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Lako
02/01/2017, 08h20
Ce rallye sera marqué par cinq étapes disputées à plus de 3 500 mètres d’altitude, entrecoupées par une journée de repos à La Paz, la capitale la plus élevée du monde, le 8 janvier.


Le Dakar 2017, présenté comme le « plus dur » de l’ère sud-américaine, s’offre lundi 2 janvier un départ inédit depuis Asuncion, pour un périple de 8 800 km jusqu’à Buenos Aires en passant par la haute montagne bolivienne. Cette 39e édition du Dakar - la neuvième en Amérique du Sud, se déroule du 2 au 14 janvier.
Le coup d’envoi sera donné par les motos et les quads, avec le départ à 8 heures (heure locale) du vainqueur sortant en moto, l’Australien Toby Price, sur les routes du Paraguay, que le Dakar visite pour la première fois.
Les 318 véhicules en lice (144 motos, 37 quads, 87 autos et 50 camions), selon le verdict des commissaires de course à l’issue des vérifications administratives et techniques, s’élanceront pour une première étape de 454 km, dont 38,5 km de spéciale, jusqu’à Resistencia, dans le nord-est de l’Argentine.
Les 501 concurrents s’inquiètent notamment de la météo, après les violentes averses tropicales de ces derniers jours qui ont inondé en quelques minutes les rues de la capitale paraguayenne.
Un parcours de 8 800 kilomètres
Le Dakar 2017, qui va conduire les concurrents jusqu’à Buenos Aires le 14 janvier, fera la part belle à l’Altiplano bolivien. Ce Dakar sera également marqué par cinq étapes disputées à plus de 3 500 m d’altitude, entrecoupées par une journée de repos à La Paz, la capitale la plus élevée du monde (3 600 m), le 8 janvier. Jamais cette compétition n’aura autant roulé en haute montagne et le manque d’oxygène s’annonce comme une redoutable épreuve.
« C’est un peu l’incertitude quant à l’altitude (…), on ne sait pas trop comment on va réagir, pilotes, copilotes, mais aussi assistants, mécaniciens. Si on a un coup de moins bien sur une journée, on peut tout perdre et c’est vrai pour tous les pilotes, même ceux qui ont passé du temps en altitude et se sont bien préparés », prophétise le très expérimenté Stéphane Peterhansel, tenant du titre avec Peugeot, revenue au rallye-raid en 2015 seulement.




« Six ou sept pilotes capables de gagner »
Le recordman de victoires sur le Dakar (six en moto et six en auto depuis 1988) figure parmi les favoris à la victoire finale, au même titre que ses coéquipiers de Peugeot, Carlos Sainz, Cyril Despres et Sébastien Loeb, pilote starifié après ses neuf titres de champion du monde des rallyes.
« C’est difficile de faire un pronostic, mais l’ambition est là, c’est sûr », a prévenu Loeb, boulimique de victoires, avant le départ. Quelques semaines plus tôt, son copilote de toujours, Daniel Elena, se montrait plus explicite encore : « L’année dernière [pour leur première participation, terminée à la 9e place], l’objectif, c’était de finir. Cette année, connaissant Seb, c’est gagner. »
Mais le plateau auto est relevé, rappelle Peterhansel : « C’est un Dakar ouvert. A la louche, je dirais qu’il y a six ou sept pilotes capables de gagner, bien sûr chez Peugeot mais aussi Toyota. Et même chez Mini, avec un Mikko Hirvonen qui progresse » (4e en 2016 pour sa première participation).
Du côté des motos, les jeux sont plus ouverts encore. Après dix ans de domination sans partage de Cyril Despres et Marc Coma, passé du côté de l’organisation chez ASO après sa victoire en 2015, le Dakar se cherche de nouvelles têtes d’affiche.
L’Australien Toby Price, sacré l’an dernier, remettra son titre en jeu, avec l’idée d’offrir une 16e victoire de rang à KTM. Face à lui, Adrien van Beveren (6e en 2016) devrait être la meilleure chance française. Même s’il assure que son objectif est simplement « d’arriver au bout, pour continuer de progresser ».
Philippe Croizon aussi s’est fixé pour objectif de rallier Buenos Aires. Après avoir traversé la Manche et relié les cinq continents à la nage, l’aventurier amputé des quatre membres est à l’aube d’un nouveau défi, au volant d’un buggy adapté.


