendez-vous à l’adresse :

chrome://flags/#top-chrome-md

Choisissez ensuite l’option « Touchable » et redémarrez le navigateur. La nouvelle interface devrait apparaître.

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Sur macOS, le réglage est accessible mais n'est pas opérationnel. Apple ne proposant pas d'ordinateur tactile, ce n'est pas vraiment étonnant. À noter que, par défaut, l’interface de Chrome ne semble pas avoir évolué. À voir si le mode tactile sera plus visible avec la sortie publique de Chrome 67, ou s’il ne restera qu’une option parmi tant d’autres.

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ironman
19/04/2018, 16h18
Google Chrome : Microsoft lance une extension pour mieux sécuriser le navigateur
Microsoft continue de s’ouvrir à la concurrence et propose maintenant une solution antivirus pour Google Chrome.

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Fini l’ancien Microsoft qui gardait ses services exclusifs à ses logiciels comme Windows ou Microsoft Edge, désormais l’éditeur va là où sont les clients. Quand on parle de navigateur, les clients ne sont clairement plus du côté de Microsoft, mais bien chez Google avec Chrome.

Une protection qui fait doublon
Après avoir dévoilé un OS utilisant le noyau Linux, Microsoft présente une extension pour Google Chrome nommée Windows Defender Browser Protection. Elle va analyser les liens ouverts dans Google Chrome et intercepter ce qui est identifié comme une menace, c’est-à-dire les tentatives de phishing ou les sites contenant des malwares.

Google propose déjà ce type de protection ; vous avez peut-être déjà vu Chrome refuser d’ouvrir un lien et vous prévenir avec un message d’alerte des risques encourus. Sur le site officiel de l’extension, Microsoft prétend que Microsoft Edge (qui intègre Defender Browser Protection) est capable d’intercepter 99% des attaques par hameçonnage, contre 87% pour Google Chrome, en s’appuyant sur une étude de NSS Labs réalisée en 2017.

Cette nouvelle extension permet donc à Microsoft de faire la promotion de son navigateur tout en proposant ses services chez la concurrence et en pointant du doigt la sécurité de Google.

L’installation de l’extension peut se faire directement depuis le Chrome Web Store.

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ironman
07/05/2018, 17h28
Chrome apprend désormais quelles vidéos bloquer selon vos habitudes de navigation
http://img.bfmtv.com/c/630/420/4a2/e88320d17537dbb0941789d1448a1.jpeg
Google Chrome améliore son interface. - Google

Google affine sa lutte contre les vidéos qui se lancent automatiquement dans Chrome. Le navigateur va apprendre quels sites multimédias vous plébiscitez afin de filtrer ceux qui sont vraiment indésirables.

Google continue sa croisade contre les vidéos en autoplay sur le Web. Les éditeurs ont généralisé cette pratique consistant à lancer automatiquement la lecture de vidéos. Ce qui a le don d’agacer au plus haut point les utilisateurs de Chrome. « Un nombre important d'autoplays sont mis en pause, mis en sourdine ou leur onglet est fermé dans les six secondes », fait observer Google.

L’entreprise a donc commencé à bloquer les vidéos en autoplay qui ne coupaient pas le son par défaut (http://www.01net.com/actualites/google-chrome-66-est-la-et-coupe-le-son-des-videos-en-lecture-automatique-1421850.html) depuis la sortie de Chrome 66 au mois d’avril dernier. Elle souhaite maintenant affiner sa politique et détaille aujourd’hui la façon dont elle procède dans un post (https://www.blog.google/products/chrome/improving-autoplay-chrome/).

Si vous n'avez pas d'historique de navigation, Chrome autorise par défaut l’autoplay sur plus de 1 000 sites où le navigateur a constaté qu’un nombre élevé de visiteurs lit les fichiers multimédias avec le son.

En fonction de votre navigation, cette liste va changer car Chrome va apprendre vos habitudes et activer la lecture automatique sur les sites multimédia que vous plébisciterez, afin de personnaliser votre expérience.

Il est demandé, de temps en temps, aux utilisateurs de cliquer sur « lire », mais en moyenne, Google annonce bloquer environ la moitié des autoplays non désirés. Cette nouvelle politique est à l'oeuvre dans la dernière version de Chrome lancée ce 3 mai.

ironman
19/05/2018, 17h24
[B]Google Chrome va clairement signaler les sites non-sécurisés.

https://www.dzsat.org/forum/cache.php?img=https%3A%2F%2Fimg.bfmtv.com%2Fc%2F63 0%2F420%2F7d4%2F5a8a2148adb4f2b158b77d1e595fd.jpg


[B]Google veut faire du HTTPS la norme du Web et va, dès l'automne, alerter les internautes lorsqu'une page ne sera pas sécurisée.

On savait déjà que Google allait cesser de marquer les pages en HTTPS comme étant « sécurisées » dès le mois de juillet 2018 pour qu’elles deviennent la règle. Mais la firme vient d’annoncer sur son blog qu’elle allait aller plus loin.