By Lemonde

Ce rallye sera marqué par cinq étapes disputées à plus de 3 500 mètres d’altitude, entrecoupées par une journée de repos à La Paz, la capitale la plus élevée du monde, le 8 janvier.
En savoir plus sur Le Dakar 2017 s’élance du Paraguay (http://www.lemonde.fr/sport/article/2017/01/02/le-dakar-2017-s-elance-du-paraguay_5056339_3242.html#ELOC8M62Fe1YBzY4.99)

Lako
03/01/2017, 06h00
Départ de l'édition «la plus dure» de l'ère sud-américaine (à cause de l'altitude)RALLYE-RAID Avec cinq étapes disputées à plus de 3500 m d'altitude, jamais le Dakar n'aura autant roulé en haute montagne...
Le Dakar 2017, présenté comme le «plus dur» de l'ère sud-américaine, s'offre ce lundi un départ inédit depuis Asuncion, pour un périple de quelque 8800 kilomètres jusqu'à Buenos Aires en passant par la haute montagne bolivienne. Le coup d'envoi de la 39e édition du Dakar, la 9e en Amérique du Sud, sera donné par les motos et les quads, avec le départ à 08h00 locales (12h00 en France) du vainqueur sortant en moto, l'Australien Toby Price.
Les 318 véhicules en lice (144 motos, 37 quads, 87 autos et 50 camions), selon le verdict des commissaires de course à l'issue des vérifications administratives et techniques, s'élanceront pour une première étape de 454 km, dont 38,5 km de spéciale, jusqu'à Resistencia, au nord-est de l'Argentine.
En attendant le départ, c'est surtout la météo qui préoccupait les 501 concurrents, après les violentes averses tropicales de ces derniers jours qui ont inondé en quelques minutes les rues de la capitale paraguayenne.

Lako
03/01/2017, 10h29
Le Qatari Nasser Al-Attiyah, vainqueur en 2011 et 2015, s’est imposé dans la spéciale organisée lundi au Paraguay, qui accueille pour la première fois cette épreuve.
http://s2.lemde.fr/image/2017/01/03/534x0/5056909_6_cfc2_le-qatari-nasser-al-attiyah-vainqueur-en-2011_de478f3923b99c9b53177316389416c5.jpg
C’est parti pour deux semaines et 8 800 kilomètres vers Buenos Aires, par-delà la haute montagne bolivienne, pour le Dakar le « plus dur » de l’ère sud-américaine : les concurrents de l’édition 2017 en ont terminé avec la première spéciale, la seule au Paraguay (http://www.lemonde.fr/paraguay/).Dans la catégorie auto, le Qatari Nasser Al-Attiyah, vainqueur en 2011 et 2015, s’est imposé dans cette spéciale longue de 38,5 km malgré un gros coup de chaud… « A une dizaine de kilomètres de l’arrivée, nous avons senti de la fumée du côté du siège de Matthieu [Baumel, son copilote], avec un peu de feu. Nous avons ralenti pour finir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/deuxieme-groupe/finir/) l’étape et à l’arrivée nous avons pu l’éteindre », a expliqué le pilote sur le site de la course.
Sa Toyota a ensuite été tractée par ses coéquipiers pour rejoindre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/rejoindre/) Resistencia, dans le nord-est de l’Argentine (http://www.lemonde.fr/argentine/). « Rien de sérieux, c’est réparable », assurait Baumel à l’arrivée au bivouac.
Loeb finit sixièmeLe premier Français, le nonuple champion du monde (http://www.lemonde.fr/afrique-monde/) des rallyes Sébastien Loeb, est sixième à 55 s. Le tenant du titre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/titre/), Stéphane Peterhansel, a pris la 12e place à 1 min 34 s : « On était dans un faux rythme, on a un peu trop joué la sécurité, a-t-il expos (http://www.lemonde.fr/m-design-deco-l-expo/)é. Il va falloir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/falloir/) nous réveiller (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/r%C3%A9veiller/). »
L’aventurier amputé des quatre membres, Philippe Croizon (http://www.lemonde.fr/sport/article/2012/08/19/philippe-croizon-reussit-son-pari-de-relier-les-cinq-continents-a-la-nage_1747588_3242.html), qui dispute son premier Dakar, a, lui, terminé à dix minutes du vainqueur du jour.
Chez les motos, le Français Xavier de Soultrait a réalisé le meilleur temps de la spéciale avant de payer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/payer/) d’une minute de pénalité un excès de vitesse. Il se trouve rétrogradé à la 10e place au scratch (classement du plus rapide sur l’étape) et au général (de fait, puisque c’était la première étape). Un mal pour bien, pour le pilote de 28 ans. « Finalement, c’est une occasion d’avoir une bonne position de départ demain [mardi] », assurait, philosophe, celui qui ne tenait pas vraiment à ouvrir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/ouvrir/) la piste dès le deuxième jour de course. La victoire revient donc à l’Espagnol Juan Pedrero Garcia.

chenoui70
03/01/2017, 19h07
https://allsportdb.com/Images/Logo/Large/Events/4062.pngLe coup d'envoi du Dakar donné par les motoshttp://static0.7sur7.be/static/photo/2017/12/3/10/20170102122819/media_xll_9426520.jpg
Le coup d'envoi du Dakar 2017 (2-14 janvier) a été donné lundi à 08h00 locales (11h00 GMT) avec le départ de la première moto pour l'unique spéciale paraguayenne du rallye, longue de 38,5 kilomètres chronométrés.
Au total, les 318 véhicules (144 motos, 37 quads, 87 autos et 50 camions) et 501 concurrents en lice, selon le verdict des commissaires de course à l'issue des vérifications administratives et techniques, ont 454 kilomètres à parcourir pour rejoindre Resistencia, au nord-est de l'Argentine.
Price, Peterhansel et Croizon
C'est le vainqueur de l'an dernier en moto, l'Australien Toby Price, qui a ouvert la course. Le premier Français à s'élancer, le motard Adrien Van Beveren, devait le faire huit minutes plus tard. Après les motos et les quads, les voitures puis les camions prendront le départ.
Le départ du dernier équipage est prévu à 14h37 locales (17h37 GMT). Le vainqueur sortant, le Français Stéphane Peterhansel, sera le premier à s'élancer dans la catégorie auto à 11h04 locales (14h04 GMT). Son coéquipier chez Peugeot Sébastien Loeb, nonuple champion du monde des rallyes, le suivra à 11h22 locales (14h22 GMT). L'aventurier amputé des quatre membres Philippe Croizon prendra le départ de son premier Dakar une heure plus tard.
8.800 kilomètres
Le parcours de la 39e édition du Dakar - la 9e en Amérique du Sud -, sur quelque 8800 kilomètres, dont près de 4000 de spéciales entre Asuncion et Buenos Aires, fera la part belle à l'altiplano bolivien.
Au menu, cinq étapes disputées à plus de 3500 m d'altitude, ponctuées par une journée de repos à La Paz, capitale la plus élevée du monde (3600 m), le 8 janvier. Jamais le Dakar n'aura autant roulé en haute montagne et cela s'annonce comme une redoutable épreuve, tant pour les organismes des concurrents que pour leurs véhicules.




Coup double pour Sébastien Loeb au Dakar
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Le Français Sebastien Loeb (Peugeot) a remporté la 2e spéciale du Dakar en moto, disputée sur 275 kilomètres entre Resistencia et San Miguel de Tucuman, en Argentine, prenant du même coup la tête au classement général.
Sebastien Loeb a parcouru la distance en 2 heures 6 minutes et 55 secondes pour devancer le Qatari Nasser Al-Attiyah de la structure belge Overdrive de Jean-Marc Fortin, 2e à 1 minute et 23 secondes. Vainqueur la veille Al-Attiyah doit céder la tête du Dakar au Français pour 28 secondes.
Carlos Sainz sur le podium
L'Espagnol Carlos Sainz (Peugeot), 3e à 2:18., complète le podium du jour. Il est aussi 3e au général à 1:58. Le Sud-Africain Giniel De Villiers (Toyota) est 4e à 2:19. et l'Espagnol Nani Roma (Toyota) 5e à 3:22, soit trois voitures d'Overdrive dans le top 5.
"70 km dans la poussière"
"Nous avons roulé 70 km dans la poussière derrière De Villiers. Je perds un peu de temps sur la fin", a déclaré Sébastien Loeb au micro de France 4. "J'ai bien roulé, le parcours était rapide". Pour son co-pilote, Daniel Elena, les choses sérieuses commencent mercredi.
"Le Dakar commence demain"
"Le Dakar va vraiment commencer demain (mercredi) pour la navigation avec le hors-piste et l'altitude." La 3e étape du Dakar conduira la caravane de Sant Miguel de Tucuman à San Salvador de Jujuy sur 780 km dont 364 de spéciale.