Google avait en effet annoncé qu’il signalerait les sites en HTTP comme n’étant « pas sécurisés » et ce dès Chrome 68 (http://www.01net.com/actualites/google-chrome-va-stigmatiser-tous-les-sites-non-securises-1369735.html). Parallèlement, la mention « sécurisée » et le petit cadenas vert placé face à la barre d’adresse disparaîtront petit à petit pour ne plus apparaître dès Chrome 69 dont la sortie est attendue en septembre. [I]« Les utilisateurs devraient s’attendre à ce que le Web soit sécurisé par défaut et n’être alerté que lorsqu’il y a un risque », précise Google sur son blog.

De fait, et pour pousser les sites qui auraient pu rester en HTTP et ne pas se formaliser de cette mention « non sécurisé » à basculer vers le HTTPS, la firme de Mountain View a annoncé qu’elle commencera dès le mois d’octobre, avec Chrome 70, à afficher un avertissement rouge clignotant devant une adresse en HTTP.

https://www.dzsat.org/forum/cache.php?img=https%3A%2F%2Fmedia.giphy.com%2Fmedi a%2FfnTyswo0f3yl7bp0RN%2Fgiphy.gif


[I]« Auparavant, l’usage du HTTP était trop important pour marquer toutes ces pages d’un fort signal rouge », explique-t-elle. Et de préciser à l’adresse des développeurs pour les inciter à migrer, [I]« le HTTPS est moins cher et plus facile que jamais à mettre en place. Il offre aussi de puissantes possibilités ».

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ironman
25/07/2018, 15h57
Chrome 68 est disponible et signale les sites Web non sécurisés.




https://img.bfmtv.com/c/630/420/0b28/b5561d8b822df5d0abe40a589f12.jpg

La nouvelle version du navigateur internet de Google s'inscrit dans la stratégie initiée depuis quelques mois par le géant : faire pression sur les éditeurs de sites web afin qu'ils adoptent le protocole sécurisé HTTPS.

Google avait fait part de son intention de faire la chasses aux sites Web non sécurisés , et la nouvelle version 68 de son navigateur Chrome en est la parfaite illustration. Celle-ci indique maintenant clairement si vous surfez ou non sur un site web ayant adopté le protocole HTTPS. Ce dernier garantit que les données échangées entre le site et vous sont chiffrées (mot de passe, carte bancaire) par opposition aux pages utilisant l'antédiluvien HTTP, où tout circule « en clair ».

Toutefois, l'avertissement du navigateur face à un site en HTTP n’est pas aussi important que l’on pouvait imaginer. Il se traduit pour l’instant par une mention discrète « Non sécurisé » à côté du nom du site. En cliquant dessus, quelques détails relatifs aux soucis de sécurité apparaissent mais restent parcellaires.

https://img.bfmtv.com/c/0/369/394/8661f750d324e9d710e84035701a7.jpg

Bref, Google compte prévenir les utilisateurs sans pour autant les harceler avec des grosses fenêtres d’alerte. Selon l’éditeur, 83 sites Web parmi les 100 plus populaires utilisent le protocole HTTPS, ce qui est plutôt une bonne nouvelle pour l’utilisateur. Pour ces sites, la mention « Sécurisé » apparaît dans Chrome mais Google compte la retirer au mois de septembre. La prochaine étape aura lieu en octobre, dans Chrome 70, avec un message d’alerte lors de l’entrée de données sensibles, comme par exemple un identifiant et un mot de passe.

De quoi accentuer encore plus la pression sur les éditeurs de site Web et les inciter à passer en HTTPS.

Source :
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fx55
15/08/2018, 06h45
Chrome gère désormais les notifications natives de Windows 10


[COLOR=#000000]Après avoir pris le temps de tester sa nouvelle fonction pendant cinq mois, Google active actuellement sur Chrome 68 la prise en charge des notifications natives de Windows 10.

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[SIZE=2][B]Chrome, en tant que navigateur, propose un système de notifications. Windows 10, en tant que système d'exploitation, propose également un système de notifications. Jusqu'ici, sur une même machine, les deux fonctionnaient en parallèle, affichant chacun leurs alertes dans leur design propre et obéissant à leurs propres paramètres. Depuis le 8 août, toutefois, des utilisateurs commencent à voir des notifications de Chrome s'afficher comme les notifications Windows. Les messages du navigateur reprennent en effet l'interface de l'OS, et pour cause : le logiciel de Google passe désormais par le centre de notifications de Windows 10.

Cette nouveauté fait l'objet d'un déploiement progressif sur la version 68 de Chrome. D'après Peter Beverloo, ingénieur chez Google et responsable du mécanisme de notification, 50 % des utilisateurs de la version stable du navigateur devraient déjà en bénéficier, tandis qu'il faudra attendre encore quelques jours avant que le déploiement soit complet. Les plus impatients peuvent cependant emprunter un raccourci et activer la fonction par eux-mêmes (chrome://flags/#enable-native-notifications).

Outre l'affichage des notifications dans un design uniforme, cette coopération de Chrome avec Windows 10 présente l'avantage que les alertes du navigateur seront désormais soumises aux règles du centre de notifications de l'OS de Microsoft. Concrètement, cela signifie que les paramètres de l'assistant de concentration (fonction Focus Assist ; anciennement Quiet Hours) seront respectés, empêchant, par exemple, l'apparition de messages durant les séances de jeu, lorsque l'écran est partagé ou encore durant certaines heures.

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