chenoui70
04/01/2017, 14h52
https://allsportdb.com/Images/Logo/Large/Events/4062.pngLe Dakar 2017 prend de l'altitude
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Jamais le Dakar n'aura autant roulé à haute altitude en Amérique du Sud: six jours à plus de 3500 mètres, à compter de jeudi, pour des retrouvailles prolongées avec un environnement hostile tant aux hommes qu'aux véhicules.
L'organisation l'a promis, ce 39e Dakar devrait être le "plus dur" de l'ère sud-américaine, entamée en 2009. En référence au Vendée Globe, le directeur de la course, Etienne Lavigne, a même parlé à l'AFP de plonger les concurrents "dans les quarantièmes rugissants".
L'altiplano bolivien sera un des éléments de la tempête, faisant frémir même les pilotes les plus capés, qui l'ont expérimenté deux jours en 2015 et quatre en 2016. En cause: le mal des montagnes dû au manque d'oxygène, synonyme d'essoufflement et de fatigue, voire de maux de tête et de vomissements. "On sait que ces phénomènes de montagne peuvent nous surprendre à tout moment, témoigne Stéphane Peterhansel, douze fois vainqueur du Dakar depuis ses débuts en 1988. "Si on a un coup de moins bien sur une journée, on peut tout perdre, et c'est vrai pour tous les pilotes, même ceux qui ont passé du temps en altitude et se sont bien préparés."
Chambre hyperbare
Le Dakar 2017 atteindra jeudi, entre San Salvador de Jujuy (Argentine) et Tupiza (Bolivie), son altitude de croisière pour les six prochains jours: 3500 m, avec des pointes à 4500 m. Suivront deux étapes pour rallier La Paz, où la journée de repos, dimanche, ne soulagera probablement pas les plus touchés, la capitale bolivienne étant la plus haute au monde (3600 m). Et le lendemain lundi, il faudra repartir pour une première partie d'étape marathon à l'issue de laquelle les pilotes ne disposeront pas d'assistance pour bichonner ou réparer leur véhicule.
La soirée promet d'être longue au bivouac d'Uyuni (Bolivie), avant de reprendre la route pour Salta (Argentine)... Pour lutter contre le mal des montagnes, anciens et modernes s'opposent dans la caravane du Dakar. Certains, comme Stéphane Peterhansel ou Daniel Elena, le copilote de toujours de Sébastien Loeb, s'acclimatent en marchant en montagne. D'autres, comme Loeb, son coéquipier Cyril Despres ou encore le Qatari Nasser Al-Attiyah, malade en 2015, ont opté pour la technologie, passant plusieurs nuits dans des espaces recréant les conditions de l'altitude. "J'habite déjà à 1500 mètres dans les Pyrénées. Et depuis maintenant un petit mois, j'ai une chambre hyperbare où on limite l'oxygène. Je passe mes nuits à 2500, 3000, 3500 mètres et il y a un programme d'entraînement qui va avec durant journée", expliquait Despres fin novembre.
"Méthode de grand-mère"
Si cela ne suffisait pas, les organisateurs disposent de bouteilles d'oxygène et de caissons de décompression pour les plus atteints, précise Florence Pommerie, directrice médicale du Dakar. A moins que les concurrents ne préfèrent la "méthode de grand-mère" locale préconisée par David Casteu, treize Dakar au compteur, aujourd'hui manager du team moto Sherco. "J'ai mâché de la coca pendant tous mes voyages ici, ça oxygène énormément, ça a fonctionné très bien sur moi", assure-t-il.
La montagne peut accabler les hommes et elle n'épargne pas non plus les véhicules. Sur un parcours qui plus est jalonné de dunes, la difficulté est réelle, explique Peterhansel. "En gros, on va perdre 10% de puissance tous les 1000 mètres en altitude (...) Ca veut dire franchir des obstacles avec des voitures presque moins puissantes que des voitures de série. Là, ça va se compliquer", prophétise-t-il.
Alors les équipes qui le peuvent testent leurs bolides en altitude avant le Dakar, comme Peugeot Sport sa nouvelle 3008 DKR, pilotée par Cyril Despres début décembre au Chili, jusqu'à 4700 m. Si malgré cela la haute montagne bolivienne n'épargne pas les véhicules, reste à espérer qu'elle oublie les mécaniciens, plaisante-t-on, résigné, au sein des teams.

chenoui70
04/01/2017, 18h26
https://allsportdb.com/Images/Logo/Large/Events/4062.pngBarreda remporte la 3e étape en moto et prend la tête du Dakar
http://static2.7sur7.be/static/photo/2017/12/5/7/20170104191311/media_xll_9431707.jpg
L'Espagnol Joan Port Barreda (Honda) a remporté haut la main la 3e étape du Dakar en moto, la première grosse spéciale de l'édition 2017 avec plusieurs portions en hors piste et de la pure navigation au programme entre San Miguel de Tucuman et San Salvador de Jujuy sur 780km, dont 364 km de spéciale.
Joan Port Barreda a parcouru la distance en 4 heures 22 minutes et 41 secondes pour devancer le Britannique Sam Sunderland (KTM) de 13 minutes et 39 secondes. Le Français Pierre Alexandre Renet (Husqvarna), 3e à 16:30, complète le podium. Le Chilien Pablo Quintanilla (Husqvarna) est 4e à 17:02. et le Portugais Paulo Gonçalves (Honda) 5e à 17:20..
L'Australien Toby Price (KTM), 9e à 22:51. doit céder sa place de leader au classement général à Joan Port Barreda qui possède désormais 11:20 d'avance sur Sam Sunderland et 14:42 sur Gonçalves.
Jeudi, la caravane devra parcourir 521 km entre San Salvador de Jujuy et Tupiza pour son entrée en Bolivie, dont 416 km de spéciale dans des dunes haut perchées à une altitude d'environ 3.500m.

Lako
05/01/2017, 11h52
Stéphane Peterhansel à sa placeLa navigation et le hors-piste de la 3e étape ont permis à « M. Dakar » de signer sa première victoire. Malchanceux, Nasser Al-Attiyah arrache une roue de sa Toyota.

L’expérimenté Stéphane Peterhansel l’avait annoncé : « Quand on fait une mauvaise étape [7e de la première étape, 12e de la 2e], avant de se retrouver (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/retrouver/) vraiment à sa place, il se passe toujours deux jours. » Le recordman toutes catégories de l’épreuve et son copilote, Jean-Paul Cotteret, ont remporté, mercredi 4 janvier, la 3e étape du Dakar. Riche en hors-piste et en navigation, longue de 780 km, celle-ci reliait San Miguel de Tucuman et San Salvador (http://www.lemonde.fr/salvador/) de Jujuy, dans le nord de l’Argentine (http://www.lemonde.fr/argentine/).

Peugeot signe au passage son premier triplé de 2017 avec la 2e place du duo Carlos Sainz-Lucas Cruz, suivi de Sébastien Loeb-Daniel Elena. Au général, Stéphane Peterhansel remonte ainsi à la 3e place, à 4 min 18 s du leader alsacien.
Meilleur temps la veille, le nonuple champion du monde (http://www.lemonde.fr/afrique-monde/) des rallyes et Daniel Elena ouvraient la piste avec l’idée de montrer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/montrer/) les progrès réalisés depuis un an dans l’exercice-clé du rallye (http://www.lemonde.fr/rallye/)-raid qu’est le hors-piste. Et progrès il y a : le duo n’a pas décroché pendant les 364 km chronométrés (deux secteurs de 240 km et 124 km), contrairement à l’an dernier.
http://s1.lemde.fr/image/2017/01/05/534x0/5058039_6_9961_stephane-peterhansel-au-volant-de-sa-dkr-3008_816f658385a5d1b5ed5b1f3305e0941d.jpgPeugeot ne veut surtout pas fanfaronner (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/fanfaronner/). « Ce triplé, on le doit aussi aux déboires de nos adversaires, notamment Nasser Al-Attiyah, relativisait à l’arrivée le directeur de Peugeot Sport (http://www.lemonde.fr/sport/), Bruno Famin.Ça incite à la prudence, à la modestie et à garder (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/garder/) la tête froide. Cela n’est pas du tout un jackpot. »
Longtemps en tête, le Qatari a en effet arraché l’une des roues de sa Toyota dans la deuxième partie de spéciale, puis ses coéquipiers Nani Roma, sur problème électrique, et Giniel de Villiers ont à leur tour été contraints de s’arrêter. « C’est la plus mauvaise journée de ma vie en “motorsport”, a déclaré le manageur de Toyota, Jean-Marc Fort. C’est terrible de se retrouver éjecté de tout espoir [de victoire] en une petite spéciale. »
http://s2.lemde.fr/image/2017/01/05/534x0/5058041_6_7327_l-espagnol-joan-barreda-bort-honda_bb8d097e48597a4f10e091d323dd801a.jpgMoto : le grand numéro de Joan Barreda BortDans la catégorie moto (http://www.lemonde.fr/moto/), l’Espagnol Joan Barreda Bort a fait un grand numéro en s’imposant avec une avance de plus de treize minutes sur le Britannique Sam Sunderland (KTM). Ayant relégué le précédent leader, l’Australien Toby Price, à près de vingt-trois minutes, le pilote Honda a pris la tête de la course devant Sunderland, désormais 2e au général.
Le Français Pierre-Alexandre Renet, champion du monde de motocross et d’enduro, qui court son deuxième Dakar, prend la 3e place de cette étape à 16 min 30 s.
Si Price est le grand perdant de la journée, le Français Xavier de Soultrait avait lui aussi l’air contrit à l’arrivée de la spéciale, bouclée en 34 min 9 s. Il plonge au classement général alors qu’il tutoyait le podium la veille. Chez les quads, l’Argentin Gaston Gonzalez s’est imposé ; le Chilien Ignacio Casale mène au général.
Direction l’altiplano bolivienLes camions, dispensés du premier passage à très haute altitude (près de 5 000 mètres), couraient une étape aménagée, mercredi 4 janvier, de 757 km dont 199 km chronométrés.
L’étape de jeudi 5 janvier, longue de 521 km, dont 416 km chronométrés, relie San Salvador de Jujuy à Tupiza, et rejoint l’altiplano bolivien, à 3 500 m. Les concurrents doivent s’habituer, puisqu’ils évolueront à cette altitude moyenne pendant les six prochains jours. Une altitude qui, théoriquement, réduit la puissance des véhicules de 10 % tous les 1 000 mètres – sans compter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/compter/) les effets sur les organismes. Ce qui ne va pas faciliter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/faciliter/) le franchissement des dunes inscrites au menu du jour.

Lako
05/01/2017, 14h47
Dakar 2017 : Abandon d'Al-Attiyahhttp://media1.woopic.com/api/v1/images/504%2Fmedia365-sport-news%2F27c%2F0d1%2F68e7947706a4adbbc1bca48503%2Fda kar-2017-abandon-d-al-attiyah%7C2877790_al-attiyah-toyota-1024x425_ext.jpg?format=980x450&facedetect=1&quality=85
Le Dakar 2017 est déjà fini pour Nasser Al-Attiyah (46 ans). La mort dans l'âme, le pilote qatarien, dépité, a dû se résoudre jeudi à abandonner ce rallye-raid qui lui est si cher. Victime d'une collision avec un rocher la veille, lors de la troisième étape, Al-Attiyah (Toyota) n'a pu prendre le départ de la quatrième étape.
Mercredi, déjà, le double vainqueur de l'épreuve, en 2011 et 2015, avait compris qu'il faudrait un petit miracle pour qu'il puisse repartir le lendemain. « C'est game over », avait lancé immédiatement le Qatarien aux journalistes présents pour l'accueillir à San Salvador de Jujuy. Et le grand malheureux du jour de revenir sur cette mésaventure qu'il savait déjà fatale. « On touche une grosse pierre qui arrache complètement la roue. Une erreur est une erreur, on n'a pas pu réparer donc on a fini les 80 derniers kilomètres comme ça », déplorait après avoir regagné le bivouac celui qui avait signé le meilleur temps de la première section de la spéciale du jour, plus tôt dans la journée aux côtés de son fidèle copilote, Matthieu Baumel.

Relégué en 25eme position, à près de 2 heures et quinze minutes du leader, Sébastien Loeb (Peugeot) après avoir rallié l'Argentine deux heures et dix-sept minutes après le vainqueur du jour (Stéphane Peterhansel), mercredi, le tout sans roue arrière droite, Al-Attiyah ne pouvait plus espérer grand-chose d'autre que d'abandonner. Même s'il gardait encore un infime espoir mercredi soir de pouvoir réparer sa Toyota et de poursuivre la course. Mais c'était sans compter sur un châssis beaucoup trop abîmé pour envisager toute réparation. » Comme il le redoutait, Nasser Al-Attiyah a donc dû jeter l'éponge à l'issue de cette 3eme étape, non sans déjà donner rendez-vous à l'année prochaine et au Dakar 2018. Le nouvel objectif du grand absent de cette suite de course. « Pour réessayer de gagner, il va falloir attendre le prochain Dakar, déclare le Qatarien sur le site de FranceTV Sport. L'année va être longue. » Et l'amertume très profonde.

chenoui70
05/01/2017, 16h14
https://allsportdb.com/Images/Logo/Large/Events/4062.pngNouvelle victoire de l'Espagnol Barreda
http://static.lexpress.fr/medias_11279/w_640,h_360,c_fill,g_north/v1483635552/le-pilote-moto-joan-barreda-honda-lors-de-la-3e-etape-du-dakar-en-argentine-entre-san-miguel-de-tucuman-et-san-salvador-de-jujuy-le-4-janvier-2017-1_5775177.jpg
L'Espagnol Joan Barreda (Honda), déjà vainqueur la veille, a remporté jeudi dans la catégorie moto la 4e étape du Dakar-2017, 521 km entre Salvador de Jujuy (Argentine) et Tupiza (Bolivie), dont une spéciale chronométrée de 416 km, confortant ainsi sa place de leader du classement général. Le pilote espagnol a devancé de 7 min 20 sec le Chilien Pablo Quintanilla (Husqvarna), son nouveau dauphin au classement général (à 22:16.). Le Français Pierre Alexandre Renet (Husqvarna) a pris la troisième place de l'étape, à 10 min 28 sec, et pointe en 4e position au général (à 33:35 de Barreda).





Toby Price, vainqueur en 2016, abandonne
http://static.ladepeche.fr/content/media/image/large/2017/01/05/fdeaa49009783f273a9e18dd46759a27d91063fb.jpg
Toby Price, vainqueur l'an passé du Dakar, a été contraint d'abandonner l'édition 2017 du rallye-raid, victime du fracture du fémur gauche, a annoncé jeudi l'organisation. L'Australien, au guidon d'une KTM, a chuté au 371e kilomètre de la 4e étape du rallye reliant San Salvador de Jujuy à Tupiza, en Bolivie (qui comptait 521 km dont 416 km de spéciale), alors qu'il pointait en tête des chronométrages.

chenoui70
06/01/2017, 12h49
https://allsportdb.com/Images/Logo/Large/Events/4062.pngQuintanilla nouveau leader en moto
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L'Espagnol Joan Barreda (Honda), qui était leader du Dakar-2017 dans la catégorie moto, a écopé d'une heure de pénalité pour un ravitaillement hors-zone, cédant la tête du classement général au Chilien Pablo Quintanilla (Husqvarna), ont annoncé vendredi les organisateurs.
Barreda, qui avait dominé la 3e étape entre San Miguel de Tucuman et San Salvador de Jujuy, dans le nord de l'Argentine, est rétrogradé à la 7e place du classement général, à 41 minutes du nouveau leader au départ de la 5e étape longue de 692 km (dont 447 km de spéciale) dans l'altiplano bolivien.
Barreda possédait 18:19 d'avance sur Quintanilla. Celui-ci est désormais leader avec 2:07 d'avance sur l'Autrichien Matthias Walkner (KTM), vainqueur jeudi.
Trois autres pilotes Honda, le Français Michaël Metge, l'Américain Ricky Brabec et le Portugais Paulo Goncalves ont également écopé d'une heure, pour le même motif, un ravitaillement hors zone lors de la 4e étape de 521 km entre Salvador de Jujuy (Argentine) et Tupiza (Bolivie).
Il s'agit là d'un coup dur pour le motoriste japonais, qui espérait ravir le titre au constructeur autrichien KTM, invaincu depuis 2001 sur le Dakar.
KTM a toutefois perdu l'un de ses principaux atouts avec l'abandon du tenant du titre, l'Australien Toby Price, victime d'une fracture du fémur gauche.

Lako
06/01/2017, 14h03
Rallye : abandons en série sur le DakarAprès le vainqueur 2011 et 2015 Nasser Al-Attiyah, Carlos Sainz, lauréat en 2010 et le tenant du titre moto, Tony Price, victime d’une fracture du fémur, abandonnent.

L’édition 2017 était annoncée par les organisateurs comme la plus dure de l’ère sud-américaine – débutée en 2009. La 4e étape, remportée pour la première fois en auto par le Français Cyril Despres, en est la preuve. Après l’abandon, jeudi 5 janvier, du Qatari Nasser Al-Attiyah, vainqueurs en 2011 et 2015, qui a arraché un pneu de son Toyota Hilux sur un gros caillou, deux autres figures du rallye (http://www.lemonde.fr/rallye/)-raid n’iront pas plus loin : l’Espagnol Carlos Sainz (Peugeot), vainqueur 2010, qui a chuté dans un fossé, et le tenant du titre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/titre/) moto (http://www.lemonde.fr/moto/), Tony Price (KTM), victime d’une fracture du fémur.

http://s2.lemde.fr/image/2017/01/06/534x0/5058752_6_2b57_la-304-de-carlos-sainz-lucas-cruz-ici-le-2_b2077e373ee46ffa81a263ded9a8e99c.jpgCoup dur donc pour l’Espagnol et son copilote Lucas Cruz. Lors de la spéciale qui devait les conduire (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/conduire/) à Tupiza, en Bolivie (http://www.lemonde.fr/bolivie/), ils ont perdu le contrôle de leur 3008 DKR et ont effectué plusieurs tonneaux avant d’attérrir dans un ravin « à 5 km de l’arrivée ». Indemne, l’équipage a réussi à rejoindre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/rejoindre/) le bivouac après plus de deux heures. Mais, dans la nuit, Peugeot Sport (http://www.lemonde.fr/sport/) publiait un communiqué : « Il s’avère que la somme de travail (http://www.lemonde.fr/travail/) nécessaire [pour réparer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/r%C3%A9parer/) la voiture (http://www.lemonde.fr/m-voiture/)] ne peut être (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/%C3%AAtre/) menée dans le temps imparti. »
« Je suis évidemment très déçu de cet abandon. Nous avions un très bon rythme depuis le début du rallye au volant de la 3008 DKR. Je regrette de ne pas pouvoir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/pouvoir/)concrétiser (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/concr%C3%A9tiser/) davantage ce potentiel », ajoutait le pilote et double champion du monde (http://www.lemonde.fr/afrique-monde/) WRC des rallyes (1990 et 1992).
Au moment de l’accident, Carlos Sainz, 54 ans, occupait la 3e place provisoire de la spéciale longue de 416 km, à un peu plus de sept minutes de son coéquipie Cyril Despres. Ils ont finalement bouclé l’étape avec 2 h 19 min de retard sur Cyril Despres, abandonnant toute chance de bien figurer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/figurer/) en bonne place au classement général.
Loeb et Elena quatrièmes au généralLe duo Sébastien Loeb-David Elena, leader la veille, a été le grand perdant du jour : 5e avec 22 min 13 s de retard sur Despres, il a rétrogradé à la 4e place à près de sept minutes du nouveau leader. Une contre-performance qui n’est pas à mettre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/mettre/) au compte d’une erreur de navigation mais due à un problème de turbo.
Au général, Cyril Despres a aussi pris les commandements avec 4 min 8 s d’avance sur son compatriote et coéquipier Stéphane Peterhansel, 4e jeudi. Mikko Hirvonen complète le podium provisoire à 5 min 4 s.
http://s1.lemde.fr/image/2017/01/06/534x0/5058754_3_13c4_toby-price-victime-d-une-fracture-du-femur_ca603326a04247c0ff928b551caf2907.jpgEn moto, c’est le tenant du titre, l’Australien Toby Price (KTM,) qui a été victime d’une fracture du fémur gauche après une chute au 371e km, lors de la traversée d’un rio piégeux. Une difficulté qui n’a pas déstabilisé Joan Barreda (Honda), qui reste en tête du général même si c’est l’Autrichien Matthias Walkner (KTM) qui remporte la victoire d’étape.
L’étape de vendredi 6 janvier, longue de 692 km, dont 447 chronométrés, relie Tupiza et Oruro à une altitude moyenne 3 800 mètres, avec une pointe à 4 400 mètres en début de secteur chronométré et deux passages de dunes pour corser (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/corser/) la partie finale. Les camions seuls parcourront 683 km, dont 438 km de spéciale.

Lako
07/01/2017, 09h14
Dakar-2017 : la sixième étape annulée à cause de pluies diluviennesLes concurrents devaient initialement prendre samedi le départ à Oruro en direction de La Paz. Ils se rendront directement dans la capitale bolivienne.


La sixième étape du Dakar-2017, prévue samedi, entre Oruro et La Paz en Bolivie a dû être annulée en raison d’intempéries, a annoncé vendredi 6 janvier le directeur sportif Marc Coma. « On a essayé de faire beaucoup de choses pour avoir même une petite spéciale mais c’était impossible. Nous irons directement [dans la capitale] », a-t-il fait savoir lors du briefing quotidien des concurrents.


Une partie des journalistes présents sur place a été confinée dans un bus pour y passer la nuit, alors que tous les concurrents n’étaient pas encore arrivés. Les pluies diluviennes avaient déjà contraint les organisateurs à raccourcir l’étape de vendredi, entre Tupiza et Oruro.


« Il fallait donner toutes ses forces »


Les concurrents devaient initialement prendre samedi le départ de la plus longue spéciale de ce Dakar : 527 km chronométrés entre Oruro et La Paz pour les autos, motos et quads, 513 pour les camions, pour un total de 786 km pour les premiers et 772 km pour les seconds.


Lire aussi : Dakar contre Dakar


Une pluie torrentielle est tombée sans discontinuer sur la région depuis le milieu de l’après-midi avec pour conséquence une épaisse couche de boue sur sol, rendant difficile tout déplacement.


« On vient de se taper 300 bornes sous la pluie, j’ai eu du mal à me réchauffer. C’est vraiment difficile, il fallait être dur et donner toutes ses forces pour résister au froid », témoignait à l’arrivée de la cinquième étape le Français Adrien Van Beveren, troisième du jour et troisième au classement général en moto.
bY LeMonde

Lako
12/01/2017, 06h15
Dakar 2017: Dingue, un gigantesque glissement de terrain annule une étape

RALLYE-RAID Les images sont complètement folles...
http://img.20mn.fr/r0b4Cp48RUyH4ZH4gVfqnw/648x415_village-volcan-argentine-englouti-eau-janvier-2017.jpg

La 9eme étapn'aura pas lieu. Un glissement de terrain provoqué par des orages a bloqué mardi une partie de la caravane de la course sur le parcours de la 8e étape, forçant l'organisation à annuler la spéciale du lendemain.
«Suite à un gigantesque glissement de terrain provoqué par les orages, la route empruntée par la liaison pour rejoindre le bivouac a été coupée à une quarantaine de kilomètres au nord de Jujuy, soit à 160 km de Salta», l'arrivée de l'étape de mardi, a précisé l'organisation dans un communiqué.
Des images capturées par un photographe de l'AFP montrent une route engloutie sous la boue et la roche près du village de Volcan, à 1.530 km au nord-est de Buenos Aires, bloquant le passage des véhicules.
Un millier de personnes ont été évacuées et deux sont mortes.
«La journée de demain (mercredi) sera consacrée à regrouper l'ensemble des moyens de la course à Chilecito, de sorte à continuer l'épreuve en donnant le départ de la 10e étape, Chilecito - San Juan», jeudi.

Lako
12/01/2017, 18h17
4e victoire d'étape sur le Dakar 2017 pour Sébastien Loeb, qui conforte sa première place



Sébastien Loeb (Peugeot) a signé jeudi sa 4e victoire sur le Dakar 2017, lors de la 10e étape, et conforte son avance en tête.

Après ses succès sur les 2e, 5e et 8e étapes, Sébastien Loeb (Peugeot) a également dominé la 10e étape du Dakar jeudi, longue de 751 km, dont 449 de spéciale, entre Chilecito et San Juan en Argentine. Le Français s'est imposé en 4h54'28", devant ses coéquipiers chez Peugeot Cyril Despres (+2'33) et Stéphane Peterhansel (+6"45). Le nonuple champion du monde WRC compte désormais 8'23 d'avance sur le roi du Dakar, et 19'50 d'avance sur l'ancien vainqueur à motos, alors qu'il ne reste plus que deux étapes à disputer.




1
LOEB (FRA) / ELENA (MCO)
PEUGEOT 3008 DKR

25h04'33"


2
PETERHANSEL (FRA) / COTTRET (FRA)
PEUGEOT 3008 DKR

à 8'23"


3
DESPRES (FRA) / CASTERA (FRA)
PEUGEOT 3008 DKR

à 19'50"


4
DE VILLIERS (AFS) / VON ZITZEWITZ (ALL)
TOYOTA HILUX

à 1h37'04"


5
TERRANOVA (ARG) / SCHULZ (ALL)
MINI JOHN COOPER WORKS RALLY

à 1h39'31"


6
AL RAJHI (ARS) / GOTTSCHALK (ALL)
MINI JOHN COOPER WORKS RALLY

à 14h47'19"